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Pas de sursis pour Christianne !

Pas de sursis pour Christianne !



Je m’appelle Christiane, 49 ans, directrice d’un lycée professionnel. Mon mari, Alain, 51 ans est PDG d’une société de BTP. Des revenus confortables. Nous habitons dans une ville huppée de la région parisienne. Couple plutôt bourgeois, nous avons une vie bien rangée, tranquille … Enfin, nous avions une vie tranquille …
Un soir où nous rentrions d’un dîner chez des amis, notre Mercedes s’est mise à caler plusieurs fois. Alain relança le démarreur à plusieurs reprises sans aucun résultat. Nous étions au milieu de nulle part à 1 heure du matin et mon portable ne captait pas. Alain n’avait pas pris le sien. Quelle poisse !
Mon mari sortit de la Mercedes et ouvrit le capot bien qu’il ne soit pas spécialement doué en mécanique, il espérait saisir ce qui se passait. Je le rejoignis.

– Alors chéri ?

– Faudrait appeler un garagiste mais le portable ne passe pas.

Je regardais autour de moi, nous étions en rase campagne, pas âme qui vive. J’aperçus soudain au loin une enseigne lumineuse. Je repris espoir. On allait sans doute pouvoir nous aider !

Nous verrouillons la voiture et commençons notre expédition dans la nuit noire nous éclairant avec mon portable. Il y a des endroits pas très accessibles et avec mes talons aiguilles j’ai du mal à avancer. Je manque de tomber une première fois, puis une seconde. Nous nous approchons et je réalise qu’il s’agit d’un bar. Une chance! Qui dit bar dit téléphone fixe, qui dit téléphone fixe dit pouvoir appeler un garagiste !
Alain pousse la porte et nous entrons. Un silence de mort nous accueille. Toutes les conversations se sont arrêtées nettes dès que nous sommes entrés. On dirait une scène d’un mauvais western … Il y a une dizaine d’hommes attablés dont les yeux se braquent automatiquement sur moi. Faut dire que pour mon âge, je suis encore une très belle femme. Blonde aux yeux bleus, je suis toujours très féminine, toujours en jupe et en talons. Je sais que certains de mes collègues au lycée ne sont pas insensibles à mon charme et mon élégance. Et certains de mes élèves aussi sûrement … Ce soir, je porte une jupe noire qui s’arrête à mi-cuisses dévoilant mes longues jambes gainées de bas noirs à couture. Ma veste de tailleur blanche que je porte à même la peau laisse entrevoir par moment mon soutien-gorge noir emprisonnant une opulente poitrine qui ne demande qu’à jaillir du décolleté.

Alain s’approche du patron derrière son comptoir. C’est un homme barbu, bedonnant, repoussant au possible qui me dégoutte immédiatement. Alain lui explique le problème et pendant ce temps j’observe l’assistance. Ce sont des hommes dans la trentaine la plupart sauf un vieux qui semble avoir dans les soixante ans qui est au fond de la salle. Il y a des maghrébins, des français et même un grand black qui me paraît impressionnant. Il est immense! Il doit bien faire dans les 1m95 voire 2 mètres!

Je sursaute en entendant le patron s’esclaffer :

– Un garagiste à cette heure ! Ça va pas être simple à trouver! Mais vous avez de la chance, éh Rachid!

Le dénommé Rachid se lève et vient vers nous.

– Il n’est pas garagiste mais je vous promets qu’il est drôlement fort en bagnole! Il va vous la réparer votre caisse, moi je vous le dis!!

Mon mari serre la main du jeune homme et il décide d’aller voir sur place ce qui ne va pas et s’il peut réparer la panne. Je fais un pas vers la porte pour les suivre quand le patron du bar m’interpelle.

– Vous n’allez pas sortir dans le froid comme ça ma p’tite dame, restez au chaud avec nous.

Alain s’approche de moi.

– Il a raison, reste ici, on n’en a sans doute pas pour très longtemps.

Et il sort me laissant seule dans ce bar sordide, pas très rassurée….

– Je vous offre un verre ma p’tite dame?

Il m’énerve à m’appeler « ma p’tite dame » celui-là … Je décline poliment en lui disant que je n’ai pas d’argent sur moi.

– Je vous l’offre, me dit-il en me faisant un clin d’œil. Pas vrai les gars, lance-t-il à la cantonade, faut être galant avec les jolies dames !

Je rougis en les entendant éclater de rire et je bredouille un remerciement. Il me sert d’office un petit verre rempli d’un liquide blanc. Le patron me dit s’appeler Michel et me présente les habitués des lieux (les piliers de comptoir quoi) Il y a Mouloud (qui est le frère de Rachid) et le vieux au fond c’est Ibrahim, le père de Mouloud et Rachid. Le grand black c’est Mamadou, un sénégalais, me précise-t-il en me faisant de nouveau un horrible clin d’œil. Un jeune blond, un dénommé Franck vient me serrer la main. Il n’a pas l’air très évolué Franck…Du coup, tous les autres se lèvent et viennent me serrer la main aussi. Je me retrouve entourée par une dizaine de types.
Michel lance un « c’est ma tournée les gars » et sert un verre à tout le monde. Ne voulant pas être grossière, j’accepte de trinquer avec eux. Sans réfléchir, je prends mon verre et avale une gorgée. L’horreur! Je ne sais pas c’est que c’est mais c’est terriblement fort. Je tousse et des larmes me montent aux yeux. Tout le monde éclate de rire. Il m’encourage à reprendre une autre gorgée arguant le fait que c’est la première la plus dure à passer. J’obéis et de nouveau je me mets à tousser. Je commence à avoir chaud, très chaud. La tête commence à me tourner un peu. Je veux aller m’asseoir et je titube sur mes talons aiguilles. Des bras s’empressent de m’att****r avant que je ne tombe. Je sens des mains baladeuses me toucher les fesses et les seins mais je n’arrive pas à réagir. Que m’arrive-t-il ? Je suis dans état second.

