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[vue sur le net] Cobaye pour ma soeur et ses copin

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Morgane et moi entendions les bruits de pas de notre mère résonner dans les escaliers. N’ayant pas suffisamment de temps pour nous rhabiller et aucun endroit où nous cacher, nous savions, les filles et moi, que maman allait nous surprendre.

Apeurés, nous étions incapables de bouger ou de prononcer le moindre mot. Ce fut avec effroi que nous vîmes la poignée tourner et la porte s’ouvrir.

Notre mère entra dans la pièce et, en nous voyant nus tous les quatre, son visage vira à l’écarlate. Les filles et moi baissâmes la tête, n’osant affronter le regard de maman.

— Mais… Qu’est-ce qu’il se passe ici ?! cria ma mère.

Morgane tenta une explication en balbutiant, encore trop effrayée d’avoir été prise en flagrant délit moral d’i****te.

— Nous… Nous ne voulions pas aller si loin. Élodie, Thu Jin et moi devions rédiger un rapport de biologie sur la sexualité des mammifères. Nous avons voulu prendre un homme pour l’exemple. J’ai demandé à Alexandre s’il était d’accord. Il a été réticent au début mais il a accepté de nous aider par gentillesse puis les expériences nous ont fait prendre goût à ce genre de rapport et nous avons continué à nous amuser tous les quatre. Je suis désolée, maman. J’aurais dû me montrer plus réfléchie et faire preuve de discernement. Tout est de ma faute.

Sur ces derniers mots, ma soeur prit sa tête dans ses mains et se mit à sangloter. Ma mère posa une main sur son épaule.

— Sèche tes larmes, ma chérie. Ce que vous avez fait ton frère et toi est très mal moralement mais vous êtes adultes maintenant et, en tant que tels, vous êtes libres de faire vos propres choix. J’espère juste que vous vous êtes protégés avant de passer à l’acte.
— Oui, maman, nous nous sommes protégés.
— Bon, eh bien, tout est en ordre pour moi. Vous n’avez rien fait de mal en ce qui me concerne.

Surpris par la compréhension dont ma mère faisait preuve, je me demandais si elle n’essayait pas de cacher son état de choc.

— Quoi ? Tu n’es pas fâchée ? Nous nous amusions en cachette par peur de ta réaction et de celle de papa.
— Ne t’en fais pas, mon enfant. Pour tout te dire, ce n’est pas la première fois que je suis confrontée à l’i****te.
— Comment ça ?
— Eh bien, je ne vous l’avais jamais dit auparavant mais, vu que vous l’avez fait, je peux, sans me sentir coupable, vous raconter mon plus grand secret. Est-ce que vous voulez connaître mon histoire ?
— Oui, bien sûr, maman.
— Très bien. J’ai vécu une situation similaire à la vôtre avec mon père et des amis à lui. Vos grands-parents se disputaient très souvent lorsque j’avais votre âge. Mon père sortait toujours très déprimé de leurs disputes. Un jour, je l’ai trouvé assis dans son fauteuil, en train de fixer le mur du salon. Je me suis avancée vers lui et lui ai demandé ce qu’il se passait. Il m’a répondu qu’il s’était disputé avec ma mère au sujet de la complicité conjugale. Il m’a confié qu’il souhaitait retrouver les plaisirs qu’ils avaient connus au début de leur relation. Malheureusement, ma mère n’avait plus aucune envie de le satisfaire sur ce plan-là.
— Et qu’est-ce que tu as fait ensuite ?
— Eh bien, à l’époque, comme beaucoup de jeunes filles, je fantasmais beaucoup sur mon père. Alors, en laissant parler mes pulsions, je lui ai proposé de lui donner ce que ma mère lui donnait au temps de leur rencontre. Bien évidemment, il a commencé par refuser en me rétorquant que j’étais folle et perverse. J’ai insisté en lui disant que son bonheur m’importait et que je serais très fière de pouvoir satisfaire ses envies. Il a finalement fini par céder et m’a demandé de lui faire une fellation. Toute contente de réaliser un vieux fantasme, je me suis agenouillée devant lui et ai fait glisser la fermeture éclair de son pantalon. J’ai ensuite fait tomber son caleçon au sol et, sans me poser de questions, j’ai commencé à sucer son sexe aussi bien que ma jeunesse et mon manque d’expérience de l’époque me le permettaient. Il était très bien équipé. Un peu comme tu as l’air de l’être en ce moment, Alexandre. Puis, après quelques minutes, il m’a demandé de recracher son pénis. Il a ouvert les cinq premiers boutons de ma chemise et il s’est mis à se masturber jusqu’à ce qu’il éjacule sur mes seins. Après que mon père ait repris ses esprits, je lui ai demandé comment il allait et s’il avait aimé ma fellation. Il m’a répondu que ma première fellation était meilleure que toutes celles que ma mère lui avaient prodiguées réunies et que j’avais un réel talent pour cela. Il m’a demandé si je voulais poursuivre notre relation. Je lui ai répondu tout de suite que oui et, depuis, il a fait mon éducation sexuelle et m’a pris ma virginité. Et, une fois qu’il m’a jugée prête, il a invité, dans le dos de ma mère, ses amis à coucher avec moi. Les petits jeux qu’il organisait ont duré jusqu’à ma rencontre avec votre père. À cause de mon mariage, je n’avais plus le temps de satisfaire votre grand-père et ses amis comme ils le souhaitaient.
— Quelle histoire ! Et papa ? Est-ce qu’il le sait ?
— Oui. Il a été le premier à qui j’ai raconté mon histoire.
— Et comment a-t-il réagi ?
— Il a été très compréhensif et n’a pas cherché à me juger.

