On dit de moi que je suis une jolie brune aux yeux verts. À 43 ans, s’il y a un truc qui me fait vibrer, c’est bien le sexe. J’habite Bruxelles, dans un immeuble bourgeois où tous les voisins s’apprécient. Aussi, quand Charles, mon voisin de palier, un vieux beau toujours pressé, m’a demandé de relever son courrier pendant ses vacances, j’ai accepté. Un matin, une dizaine de jours après son départ, j’ai entendu du bruit chez lui. Pensant qu’il était rentré, j’ai sonné à sa porte pour lui apporter son courrier. Et là, surprise, je suis tombée sur un type d’une vingtaine d’années, un grand blond aux muscles saillants, quasiment nu, si ce n’était un slip qui laissait deviner des formes pour le moins avantageuses. Je ne me suis pas démontée. Lui non plus d’ailleurs. Très naturellement, désarmant même, il m’a invitée à boire un café.
J’étais vêtue d’une minijupe et d’un body noir qui moulait mes seins ronds et pointus dont je ne suis pas peu fière. Je me suis installée dans le canapé, sans serrer mes cuisses comme j’aurais dû le faire, car ce bel éphèbe m’excitait. J’avais un mal fou à me contenir. Il est revenu avec des tasses et s’est assis près de moi. Tout en me parlant, il me scrutait sous toutes les coutures, s’attardant sur mes cuisses. Moi, je bombais les seins pour l’inciter à continuer. Mon regard lubrique s’est posé sur ses parties intimes et, voyant qu’il y avait du mouvement là-dessous, j’ai avancé ma main et j’ai malaxé son paquet. Ça a eu tout de suite l’air de lui plaire. Pas de chichis, on en avait envie tous les deux. J’ai baissé son slip, c’était beau, ça donnait faim. Son odeur était forte, ça m’a mise dans tous mes états. Il s’est laissé faire puis s’est levé, a retiré son slip et s’est agenouillé devant ma chatte. Il a ôté ma culotte, écarté mes jambes, regardé mon petit minou épilé et s’est mis à le laper: il me mangeait littéralement le sexe. J’avais la sensation d’être tout entière dans sa bouche: c’était un as du cunni ! Il s’est attardé sur mon dito qui a grossi et durci ! J’étais trempée le long des cuisses. Quand j’ai joui — parce qu’il est allé jusqu’au bout —, des vagues de plaisir, chaudes et enveloppantes, m’ont submergée. J’étais au sommet de l’une d’elles quand il a enfonce d’un coup son membre en moi.
Je sentais son bassin contre mon ventre, sa sueur de jeune mâle perler sur mes seins. Sa queue se collait tout au fond en donnant de petits à-coups puis glissait en arrière jusqu’à ce que seul le bout de son gland reste en moi. C’était bon. J’ai promené un doigt derrière, le long de sa raie, puis je suis remontée jusqu’où il faut. Ça m’a donné des idées. Un désir violent m’a saisie d’avoir sa bite au fond de mon cul. Je lui ai pris les cheveux, les lui ai tirés en arrière en le fusillant du regard pour qu’il arrête. Et là, je lui ai intimé: « Encule-moi fort! » Il ne s’est pas fait prier: U a entré son gland tout doucement pour me desserrer, après m’avoir bien léché l’oeillet. Et, petit à petit, il a pris possession de mon cul. Quand il a envahi le fond, il a accéléré avec des coups de bite hallucinants. J’avais la sensation qu’elle allait ressortir par ma bouche. Je me touchais le sexe en même temps et je lui criais d’aller plus vite, de me défoncer l’anus. J’utilisais des mots crus, violents, ça augmentait mon plaisir. Un instant, j’ai eu l’impression que mon cerveau allait exploser, tout mon corps s’est tendu comme jamais et j’ai joui longtemps, violemment. Je lui ai dit de tout lâcher. Il m’a mis encore quelques bons coups de boutoir, et j’ai senti son sperme remplir mon boyau: j’étais pleine et en même temps vidée, en total lâcher prise, c’était sublime.
Je ne lui ai même pas demandé son nom, je suis partie avec un sourire en coin, rassasiée. le suppose que ça fait de moi une femme « cougar », comme vous dites.
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