Judith ne semblait pas rassasié de l’expérience dans la tente, plus tard le même été, elle nous invite à dormir chez elle, on n’a pas les enfants ce soir la étant partis chez leur maman, on accepte l’invitation, Véro s’attendais à une soirée osée, mais ce ne fût pas tout à fait le cas.
En fait durant la soirée, un discussion a mal tourné entre Véro et moi, fâchée contre un commentaire que j’ai fait sur Marie-Ève, j’ai dit qu’elle était probablement une des plus cochonne que j’ai vu, se faire baisé par son frère, et baisé avec sa belle-sœur c’était un sommet de la perversion que je n’avais jamais vu avant.
Ceci étant dit, Véro fâchée quitte les lieux pour aller prendre une marche, David me dit je vais la rejoindre car elle ne connait pas la région, et on ne veut pas qu’elle se perd en chemin.
David quitte donc avec Véro, je me dirige vers ma tente pour aller me coucher, je me déshabille et me couche sous la couette sur un matelas gonflable.
La porte de la tente s’ouvre Judith entre, me demande comment je vais, je lui explique que j’aime ma femme, que je suis comblé, qu’elle me fait vivre des expériences incroyable et que je dis simplement ce que je pense, Marie-Ève es une des rares salopes que j’ai vu, du même coup Judith aussi, ayant baisé avec sa sœur, son beau-frère, son cousin et sa belle-sœur.
Elle me dit qu’elle ne se savait pas comme ça, qu’elle n’a jamais eu de limites, mais que la vie fait en sorte qu’il y a des tabous et des interdits, sinon elle baiserait tout le temps avec tout le monde.
« À la fête tu m’A vu avec mon cousin, avec ma sœur, avec ma belle-sœur et avec mon beau-frère, mais nous deux on a jamais rien fait ensemble » me lance-t-elle.
Je reste surpris et je ne sais pas trop quoi répondre, elle tire alors la couette et me retrouve nu, « il semble que tu sois prêt » me dit-elle en regardant mon début d’érection. Puis engloutit tout mon sexe dans le fond de sa gorge, et me suce doucement, c’était à la fois passionné et érotique, loin de tous autre expérience.
Je passe ma main entre ses cuisses pour ouvrir son entre jambe, elle ne cesse de me sucer, je touche sa zone déjà très humide.
« Doigte moi le cul aussi, je sais que tu aimes, et je n’ai pas la chance de le faire souvent » dit Judith.
Je lui entre donc un doigt dans la chatte et un dans le cul, et elle repond en bougeant son cul sur ma main, dans un rythme de plus en plus rapide.
Un porte de voiture se ferme au loin, on s’arrête tous les deux, je tire la couette pour me couvrir, et elle sort de la tente pour voir qui es la, Véro et David sont de retour, elle semble moins fâchée, ils se disent bonne nuit et quitte pour se coucher.
Véro viens me rejoindre, elle me trouve nu, et me demande si je veux baiser, elle me suce alors à son tour, j’imagine la bouche de Judith encore. « Tu veux bien me prendre comme une chienne? » je me positionne donc derrière elle, et la prends comme une chienne, comme elle me l’A demandé, je pilonne sa chatte sa retenue, puis Judith entre dans la tente.
« Tu sais qu’elle vient de se faire baisé par mon homme ta femme? »
Véro me regarde avec un air embêté, « c’Est vrai, j’avais de la peine il m’A consolé je l’ai sucé il m’a baissé dans le Camion » réponds ma femme.
Je suis sous le choc, Véro m’a fait ça, en même temps, on est ouvert, Judith es mal placé pour juger, elle a baisé son beau-frère et son cousin pendant que son homme dormait.
« Alors ma petite salope c’était bon ? Il en valait le coup? » Demandais-je a ma femme.
« Sa queue à bien failli me fendre en deux, il est beaucoup trop gros pour mes petits trous » me répond Véro.
« Continuez où vous en étiez allez je vous regarde » nous lance Judith.
JE me repositionne donc derrière le cul de Véro. Et continue mon va et viens. Judith s’Approche m’embrasse passionnément puis se place devant Véro les jambes grande ouverte.
« Tu as sucé mon homme maintenant mange-moi petite chienne » ordonna Judith à Véro.
Ma femme lèche tout ce qui se présente devant elle, puis je vois que Judith force, elle pisse au visage de ma femme, Véro continue de bouffer la chatte et elle boit la pisse en même temps.
« Là je suis surprise, tu es encore plus salope que je le croyais » lance Judith à ma femme.
« On a eu l’expérience avec Julie j’ai aimé » de répondre Véro.
« Ta femme es une foutu salope, alors je parie que tu aimes aussi qu’une femme te gicle au visage? » demande Judith.
«En fait j’ai giclé au visage de Julie et Simon, mais je n’ai jamais été de l’autre côté » réplique Véro.
Judith s’empale donc d’une main complète dans la chatte et se fait jouir en nous regardant, puis elle retire ses mains et une explosion de foutre féminin au visage de ma belle pendant que je la ramone à quatre pattes, une vision in croyable.
Je retire mon membre de sa chatte et crache à son cul, puis entre mon gros engin dans le fond de ses entrailles.
Je baise son cul, pendant qu’elle mange la chatte rempli de pisse et de foutre de Judith.
Je lui viens dans le cul, une grosse décharge de sperme intense. Ça lui coule du cul.
« Écarte tes fesses mon amour et regarde la suite » que je lui ordonne.
Judith se levé et s’approche pour voir la suite, Véro a le cul grand ouvert, avec du sperme qui coule, et je prends ma queue et vise son trou et vide ma vessie de toute ma pisse dans son cul.
« Oh wow que vous êtes cochons » lance Judith.
Le jus de son cul, mêlé à mon sperme et ma pisse, tous les fluides débordent de son anus. Véro se caresse sous cette vision perverse.
Judith m’étonne encore une fois, et se penche sur le cul de ma douce et nettoie son anus de tous les liquides, et avale tout.
C’est difficile pour moi de ne pas dire que Judith es une vraie salope, mais elle met la barre de perversion très haute pour les autres femmes.
Elle est allée rejoindre son homme, le lendemain on est allé déjeuner, David n’a jamais voulu dire ce qui s’est passé, il ne m’en parle jamais non plus, il a eu sa revanche en quelque sorte.
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