A plat ventre dans le foin, rendu méfiant depuis que sa grand-mère l’avait localisé, Jérémy n’en continua pas moins d’épier les faits et gestes du couple. Le spectacle qui se déroulait à quelques mètres au-dessous de lui ne pouvait le laisser insensible. Même si la femme qui s’arquait sous les coups de boutoir que lui dispensait son partenaire était sa grand-mère, l’image qu’elle offrait ne pouvait qu’exciter ses sens toujours prêts à s’émouvoir. C’était la première fois qu’il assistait réellement à une scène d’amour avec pénétration. Et à voir le fromager pistonner fiévreusement sa grand-mère provoqua chez Jérémy une telle excitation, qu’une nouvelle érection gagna son membre. En plus des gémissements et des râles de plaisir que sa grand-mère émettait, c’est surtout le langage obscène que cette dernière proférait qui l’étonnait tout en l’affriolant davantage. Habituellement, Louise se montrait toujours extrêmement polie, jamais l’adolescent ne l’avait entendu prononcer un mot vulgaire. Or là, sous les pénétrations saccadées de la verge de son amant, elle employait un langage, qu’il avait plus l’habitude d’entendre dans les vidéos qu’il regardait en cachette.
Jérémy ne pouvait détacher son regard de sa grand-mère, qui tel un insecte épinglé, se contorsionnait d’une façon désordonnée, clouée sur la planche de bois par la verge de son partenaire. Des « baise-moi à fond – laboure-moi la chatte – Oh comme j’aime ta queue », résonnaient dans le silence de la grange, entrecoupé de « Oui ! Oh oui ! » et de feulements de chatte en chaleur. Jérémy découvrait sa grand-mère sous une autre personnalité. Même son visage paraissait transfiguré ; le plaisir qui l’habitait la rendait incroyablement plus belle. Accrochée aux mains de son partenaire qui lui malaxait les seins, Louise, comme possédée, lançait son bas-ventre en avant au-devant de verge qui lui fouillait le sexe, encourageant son partenaire, de son langage imagé.
Subjugué par le ballet érotique qui se jouait entre sa grand-mère et son amant, Jérémy en oublia de se branler.
Soudain, les gémissements de sa grand-mère se transformèrent subitement en de longues plaintes :
— Oh, putain c’est bon !… Oui… Oh Oouuuiii !… Vas-y ! Balance ta purée… Je jouis… Rrrhhhaaa !… Ah !… Haaaaaa…
Julien, solidement accroché aux seins plantureux de sa maîtresse, s’activait, en un vat-vient effréné, fouillant rageusement le vagin torride de cette dernière de son soc charnel. Dans un effort de volonté désespéré, il tentait de retarder la montée du plaisir qu’il sentait prendre possession de ses couilles. Aussi quand soudainement sa verge se trouva enveloppée d’un cocon ardent, preuve que sa partenaire accédait à l’orgasme, il cessa immédiatement tous mouvements, mettant à profit la semi-inconscience de la fermière pour reprendre son calme.
Ils restèrent ainsi, immobiles un long moment. Seul le souffle haletant de Louise venait troubler le silence.
—… C’était divin, murmura soudain Louise d’une voix étouffée… Jamais je n’ai joui aussi fort…
Prenant soudain conscience que son amant demeurait fiché dans son vagin, elle s’étonna :
— Mais, toi, tu n’as pas déchargé ta crème ?
— J’ai le temps, répliqua Julien… Je n’en ai pas encore fini avec toi.
— C’est vrai ?… Tu vas encore me régaler ?
— J’en ai bien l’intention, répliqua Julien en débutant un nouveau va-et-vient dans la chatte gorgée de cyprine de sa lascive partenaire.
— Huumm, approuva aussitôt Louise… Je suis partante…
Or comme Julien accélérait les incursions de sa verge à l’intérieur du sexe abondamment lubrifié, un bruit de clapotis liquide émana de la vulve pistonnée, rendant la pénétration plus érotique pour les deux amants.
