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Sophia

Sophia



Voici la retranscription d’une très belle expérience qu’il ma été donnée de vivre en compagnie de mon amie Sophia.

Quelques temps après avoir décidé de former un flirt, certes très libre, Sophia m’a demandée si je souhaitais expérimenter dans le domaine de la soumission, étant entendu qu’elle jouerait le rôle de ma maîtresse.
Elle m’a dit apprécier ce rôle, lui permettant de complémenter son autorité déjà naturelle.
De mon côté, je n’ai vécu que des situations de soumission très légère, c’est pourquoi j’acceptai sa demande avec plaisir, mais également un peu d’appréhension.

Nous nous sommes mises d’accord sur le mode suivant : nous avons choisi un mot, et lorsque Sophia prononcerait ce mot, je lui serai entièrement dévouée, obéissant au moindres de ses paroles ou gestes.
L’expérience se terminerait lorsque Sophia prononce à nouveau le mot, ou alors, si j’éprouve une sensation trop oppressante, je pourrai également le prononcer afin de couper court.

– « Mais j’espère que tu ne vas jamais me décevoir ma belle. Je suis très exigeante mais je sais fixer les limites du jeu. » me dit-elle.

Nous nous trouvions dans le salon de sa maison, assises sur un canapé. Elle se leva, et me prit dans ses bras, pour déposer un léger baiser sur le bout des lèvres.

Puis elle prononça Le Mot.

Ne sachant pas quelle attitude adopter, je la regardai d’un air inquisiteur, et lui dit :

– « Oui Sophia ? »

Elle me donna une gifle magistrale. Je fus surprise par la vitesse à laquelle sa main atteignit ma joue, puis je demeurai interdite, figée dans ma réaction. Je sentis ma joue rougir, puis elle prit la parole sur un ton glaçant :

– « Espèce de sale petite putain ! Je vais te le dire une seule fois, car je déteste me répéter. Tu ne t’adresseras jamais à moi sans y avoir été invitée. Tu répondras soit à une question, soit à une demande de ma part. Tu commenceras chaque intervention verbale par Madame. Et lorsque tu t’adresseras à moi, tu regarderas mes pieds. Me suis-je bien faite comprendre ? »

Je ne sus que dire ni que faire sur le moment. J’allais ouvrir la bouche pour lui parler, mais elle leva vite sa main pour l’arrêter à deux doigts de mon autre joue.

Dans un éclair de lucidité, je regardai ses pieds en murmurant :

– « Madame, oui. »

– « Bien, petite pute. Je vais néanmoins commencer par te donner une leçon. Déshabille-toi tout de suite, et attends-moi ici. »

Je n’eus d’autre choix que lui obéir, et c’est nue que j’attendis son retour de sa chambre à coucher. Elle me dit :

– « Je vais t’emmener dans une pièce que tu ne connais pas encore. Pour cette première fois, je vais te priver de ta vue ainsi que de ta parole. De toute façon je ne m’attends pas à ce que tu me parles cette fois. Est-ce clair ? »

– « Madame, oui. » lui dis-je, ne sachant pas comment allait se passer la suite des événements.

Elle installa un baillon boule sur ma bouche, puis fit glisser un bandeau sur les yeux.

Mon coeur battait à cent à l’heure, et je dois avouer que j’étais terriblement excitée par cette situation. Sophia me prit une main et dit :

– « Suis-moi mais fais attention. Nous allons descendre les escaliers pour la cave. »

Nous descendîmes donc les escaliers, puis je l’entendis introduire une clé dans une serrure, et ouvrir une porte. Puisqu’un de mes sens m’était désormais interdit, mes autres sens prirent le relais.

Je déduis que nous nous trouvions dans une chambre au sous-sol. Je sentis une vague odeur de cuir, mais je n’arrivai pas à saisir d’autres parfums.
Le chambre était assez fraîche, et je sentis un frisson parcourir mon corps nu.
Toujours sans dire un mot, je sentis ses mains agripper mes hanches, et me guider à reculons. Puis je sentis une matière froide et rembourrée contre mon dos et mes fesses.
Elle ne tarda pas à se réchauffer et j’en déduis qu’il devait s’agir d’une sorte de cuir.

Elle saisit une de mes mains pour la poser contre le cuir au dessus de ma tête, et l’attacha, puis elle fit de même avec l’autre main. Ensuite elle écarte légèrement mes jambes pour placer mes pieds contre le même type de cuir, pour m’attacher au niveau des chevilles. Puis elle fit de même avec une sorte de ceinture, au niveau de la taille, et également au niveau du cou.

Je sentais que j’étais plaquée contre ce que j’imaginais être une contrainte en forme de croix, et ne pouvais absolument plus bouger.