Tout excité par la confession que ma mère nous avait faite, je me risquai à demander :

— Est-ce que tu as eu d’autres fantasmes de ce genre depuis ton mariage avec papa ?

Ma mère éclata de rire.

— Si c’est une habile tentative de me demander de te montrer mes talents, il suffisait de me le demander tout simplement. Tu vas voir maintenant de quoi ta mère est capable.

Sur ces mots, ma mère ôta sa robe. Je fus surpris de constater qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge mais j’étais trop excité par la situation pour lui demander quoi que ce soit. Elle fit ensuite tomber sa petite culotte au sol et s’agenouilla devant moi.

Elle saisit la base de mon sexe et posa ses lèvres sur mon gland violacé par l’excitation. Dans un lent mouvement de va-et-vient, ma mère fit coulisser ses lèvres sur ma verge érigée.

Maman n’avait pas menti : son entraînement avec mon grand-père lui avait permis d’acquérir beaucoup d’expérience.

— Hum… Maman… Tu suces divinement bien ! Cette fellation est la meilleure que je n’aie jamais connue !

Flattée par mon compliment, ma mère accéléra le rythme de sa fellation. La pression de ses lèvres sur mon sexe me procurait beaucoup de plaisir, tant et si bien qu’au bout de quelques secondes, je lui criai que j’allais jouir.

Ma mère recracha mon pénis et se tourna vers les trois filles.

— Bon, on le finit ensemble, les filles ?

Ma soeur et ses amies s’empressèrent de se mettre à genoux aux côtés de ma mère. Maman s’empara de mon sexe et le plaça devant ses seins. Morgane, Élodie et Thu Jin engagèrent à leur tour leur poitrine sur mon phallus et les quatre femmes se mirent à me faire la plus belle branlette espagnole que je n’avais jamais connue.

Le contact de ces quatre magnifiques paires de seins ne mit pas plus de deux ou trois minutes à me faire éjaculer. Les quatre femmes se relevèrent et léchèrent leurs tétons. Ma mère donna ensuite ses seins à Morgane pour qu’elle les nettoie de ma semence tandis qu’Élodie faisait de même avec Thu Jin. Les deux duos changèrent ensuite les rôles et ma mère me demanda :

— Alors ? Ta mère est-elle toujours aussi pleine de ressources ?
— Oui, maman. Tu as été superbe. De plus, les années et les maternités n’ont pas affecté la beauté de ton corps. Je suis sûr que grand-père était très fier de toi quand tu avais mon âge. D’ailleurs, en parlant de lui, ça fait longtemps que nous ne sommes pas allés lui rendre visite. J’aimerais beaucoup que nous nous retrouvions en famille. Enfin, tu vois ce que je veux dire. Élodie et Thu Jin devraient venir avec nous, elles aussi. Qu’en dis-tu ?
— C’est une bonne idée mais il faut d’abord que je parle de ce que j’ai vu entre vous à papa et à grand-père.

