Chapitre 4 : Chantal est insatiable !
Dans mon jardin, appuyé sur ma bêche, je fais une pose pour essuyer mon front en sueur. Je ressens ma cinquantaine passée et mon dos me fait mal. Mais ce n’est rien à côté de ma bite douloureuse et endolorie par son utilisation fréquente et répétée de la part de ma nièce Chantal qui ne loupe pas une occasion de l’utiliser.
Je n’ais pas tellement envie de jardiner par cette chaleur mais je sais que si je reste à l’intérieur, Chantal va vouloir baiser ou me sucer. Même ma langue est sensible dans mes efforts de satisfaire ma nièce de toutes les façons possibles.
Cette petite est devenue complètement accro de ma bite et j’ai peur qu’elle soit un peu nymphomane. Elle est avide de sexe ! Avec son clito hors norme et ses tétons d’une longueur inusités, le tout ultrasensible, elle est faite pour l’amour…pour la baise.
Il me faut un moment de calme si je veux être d’attaque pour ce soir.
J’ai un besoin urgent d’aller aux toilettes, mais je me dis qu’il serait préférable d’aller derrière la grange, plutôt que de risquer de rencontrer Chantal. Je passe le coin de la grange et je sors mon fidèle membre qui a été à la hauteur ces derniers jours.
Je branle légèrement ma bite pour amorcer le processus et je commence à arroser les herbes folles. Comme dab’ je secoue l’engin pour faire tomber les dernières gouttes quand j’entends l’éclat de rire de Chantal.
– Je t’ai vu faire pipi, Tonton…
– Petite cochonne ! Les jeunes filles bien élevées ne regardent pas leur Tonton faire pipi.
– Sauf sa nièce préférée… son bébé d’amour… qui adore voir sa belle bite…
Chantal est juste vêtue d’un débardeur et d’un mini short en jean et elle vient vers moi en déboutonnant celui-ci.
-Et tu me donne des envies.
Elle ne porte rien en dessous, et sa toison rouge flamboyante est encore plus éblouissante dans la lumière du soleil. Chantal retire carrément son short et à ma surprise, écarte ses jambes.
Comme une gamine impudique, elle urine en déplaçant ses hanches pour arroser le gazon en déplaçant son jet d’urine.
Devant mon air ahuri elle se met à rire et semble prendre du plaisir en voyant mon expression stupéfaite, et bien que je sois presque choqué je continue de la regarder.
– Comment tu trouves ça, Tonton ?
Me dit Chantal en ramassant son short.
-Je vais aller m’essuyer. Tu veux m’aider, Tonton ?
Alors qu’elle marche cul-nu vers la maison, remuant un peu ses mignonnes petites fesses, Chantal s’arrête brièvement pour m’inviter de son index à venir à l’intérieur, avant de disparaître de ma vue.
Non de Dieu, elle promet cette petite !
Je retourne à ma bêche en m’apercevant que ma queue est toujours à l’air, bien bandée et je m’empresse de la remettre dans mon pantalon.
J’ai réussi à éviter Chantal jusqu’en fin d’après-midi, et à ma grande joie, elle a préparé le dîner.
– Hum… ça sent bon Chantal.
– Ce n’est pas tout à fait prêt. Mais tu n’as pas le temps de prendre une douche avant le dîner sinon ça va être trop cuit.
Je vois qu’elle a prévu de faire des spaghettis à la bolognaise.
Le dîner se passe gentiment, enfin si j’oublie ses pieds, qui sous la table, se glissent dans mon entrecuisse pour aller taquiner mes parties intimes.
D’habitude quand elle fait la vaisselle, je vais la peloter un peu en serrant son joli petit cul contre mon pubis, mais j’ai besoin d’un peu de répit car ces dernières heures elle a remis souvent le couvert en utilisant mon ustensile.
Contrairement à sa sœur Marilyn au cours de l’été précédent, Chantal à constamment envie de sexe. Une boulimique sexuelle. Elle m’a bien bernée avec ses airs de petite fille timide quand sa mère la déposée.
Cette Chantal est positivement une tigresse vorace, prête à me sauter dessus à chaque instant.