— C’est incroyable comme tu mouilles, plaisanta Julien… J’en ai les couilles trempées !…
Louise qui connaissait cette particularité qu’avait son sexe d’émettre une profusion de cyprine lors de ses ébats répondit à son jeune amant :
— Ça permet à ta grosse queue de mieux glisser dans mon petit minou !
— Petit minou ?… Tu plaisantes !… Ta chatte est un vrai parking à bittes tellement elle est large !…
— Oh, s’exclama Louise, pas plus surprise que ça !…
Maurice lui avait maintes fois fait la même réflexion. Le frottement de plus en plus prononcé du gland contre les parois de sa vulve exacerbée dispensait de nouvelles ondes voluptueuses dans le bas-ventre de Louise. Comme pour accélérer cette jouissance qu’elle sentait monter en elle, elle glissa un doigt le long de sa fente distendue autour du pal de chair. Cherchant son bouton d’amour, qu’elle trouva fièrement dardé en haut des grandes lèvres de sa chatte, elle entreprit de l’agacer de son ongle.
Jugeant que sa volcanique partenaire s’agitait trop pour qu’il puisse correctement la pistonner, Julien décida de l’immobiliser, en refermant ses mains autour de sa taille. Alors maintenant solidement sa fougueuse amante, il accéléra les va-et-vient de son membre dans la grotte féminine embrasée. Chaque fois que son pubis heurtait les lèvres de la chatte détrempée, projetant son gland au plus profond du vagin en fusion, Louise laissait échapper des cris et des encouragements érotiques. Grisé par les vagissements sexuels de sa sensuelle partenaire, Julien brusqua ses coups de boutoir dans le réceptacle féminin accueillant. Tel un piston bien huilé, sa queue copieusement lubrifiée par le foutre brulant qui suintait du vagin en ébullition, accéléra ses mouvements de va-et-vient. Aussitôt sa volcanique partenaire s’exprima dans un langage châtié, digne d’une prostituée de bas étage, l’encourageant à la pourfendre encore plus violemment. Mais lors du mouvement de retrait de sa verge du vagin dégoulinant, celle-ci, rendue glissante du fait de l’abondance de cyprine, s’échappa d’entre les grandes lèvres détrempées.
— Oh, non !… Reviens, s’écria Louise !… Remets là ! Continua-t-elle ivre de luxure et en écartant largement ses cuisses afin de faciliter l’introduction souhaitée !…
Saisissant son membre visqueux entre ses doigts, dans l’intention de le réintroduire dans la chatte détrempée, Julien eut le regard attiré par l’orifice plissé de l’anus, rendu luisant du fait de l’intarissable écoulement vaginal. Cette vision déclencha en lui un désir pervers : enfoncer sa queue dans cette ouverture que Louise lui offrait innocemment. Sans plus réfléchir, sans même prévenir celle qu’il voulait embrocher par cet accès secondaire, il présenta son gland gonflé face à ce petit trou brun au potentiel terriblement érotique.
Louise qui attendait l’introduction du membre à l’intérieur de son sexe impatient, ne songea pas un instant ce que son jeune amant avait l’intention de lui faire subir.
— Non, tu te trompes de trou, plaisanta-t-elle, amusé de la maladresse de Julien.
Mais sentant le volumineux bourgeon de chair se plaquer contre son cul, et s’y appuyer fortement, elle comprit immédiatement les projets de jeune amant.
— Tu veux me la mettre de ce côté, interrogea-t-elle ?… Tu veux m’enculer, continua-t-elle soudain anxieuse ?
