Après son départ, je me décidais à aller prendre une douche, puis je mangeai en vitesse et me connecta sur le net pour voir si j’avais d’éventuels nouveaux clients. Effectivement, j’avais d’autres demandes. Cette première expérience ne m’ayant pas dégoûtée, même si j’avais honte, je me décidai d’accepter d’autres rendez-vous. J’en pris un pour le lendemain soir, et un autre le surlendemain.
Le lendemain soir, même plan d’action. Je donnais rendez-vous au bar du quartier puis faisais monter le client jusque chez moi. Ce client avait la cinquantaine, un peu bedonnant, il donnait l’image du type marié pas habitué à ça. Arrivés chez moi, je le fis asseoir sur le clic-clac et lui mis la capote. Je commençais mon ouvrage, il avait l’air d’apprécier ça. Puis il commença à prendre du poil de la bête, me pris la tête pour donner la cadence. Il commença à me parlait en termes crus : « vas-y salope » « espèce de chienne t’aimes les bites »… J’aimais pas ça mais au fond de moi je me disais que c’était l’image que je donnais, après tout ne suis-je pas la fille qui suce pour 50 balles. J’espérais qu’il allait vite venir mais non ça durer et ça durer. Enfin au bout de longues minutes il jouissait ce gros c.. . Je me retirais tout de suite mais lui il restait là peinard, la bite sortie, assis sur mon clic-clac. Il me dit d’un air supérieur mais lubrique « tu m’enlèves la capote et tu me ranges tout dans mon pantalon ! ». Et moi petite idiote je lui obéis. Je lui enlève sa capote mais je m’en fout plein les mains de son sperme. Voyant mon air dégoûté, il me dit « ça te reboutait moins quand tu l’avais dans ma bouche » et il rajouta « magne-toi salope j’ai pas que ça à faire ». Je finis de le préparer et lui me file mon fric et il se barre sans rien dire d’autres. Moi, je suis dégoûtée, j’ai du sperme plein les mains, j’ai juste envie de vomir et je vois qu’il a même foutu du sperme sur la housse du clic-clac. Je me lave les mains et je nettoie la housse. Ce soir j’ai juste envie de me coucher et je pleure…
Le lendemain, je fais mes comptes, il me faut encore 200€. A contrecœur, je vais devoir prendre d’autres clients. Je me connecte et prends 2 rendez-vous pour le samedi dont mon tout premier client, visiblement il avait apprécié. Mon rendez-vous de la soirée me prévient qu’il ne peut se déplacer mais il me dit qu’un taxi viendra me prendre en m’amènera à lui pour 18h. Il me dit que si j’accepte, il paye le double. J’hésite, je regarde l’adresse et ça me donne les bureaux d’une entreprise dont le big boss ressemble à mon client.
Finalement, j’accepte. Je me suis dis qu’il fallait que je m’habille assez sexy et je me décidais à mettre une jupe sexy courte mais hyper classe avec un haut assorti mais terriblement décolleté. Dessus, je me mis en sous-vêtements sexy, porte-jarretelles noir avec un petit string en dentelle et un soutif pigeonnant en dentelle ainsi que évidemment des bas noirs, ensemble que m’avait offert ma meilleure copine pour mes 18 ans, Emilie. A 17h30, un taxi vient effectivement me chercher devant le bar, mon lieu de rendez-vous. Il me conduit jusqu’à ces fameux bureaux. Arrivé devant ce lieu, j’ai un doute, dois-je y aller ? J’y vais ma décision est prise. Je me dirige vers la secrétaire de l’accueil et m’annonce comme le rendez-vous du patron, M. R. Celle-ci m’indique le chemin jusqu’au bureau. J’entre dans le bureau et j’y trouve mon client. C’est un type d’environ 45 ans, plutôt pas mal. En moi-même, je me demande pourquoi il a besoin de moi, il pourrait se faire plein de fille avec le charme qu’il dégage, moi-même je dois avouer que j’y suis pas insensible. Il me fit asseoir sur le fauteuil en face de lui.
