Estelle se réveille de bonne humeur et en pleine forme. Le dimanche s’annonce beau, et ensoleillée. Elle glisse un cd de musique entraînante dans son lecteur, et se prépare un bon petit déjeuner.
La confiture lui donne envie de manger des fraises. Alors, elle décide de se rendre au marché.
Elle saute sous la douche. L’eau fraîche sur son corps réveille ses sens. La mousse du gel douche lui procure de douces sensations. Elle aime sentir sa main glissée sur sa peau, sur ses seins, réveillant deux pointes roses qui sous l’action du massage gonflent et se dressent. Descendre doucement, masser son ventre et s’attarder sur sa vulve bien épilée. Faire dresser son clito, mais pas trop, juste pour garder au ventre une indéfinissable envie de plaisirs amoureux.
Elle s’essuie rapidement, se coiffe, admire son image dans le grand miroir et se maquille légèrement, juste pour souligner son regard et donner de l’éclat à ses lèvres.
Dans l’armoire, les vêtements d’hiver sont encore très présents.
Elle fait la moue, ouvre des portes, des tiroirs, fouille et finie par retomber sur une petite robe printanière fleurie, qu’elle n’avait pratiquement jamais portée. Bien que très légèrement transparente, elle décide de la porter sans rien d’autre, se disant que les petites fleurs imprimées cacheront bien suffisamment sa nudité.
Estelle se sent jolie et elle aime sortir parfois sans dessous, prête à sortir avec sa petite robe qui laisse apercevoir le V entre ses seins. Elle att**** son sac de toile, son porte-monnaie et la voilà toute pimpante qui s’en va au marché, le cœur léger.
En chemin, elle rencontre un voisin, qui la salue et la complimente pour sa beauté radieuse. Un sacré dragueur son petit voisin, qui sans gènes aucune admire les deux jambes d’Estelle qui se découvrent à chaque pas et se retourne pour admirer son joli petit cul. Elle s’en doute, mais elle s’en moque.
Elle aime le marché, le bruit, les couleurs, les odeurs, la foule. Elle aime sentir les hommes la frôler plus ou moins exprès. Parfois même, elle sent des effleurements passer sur ses fesses, ses cuisses. Mais elle ne dit rien, jamais, heureuse de donner un peu de bonheur.
Elle se penche aux étales, laissant aux vendeurs une vue imprenable sur sa belle poitrine. Ça lui vaut quelques ristournes parfois et des tas de clin d’œil malicieux.
La voilà dans le secteur de la friperie. Elle aime ça, toucher les vêtements, fouiller, essayer. Elle remarque une robe de printemps, blanche, idéale pour revenir de la plage quand on a fini de se baigner, ce serait parfait pour ses vacances cet été.
Ce sont deux hommes typés qui tiennent le stand, apparemment ils sont frères. Elle s’adresse à celui qui est près de la camionnette et lui demande s’il y a moyen d’essayer.
L’homme est plutôt âgé et n’est pas très beau, il a plus l’allure d’un boucher que de celui d’un vendeur de vêtement, mais elle le trouve viril et quand même assez attirant.
Il l’invite à monter à l’arrière du véhicule, ou une cabine d’essayage modeste est installée, il l’aide à grimper en tirant le rideau après elle et la laisse.
C’est alors qu’Estelle réalise qu’il va lui falloir se mettre nue pour essayer. Bien que seule, elle rougie un peu de cette situation, mais au fond d’elle-même, elle adore.
Elle déboutonne sa robe et la laisse glissée à terre.
Etre nue, dans ce camion, l’excite beaucoup. Elle imagine le rideau s’ouvrir et son corps exposé à la vue de tous. Ça lui donne des frissons.
Elle enfile la robe blanche et se regarde dans un miroir cassé, installé sur deux chaises. Elle caresse le tissu, suivant les courbes douces de son anatomie. La robe ne cache rien et on peut voir jusqu’au grain de beauté qu’elle a sur le sein gauche.