<< Certes au début de leur mariage, Maurice l’avait, à sa demande, initié à ce genre de pénétration. Si la première fois la douleur, même légère, avait accompagné le va-et-vient de la queue à l’intérieur de ses intestins jusqu’à la jouissance finale de Maurice, elle n’en avait pas éprouvé le moindre plaisir. Il avait fallu qu’elle se force à renouveler l’expérience, pour la plus grande joie de son époux, pour qu’enfin elle en éprouve un certain plaisir. Plaisir, qui n’avait fait que s’accentuer au fil des sodomies, qui terminaient invariablement leurs ébats sexuels. Moyens de contraception qu’ils avaient mis au point ; Maurice déchargeant son sperme dans ses intestins. Ses entrailles devenant le réceptacle de la semence masculine. >>
<< Cependant, les années passant, le désir s’étant émoussé, les deux époux en étaient venus à pratiquer l’amour conventionnellement, dans la position dite du missionnaire. Maurice avait peu à peu abandonné son orifice secondaire. Cela faisait maintenant plusieurs années que son cul n’avait plus été forcé par la bite conjugale >>
Aussi, dès qu’elle saisit les intentions de Julien, elle en éprouva une émotion extrême, mêlée à une certaine appréhension. Si elle était ravie d’être de nouveau enculée après tant d’années de disette, une crainte au sujet du volume du gland lui traversa l’esprit. Depuis le temps, est-ce que son cul serait-il encore capable de s’ouvrir sous la poussée du gland colossal ; car Julien possédait une queue particulièrement volumineuse par rapport à celle de son mari.
— Va doucement, sollicita-t-elle… Je… Je n’ai jamais été prise de ce côté-là, mentit-elle, éprouvant un plaisir pervers à faire croire à son jeune amant qu’il serait le premier à accéder à son orifice secret.
Sidéré par l’aveu de sa maîtresse, Julien s’étonna.
— Comment ça ?… Tu ne t’es jamais fait enculer ?
— Heu, non, continua-t-elle à mentir…
— Tu veux dire que c’est la première fois, insista Julien, n’en revenant pas… Ton mari ne t’a jamais défoncé la rondelle ?
— Non… Je suis vierge de ce côté, continua Louise, amusée par la formule que le jeune homme avait employée pour désigner son cul… Je veux bien essayer avec toi, mais va doucement… Tu es si gros, insista-t-elle, consciente d’aviver ainsi l’orgueil masculin de son amant…
Cette grosseur, qui cinq minutes plus tôt la ravissait lorsqu’elle se mouvait dans sa chatte, inquiétait quand même Louise à l’idée que son cul se soit rétréci avec le temps.
— Ne te fais pas de souci, tu es tellement mouillée que ma queue va rentrer toute seule, tenta de la rassurer Julien.
Cramponnant solidement les hanches de sa partenaire afin de l’immobiliser lors de la pénétration de son membre, dont le gland volumineux forçait l’anus resserré, Julien força la poussée de son dard, arrachant un gémissement à sa victime.
— Oh, doucement, gémit Louise !… Tu es tellement gros !…
Malgré l’envie qu’elle avait de ressentir le pieu de chair l’empaler, Louise revécut les affres de sa première sodomie. Son cul, dans lequel Julien tentait d’enfoncer sa queue, résistait à la poussée du volumineux bourgeon de chair. Affolée à l’idée de la douleur qu’elle allait ressentir, elle supplia :
— Doucement !… Tu es trop gros… Tu n’y arriveras pas !…
Vivement excité à l’idée d’être le premier enculer la sensuelle fermière, Julien, ignorant les plaintes de son amante, continua son effort pour forcer l’anus à s’ouvrir et accepter son membre. Bien que rendue extrêmement dure, du fait de la forte érection dont elle était l’objet, le jeune fromager vit sa queue se courber, ne pouvant franchir l’obstacle de l’anus resserré. Son amante ne lui avait pas menti, songea-t-il ; jamais une bite ne l’avait pénétré par cette voie.
