Il ne descendit les escaliers avec détermination. 12h25, il ne voulait pas la faire attendre. Le soleil etait doux par cette journée d’automne. Il s’était préparé le matin avec soin : barbe rafraîchie, rasage des parties intimes, belle chemise, chaussures de ville, mains entretenues, parfum délicatement diffusé. Cette préparation minutieuse corporelle était autant pour lui que pour elle. Ca lui donnait un forme d’assurance dans son apparence et il ne devait pas manquer car le temps était compté, la première impression était primordiale. Il avait quelques secondes devant lui : il se posa au soleil à un endroit qui lui permettait d’avoir une vue d’ensemble de l’endroit. Il ne savait pas ou elle arriverait. Il voulait profiter du moindre des moments ou il la verrait. Il fit quelques respirations pour faire tomber un peu la pression. Il était très excité. Depuis le matin, ils s’étaient cherché par texto. A plusieurs reprise il avait eu des érections devant le coté indescent des messages. Le dernier datant de 12h15. « Je pars du boulot, j’ai oublié ou se trouve ma culotte, oups ! J’ai hâte ». Soudain il la vit arriver sur ses escarpins qui galbait son mollet et lui faisait tanguer des hanches, dans un tailleur bleu foncé un peu strict du à son métier. Sa silhouette ondulante faisait déjà l’amour à l’air qui l’entourait tellement elle était sensuelles. Elle s’approchait d’un pas sur vers lui.
– « Bonjour » lui dit elle avec un large sourire. Sa large bouche était mis en valeur par son rouge à lèvre.
– Bonjour . Pendant une demi seconde il ne su que faire… la bise, un baiser passionné, lui serrer la main… Il avait partagé des textos enflammés mais leur corps ne s’étaient pas encore parlés. il décida de juste l’inviter à le suivre et se mit en direction de l’entrée de l’immeuble. Il passa son bagde et la porte s’ouvrit. Tourna gauche, entra dans l’ascenseur et poussa le bouton 8. Elle entra derrière lui. Il sentait chez elle aussi un mélange d’excitation et d’inquiétude. La porte de se referma. Ils croisèrent leur regard. 1 seconde, il se sourièrent 2 secondes, il la plaqua contre la porte, 3 secondes, il colla ses lèvres et son bassin contre elle. La tête de Maryline tapa légèrement contre la paroi métallique. Sans ménagement il inséra sa langue dans sa bouche. 30 secondes plus tard alors qu’ils étaient encore collé, une voix robotique les rappela à la réalité : « 8eme étage ». Juste le temps de s’écarter l’un de l’autre la porte s’ouvrit : 2 collègues attendaient pour descendre. Elle le suivit dans un long couloir. Tout deux avaient le cœur battant. A chaque pas il se demandait si personne ne remarquerai son érection au travers son pantalon ajusté. Il sorti les clefs, ouvrit la porte et la referma juste après elle sans regarder autour de lui. De la même manière qu’il l’avait embrasser dans l’ascenseur il voulait lui montre toute sa fougue et sa vigueur. Il passa sa main entre le cuisse de Maryline remontant le long de ses bas jusqu’à son sexe. Il était chaud, humide et très doux. Il enserra entièrement son sexe de se main ferme comme pour le posséder l’espace d’un seconde. Il passait ses doigts le long de ses lèvres gonflées. Sa peau fraîchement épilée était si douce si accueillante. Il ne résista pas à inséra 2 doigts qui n’eurent pas aucun mal à rentrer. Il était temps d’honorer ce qui avait été convenu. Dans un mouvement accordé il tira légèrement sur son bras pour la décoller du mur et elle poursuivi le geste jusqu’au bureau tout proche se mettant dos à lui . Elle souleva sa robe jusqu’à la taille découvrant découvrant de magnifique hanche et des fesses rondes. Il mit la main se poche, en ressorti une capote qu’il enfila en même temps qu’elle écartait les jambes et s’offrait à lui. Il ne prit aucune précaution et s’introduit rapidement en elle.
1 respiration, . Sentir pour la première fois un nouveau sexe. 2eme respiration : Proposer tout son désir dans son érection. 3e respiration : Remplir entièrement de sa puissance cet antre humide. 4e respiration ! Goûter avec plaisir le cadeau qui lui était fait.
Il entamât des mouvements de va et vient. Il l’entendit râler quasi instantanément. Elle tentait bien que mal de retenir les sons mais un douce musique s’installât dans le bureau. De plus en plus rapproché les soupirs se faisaient profonds. La tempo devenait de plus en plus rapide. On entendait les peaux s’entrechoquer. Les fesses de Maryline ondulaient sous les coups. Au bout de quelques minutes il la vit serrer les points et son sexe se contracter violemment. Il jouit immédiatement de cette stimulation visuelle et sensitive. Elle relâchât son corps s’affalant sur le bureau. Elle reprenait peut à peut sa respiration. Il se retira les jambes flageolantes. Retira sa capote et remonta son calecon et son patalon. Elle etait encore ecroulée sur la bureau completement offerte à sa vue. Il pris le temps de la regarder, de se dire a quel point il était chanceux d’avoir pu vivre cette expérience. Elle se releva et ajusta sa robe. L’air encore un peu sonnée elle vint se coller à la lui :
– « C’etait super ! J’ai beaucoup appréciée ». Elle le regarda droit dans les yeux et lui fit un petit sourrire.
– « Au revoir » dit -elle . La porte se refermait déjà . Il était 13h20. Il fallait reprendre le travail.
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