Notre couple se portait à merveille, et bien que sur certains points ma femme et moi n’étions pas toujours du même avis, notre vie sexuelle était en symbiose.
Ma femme était devenue plus entreprenante, et moi depuis qu’elle m’avait fait lui exposer ma féminité, me montrait plus réceptif et obéissant à ses désirs, toujours dans un plaisir réciproque.
Nous faisions l’amour régulièrement et j’éprouvais toujours autant de plaisir à la reluquer, mon regard souvent perdu au creux de sa poitrine ou matant obstinément le galbe de ses cuisses. Je ne pouvais résister à l’envie de poser mes mains sur ses seins, jouer quelque peu avec ses tétons, les prendre à pleine bouche ou les mordiller en sentant son souffle se faire plus rapide, plus intensif.
J’étais obstiné par sa petite chatte toujours épilée avec soin et ne me lassais pas de la caresser, jouer avec son clito, la pénétrer de plusieurs doigts pour rapidement sentir puis goutter sa cyprine s’échapper de son mont de vénus.
Il était devenu courant durant cet acte que ma femme, d’une main ferme plaque fortement mon visage contre sa chatte trempée et de l’autre, me caresse et me fesse jusqu’à ce que sans ménagement, elle présente son index à hauteur de ma rondelle, sur lequel je venais m’épaler en quelques coups de reins. Elle aimait que je prenne ce plaisir, remarquant au fil de nos ébats que cela me procurait des sensations enivrantes et m’encourageait par des mots d’amour :
– Lèche-moi encore, mange-moi la chatte, bouffe-moi et viens que je prenne
hummmm , j’adore te défoncer, et entendre tes gémissements de plaisir.
Mon corps se cambrait et mon petit trou aspirait les doigts qu’elle y présentait. Je faisais moi-même monter puis descendre mes hanches tout en bouffant le minou de ma femme. Elle ne se trompait pas. J’exaltait d’écarter les cuisses et sentir mon anus s’humidifier, s’ouvrir prêt à accueillir d’autres formes tout en laissant échapper volontairement de petits halètements aiguës.
– Ohh ouii, tu aimes çà mon chéri quand je prends ton petit cul. Tu mouilles et tu gémis comme une femme.
Bientôt il te faudra autre chose que mes doigts pour contenter ton appétit
Elle semblait toujours envoûtée par les courbes de mes fesses, et glissait parfois sans délicatesse sa main sous mon caleçon pour m’introduire un doigt au plus profond de mon rectum. Sous la force de son geste il n’était pas rare que je me retrouve les avants bras posés sur une table à repasser ou sur l’atelier de cuisine, cambré, les fesses en évidence en train de me faire mettre, et entendre à l’oreille.
– Ton petit cul m’a manqué, il m’appartient et j’adore en prendre soin…
– Hummmm à moi aussi tes mains m’ont manqué, j’aime les sentir sur moi et j’aime quand tu me prends sauvagement.…
– Alors laisse toi faire et prend du plaisir. Il est toujours bon à prendre tant qu’il ne nuit à personne. Ne ré-freine ni tes ardeurs ni tes sentiments et laisse-toi guider.
– Ouiii ma chérie, tu me fais un bien fou. Je me sens doute chaude et super excitée
Le visage de mon épouse rayonnait d’un sourire grivois. Elle prenait du plaisir à m’entendre me conjuguer au féminin, et comprenait par l’exaltation de mon corps sous ses mains et mes manières, que de nouveaux désirs m’envahissaient.
Mes envies de porter de la lingerie fine s’amplifiait et ma silhouette svelte doublée d’une taille fine s’y prêtait aisément. Il n’était pas rare qu’en toute discrétion, j’enfile une petite culotte, un long tee shirt ou l’une des courtes jupes, empruntées à ma femme pour m’astreindre à des tâches ménagères.
Sentir mes fesses nues, caressées par le simple tissu de ses tenues et mes cuisses à l’air stimulait mon indécence et embrasait mes zones érogènes.
Mon labeur devenait plaisir. Je passais sensuellement une main sous ma petite jupe, longeais mon entre cuisse, soupesais mes bourses et caressais au-dessus de la dentelle ma verge déjà raide pour jouer avec son gland. Ma main se baladait lentement, épousant avec fermeté les formes de mes fesses en exerçant de temps à autre un mouvement ondulatoire, accentuant le creux de mes reins et révélant un peu plus mon postérieur féminin.
Au grès de mes caresses je me trouvais séduisante et savoir mon petit cul si légèrement couvert développait mon excitation. Je ponctuais alors mes besognes d’instants de détente, et m’asseyant dans le canapé j’éprouvais un plaisir obscène à croiser puis décroiser érotiquement mes jambes.
Une main vagabonde effleurait ma jupette, courant à l’intérieur de mes cuisses nues, que j’écartais sensuellement pour exhiber la délicate toison de mon minou. Mes doigts effleuraient ma petite culotte que ma chatte humidifiait au rythme de mes gestes. Une chaleur exaltante gagnait le bas de mon dos, m’encourageant à resserrer, puis écarter de nouveaux mes cuisses, sur lesquelles ma petite jupe ne cessait de remonter.
Mes petites fesses se trémoussaient sur le bord du canapé. Je sentais mon anus se dilater quand mes doigts effleuraient ma fente et s’y introduisaient vigoureusement pendant que mes paroles m’encourageaient :
– Ouiii, écarte tes cuisses, encore et montre ton petit minou
– Tu aimes ça petite cochonne t’exhiber et te caresser devant tout le monde
– Prends-toi… J’adore quand tu te pénètres, une vraie petite salope qui aimerait se faire baiser
– Ohh mais tu aimes ça, ton trou est grand ouvert et tu mouilles abondamment
– Ecarte encore tes cuisses et pénètre toi plus à fond, que tu sois prête à accueillir de belles queues bien raides qui vont à leur tour défoncer ta jolie rondelle
à suivre …
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