— Viens dans ma chatte, quémanda Louise d’une voix implorante… Tu ne pourras jamais m’enfoncer ton gros bout… Je suis trop étroite de ce côté-là…
— Détend-toi tenta de lui conseiller Julien… Branle-toi !… Ça t’aidera à te relâcher…
Toujours obnubilée par le souvenir de la première fois où elle avait été enculée par son mari et à la douleur qu’elle en avait ressentie, Louise se força à respirer calmement, tout en relâchant au maximum les muscles de son anus. Puis comme Julien le lui avait conseillé, elle reprit la caresse de son clitoris.
Julien, exacerbé devant l’obstacle qu’il rencontrait, tenta un dernier effort, bien décidé à forcer ce passage qui refusait de céder. Soudain, alors que sa victime poussait un long feulement, le jeune homme se trouva projeté en avant ; l’anus venait de céder, s’écartelant et avalant la totalité de sa verge.
— Ça y est !… Elle est dedans, gémit Louise, tentant de contrôler la douleur que la brutale intromission lui avait procuré… Putain qu’elle est grosse, continua-t-elle !… Je suis sure que tu m’as déchiré le cul !… Ne bouge pas… Attends un moment !…
Comprenant la réaction de sa partenaire et sachant que celle-ci devait s’habituer à la présence dans ses intestins, de son membre gonflé, Julien s’immobilisa, le pubis accolé aux fesses féminines écartelées par la sodomisation. Sa verge se trouvait enserrée dans un fourreau si étroit qu’il lui semblait ressentir les pulsations des intestins : comme si ceux-ci le masturbait.
Respirant calmement, Louise se força à relâcher les muscles de son anus, afin que ceux-ci s’accoutument à cette dilatation que lui infligeait le volumineux sexe masculin. Suivant les conseils de son jeune amant, elle continua d’agacer son clitoris, espérant que le plaisir qu’elle en tirait compenserait cette gêne que lui procurait la queue fichée entre ses fesses écartelées. Attentionnée à se procurer ce contentement qui lui ferait accepter la dilatation de son anus, elle ne réagit pas à l’imperceptible mouvement du membre viril à l’intérieur de ses intestins.
Après un long moment d’immobilité, Julien, jugeant que sa victime devait s’être habituée à la présence de son membre à l’intérieur de ses entrailles, entama un léger va-et-vient. Malgré l’envie qu’il avait d’accélérer sa pénétration, il se contenta de faire coulisser de quelques millimètres sa verge volumineuse. Et comme Louise ne semblait pas réagir aux mouvements plus prononcés de sa queue, il accéléra insensiblement la cadence de ses reins.
Lorsque Louise perçut le glissement de la verge dans son orifice anal dilaté, elle en demeura étonnée. Contrairement à ce qu’elle appréhendait, elle ne ressentait aucune douleur spécifique : juste une légère gêne sans plus. Elle tenta alors d’analyser ce qu’elle percevait ; le va-et-vient du volumineux dard dans son cul écartelé se faisait sans qu’elle ne ressente cette souffrance qu’elle redoutait. Elle allait, elle en était sure, ressentir ce plaisir oublié, d’être enculée. Elle s’abandonna alors aux coups de boutoir, de plus en plus prononcés, de son jeune amant. Chaque pénétration du membre dans les profondeurs de ses entrailles provoquait le choc du bas-ventre de Julien contre son derrière et lui meurtrissait les fesses. Comme son regard croisa celui de Julien, elle y découvrit une certaine fixité… Ce regard plein d’exaltation la renseigna sur le plaisir que son jeune amant semblait de son côté, éprouver à lui pistonner les intestins. A l’ardeur qu’il mettait à pilonner son anus, il était évident qu’il éprouvait une véritable satisfaction.
— Tu es bien dans mon cul, questionna-t-elle, vicieuse ?
— Oui, c’est merveilleux… Tu es tellement étroite de ce côté…
— Ça te change de ma chatte, plaisanta-t-elle… Tu es content, tu as ce que tu voulais ?… Pourquoi tu n’as jamais essayé de me prendre de ce côté avant ?…
— Je n’osais te le proposer, pourtant ton cul m’attirait !…
— Et moi qui n’osais pas te le demander de peur que tu me prennes pour une dépravée !