Elle a fini la vaisselle et me retrouve dans la salle de séjour. Souriante elle me regarde comme une chatte qui va sauter sur une souris.
– Veux-tu un dessert, Tonton ?
Ce dessert-là ne figure pas sur une carte de restaurant. En roucoulant, Chantal soulève son débardeur et m’offre ses nichons en les secouant de gauche à droite. Ses tétons, déjà incroyablement gonflés, attirent immédiatement mon attention et je sens des frémissements dans mon pantalon.
– Qu’en penses-tu, Tonton ?
– Que du bien !
Et je vois sa touffe de poils sous ses bras quand elle les soulève pour retirer son débardeur.
– Mais on ne devait pas raser tes dessous de bras ?
– OH OUAIS ! S’exclame Chantal, Oui. On fait ça où ?
– Va dans ta chambre, je te rejoins avec ce qu’il faut
10 ans de moins et je lui aurais déjà sauté dessus. Où est donc passée ma jeunesse où je pouvais faire l’amour plusieurs fois de suite ?
Chantal, torse nu, m’attend dans sa chambre et me dit.
– Avant de commencer, j’aimerais que tu retires ton pantalon, Tonton. Il ne faudrait pas te salir…
Je défais ma ceinture et mon pantalon tombe au sol et puis je retire mon slip.
Le coup d’envoi est donné quand elle ajoute.
– Tu crois que tu vas bander quand tu vas me raser, Tonton ?
– ça se pourrait bien, ma puce.
– Cool ! Mais j’aime bien ta bite quand elle est un peu molle et toute douce comme maintenant. J’aime quand elle se balance lorsque tu te déplace. On dirait une trompe d’éléphant.
Elle a le don de me faire rire mais aussi de m’exciter.
Je commence à raser ses poils quand elle me dit
– Paul va être très surpris quand il verra mes dessous de bras rasés. Lorsque je les ai laissé pousser, il a aimé et m’a dit que je ressemblais à un garçon avec des poils sous les bras.
Allongée sur le dos, ses seins ont quasiment disparu, seuls ses longs tétons pointent comme des bourgeons gonflés de sève et ne laissent aucun doute sur ses pensées et son envie de sexe.
Chantal gémit de temps en temps pendant que je termine mon rasage et que j’essuie sa peau. Je laisse courir mes doigts sur sa peau et voyant le frisson que ce contact lui procure, je me penche et je passe ma langue sur sa peau lisse et humide.
– Ooooh, gémit Chantal décidément très sensible au moindre attouchement.
– C’est plus sexy et, sans poils c’est plus agréable, ajoute-t-elle.
Elle prend ma main droite et la porte sur sa chatte en disant
– Regarde l’effet que ça me fait. Je suis toute humide. Et toi… ça te fait quelque chose ?
Et ses yeux s’égarent sur mon entrejambe et je n’ai pas besoin de répondre. Ma bite est presque entièrement dressée, preuve flagrante que cette petite m’excite toujours autant.
– Tonton, baise-moi. J’en ai envie. Prends-moi avec ta belle queue.
– Chantal…tu en a jamais assez !
– Tu sais Tonton… je ne suis pas comme ça habituellement. Je te jure ! Paul est le seul garçon qui m’a initié aux jeux de sexe et je ne voulais même pas qu’il me déflore. Je m’en foutais si nous faisions ou pas l’amour même si j’aimais bien avoir sa bite dans le cul. Je n’étais pas folle de sexe. Avec toi, c’est complètement différent, Tonton.
– Comment ça, bébé.
-Tu fais ça si bien… À chaque fois qu’on baise, tu me fais jouir plusieurs fois. C’est si bon de jouir avec toi et c’est vachement fort. C’est de ta faute si j’ai envie de sexe. Chaque fois que je te vois, je veux que tu me baise. Je veux sortir ta bite et la sucer partout où nous sommes.
– Toi aussi tu m’excite, chérie
-Je vois bien ! Ta queue est très dure. On dirait qu’elle va exploser.
Je baisse mes yeux pour voir effectivement ma bite au gland cramoisi, gonflée et pointant vers le ciel. Je ne sais pas si cette couleur pourpre est le résultat de mon excitation ou la récente utilisation excessive, qu’elle en fait !
