Mon fils de 18 ans, tombé malade, voulut malgré tout perdre le moins de temps possible, me demanda si je pouvais contacter quelques uns de ses copains pour récupérer les quelques uns de ses cours les plus importants. Il me donna les coordonnées des Salon de thé où ils avaient leurs habitudes.
Je me préparais donc, me pomponnais et m’habillais de façon à ce que mon fils n’ait pas honte de sa mère devant ses copains. La quarantaine éclatante, brune aux cheveux courts, je m’admirais devant la glace de ma chambre : des seins en pomme, bien fermes, des hanches étroites mais au galbe marqué, de très jolies fesses bien fendues sous une cambrure de reins très prononcée, que la pratique du sport maintenaient au top de leur forme. Mmmmm ! Je me plaisais bien ma foi ! A mon mari aussi qui me le prouvait encore très souvent !
Je retrouvais donc ses copains au deuxième Salon de théque je fis. Un petit groupe de cinq, trois garçons et deux filles. Je me présentais et sympas, ils m’offrirent un café. Les banalités d’usage échangées, je leur expliquais la raison de ma présence. Un des trois garçons se proposa aussitôt de me procurer les cours manquants. Il s’appelait Omar, beau garçon blond aux cheveux mi-longs et bouclés, des yeux malicieux d’un très joli vert, 18 ans comme mon fils, bâti en athlète. Seulement, n’ayant pas les cours sur lui, il me proposa de venir chez lui les récupérer, sous l’œil envieux de ses deux copains qui n’avaient pas arrêté de mater mes formes d’un air gourmand et appréciateur.
Je pris donc congé, et accompagnais Omarvers la sortie. Sa démarche féline, ses fesses fermes dans son jean, ses épaules larges, commençaient à m’émouvoir.
Arrivés chez lui, il me proposa de prendre un autre café. J’acceptais avec plaisir ce moment supplémentaire que j’allais passer en sa présence. Pendant qu’il s’affairait, je laissais errer mon regarde sur ce logement : quelques poufs profonds et moelleux, une moquette beige à poils longs, un lit large et confortable, et à côté, un grand miroir accroché au mur, une mini chaîne musicale. C’est d’ailleurs vers cette dernière que se dirigea Omar après avoir posé nos cafés sur une petite table basse.
Une musique douce et un peu lancinante s’éleva dans la pièce, et il vint s’installer tout à côté de moi. Je me mis à frissonner quand sa peau toucha la mienne, par inadvertance?
Il me décrivait sa vie d’étudiant avec beaucoup d’humour, avec toujours cet air malicieux dans ses magnifiques yeux verts qui commençaient à m’émouvoir.
Pas de doutes ce jeune garçon me faisait beaucoup d’effet, et ma chair commençait à s’émouvoir, ma chatte se liquéfiait.
Un silence se fit, il me regarda droit dans les yeux, il passa son bras sur mes épaules, et il attira mon visage vers le sien. Sa bouche s’empara de la mienne, sa langue alla chercher la mienne. Je m’abandonnais complètement à ce baiser profond. Il m’étendit doucement sur la moquette et m’y suivit:
– Que tu es belle! Quand tu es arrivée dans le bar et que tu es venue vers nous, j’ai eu immédiatement envie de toi, de te caresser, de t’embrasser, de te baiser. Tu avais un port et une démarche de reine ! Qui pouvait te résister ?
Ses quelques mots, chuchotés d’une belle voix de basse, me chamboulèrent : j’avais la chair de poule, des tremblements légers me secouèrent, et entre mes cuisses je sentais ma chatte tremper ma petite culotte.
Il reprit mes lèvres pour m’embrasser goulument. Ses mains partirent à la découverte de mon corps. Il empauma mes seins dans une caresse lente mais curieuse d’en apprécier la rondeur et la fermeté. Sous l’assaut, mes seins durcirent, mes tétons doublèrent de volume, et firent mine de vouloir percer mon débardeur. Sa main passa dessous, et ne trouvant pas de soutien-gorge, s’emballa sur mes deux seins, triturant et pinçant les tétons. Un petit cri de jouissance m’échappa.
Il prit ma main et la posa sur son sexe. Bon sang, je faillis jouir sur le coup lorsque je sentis sous mes doigts une énorme barre bien gonflée, longue au point de vouloir sortir du jean. Ma main s’affola sur cette queue magnifique, faisant quelques va et vient. Je défis les boutons du jean, l’ouvris et dégageais une pine qui me parut énorme, en tout cas, bien plus grosse et longue que celle de mon mari.
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