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Invitée à ne soirée The upper floor

Invitée à ne soirée The upper floor



 Christian avait souhaité m’inviter à une soirée « The upper floor » pour le week-end. Durant la nuit, pleins d’images me passait par la tête. J’étais aux prise d’un groupe d’homme.
Dans ce rêve érotique, j’étais comme dans une bulle où tout n’était que plaisir. J’étais nue dans une pièce richement décorée, entourée d’inconnus en habit de soirée. Je me demandais ce qui allait se passer et tous m’observaient. Christian était là, devant moi debout. Je devais prendre leurs queues dans la bouche et être utilisée par tous ceux ou celles qui le souhaitaient et comme il le voulaient. Dés le plus jeune âge, j’étais troublée par tout ces romans et héroïnes qui se faisaient humilier et soumettre. La lecture des écrits du Marquis de Sade, Pauline Réage, Fanny Hill et Joseph Kessel me mettaient dans des état incroyable. Alors quand Christian me proposât d’être l’invitée vedette d’une soirée « The upper floor », même si j’angoissais, j’acceptais nerveusement et attendais avec une certaine impatience le Samedi soir fatidique.
Pour ceux qui ne connaissent pas, « The Upper Floor », organise des soirées où des femmes sont les esclaves de la maison. Elle sont là pour être dominées, fessées, fouettées, fistées, baisées et j’en passe, dans un cadre très chique. « The Upper Floor » illustre un véritable style de vie BDSM classe. Le BDSM y est poussé à l’extrême, dans la punition, l’humiliation érotique, et plus encore. Les esclaves y deviennent des jouets mis à disposition de maîtres et maîtresses.
Ce fameux Samedi soir, j’angoisse en voyant la limousine qui vient me prendre. Ca me rappelle un peur le début « D’histoire d’O ». Christian m’a demandé d’être nue sous mon manteau.

Je monte dans la limousine et me voilà parti pour réaliser un de mes fantasmes les plus récurrents. Arrivée au manoir, je suis accueilli par Christian. Ca me rassure un peu. Très galant, il ouvre ma porte et m’embrasse tendrement. Il me fait entrer dans la salle de cérémonie et tout en me présentant, il ôte mon manteau. Je me retrouve entièrement nue devant tout ces inconnus.
« Je vous présente Michèle. Une petite nouvelle dans notre cheptel d’esclaves soumises. Michèle est à vous pour toute la nuit. Vous pouvez faire d’elle ce que bon vous semble ! Elle est là de sont plein gré.»
Il se retourne vers moi en me disant :
« Dis leur haut et fort que tu es ici de ton plein gré, ce que tu es et ce qu’il peuvent faire de toi, Michèle ! »
Cette foi, je suis face à mon destin. Pétrifiée, honteuse, excitée, je me plie à son exigence et c’est d’une voix voilée par le trouble que je me lance.
« Bonsoir Messieurs Dames ! Je suis Michèle et je suis ici ce soir de ma propre volonté invité par mon ami Christian et avec l’accord de mon mari Alain. Comme Christian vous l’a expliqué, Je suis ici votre esclave soumise et docile. Vous avez tout les droit sur moi. Mon corps et mes orifices sont à votre entière disposition. »
Mon annonce terminée, plusieurs hommes s’approchent et m’ordonne en sortant leurs sexes encore flaque :
« Suces nous Michèle ! »
Cette foi, la partie est engagée et je ne peux plus m’esquiver. Je me mets à genoux et commence à faire ce que je fais et que j’aime énormément sucer des queues. Mais ça ne leurs suffit pas de m’humilier à les sucer en public. Celui que j’ai en bouche appuie fort sur ma tête et s’enfonce, trop, loin dans ma gorge. J’ai un haut le Cœur qui les amuse. Les larmes me montent aux yeux. L’un d’eux dit :
« La bouche de cette pute est accueillante. Elle suce divinement bien ! Elle a du en prendre un paquet dans la gueule pour pomper aussi bien ! »
Un des invités se glisse entre mes jambes et me lance :
« Empale-toi sur ma queue salope ! »
Je mouille tellement que sa queue glisse sans difficulté dans mon conduit vaginal. La queue que j’ai dans la bouche étouffe mes gémissement de plaisir.
« Il reste un trou inoccupé j’vais le boucher. »
Je sens aussitôt un pieux qui force mon œillet. Cette foi, c’est de la douleur que je ressent et que ne peux exprimer ayant la bouche pleine. Les deux hommes se mettent à me ramoner vigoureusement le cul et la chatte.