Le rideau bouge un peu et elle entend le vendeur revenir et lui demander si tout va bien. Elle entrouvre le rideau, et lui demande :
« Vous l’avez en noir ? »
Le vendeur n’en croit pas ses yeux. Subjugué par la beauté d’Estelle, il bafouille un peu.
« Si,… je crois vous permettez,… il faut que je regarde dans ces cartons »
Il indique à Estelle des cartons entreposés derrière le miroir.
Elle écarte un peu plus le rideau pour le laisser monter.
Le pauvre homme est tellement en panique, qu’il grimpe et referme aussitôt le rideau, s’excusant auprès d’Estelle, du regard des gens. Elle lui sourit gentiment lui murmurant qu’elle comprenait très bien.
Le vendeur plonge la tête dans ses cartons. La belle, amusée par sa gène, retire la robe et la pose sur la chaise. Elle se penche derrière le miroir et dit :
« Vous trouvez ? »
L’homme se relève avec le vêtement noir. La voyant entièrement dénudée, il rougit un peu. Elle fait un pas vers lui, passe ses bras autour de son cou et se frotte doucement en bougeant le bassin. Instantanément elle sent une grosse bosse se former entre les jambes du vilain vendeur, qui s’agrippe déjà aux hanches de la belle pour mieux l’attirer à lui.
« Il faut que je prévienne mon frère. »
Il lance une phrase à l’attention de l’autre vendeur. Mais celui-ci entend mal et passe la tête sous le rideau, sûrement pour demander ce qu’il se passait.
Il les voit enlacer, dit quelque chose et s’en va.
« Il est pas content, il y a du monde dehors. Il m’a dit que ce n’était pas le moment. »
« Vous voulez partir ? » Lui dit-elle avec un grand sourire et en descendant la main vers le renflement dans le pantalon.
Il ne répond pas et laisse faire la belle. Elle déboutonne sa braguette et sort un engin d’une taille impressionnante. Elle le masturbe un peu et impatiente, se caresse la chatte avec le gland énorme. Puis elle s’accroupit, et commence à sucer le bel étalon, faisant glisser sa langue le long du membre, jusqu’à deux magnifiques bourses et remonte pour tenter d’engloutir le pénis tout entier.
Elle le suce avec délectation car l’odeur de son sexe l’excite encore plus, puis elle se relève et il l’invite à se retourner et à s’appuyer sur un gros carton.
Elle sent le gland se poser sur sa chatte trempée. Il monte et descend le long des grandes lèvres humides, qui s’ouvrent comme une fleur au soleil.
Doucement le membre s’enfonce en elle puis ressort trempé de mouille et disparaît de nouveau, encore et encore.
Elle se pince les lèvres pour ne pas gémir. Elle sent la camionnette bouger et se dit que de l’extérieur ça doit paraître louche.
Ça l’est sûrement, car le frangin hurle maintenant derrière le rideau. Une dernière grosse secousse vient ébranler le véhicule et un jet de foutre bouillant se répand en elle.
Quand l’homme se retire de son puits d’amour, elle s’agenouille afin de bien nettoyer de sa bouche l’objet de son plaisir.
Puis l’homme s’excuse, timidement, et redescend discrètement en prenant bien garde de ne pas trop ouvrir le rideau.
Elle l’entend, dehors, se disputer avec son frère.
Elle remet sa jolie petite robe paysanne et sort, la robe blanche à la main. Les joues rouges, elle dit à son amant de passage, qu’elle prend celle-ci.
Il l’att**** par le bras et l’attire à l’écart. Il glisse la robe dans le panier en osier.
« Ça, c’est cadeau. Mon frère est très en colère. Nous sommes là dimanche prochain et il aimerait bien lui aussi vous faire essayer quelque chose. »
Elle penche la tête pour apercevoir le frangin. Il les surveille de loin tout en continuant de bonimenter ses articles.
Estelle lui sourit et lui fait un signe de tête pour acquiescer.
L’homme lui renvois son sourire, un clin d’oeil et reprend sa vente, en espérant sûrement que la semaine passe vite, très vite.
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