Je n’aurais jamais dû leur céder la première fois mais il faut dire que je n’avais pas tous mes esprits.
Maintenant, je n’ose plus leur dire non de peur qu’ils ne racontent tout à Gilles.
Ce soir, Majid et Miloud viennent me chercher profitant de l’absence de mon mari retenu pour ses affaires. Mais ils m’ont affirmé que cette une soirée dont je me souviendrai longtemps.
Contrairement aux autres fois, ils veulent m’emmener dans un grand loft prêté par des amis. J’aurais préféré l’intimité de nos appartements mais qu’y faire ?
Je commence à m’inquiéter de la tournure des choses et si ça continue, malgré la honte que je vais avoir de lui avouer ma trahison envers son fils, je vais implorer son père Raymond de venir à mon secours.
C’est une vraie armoire à glace, il fait dans les 1 m90 et doit peser dans les 110 kilos. Il ne craint pas la bagarre car il y a souvent goûté quand il était videur de boîtes de nuit.
Je m’attendais à un bel appartement dans les quartiers chics mais désillusion, on se retrouve dans l’endroit le plus mal famé de la ville.
Le loft est un vieil atelier aménagé sommairement, il n’y a que 2 choses corrects dans cet appart, un énorme lit rond qui traîne au milieu de la pièce avec de nombreux fauteuils et un chauffage poussé à fond. Au moins, je n’aurai pas froid.
A peine rentré dans la pièce, Majid fait tomber au sol mon manteau, puis consciencieusement et avec lenteur fait suivre ma robe.
Je me retrouve en petite tenue devant eux et leurs mains me tripatouillent comme un morceau de viande à l’étal du boucher aux souks de Marrakech.
Majid m’att**** la main droite pour me faire jauger de l’effet produit sur sa bite, Miloud fait de même avec mon autre main.
Majid est déjà raide mais pourtant la longueur de sa queue n’est à peine plus grande que celle de Miloud qui comme à son habitude tarde à trouver son plein essor.
Je ne sais pas ce que je préfère… Avec Majid, c’est très intense mais aussi très rapide.
Miloud est beaucoup plus doux (enfin, par rapport à son comparse), mais il faut pouvoir supporter la chose monstrueuse qu’il a entre les jambes. Je ne sais pas si je suis maso ou folle pour accepter d’être prise par un tel homme ? Et pourtant….
Majid insinue ses doigts dans ma petite culotte et les glisse entre mes lèvres vaginales.
– Un petit tour de chauffe, tu vas connaître ce soir bien mieux que quelques doigts, tu vas devoir assouvir plusieurs queues en même temps !
Des boites de préservatifs jonchent une petite table basse.
– Après ce soir tu seras notre vraie esclave, une bonne salope bien soumise qui tient ses engagements.
Il continue de me doigter, il a des mouvements brusques et je lui demande de faire attention.
Ils ont sortis leurs verges et se paluchent, Majid s’exclame :
-Qu’est-ce que tu attends ?
Je les lèche un moment à tour de rôle avant de gober l’un après l’autre ces deux chibres si différents. Miloud apprécie de se faire bouffer les couilles et son gourdin atteint enfin sa plénitude mais il a un si grand engin, si lourd, que la gravité lui fait baisser la tête dès que ma main l’abandonne.
Je le branle régulièrement pour entretenir sa forme.
Il y a quand même une chose que je leur concède, tous nos rapports sont protégés et par les temps qui courent… Je vous passerai donc toutes les poses caoutchouc.
On fonctionne comme ça un moment, mais Majid, toujours aussi pressé se dessape et s’affale sur un fauteuil.
Il m’attire à lui, je prends les choses en main pour guider la queue dans ma chatte, je m’empale sur lui appréciant le vit qui investit mon vagin.
Il me suce les seins tandis que je monte et descends sur son pieu dressé.
Miloud s’est installé sur le fauteuil d’à coté après s’être dévêtu et se paluche en nous regardant, attendant son tour.