– J’ai chaud, bafouillais-je.

Michel, le patron du bar, fait le tour de son comptoir et se plante devant moi, un mauvais rictus aux lèvres.

– C’est vrai qu’il fait chaud…

Et il déboutonne ma veste l’ouvrant largement découvrant mon soutien-gorge en dentelle. Il malaxe mes seins sans ménagement et baisse les balconnets dévoilant mes seins à toute l’assistance. Des mains avides se précipitent triturant mes seins, pinçant mes tétons, tirant dessus. Je pousse un petit cri. On soulève ma jupe exhibant mes bas à couture accrochés aux porte-jarretelles. On siffle autour de moi admirant ma lingerie fine. Debout au milieu de ces hommes que je ne connaissais pas il y a encore dix minutes, je suis exhibée sans retenue.
On me suce la pointe des tétons, on me caresse les jambes, des doigts me titillent la vulve à travers mon string. A ma grande honte, je réalise, toujours dans une demi-torpeur, que je commence à ne pas rester insensible à ces caresses. Michel m’écarte mon string et ses doigts s’enfoncent dans mon intimité. Là, je tente de protester mais Franck me tourne la tête et enfonce sa langue dans ma bouche m’embrassant goulûment. Mouloud et son père n’en perdent pas une miette et jouent avec mes seins les soupesant. Michel fait coulisser son index et son majeur dans mon vagin me faisant haleter. Les insultes commencent à pleuvoir. Je reçois une claque sur les fesses me faisant crier.

– Tais-toi salope! Tu n’attendais que ça. T’es trempée. T’es vraiment une chienne sous tes airs de bourgeoise respectable.

Je pousse un long gémissement. Le patron du bar me lèche la vulve. Il me titille le clitoris avec sa langue. On me force à me mettre à genoux au milieu de la salle. Michel sort sa bite et me l’enfourne dans la bouche me faisant hoqueter. Il m’agrippe les cheveux et fait coulisser sa queue entre mes lèvres rouges. Il me l’enfonce très loin m’étouffant. Il s’éloigne et il est aussitôt remplacé par Mamadou qui me présente un chibre impressionnant. Je tente de reculer effrayée par la longueur et l’épaisseur de l’engin mais on me pousse en avant et Mamadou enfonce son énorme queue dans ma bouche. J’ai un haut le cœur et peine à sucer sa bite. Je salive dessus le pompant mécaniquement.
Puis ce fut Mouloud et son père que je dus sucer alternant entre les deux bites. Pour son âge, Ibrahim est encore en forme. Je suis relevée et penchée en avant. Je suce toujours la bite d’Ibrahim et je sens des mains s’accrocher à mes hanches. On me pénètre brutalement et je pousse un cri. Je tourne la tête. C’est Michel qui me pilonne comme fou faisant coulisser sa bite dans ma chatte trempée. Je suce plusieurs bites en même temps. Franck et Mamadou m’obligent à prendre leurs deux bites dans la bouche me déformant la mâchoire. Je suis prise en photo et en gros plan par le portable de Mouloud.
Michel se retire et Franck le remplace. Il me bourre comme un malade, son ventre vient claquer contre mes fesses. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir et je pousse des gémissements, haletante. Franck accélère la cadence sous les encouragements des autres. Je pousse un hurlement en ayant un orgasme dévastateur qui me laisse pantelante. Je manque de tomber et du coup on me positionne à quatre pattes. Mamadou se précipite et je proteste quand je sens sa bite se poser sur mon anus.

– Non!! S’il vous plait, pitié, pas par-là ! HAAAA

Je pousse un hurlement. Sans aucune pitié, Mamadou a enfoncé sa queue dans mon trou du cul! J’halète sous l’infamante intromission. Je tente de reprendre mon souffle. Mamadou commence à bouger faisant des allers-retours dans mon cul. J’aperçois du coin de l’œil plusieurs de mes tourmenteurs qui prennent des photos ou carrément filment la scène. Mamadou me défonce en soufflant comme un porc. Il se retire brutalement et éjacule sur mes fesses en grognant.

Ibrahim m’agrippe les hanches et enfonce sa bite dans ma chatte me limant tout doucement d’abord puis de plus en plus vite me faisant gémir sans discontinuer, secouant la tête dans tous les sens. J’ai un deuxième orgasme qui me fait hurler. Ibrahim se précipite devant mon visage ravagé et éjacule libérant un torrent de sperme qui va s’écraser sur mon visage fin. J’en ai sur mes lèvres, les cheveux, le menton. Il est remplacé par son fils Mouloud. Lui choisit de m’enculer. Sa bite déforme mon anus. Il me donne de violents coups de reins. Mes seins ballottent dans tous les sens sous ses coups de boutoirs. J’ai un troisième orgasme sous les hurlements de la foule.

Je suis affalée sur le sol du bar. Épuisée par les trois orgasmes. Honteuse aussi. Tous les autres sont au-dessus de moi et se masturbent. Ils éjaculent les uns après les autres libérant leurs semences qui vient s’écraser sur mes seins, mon nez, mon menton…J’en ai partout….j’aperçois alors Rachid parmi ceux qui viennent de jouir sur moi. Horrifiée, je réalise que si Rachid est là, Alain, mon mari doit aussi être là !!!

Affolée, je tourne la tête.
Alain est debout au milieu du bar. Il me regarde avec consternation et tristesse …

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