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Mon mari me livre à ses amis suite N°1

Mon mari me livre à ses amis suite N°1



Romuald, le premier ami de mon mari me dit alors de m’approcher de lui en marche arrière (toujours sous la table. Il me prit alors les mollets et les releva afin de faire reposer mes cuisses sur les siennes. J’avais alors les fesses qui dépassaient du bord de la table et qui se trouvaient juste au raz de celle-ci. Afin d’être encore plus à sa portée, il me dit d’appuyer mes seins sur le sol et de mettre mes mains derrière mon dos. La position était inconfortable, et j’étais maintenant à sa merci. Il attrapa alors la bouteille d’huile qui était sur la table et m’en versa sur l’anus. Puis de ses doigts, il l’étala sur mon sexe, mes fesses ainsi qu’à l’intérieur de mes orifices. M’ayant bien graissée, il demanda à Sébastien s’il avait quelques légumes afin de leur montrer comment il faisait un pot-au-feu. Ils se mirent alors à rire de concert et mon mari s’empressa d’aller chercher ce qu’il lui avait demandé. Il revint avec un cabas assez rempli quelques instants plus tard. Romuald pris alors un concombre de bonne taille et l’appuya entre les lèvres de mon sexe en me disant de me laisser faire, sinon il essaierait encore plus gros. Le légume me distendait les chairs, mais au lieu de s’émouvoir de mes cris, ça avait l’air de les exciter davantage. Il l’avait rentré d’une dizaine de centimètre quand je crus défaillir. Mais loin de se contenter de si peu, il continua à appuyer afin de le faire entrer encore plus loin.

J’en avais vingt-cinq centimètres dans l’utérus lorsqu’il s’arrêta. Il annonça alors la suite, disant qu’il fallait y rajouter une carotte. Il en choisit une grosse, environ une fois et demie la taille d’un sexe. Il en posa la pointe sur mon anus et força le sphincter. Je jetai un cri qui les amusa fortement. Il appuya encore me faisant gémir par l’écartement imposé. Il me tendit alors des oignons et me dit alors de les éplucher avec mes ongles. Pour cela je devais mettre mes mains en avant et ne garder l’appui que sur mes seins. De cette manière je les écrasais sous mon torse, souffrant fortement de la position. L’épluchage des oignons me fit couler de nombreuses larmes, mais mon mari me dit que celles-ci n’étaient qu’un début. Une fois les oignons épluchés, il retira les légumes que j’avais dans mes trous pour me les enfiler à la place. Sur le moment je ne ressentis rien, mais très vite, une brûlure qui me ravagea l’intérieur de la matrice et de l’intestin. Je me tortillais pour y échapper. Je reçus alors une claque monumentale sur mon fessier qui me rendit docile. Armand, le troisième, lui dit alors qu’un bon pot-au-feu se dégustait avec de la moutarde forte. Je les suppliais alors de m’épargner, leur disant que j’étais prête à tout, mais que j’avais déjà trop mal. D’une autre claque sur mon postérieur ils me firent à nouveau taire en me disant que ce n’était encore rien pour le moment et que si je ne coopérais pas, il m’en cuirait autrement.

Il attrapa alors le pot de moutarde puis plongea ses doigts à l’intérieur, il m’enduisit la fente et le clitoris. La brûlure était encore plus atroce qu’avec les oignons. Je me tortillais de plus belle. Les deux autres sont venus à sa rescousse pour me tenir les mollets afin que je ne change pas de position. Il en profita alors pour barbouiller mon anus ainsi que l’intérieur de mes intestins. Je criais et pleurais continuellement alors qu’ils riaient en me disant que j’avais pour une fois le « feu au cul ».

Une nouvelle fois, ils me laissèrent afin que je puisse aller me laver et apaiser la brûlure de mes parties intimes.

Je me débarrassais des oignons comme je pouvais, il fallait que je force comme pour déféquer, mais avec l’irritation de mes muqueuses, ce fut un moment éprouvant. Je m’enduisais enfin avec une pommade qui me fit le plus grand bien. J’avais à peine fini quand j’entendis mon mari qui m’appelait avec autorité.