Mais il commence à s’impatienter et attire mon attention sur son obélisque qu’il astique avec sa main droite.
L’instant tant redouté est arrivé, je me désaccouple de ce chevron pour le remplacer par la poutre imposante de Miloud.
Encore heureux qu’il me laisse toujours m’échauffer sur la teub de son complice avant de m’obliger à me farcir un organe pareil !
Je contrôle néanmoins la pénétration en enserrant la base de son manche de pioche avec une main et vu la taille de l’engin je peux vous dire que c’est plus prudent.
J’accélère le rythme de ma chevauché et mes gémissements montent crescendo.
Mais Majid se sent délaissé, il se lève et se positionne derrière moi, il pose une main sur ma hanche, stoppant mes aller- retour sur le bambou de Miloud.
Il cherche la position idéale pour placer ses pieds et guide de son autre main son dard.
Je sens son gland frapper coté pile et il s’enfonce assez aisément dans le trou resté libre.
Je le sens bien dans mon anus dilaté, il reste un instant immobile avant de commencer à bouger.
Il me lime de plus en plus vite. Je peux vous dire qu’il ne faut pas être une petite nature quand deux arabes bien montés et pleins de vigueur croisent leur fleuret en vous uniquement séparés par une cloison très-très mince !
Je ne suis qu’un jouet entre leurs mains (ou plutôt leurs queues) et ne peux réagir quand 3 noirs entrent dans la pièce.
Je veux protester mais Majid me bâillonne la bouche de sa main droite :
-On t’avait promis une surprise, tu ne vas pas refuser nos cadeaux j’espère ?
Je suis tombée dans un traquenard, je descends de plus en plus bas dans la luxure et la dépravation, je sens que je vais passer à la casserole et que la nuit sera longue.
C’est décidé, demain je parlerai à Raymond, il faut que tout ça s’arrête !
Ils viennent nous encercler et défont leurs pantalons exhibant pour certains devant moi des engins de bonnes tailles, quels morceaux !
Je n’ai jamais été confronté à des pines de noirs, ça va du café au lait à un ébène très foncé.
L’un des nouveaux venus a l’air bien jeune, Majid, me voyant le regarder m’annonce :
-Il s’appelle Youssouf, il n’a jamais eu de blanche, sois gentille avec lui !
Il a un épi assez épais mais pas très long, autant commencer la dégustation par lui.
Entre temps, Majid, comme à son habitude a vite terminé sa petite affaire et s’est retiré, la capote pleine, Quand à Miloud, il continue son Marathon.
Youssouf est très nerveux, il me pelote les seins avec hésitation pendant que je suce son caramel au goût exotique tout en branlant les deux autres.
Curieusement l’un des deux derniers s’appelle Pierre et est presque aussi bien membré que Miloud, ça promet !
Le troisième larron se prénomme Ben et est « monté normal », enfin… Comme mon mari !
Ils m’obligent à prendre leur teub dans ma bouche à tour de rôle, je lèche, j’avale, je mordille, je suce suivant les calibres et la dureté du fût.
Malgré l’horreur de ma situation, je me régale, pensant à mon mari qui doit se morfondre dans une chambre d’hôtel pendant que j’ai cinq belles queues pour moi toute seule.
Ben s’est « équipé » et a pris la place de Majid et c’est reparti pour un tour de manège !
Youssouf n’a pas pu se retenir sous mes caresses buccales et a déchargé sa semence juvénile dans ma bouche, elle a un léger goût sucré mais je recrache tout.
Pierre avec son morceau de réglisse, veut sa part et remplace Ben dans mon petit trou déjà bien dilaté et je remercie en pensée le locataire précédent qui m’a préparé à l’intromission de ce défonce-cul.
Je suis doublement godée par deux énormes dards et je peux vous dire que je lâche des larmes qui ne sont pas de plaisir et que je sers les dents.
GILLES.
Miloud et Majid m’ont prévenu de ce qu’ils projetaient avec Lydia.