À peine ma mère avait-elle fini sa phrase que la porte d’entrée s’ouvrit. La voix de mon père se fit entendre.

— Bonjour, ma chérie. Bonjour, les enfants.

Ma mère nous fit signe de nous taire en mettant un doigt devant sa bouche. Mon père appela une nouvelle fois.

— Solange ! Les enfants !

Intrigué par le mutisme qui régnait dans la maison, papa monta les escaliers. Lui aussi allait découvrir notre petit jeu.

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Mon père montait à présent les escaliers. Ce fut avec une excitation des plus vives que nous vîmes la poignée tourner et la porte s’ouvrir. En nous voyant nus tous les cinq, papa afficha la même expression de surprise que notre mère une heure auparavant.

— Qu’est-ce qu’il se passe ici ?! Solange ! Les enfants ! Pourquoi êtes-vous tous nus ?

Ma mère alla enlacer mon père et lui donna un baiser.

— Mon chéri, permets-moi de t’expliquer la situation : nos enfants l’ont fait. Ils ont eu des rapports i****tueux. Élodie et Thu Jin étaient également de la partie. Rassure-toi : je ne l’ai découvert qu’aujourd’hui. Je leur ai raconté mon histoire, ce qu’il m’est arrivé avec mon père. Ils ont été plus que compréhensifs. Tout comme toi. Allez, rejoins, Daniel. Alexandre se sent seul avec toutes ces femmes.
— Whaou ! J’étais loin de m’attendre à quelque chose de ce genre en rentrant à la maison… Mais bon, puisque nos enfants le veulent, nous allons leur montrer ce que leurs parents savent faire, ma chérie. Et puis, Morgane, Alexandre, vous n’êtes pas les seuls à éprouver le fantasme de l’i****te. Ma chère fille, viens soulager ton père de sa longue journée de travail.

Aux anges, ma soeur alla s’agenouiller devant papa et fit glisser la fermeture éclair de son jean. Avec un désir sauvage, Morgane fit ensuite tomber son pantalon au sol et lui retira son boxer, faisant jaillir un sexe de bonne taille raide d’excitation.

— Hum… Les hommes de notre famille sont visiblement bien équipés ! Petit frère, viens te mettre à côté de papa. Je veux comparer vos sexes.

Je me plaçai aux côtés de mon père et ma soeur jaugea nos deux verges.

— Hum… À première vue, vous semblez avoir des phallus de même taille. Qu’en dis-tu, maman ?

Ma mère s’agenouilla devant moi et prit mon sexe dans une main et celui de mon père dans l’autre. Elle caressa nos deux verges sur toute leur longueur pendant quelques secondes et les relâcha.

— Tu as raison ma chérie, ils semblent de même taille. Mais le sont-ils réellement ? Va chercher une règle, que nous en ayons le coeur net.

Morgane ouvrit un tiroir et en sortit un triple décimètre. Elle le tendit à ma mère qui prit nos mensurations.

— Pour papa, une taille de… 18,4 centimètres. Et pour Alexandre, une taille de… Incroyable ! 18,4 centimètres aussi !

Ma mère reposa la règle sur le sol et s’agenouilla devant moi. Elle se saisit la base de mon phallus et commença à me prodiguer l’une de ses superbes fellations dont elle seule détenait le secret.

Morgane s’agenouilla devant mon père.

— Hum… Après le sexe de mon petit frère, je meurs d’envie de goûter celui de mon père.

Sur ces mots, ma soeur suivit l’exemple de ma mère et commença à sucer mon père. Élodie et Thu Jin se placèrent mon père et moi et commencèrent à nous masser les épaules en nous déposant, de temps à autre, un langoureux baiser sur le cou.

Pendant que Thu Jin le massait, mon père ne cessait de complimenter ma soeur sur ses talents de fellatrice.