J’essayais de tendre l’oreille afin de comprendre ce qu’elle faisait, mais n’entendis que du silence. Je restai pendant de longues minutes ainsi, sans que rien ne se passe.
Puis j’entendis une légère respiration au niveau de mes épaules, et sentis également un léger souffle contre ma peau. Puis de nouveau le silence.

Puis un bout de langue me surprit en passant furtivement sur le téton de mon sein gauche. Celui-ci se tendit immédiatement avant de durcir, puis le téton droit eut la même réaction. Encore quelques coups de langue rapides finirent par entièrement dresser et pointer mes tétons en avant.

Une sensation de froid m’envahit soudain. Je sentis ce que je devinais être une pince en métal être apposée contre mon téton droit, puis être serrée. Le côté gauche eut à subir le même sort. Une espèce de chaînette fut fixée aux deux pinces car je sentis la sensation d’anneaux métalliques froid balancer sous mes seins, contre mon ventre.

Puis plus rien pendant de longues minutes, mis à part des coups de vis pour serrer encore plus les pinces.

Je crus défaillir lorsqu’elle me gratifia d’un coup de langue soudain sur mon clitoris. Surprise par ce geste, je me mis à geindre de plaisir. Encore quelques autres coups de langue bien placés, et mon clitoris subit le même sort que mes tétons. Je sentis à nouveau ce métal froid enserrer mon clito, qui devait maintenant pointer en avant. Puis elle serra la vis. Et encore un peu. La douleur initiale céda vite la place à un plaisir extrême toutefois. Une chaînette devait également être fixée à cette pince, car je le sentais balancer le long de mes cuisses.

Une main plaça ensuite quelque chose sur la chaînette pendant de mes seins. La chaînette sous mon clito fut soulevée, et fixée d’une manière ou d’une autre à l’objet sur la chaînette des seins.

Puis j’entendis comme un petit cliquetis. Je compris que Sophia était en train de tendre les chaînettes à l’aide de l’objet. Mes tétons furent tirés vers le bas alors que mon clito fut lui pointé vers le haut. Je me demandai combien de temps et surtout comment j’allais faire pour tenir, puisque la douleur se manifestait à nouveau, malgré toute l’excitation qui fut mienne au même moment.

Puis rien d’autre ne se passa pendant un moment. J’entendis des bruits de vêtements froissés, j’en déduis que Sophie se déshabillait. Puis je devinai le bruit d’une personne s’asseyant dans un fauteuil ou dans un canapé, tout près devant moi. Puis de nouveau le silence.

Encore un moment et j’entendis un bruit de vibration, provenant d’un jouet que j’imaginais sexuel. Sophia se mit à gémir, d’abord tout doucement, puis de plus en plus fort et vite. Que n’aurais-je pas donné pour la voir, de la sentir, de la toucher à ce moment. Je sentais le feu se consumer à l’intérieur de ma chatte, qui ne demandait qu’à se laisser aller aux délices de la jouissance. Hélas, cette sensation m’était momentanément interdite, de par ma position.

Lorsque Sophia commença à avoir ses longues inspirations, je savais qu’elle n’était pas loin du point de non retour. Effectivement, quelques instants plus tard, elle se laissa exploser. Un long cri aigu mais assez étouffé précéda une série de jets de sa mouille, dont une partie atteignit mes cuisses. Je compris qu’elle se trouvait tout près de moi, mais en même temps si loin. J’aurais tout donné pour partager sa jouissance sur le moment.

Elle retomba finalement de son nuage jouissif et se leva. Je sentis son corps nu venir se coller au mien, puis elle défit les liens m’entravant mes mouvements et ma liberté. Elle me prit par la main et me guida.

J’entendis à nouveau la clé dans la serrure, puis elle me fit remonter les escaliers. De retour au salon, elle enleva le baillon et le bandeau. J’eu envie de me jeter dans ses bras, mais elle me tint à distance avec son bras.

– « T’ais-je autorisé quoi que ce soit, petite garce ? ».

– « Madame, non. » lui dis-je.

Puis elle prononça Le Mot.

Ce fut elle qui se jeta dans mes bras, pour m’étreindre d’un long baiser passionné. Elle m’attira sur le canapé, et elle me fit l’amour d’une façon merveilleusement douce, me permettant d’accéder à la jouissance très, trop, rapidement. Nous sommes restées lovées dans les bras de l’autre, et je lui ai dit :

– « Sophia, comment te remercier pour… »

Elle mit son doigt en travers de mes lèvres, et murmura simplement :

– « Cchh, ce qui se passe dans la cave reste à la cave. J’espère simplement que tu as aimé cette séance, et que tu seras d’accord pour d’autres dans le futur. »

J’approchai ma bouche de la sienne, nos lèvres se sont touchées, nos langues se sont trouvées, et après un long et tendre baiser je lui dis :

– « J’adorerais. »

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