Je leurs ai donné mon accord à condition que je puisse jouir du spectacle. C’est bizarre comme terme mais il risque de se réaliser au propre comme au figuré.
J’ai trouvé un coin discret ou je peux mâter sans être vu.
Je croyais qu’elle allait rechigner à l’apparition des 3 nouveaux participants mais je n’en reviens pas de la vitesse à laquelle elle a accepté la chose.
Elle fait bien de temps en temps la grimace quand elle n’a pas la bouche pleine, mais son visage rayonne de plaisir. Je croyais en faire une femme aux mœurs plus libres mais je n’aurais jamais cru la voir se comporter ainsi. Ne suis-je pas allé trop loin ?
Les couilles énormes marrons et noires s’entrechoquent de chaque coté de son périnée, blanc laiteux.
Elle glisse une main et att**** les couilles de l’un puis de l’autre qu’elle pétrit avec ardeur.
Le noir fait ressortir son énorme mandrin de l’anus et tente une pénétration double dans le vagin de ma femme qui hurle.
Je suis prêt à intervenir mais il se ravise et fait replonger son organe dans le trou resté dilaté qui l’absorbe au plus profond d’elle.
Les autres ne restent pas inactifs, l’un s’affaire sur ses seins faisant rouler les bouts sous ses doigts. Je sais que ça l’excite:
-Pince-moi les bouts, j’aime ça, ça me rends folle!!!
Les deux autres larrons se masturbent frénétiquement devant le spectacle, tentant à tour de rôle de se faire sucer.
La scène dure quelques minutes avant qu’ils éjaculent les uns après les autres. Qui dans sa bouche ou sur ses seins ou son visage.
Pierre vient lui aussi de libérer le cul de Lydia, le préservatif gonflé.
Il noue l’extrémité de la capote et comme ces deux autre comparses, rentrent leur (matériel) et quittent la pièce sans chercher à en obtenir plus. Je suis pourtant sûr que Lydia n’aurait pas dit non à quelques prolongations …
J’avais presque oublié Miloud, toujours chevauché par Lydia. Il a un os entre les jambes celui-là !
Elle reprend lentement sa cavalcade sur cette poutre infatigable.
A chaque va-et-vient, un râle toujours plus sonore monte de ses lèvres, rythmant la montée se son plaisir.
Un liquide blanchâtre macule le sexe de l’arabe que le préservatif ne couvre qu’à moitié, il y a longtemps que j’avais sorti Popaul pour me masturber tellement le spectacle était trop bon. Mais je ne peux plus tenir et parts en (couilles) en quelques jets qui se répandent sur le sol.
Miloud se redresse, Lydia toujours embrochée sur son gourdin, il se désaccouple et retire son préservatif avec dextérité avant d’expulser sur ma femme une dose aussi énorme que sa verge.
Il l’a tellement maculé de son jus qu’elle va prendre une douche pour retrouver un peu de décence.
Il lui faut un bon moment avant de réapparaître, une serviette de bain autour d’elle comme si elle avait encore quelque chose à leur cacher.
Majid qui a reprit un peu de prestance coté sexe, lui caresse les seins et le cul à travers le tissu éponge.
Il la pousse sur le grand lit et remonte le bas de la serviette pour plonger la tête entre ses cuisses.
Il lui dévore la fente, son sexe a pris une couleur rouge assez prononcée suite à l’interminable limage de Miloud.
Il en rigole, le lui faisant remarquer:
-Tu l’as tellement limée que sa chatte s’est transformée en écrevisse !
Avant de plonger sa langue sur son bouton d’amour, histoire de bien la faire mouiller. Il admire un instant la vulve béante prête à l’accueillir de ma femme soumise à ses envies.
Il se redresse et présente son soc à Lydia pour qu’elle lui enfile un préservatif puis approche ce sexe très dur de sa matrice, frotte la fente avec son gland, et en une poussée continue, il s’enfonce en elle sous son regard un peu perdu.
Il la pistonne un instant avant de la retourner pour la prendre en levrette.