– Regarde, ça coule, dit-elle en voyant suinter de mon méat un liquide transparent.
– Et quelle en est la cause… ma puce. Quand je te vois, je bande. Un homme de mon âge ne devrait pas bander si souvent.
– Mais tu n’es pas vieux, Tonton. Paul qui a 18 ans ne bande pas aussi souvent que toi ! Si je ne me trompe pas, douze fois en cinq jours. Tu m’as baisé neuf fois, je t’ai sucé et avalé deux fois et je t’ai branlé la première nuit. Tu t’en rappelles, mon Tonton ?
– Oh, oui, mon cœur.
– Je ne savais pas que je pouvais autant exciter un homme et que je pouvais jouir aussi souvent !
-Tu n’as plus de soucis à te faire, Chantal. Ils seront tous à tes pieds.
Pour toute réponse, Chantal plie ses genoux et écarte ses cuisses pour m’offrir sa chatte rousse.
Je grimpe sur le lit, ma bite en main pour la coller directement en elle. Elle est toujours aussi serrée mais dégoulinante de cyprine ce qui permet à ma bite gonflée de la baiser rapidement et sans difficulté. En moins de 2 minutes elle jouit bruyamment en me griffant comme une chatte sauvage.
Elle n’a pas encore récupéré de son orgasme que moi aussi je jouis en lâchant des flots de sperme au fond de sa chatte gourmande et assoiffée. Du coup, elle repart de plus bel dans un autre orgasme qui fait trembler sa chatte en enserrant ma bite qui se soulage.
Chantal les yeux au plafond souffle et exprime son plaisir avant de se blottit contre moi en attrapant ma bite gluante, lui donnant une traction lente.
– Tu m’as tué, ma puce d’amour !
Et je retire sa main de ma bite morte.
– Oh, mais je peux la ramener à la vie, suggère Chantal.
– Peut-être plus tard, dis-je en descendant du lit. Peut-être…
Probablement pas, pensais-je, ne sachant pas où trouver l’énergie nécessaire pour suivre son rythme et ses besoins de sexe.
Je quitte sa chambre et je vais prendre une douche pour apaiser mes muscles endoloris. Pendant que je m’essuie, j’entends la voix de Chantal qui est probablement avec son portable, qui semble être la seule autre chose qu’elle aime faire en dehors des activités liées au sexe. J’enfile un pyjama et je sors de la salle de bain.
En passant devant la chambre de Chantal qui a laissé la porte ouverte, elle me semble particulièrement agitée. Elle s’engueule avec son petit ami, ou ex petit ami. Paul doit en prendre plein les oreilles car dans la cuisine ou je suis descendu pour me désaltérer je l’entends encore. En remontant elle crie.
– Je ne mens pas, connard ! Hurle Chantal. Tu es simplement jaloux !
En parlant, Chantal me voit passer devant sa porte toujours ouverte et en continuant de crier dans le téléphone elle me fait signe d’entrer.
Avec méfiance, j’entre dans sa chambre, et Chantal coupe son téléphone sur un dernier cri.
– Je t’emmerde, petit con ! Puis,
– Viens par-là, Tonton que je te souhaite une bonne nuit avec un baiser.
Je m’approche d’elle pour lui faire un bisou sur la joue mais cette petite a d’autres plans en tête. Quand je lui bise son front, elle m’att**** par le cou et m’embrasse amoureusement en fouillant ma bouche de sa langue de serpent.
– Tonton, tu m’as fait jouir très fort tout à l’heure. Ta bite me fait un bien fou.
Et tout en parlant je sens sa main qui écarte mon pyjama.
– Chantal, ma puce, veux tu rester sage.
Elle n’en a cure et ses doigts saisissent ma bite molle pour commencer à tirer dessus.
– Je veux juste faire joujou avec…
Déclare-t-elle avec un sourire qui en dit long. Je me retrouve avec mon pyjama par terre, nu devant cette l****a obsédée par ma bite.
– Je veux juste jouer avec ton beau sexe pendant un petit moment.