— Alors nous allons ratt****r le temps perdu !…
— Va doucement quand même, il faut que je m’habitue à ton gros bout… La nature t’a particulièrement gâté ! Tu es monté comme un bourricot !
Alors qu’elle tentait de s’accoutumer à la grosseur qui lui distendait le cul, Louise se rappela soudain de la présence de son petit-fils, qui, tapi à l’étage de la remise, ne devait rien perdre du spectacle qu’elle devait lui offrir ! Ecartelée, la verge de Julien plantée entre ses fesses, ce n’était certes pas l’image qu’une grand-mère pouvait offrir à son petit-fils… Cette soudaine pensée lui procura, encore une fois, une excitation perverse qui se traduisit immédiatement par un afflux de cyprine. Or étrangement, une subite onde de volupté la parcourut. Surprise, elle ressentit un début de plaisir envahir ses entrailles. Le va-et-vient de plus en plus rythmé du membre masculin entre ses fesses meurtries lui devint plus agréable. Retrouvant ses habitudes sexuelles, elle tint à le faire savoir à son partenaire dans son langage imagé.
— Oui, ça vient… Je crois que mon cul s’est habitué à ta bite !… Hhhuuummm c’est agréable… Oui, continue !… Ça t’excite d’enculer une vielle, hein mon salaud !… Moi aussi j’aime ça !… Me faire enculer par un jeunot !… Oh oui !… Vas-y, défonce-moi le cul…
* *
*
Etendu dans l’épaisse couche de foin étalé sur le sol de la remise, Jérémy ne perdait rien du spectacle qui se déroulait au-dessous de lui. Sa grand-mère se faisant enculer par son jeune amant, affolait au plus haut point sa jeune libido. Son lien de parenté avec cette femme qui se contorsionnait sous les pénétrations saccadées de son partenaire n’existait plus. Jérémy ne voyait qu’une femme, d’un certain âge, s’offrant sans pudeur à un jeune homme qui la maintenait par les hanches pour mieux la sodomiser.
Lorsque sa grand-mère s’était débarrassée de sa blouse, Jérémy était resté stupéfait en découvrant que cette dernière ne portait pas le moindre sous-vêtement. Sa grand-mère entièrement nue avait été pour l’adolescent un choc émotionnel terrible. Mais immédiatement, ses sens toujours prêts à s’émouvoir devant la nudité féminine s’embrasèrent pour l’imposante poitrine dévoilée. Les volumineux seins de sa grand-mère, objet de ses fantasmes les plus fous, s’offraient à ses yeux admiratifs. Les lourdes mamelles, libres de tous soutiens, ballotaient mollement à chaque mouvement de leur propriétaire. Jérémy ne pouvait détacher son regard des imposantes masses mammaires. Si les blouses que portait sa grand-mère se trouvaient agréablement déformées au niveau de la poitrine, lui laissant deviner que cette dernière possédait une forte poitrine, ce qu’il découvrait aujourd’hui dépassait tout ce qu’il avait pu imaginer. Ses yeux ne pouvaient se détacher des larges aréoles brunes, aux centres desquelles les tétons se dressaient telles deux petites bites. Aucune des images qu’il avait pu contempler jusqu’à présent ne lui avait apporté une telle excitation. Dans son short sa jeune virilité s’était dilatée en se durcissant comme jamais : un véritable gourdin !
Ce n’est qu’au bout d’un long moment, passé à contempler les fruits charnus qui le faisaient tellement rêver, que Jérémy laissa son regard descendre jusqu’au triangle noir qui ombrageait le bas-ventre de sa grand-mère. Cette broussaille mystérieuse et si fascinante pour l’adolescent qu’il était. Que n’aurait-il pas donné pour aller explorer les secrets de cette toison luxuriante ! Découvrir, au sein même de cette fourrure, la faille sexuelle qui s’y cachait, ce passage que tout adolescent rêve d’explorer un jour.
