Nous avions 23 ans tous les deux. Sena avait pour habitude de me rejoindre les weekends dans mon appartement du centre-ville que je partageais avec mes colocataires. Ces derniers retournant dans leur famille respective les weekends, Sena et moi nous retrouvions bien au calme dans ce très grand appartement sous les toits, succession d’anciennes chambres de bonne que nous louions pour très peu cher. Sous les toits donc, avec des grosses poutres apparentes, d’une épaisseur qui a fait jaillir de mon subconscient de nombreux fantasmes.
Sena pesant 45 kilos, ces grosses poutres allaient soutenir son poids comme si de rien n’était. A cette époque, je pense que ni elle ni moi n’étions vraiment familier avec la v******e que nous contenions à l’intérieur. Elle était soumise, et semblait m’offrir son corps comme un terrain de jeu sur lequel je pouvais faire mes armes. Quelle chance j’ai eu. Peu après avoir rêvé de l’idée de bondage et d’attaches érotiques, j’entrepris de mettre à exécution ce dont j’avais rêvé.
Nous ne nous voyions pas de la semaine, travaillant dans 2 villes différentes. Les vendredis soirs de chaque semaine marquant nos retrouvailles, nous avions pris pour habitude de faire nos expériences sexuelles. Je marquais donc l’ce vendredi d’une pierre blanche, nos premiers pas dans le monde du bondage. Elle arriva chez moi sur le coup de 19h. J’entrepris de la violenté d’entrée de jeu, pour voir sa réaction. Evidemment, elle sourit et semble heureuse que je l’att**** par sa queue de cheval. Mon excitation à son comble, je me laisse un peu emporté et déchire en partie son t-shirt, chose à laquelle elle ne s’attendait pas. Je la tire par les cheveux et la glisse sur le parquet de la porte d’entrée jusqu’au salon. Elle rampe et tente de marcher mais je vais trop vite et elle retombe sur ses genoux et glisse de plus belle, je ne m’arrête pas. Ce sera ma première fois durant laquelle je laisse totalement mes instincts et mes envies prendre le dessus, c’est magique, on se laisse porté et l’on écoute que soi, son feeling, ses désirs. Dans mon esprit un brin dérangé et surtout encore juvénile, j’entrevois ce que les tueurs en série décrivent comme des pulsions face auxquelles ils sont impuissants. Se laisser aller, se laisser porter de manière égoïste et égocentrique, jusqu’à ce que les gestes dépasse la retenue à laquelle nous sommes soumis… je bande dur.
Arrivé au salon j’entreprends de nouer les mains de Sena de manière maladroite puis je balance le restant de la corde par-dessus la large poutre qui traverse le salon. Je récupère la corde et tire. Les bras de Sena se lève d’un coup sec. Je fixe l’entreprise de manière désordonnée car l’excitation me fait perdre les pédales, et de toute façon je ne suis pas expert des nœuds, donc même au calme j’aurais loupé cette épisode. Pas grave, La petite chienne est attachée, ses deux bras en l’air et son corps a moitié dénudé. Je me dépêche de lui retirer le bas pour découvrir son petit sexe tout épilé et le galbe de ses fesses qui m’émeut toujours autant. Elle me regarde avec un truc dans le regard qui me signifie qu’elle est tout à fait d’accord avec ce qui vient de se passer. Je la fesse, très fort, puis je sors une règle métallique que j’ai récupéré dans l’entrée de mon immeuble, une longue règle en métal souple qui claque d’une manière absolument sublime. A croire que cet objet a été inventé que pour le fessage et la punition. Je claque le cul de Sena de manière forte, environ 5 fois sur chaque fesse et elle tressaillit. Je vois et je sens qu’elle est un peu choquée par ce qui se passe, mais je saisis toujours au fond de son regard cette envie de plus. Son cul porte 5 grosse stries de chaque côté. Jy suis peut etre allé un peu fort. Elle me confie que la douleur lui donne une forme d’extase probablement en lien avec l’endorphine que le corps produit. Je deserre la corde et la laisse tomber sur ses genoux. Sans lui laisser le moindre reprit, je sors ma grosse queue qui est restée sagement au fond de mon pantalon depuis l’arrivée de Sena. Une goutte de sperme perle déjà au bout de mon sexe tellement je suis excité. Je récupère cette goutte avec mes doigts et la fait gouté à Sena qui respire fort tant cela l’excite. Ses seins sont petits et durs, ses tétons proéminents et ils sont un bonheur à torturer. Je leur applique 2 grosses pincettes puis j’enfonce la gorge de mon esclave profond sur mon sexe, lui faisant faire des allers-retours rapide afin que le mouvement de sa tête et de son corps fasse bouger les pincettes de haut en bas et torture bien comme il faut ces petits seins. Une idée soudaine illumine mon esprit, je cours a la cuisine prendre de la ficelle et la fais passer dans les deux ronds que l’on trouve sur les pincettes en général (tout du moins sur celles que j’utilisais à ce moment précis). Je lie ensuite la ficelle à la corde maintenant toujours les mains de Sena ensemble et je m’applique gentiment à faire remonter la ficelle plus haut, plus haut. Ses tétons, non seulement compressé par les pincettes se retrouvent également tendu vers le ciel par la pression de la ficelle, je ne suis pas peu fier de mon idée. Je relâche la ficelle et tire d’uin coup sec dessus afin d’arracher les pincettes. Sena crie, choquée, ravie. Je relâche la corde afin que le sang circule à nouveau dans ses bras maintenu en l’air depuis 15 minutes. Elle tombe sur le côté, très endolorie et trempée comme jamais.
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