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La fessée de madame Leroy

La fessée de madame Leroy



Célibataire de 38 ans, j’avais passé une annonce sur un site plutôt généraliste de rencontres, qui consistait à dire que j’étais disponible pour ces dames qui apprécient et recherchent ce sentiment de détachement et un peu d’humiliation qu’est la fessée. Je me proposais d’être l’homme sûr de lui et expérimenté, parfait pour cette pratique, tout en précisant que j’étais capable de donner tout type de fessée : très soft à hard, avec ou sans objets… Car il faut savoir que le plaisir de la fessée est très variable selon les individus. J’encourageais donc dans cette annonce une prise de contact pour discuter de la fessée avant de passer à la réalité.

Les premiers jours virent leur flot de fantasmeuses arriver dans ma boîte mail : elles voulaient toutes en parler, se livrer un peu, et ces échanges verbaux étaient agréables. Néanmoins, aucune de ces femmes ne semblait vouloir vivre son fantasme. Pourtant, je leur précisais que je n’étais pas un pervers, et que des relations sexuelles étaient exclues, préférant me concentrer sur la fessée.

Arriva alors le courrier de madame Leroy (le nom a été changé pour respecter son anonymat), car elle ne me fournit que son nom de famille, pas de prénom. Elle m’expliquait être issue d’une famille très catholique, très vieux jeu. Madame Leroy vivait à environ cinquante kilomètres de chez moi, était mariée depuis sa majorité, n’avait plus aucune relation avec son mari. Elle avait 48 ans. Son courrier était très détaillé sur sa vie, et parlait finalement peu de ce fantasme de la fessée. Elle semblait vouloir parler plutôt qu’autre chose, aussi démarrai-je une correspondance très soft avec elle.

Au bout de quelques mails, qu’il lui fallut pour avoir confiance en moi je pense, elle se décida à évoquer sa sexualité plus en détails. Elle n’était pas la femme sage et réservée dont elle parlait au début de ces échanges.

Elle était réservée, mais également très portée sur le sexe. Son mari ne pouvant la satisfaire, elle eut des relations avec d’autres hommes. Elle en avait besoin mais ressentait également un sentiment de honte de se conduire de la sorte. Elle voulait donc une fessée « inquisitrice et punitive, verbalement humiliante », ce sont ses propres termes. Le fait que nous vivions loin l’un de l’autre l’aidait à franchir le cap. Elle me proposait même une date en concluant ce mail de révélations.

Rendez-vous fut pris ; il avait été décidé qu’elle me rendrait visite un après-midi de semaine, pendant que son mari serait au travail. Elle se présenta donc le jour convenu, dans une tenue plutôt adaptée à l’image que je m’étais faite d’elle : tailleur gris sombre, la jupe allant jusqu’à ses genoux, collants ou bas noirs, chemisier blanc, quelques bijoux, un maquillage soigné, grande brune aux yeux noisettes, plutôt quelconque mais l’aspect physique m’importe peu.

Je lui proposai un café, qu’elle accepta. La discussion porta sur des choses très générales, une certaine gêne s’installant de son côté, je le sentis bien. Je décidai de lancer le sujet…

— Madame Leroy… Vous avez fait tout ce chemin, uniquement pour me parler de la pluie et du beau temps ?
— Non… Bien sûr que non…

Je détectai un changement dans le ton de sa voix ; elle la baissait sans y prêter attention.

— Vous m’avez indiqué que vous vouliez être questionnée, et punie pour vos réponses, je crois…
— Oui… C’est ce que je vous ai dit.
— Eh bien je vais commencer à vous poser des questions. Les réponses qui méritent une punition seront sanctionnées par cinq claques sur les fesses, nous sommes d’accord ?
— Oh… Je… Oui.

Je la vis rougir à ce moment précis, ce qui était délicieux.

— Ma première question est simple : portez-vous des bas ou des collants sous cette jupe ?
— Oh, je porte… des bas, cela me semblait plus… approprié.
— Très bien. Avez-vous eu des pensées excitantes quand vous les avez enfilés pour venir ?
— Je dois bien admettre que oui…
— Cela mérite punition. Venez ici, installez-vous sur mes genoux, et soulevez votre jupe.

Ce mouvement fut merveilleux. La voir soulever sa jupe, révélant sa petite culotte, ses bas, et ses fesses, tout en s’installant de son long sur mes genoux (sur un divan, c’était plus confortable) m’excitait beaucoup.