La bouche de Chantal prend le bout de mon sexe et elle lèche et grignote mon gland alors que ses mains commencent une lente mais énergique branlette.
– Tonton… c’est merveilleux et je suis heureuse de découvrir ce qu’un homme, un vrai, peut me donner comme plaisir. Marilyn ne me mentait pas.
– Tiens donc ! Ta sœur était satisfaite de mes services ?
– Très satisfaite ma grande sœur ! Ta bite est si belle, si longue et bien plus grosse que ce connard de Paul. J’espère la prendre entièrement d’ici peu… avec de l’entraînement. Ce soir, je veux ma crème de beauté sur mon visage pour pouvoir m’endormir.
– Chérie, je t’adore et je voudrais bien… mais je ne récupère pas si vite.
– Moi je suis sûre que si. Je suis sûre que tu vas aimer ça.
Chantal soulève ma bite et commence à s’occuper de mes couilles.
Ma bite sur sa tête, elle me suce les couilles et malgré mes doutes, je sens ma queue frémir tellement elle suce mes noix avec application.
Je gémis et je frotte ma bite sur son visage alors que Chantal aspire mon testicule gauche comme pour le gober
– Tu vois…Tonton, je sais y faire. Elle grossit encore. Tonton ! Mets-toi à genoux sur le lit.
Je fais ce qu’elle m’ordonne et Chantal att**** ma bite par derrière pour me traire comme une vache ! Quand elle sent ma queue bien réagir elle me dit.
– Quand Paul ne durcit pas assez vite, et c’est souvent le cas, je dois lui faire ça pour réveiller sa petite queue.
Je regarde par-dessus mon épaule, mais je ne vois rien car elle est derrière mon cul. Mais je sens aussitôt sa langue qui glisse dans la raie de mes fesses !
-Tu aimes, Tonton, me demande Chantal en broyant mes couilles dans une main.
– Heuuu, ouiii…
Je ne sais même pas quoi répondre devant tant de perversité de la part de ma jeune nièce.
-Moi aussi j’aime, Tonton.
Et je sens sa langue passer sous le dessous de mes couilles qui se balancent entre mes cuisses.
– Paul me supplie de lui faire ça, mais pour toi j’ai…j’ai vraiment envie de le faire.
Sa langue virevolte sur mes couilles et à ma grande surprise, elle glisse de nouveau entre mes fesses. Ma nièce lèche mon trou du cul ! Et le bout de sa langue tamponne furieusement ma corolle sensible.
Sur mes bras et mes jambes frissonnantes, je gémis fortement quand sa langue force l’entrée et pénètre un peu dans mon cul.
La combinaison de sa langue et de ses mains qui triturent mon sexe et mes couilles, plus la vision dans la glace de l’armoire, du visage de Chantal enfoui entre mes fesses, rendent ma bite aussi dure que de l’acier.
– Chantal… Chantal……..Putain ! c’est pas possible !
– Tu vas jouir, Tonton ?
Quand je dis oui entre deux gémissements, elle plonge sous moi et sa bouche se verrouille sur ma bite quand elle commence à gicler. Les mains de Chantal continuent de me branler et sa bouche me suce pendant que je lui envoie des jets de sperme aussi vite qu’elle peut en avaler
.
Je lui remplis tellement sa bouche que ça coule sur le coté des lèvres et mouille son menton. Elle me regarde de ses beaux yeux verts, brillants par l’excitation de ce qu’elle fait, et quand elle à finit d’avaler mon foutre, elle me dit avec son sourire coquin.
– Si tu veux recommencer plus tard, je reste à ta disposition, Tonton chéri.
– Plus tard ! Euh, nous verrons ça.
Et je file en vitesse dans ma chambre. Avant de m’endormir, je me dis que je ferais bien d’acheter du Viagra ou mieux du Cialis, si je veux continuer sur ce rythme avec ma petite salope de nièce
.
Celle-ci n’a pas attendu longtemps avant de reprendre son téléphone et elle peut s’en servir aussi longtemps qu’elle veut, car je ne suis pas prêt de revenir la voir ce soir ou cette nuit !
A suivre
Phantome
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