Il me propose un verre que je refuse. Puis il me dit « Venant en au fait, voilà je suis directeur de cette entreprise. J’ai des clients importants qui viennent régulièrement et j’ai besoin, disons, d’une hôtesse. Je ne veux pas d’une fille qui couche, et je vous ai contactée pour devenir cette hôtesse. Vous êtes belle, jeune, pleine de charme, vous allez leur plaire. Bien entendu, si je vous ai contacté c’est que je pense que quelques gâteries ne pourra leur faire que du bien, mais je ne veux pas que vous couchiez avec eux même s’ils vous le demandent, les règles seront claires pour eux et pour vous. Disons que ça leur servira de test pour voir s’ils sont dignes de travailler avec ma société. Je suis prêt à mettre le prix pour vous, je suis sûre que vous ferez parfaitement l’affaire, si je peux m’exprimer ainsi. Disons que je vous paye 50€ par heure pour leur tenir compagnie, en contrepartie je veux la priorité sur vos clients, sur vos études, sur vos loisirs, sur vos week-end, sur votre amoureux, je vous avoir sous la main quand j’ai besoin de vous ! ». Il ne m’a pas fallu longtemps pour accepter cette proposition qui est plus qu’intéressante pour moi. Elle m’apporte une certaine sécurité vis-à-vis de mes potentiels clients mais j’ai peur qu’en contrepartie on m’en demande toujours plus. Mais j’accepte.
Bien entendu, mon nouveau patron me demanda de m’essayer. Je voulais pas rater cette occasion et j’acceptais. Il me demanda de me déshabiller et j’enlevai mon haut et ma jupe et me retrouvai en sous-vêtements, porte-jarretelles et bas. Je vis tout de suite une bosse se former au niveau du bas-ventre de mon client. Je lui déboutonnais son pantalon et sortis son sexe de son boxer. Il avait un sexe d’une taille impressionnante, environ 30 cm et d’un diamètre important. Je commençais à le branler et ma main ne parvenait pas à en faire le tour entre mon pouce et mon index. Je lui demandais s’il avait une capote parce que j’avais oubliée les miennes. Il me répondit que non, qu’il pensait que j’en avais. Il me dis c’était pas grave, que je pouvais continuer à moins que ça me dérange. Je me disais que ça valait le coup de le sucer sans protection au vue de la carotte qu’il y avait au bout alors je lui demandais qu’il n’éjacule pas dans ma bouche. Il me dit OK mais j’aimerais le faire sur ton visage. Je me disais que ça valait le coup et j’acquiesçais. Je me mis à l’ouvrage et commença à passer ma langue sur son gland puis je descendais doucement vers ses couilles que j’avalais littéralement. Au bout d’un moment, j’avalais son sexe qui prit toute ma bouche. J’ai sucé quand même quelques sexes avant, mais jamais d’aussi gros, le sien était long et gros, j’en avais du mal à respirer. Il enfonça son sexe jusqu’au fond de ma bouche. Moi je me recentrais sur son gland mais j’essayais de ne pas prendre son sexe totalement dans ma bouche mais finalement je me laissai guider par lui. C’est lui qui menait le jeu maintenant, je devenais simplement un objet. Cette situation finie même par me plaire, j’imaginais la scène, moi à genoux en lingerie fine en dentelle noire aux pieds d’un homme avec un sexe aux dimensions extraordinaires et rien que d’imaginer ça, je commençais à mouiller et j’avais envie de me caresser, de me masturber, même de me faire prendre par cet homme, de le sentir en moi. Je continuais la fellation pendant une dizaine de minutes puis il m’annonça qu’il allait venir. Il se retira de ma bouche et se branla au-dessus de mon visage et éjacula. Je sentis plusieurs jets de sa semence sur mon visage et qui ont finit par s’écouler sur ma poitrine, tachant mon soutif et même sur mes hanches et mon string. Il prit un mouchoir dans son bureau et commença à me nettoyer son sperme sur mon corps. Je me laissais faire et rien que de le sentir m’essuyer, je mouillais et il arriva jusqu’à mon string où il s’aperçut de mon humidité. Il eut un sourire et fini de nettoyer. Il m’aida à m’habiller puis il revient à des choses plus sérieuses et contractuelles. Il me dit que j’avais passé avec succès l’examen d’entrée de sa société et il me fit signer un contrat d’hôtesse d’accueil, ma fonction officielle pour expliquer les sorties d’argent pour mes activités, précisa-t-il. Il pris mon numéro de téléphone et je pris son numéro de téléphone de travail puis il me paya, le double habituel comme prévu puis il rajouta une enveloppe comme avance pour mes futurs frais, en précisant que je devais toujours être bien habillée. Sur ce, il me raccompagna jusqu’à la porte de son bureau après avoir demandé un taxi et me laissa partir en me disant que j’aurai bientôt de ses nouvelles.
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