La punition démarra ainsi, par cinq claques douces portées alternativement sur ses fesses, à travers sa petite culotte. Elle ne dit rien mais je sentais bien son excitation.

— Madame Leroy, avez-vous envie que cette petite culotte disparaisse de vos fesses pour que la fessée se fasse main contre fesse directement ?
— Oui…

Je baissais sa culotte sur ses genoux, profitant du spectacle de ces fesses révélées…

— Madame Leroy, combien d’amants avez-vous eu ? Combien de fois avez-vous fait cocu votre mari ?
— J’ai eu quatre amants… Et nous avons fait l’amour une vingtaine de fois au total…

Je la fessais un peu plus durement, uniquement sur la fesse gauche… Sans réaction particulière de sa part.

— Madame Leroy, avez-vous joui avec tous ces amants ? Avez-vous vraiment eu des orgasmes en dehors du mariage ?
— Oui… Avec tous…

La fessée se porta sur sa fesse droite cette fois-ci…

— Madame Leroy, avez-vous pris du plaisir en mettant les sexes de ces hommes dans votre bouche, et en les suçant ?
— J’ai découvert ça avec le second amant… Et depuis… J’aime ça. J’aime sucer comme… une catin.

Fessée plus appuyée sur ses deux fesses, je notais son changement d’humeur et de vocabulaire, elle était très excitée.

— Madame Leroy, avez-vous laissé ces hommes faire de vous ce qu’ils voulaient ?
— Oui, j’ai été très docile, surtout avec le dernier…
— Pourquoi avec le dernier ? Que voulait-il ?
— Il… Il m’a sodomisée. De nombreuses fois. Il aimait ça…
— Et vous, vous aimiez ça ?
— Oui… (dit dans un murmure)

Déluge de claques sur ses fesses, une bonne vingtaine, plus appuyées que les précédentes, ce qui lui arracha un gémissement et fit bien rougir ses fesses.

— Madame Leroy, aimez-vous vous faire baiser comme la dernière des traînées ? Aimez-vous être considérée comme une… salope ?
— Oh… Je… Quel langage… Oui…
— Êtes-vous sexuellement excitée, en ce moment même ?
— Oui… Beaucoup…
— Vous voulez dire que votre chatte est trempée ?
— Ooooh… Oui.

À nouveau, je fessai plus longuement cette jolie croupe, madame Leroy gémissant et commençant à se tortiller sous la brûlure délicieuse de la fessée…

— Madame Leroy, vous masturbez-vous souvent ?
— Oui, presque tous les jours.
— À quoi pensez-vous quand vous le faites ?
— Je pense à des hommes… Et leur sexe… Des hommes qui me donnent beaucoup de plaisir… Parfois je pense à deux hommes en même temps…

La fessée augmenta encore un peu en intensité, et je décidai que c’était assez pour cette fois. Je ne voulais pas que ses fesses soient trop rouges, et cela me semblait être le bon moment pour s’arrêter, elle semblait elle aussi éprouvée par cette dernière vague de claques sur les fesses…

— Madame Leroy, masturbez-vous…

Elle ne dit rien, sa main glissa entre ses jambes, et elle se masturba ainsi, sur moi, alors que je caressais doucement ses fesses rougies par le plaisir… Elle jouit rapidement, brutalement… Et son visage changea à nouveau alors qu’elle remettait sa petite culotte en place.

— N’ayez pas honte, Madame Leroy ; cette séance a été formidable. Nous y avons tous deux pris beaucoup de plaisir et je pense que vous êtes une femme admirable. Le fait de tromper votre mari pour vivre votre sexualité est normal, je trouve cela sain…
— Oui, je pense que oui, merci beaucoup… Vous m’avez fait beaucoup de bien, sans que je le trompe à nouveau en plus…
— Eh bien, revenez me voir quand vous le souhaitez ; nous pourrons pratiquer d’autres types de fessées…

Ainsi s’achève la première séance de fessée de madame Leroy… dont je connais le prénom depuis… car nous nous sommes revus à plusieurs reprises.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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  • Récit très bien mené. Très excitant.
    Les mots crus et les réponses apportées aux questions ont excité Madame Leroy et le lecteur que je suis.
    Ralph.