Les premiers se vident déjà en moi. Aussitôt ils sont remplacés par d’autres. De temps en temps j’entends des applaudissement. Mes yeux sont brouillés par des larmes de honte, d’humiliations et dans ce brouillard, j’aperçois d’autres filles se faire mettre comme moi où se faire fouetter. Des cris de jouissance et de douleurs fusent dans cette pièce. Une odeur de stupre monte et remplit le salon.
Puis soudain, c’est Christian qui me prend par les cheveux et enfonce sa queue au fond de la gorge alors que d’autre bites prennent place dans ma chatte et mon cul qui sont bien dilaté maintenant. Dans cette orgie, il me demande :
« Alors Michèle ! T’es satisfaite ? T’aime te faire défoncer comme la dernière des traînée dans le dos de ton mari ? T’aime la façon dont tu te fais traiter de sac à foutre, salope ? »
Je ne peux répondre. J’en suis incapable. J’ai honte d’aimer ce que je suis entrain de vivre. Je ne sais plus quoi penser.
Mais avant que je n’aie le temps de continuer mes réflexions. Il éjacule au fond de ma gorge. J’ai reçu tant de sperme et en ai avalé vraiment trop que j’ai envie de vomir.
On me relève et on m’attache pour ce qu’ils appellent « une séance de dressage ». Je reçois des coups de fouet, de martinet et de badine. Les endroits les plus sensible de mon anatomie ne sont pas épargnés. Je gesticule et cris à chaque coup. Chacun y met sont grain de sel. Ils encouragent et applaudissent les intervenants surtout quand l’un ou l’une frappe un endroit sensible qui me fait pousser un cri plus aiguë.
Les femmes qui me frappent, me semble encore plus vicieuses. Curieusement, mon corps devenant brûlant par les coups, avec le temps, cette douleur laisse place à une sorte de jouissance extrême et j’arrive même à avec un orgasme alors qu’un jet de cyprine s’échappe de ma chatte. Le public siffle et applaudit en me félicitant de ma prestation.

On me détache et la douceur avec laquelle maintenant je suis traité me fait fondre en larme. Christian me dit doucement :
« Je suis fière de toi Michèle. T’ai tu senti assez chienne utilisée ainsi ? Tu vois, comme je fais de toi, ce que je veux !  »
Il m’embrasse en me répétant :
« Tu as été parfaite. Tu as su te montrer montrer docile comme je le désirais. »
Je suis trop épuisée et mon corps est trop douloureux pour que je puisse de façon cohérente lui répondre. Maintenant, je ne pense plus qu’à retourner chez moi et me faire cajoler par Alain. Perdue dans mes pensées, je me laisse aller aux doux massage que l’on me prodigue. La crème apaisant de laquelle on m’enduit le corps me fait un bien fou et je ne me préoccupe pas du public qui m’entoure. Les mains se font plus douce et je m’aperçois que c’est une femme qui à pris la place.
Mais la soirée n’est pas terminée. Après ce doux moment de relaxation, la femme qui me masse, me propose :
« Maintenant tus as trois choix. Tu peux terminée la soirée comme spectatrice, actrice dominatrice ou continuer à être le clou du spectacle. »
J’en ai eu plus que ma part et je préfère devenir spectatrice. de devenir spectatrice. Toujours nue mais confortablement vautrée dans un divan, je regarde avec une envie malsaine une fille se faire attacher. Je me demande à quelle sauce elle va être mangée. Cette jeune fille est offerte, sans défense, à la merci de je ne sais trop quel scénario. Une femme tourne autour d’elle. De temps en temps elle lui effleure un téton ou agace son clito. Je sais comme la sensation d’être exposée est humiliante mais le plaisir prend toujours le dessus. Je confis à Christian :
« Merci de m’avoir invité ici et de m’avoir fait découvrir tout ces plaisir ! »
Après ça, je m’écroule de fatigue et ne me souviens plus de rien. Le lendemain, je me réveille en ayant cru avoir une foi de plus rêvé un fantasme. Mais mon corps me rappelle à la réalité. Je suis courbaturée, ma chatte et mon cul sont très sensible par tant de pénétrations. Ma mâchoire est douloureuse à force d’avoir pris toutes ces bites. J’ai encore des relents de sperme dans la bouche et mon corps est zébré des traces des flagellations. Non, je n’ai pas rêvé. Mais je me sens si bien.

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