Je me présentais à nouveau devant eux, toujours avec le tablier, la coiffe, les bas résilles et mes chaussures à talons hauts. Sébastien m’ordonna d’enlever le tablier, il voulait que mon pubis soit visible. Il me demanda alors de me coucher sur la table qu’il avait débarrassée des restes du repas. Il fallait que j’écarte les cuisses en grand, c’est alors qu’il me les attacha dans cette position par-dessous la table. Il me lia également les mains au-dessus de ma tête. Je commençais à être très inquiète de ses intentions, surtout lorsque je le vis arriver avec une paire de ciseaux et mon épilateur. Il annonça à ses amis qu’il allait me peler l’oignon. Je compris ce qu’il entendait par-là lorsqu’il coupa les poils de mon pubis avec les ciseaux. Je frissonnais craignant qu’il ne me blesse avec la pointe, mais son intention n’était pas là. Il fit alors rapprocher ses amis qui appuyèrent alors sur mes cuisses, me maintenant immobile. Il approcha l’épilateur qui fit alors des ravages dans le reste de ma toison. L’arrachage était abominable et je criais à chaque fois qu’il avançait l’instrument. C’est une opération déjà douloureuse en des endroits moins fragiles, mais là c’était purement insoutenable. Je pleurais, je criais, mais rien n’empêchait mon mari de continuer, je pense même que ma douleur entretenait son plaisir sadique. Ce fut encore pire lorsqu’il arriva dans le creux de l’aine puis sur le bord de l’anus ou quelques poils frisottaient. Tous trois se délectaient de mes cris, je pense que leur plaisir sadique en était même décuplé. J’avais le pubis en feu et chaque poil arraché me faisait l’effet de recevoir une piqûre d’aiguille. Lorsque ce fut fini, je ne criais presque plus, n’en ayant plus la force. Je me laissais faire, subissant l’atroce supplice jusqu’à la fin. Sébastien, fier de son œuvre me contempla un petit moment, cherchant le poil oublié afin de renouveler encore et encore la douleur lancinante. Finalement, ayant bien fini, il se résigna à poser l’épilateur. Il demanda alors à ses amis de bien me tenir et il me badigeonna les parties irritées d’eau de Cologne, me faisant cabrer par l’effet de la brûlure. Fier de lui, il annonça à ses amis qu’il ne m’avait jamais connu avec le feu quelque part comme aujourd’hui. Ils rirent de bon cœur alors que je sanglotais dans mes liens.

Finissant de se déshabiller tous les trois, ils me dirent que je devais les remercier pour tout ce qu’ils m’avaient fait. Je faillis leur cracher au visage lorsque je vis mon mari monter sur la table, les pieds de part et d’autre de mon torse. Je ne compris que lorsqu’il s’accroupit où il voulait en venir. Il me présenta son cul juste en face de ma bouche, m’ordonnant de lui lécher l’anus. Je me révoltais alors, pleurant, criant et les injuriant de plus belle. Je reçus alors plusieurs coups de cravache entre les cuisses jusqu’à ce que je me calme. Ne pouvant me défendre, j’obtempérais à leurs ordres. J’avançais donc ma langue dans le sillon fessier de mon mari, le léchant comme il le désirait. Il fallut également que je lui enfonce la langue dans l’anus, le plus loin possible. Pendant ce temps, il jouait avec mes seins, étirant les bouts et les faisant rouler entre ses doigts. Il me faisait mal mais je ne pouvais même pas me plaindre. Laissant ensuite la place à ses amis, ils s’installèrent à leur tour. Je savais que ce traitement allait les exciter à nouveau et que j’allais en être une fois de plus leur défouloir et ça me désespérait.

Ils me détachèrent effectivement pour passer à la suite. Mon mari se coucha par terre et je dus m’étendre sur lui, enfoncée sur son sexe. Romuald présenta le sien entre mes fesses et me pénétra de toute sa longueur. Armand s’installa près de ma tête pour enfoncer sa bitte entre mes lèvres. J’étais pénétrée de toute part et lorsqu’ils se mirent en mouvement, chacun à son rythme, je crus défaillir. J’avais mal, de cette pénétration, mais aussi des autres subies depuis des heures. J’étais irritée et chaque va-et-vient me faisait souffrir davantage. Je m’étouffais également sur le sexe d’Armand qui entrait loin dans ma gorge et il ne me tardait qu’une seule chose, c’était qu’ils se vident le plus rapidement possible. Ils prirent encore leur temps et une quinzaine de minutes plus tard, ils déchargèrent dans tous mes trous. J’étais épuisée et demeurais inerte.

Estimant que c’était suffisant pour aujourd’hui, ils me laissèrent tranquille le reste de la soirée. J’allais me coucher après une bonne douche, craignant que mon mari ne me rejoigne trop tôt et exige à nouveau mes faveurs. Je m’endormis aussitôt.

Je fus réveillée en pleine nuit. Mon mari et ses amis étaient encore là, ils avaient bu et semblaient encore plus énervés qu’avant.

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