Elle est devenue si sensible qu’il ne lui faut peu de temps pour qu’elle reparte, lâchant des cris d’animaux.
Je bande à nouveau comme un taureau profitant à plein du spectacle.
Elle en redemande encore, j’ai fais de ma femme une accroc du sexe :
-Prends-moi comme une chienne… Oui comme çà, encore plus fort !
– Chienne de blanche, on voit bien que ton mari n’est pas à la hauteur, tu étais mal baisée mais on est en train de remédier au problème !
-Ouiii, bien à fond, crache ton jus tape bien au fond, ouiiii, encore !!!
Il ne se ménage plus, se déchaînant en elle, lui arrachant des cris de truie qu’on égorge.
Il faudra que j’ai une conversation avec lui pour ses propos, j’avais presque envie de me montrer pour lui casser la gueule.
Il ne peut plus se retenir, cet éjaculateur précoce, il se crispe en elle le plus loin qu’il peut pour se vider dans le condom.
Miloud lui aussi veut remettre le couvert, il se rapproche de Lydia et il ordonne :
-Fais-moi bander, et ne ménage pas ta peine !
Ma femme s’exécute, jouant avec cette verge qui même au repos a une grosseur fantastique, elle doit employer tout son art s’aidant de la langue et des mains.
Miloud est toujours aussi lent à bander mais petit à petit les mains de Lydia paressent ridicules sur cette tige pharaonique.
Il pose ses deux mains sur les cheveux de ma femme et introduit la colonne de chair dans sa bouche. Elle le suce sans rechigner avec des haut-le-cœur quand il va trop loin.
Des filets de bave coulent au coin de ses lèvres et pendent de son menton sur au moins 20 centimètres.
Lorsqu’il se juge au top, il la couche sur le lit, prend les jambes de Lili qu’il remonte sans ménagement contre sa poitrine et s’installe dans le compas ainsi ouvert.
Il ne prend pas de gants dirigeant son rostre vers le cul offert qu’il est le seul de la soirée à n’avoir pas visité.
Les mains sur ses cuisses, il pénètre d’un coup de reins lent et puissant l’anus si fréquenté ce soir le plus loin possible.
Les gémissements de ma femme montent dans les aigus montrant son plaisir. Il va doucement au début mais la ramone de plus en plus vite après un moment d’adaptation.
Il varie les positions passant d’un trou à l’autre ce qui déclenche un véritable délire érotique de Lydia.
Il la pistonne, c’est magnifique de la voir embrochée sur cette bite monstrueuse qui fouiller ses reins.
Et elle en redemande :
– Plus fort, fais-moi mal au cul, éclate-moi le fion, ouuuiii c’est trop bon!!!
J’entends leur souffle, il transpire sous l’effort :
-T’es trop bonne salope!!!
Elle jouit sans retenue comme une salope en chaleur sous le pilonnage de la grosse bite.
Soudain, sous l’excitation de ma femme, il accélère encore pour arriver lui aussi à sa jouissance. Quand il se retire enfin d’elle, sa capote est gonflée par l’énorme quantité de foutre qu’il vient encore de lâcher.
Je ne peux moi aussi me retenir et éjacule de long jets fins et puissants dans mon coin.
-Bon, c’est pas tout ça ! S’exclame Majid, mais on n’a pas que ça à faire, tu te resapes vite fait et on te ramène !
Elle voudrait bien aller dans la salle de bain pour se laver, usée par les assauts puissants de tous ces hommes. Mais il ne lui en laisse pas le temps.
-Allez dépêche-toi, tu feras ça chez toi et maintenant tu sais ce qui t’attends !
J’attends un moment après qu’ils soient partis et sors subrepticement moi aussi.
Que vais-je faire ? Arrêter les frais ou la laisser encore un peu en baver ?
Mais je trouve qu’elle commence vraiment à trop aimer ça.
Et si maintenant qu’elle à goûté aux grosses cylindrées, elle ne voulait plus de mon petit piston?
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