Cependant pour l’instant, le spectacle de sa grand-mère s’offrant impudiquement ; jambes largement écartées, maintenant de ses mains ses genoux contre ses seins, portait l’excitation de Jérémy à son maximum. Surtout qu’en plus de la vision terriblement obscène de sa grand-mère, les encouragements salaces qu’elle prodiguait à son amant résonnaient aux oreilles de l’adolescent, l’affolant un peu plus.
Rassuré sur l’acceptation de Louise à subir la perverse pénétration, Julien accéléra ses va-et-vient à l’intérieur des intestins. Sa verge, extrêmement pressée par l’étroitesse de l’orifice anal, lui procurait un tel plaisir qu’il sentit la jouissance prendre possession de ses organes génitaux. Pris par l’intense volupté que lui procurait cette sodomie, auquel il avait tant rêvé, Julien ne put retenir l’orgasme qui l’arqua convulsivement. Telle une lance d’incendie, sa queue aspergea les intestins de sa partenaire, lui remplissant copieusement le fondement de son sperme.
— Oh putain que c’est bon, grogna-t-il dans un spasme incontrôlable.
Louise qui peu à peu sentait le plaisir la subjuguer, imagina la semence virile de son jeune amant se répandant dans ses entrailles. Cette évocation déclencha aussitôt en elle une jouissance fulgurante, accompagnant son jeune amant dans la jouissance.
Les jambes flageolantes, les mains crochetées dans les hanches charnues de son ardente maîtresse, Julien reprit lentement ses esprits. C’est la voix de son amante qui le ramena à la réalité au bout d’un instant.
— Salaud, lui murmura-t-elle d’une voix amoureuse, tu es satisfait ?… Tu t’es bien vidé les couilles dans mon cul !… J’ai eu droit à un sacré lavement !…
Les deux amants demeurèrent un long moment immobiles, intimement liés l’un à l’autre par le membre, de moins en moins viril, de Julien. C’est Louise qui, concentrée sur ce qu’elle ressentait dans son anus maintenant habitué à la présence du membre masculin, rompit le silence :
— Oh, je la sens diminuer… Elle devient toute molle…
Julien qui de son côté s’était rendu compte que sa verge perdait de sa rigidité la retira délicatement de l’orifice anal dans lequel il venait de décharger. Libéré, le sphincter demeura un moment dilaté avant de se refermer délicatement, procurant un plaisir diffus à sa propriétaire.
Les reins moulus à être restée étendue sur le support de bois, Louise se redressa péniblement et dans un réflexe féminin, elle glissa une main protectrice entre ses cuisses. Etonnée de ne pas récupérer dans sa paume le sperme dont Julien l’avait si copieusement aspergé, elle plaisanta :
— Ce qui est bien de ce côté !… C’est que tout reste à l’intérieur…
Jetant un regard au membre qui n’avait plus rien de viril, Louise dont le désir n’était pas complètement assagi songea à redonner de la vigueur à cette queue si merveilleuse. Mais songeant à son petit-fils toujours tapi dans les combles de la remise, et qui n’avait certainement rien perdu du spectacle terriblement obscène qui s’était déroulé au-dessous de lui, elle préféra laisser partir son amant.
— Sort tout seul, je ne voudrais pas que mon petit-fils nous voie ensemble, mentit-elle… Je t’attends la semaine prochaine, continua-t-elle en l’embrassant tendrement, plus comme une mère que comme une amante.
Lorsque Julien, qu’elle surveillait, eut quitté la cour de la ferme à bord de sa camionnette, Louise se dirigea au pied de l’échelle qui permettait l’accès au grenier où se cachait son petit-fils. Il fallait qu’elle ait une discussion sérieuse avec celui-ci.
— Jérémy ! Appela-t-elle… Je sais que tu es là !… Je monte !…
A suivre…..
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