— Quel bonheur ! Ô Morgane, tu as hérité tes talents de ta mère ! Continue ! Suce-moi !

Pendant ce temps, ma mère me suçait toujours avec maîtrise et application. Agenouillée nue devant moi, elle me donnait beaucoup envie.

— Maman ! Arrête ! J’ai envie de toi ! Laisse-moi t’aimer !

Ma mère recracha mon pénis et me regarda d’un air mi-vicieux mi-autoritaire.

— Très bien mais tu n’auras droit qu’à mon anus car je refuse que tu reviennes dans le sexe qui t’a donné la vie. Je t’ai mis au monde pour que tu voles de tes propres ailes et non pour que tu restes avec moi pour que je te couve.

Je hochai la tête en signe d’approbation et ma mère me prit par la main. Elle m’entraîna vers un mur de la chambre. Elle posa ses mains dessus et se cambra le plus possible afin de me faciliter l’accès à sa croupe.

Je saisis mon phallus et l’enfonçai, centimètre par centimètre, dans l’anus maternel. Lorsque mon sexe fut bien immergé dans le fessier de ma mère, je me mis à faire d’allègres va-et-vient qui la firent gémir de plaisir.

Pendant que je sodomisais ma mère, j’entendis mon père s’adresser à ma soeur et à ses amies.

— Bonne idée qu’il a eue, ton frère ! Je vais aussi profiter de ton anus, ma chérie. Quant à vous deux, aidez-moi à la faire jouir.

Mon père entraîna les trois filles vers le mur opposé à celui que ma mère avait choisi. Morgane prit la même posture que ma mère et mon père donna ses instructions.

— Élodie, mets-toi à genoux sous Morgane et lèche-lui la chatte. Thu Jin, amuse-toi bien avec sa magnifique poitrine.

Les deux se placèrent exactement comme mon père le leur avait demandé et celui-ci se mit à sodomiser ma soeur pendant qu’Élodie et Thu Jin appliquaient ses exigences.

De mon côté, après m’être défoulé entre les fesses de ma mère pendant cinq bonnes minutes, j’y éjaculai dans un râle de plaisir. Je retirai mon sexe de l’anus maternel et laissai ma génitrice se redresser afin de se remettre de l’inconfort de sa position antérieure.

Alors que ma mère se reposait, une idée me vint à l’esprit. J’avais beaucoup apprécié, plus que je ne le laissais voir à ma soeur et à ses amies, d’avoir été sodomisé par des femmes. Je pris alors le gode de ma soeur que celle-ci avait abandonné sur le sol et le tendis à ma mère.

— À ton tour, maman.
— Hum… Tu veux que je te prenne ?
— Oui, s’il te plaît ! J’ai toujours beaucoup t’obéir et, lorsque tu me punissais, j’étais toujours secrètement excité par ton autorité. Alors, maintenant, punis-moi à nouveau ! Punis-moi d’avoir fait l’amour avec ma propre soeur ! Venge-toi de la sodomie que je t’ai faite subir !

Ma mère me sourit et attacha le gode-ceinture au niveau de ses reins. Je pris la même position qu’elle quelques minutes auparavant et ma génitrice enfonça l’extrémité du gode dans mon anus. Elle me prit par les hanches et se mit à aller et venir allègrement dans mon fondement.

Ma mère me fit subir la puissance de ses coups de reins pendant quelques minutes encore puis elle se retira de mon fessier.

— Punition terminée, mon enfant.

Elle retira le gode-ceinture et le reposa à terre. Après avoir eu le plaisir d’être sodomisé par ma mère, je voulais à présent terminer notre séance en lui faisant un cunnilingus à la hauteur de ses fellations.

— Maman ? À défaut de pouvoir pénétrer ce magnifique sexe qui m’a mis au monde, pourrais-je le vénérer de mes caresses ?

Ma mère éclata de rire.

— Comme ton père, toi… Tu trouves toujours un compromis pour atteindre ton but. Bon, d’accord, je vais te laisser me lécher la chatte.

Ma mère plaqua mon visage sur son sexe. Excité, je sortis ma langue et léchai avec passion le sexe qui m’avait fait voir le jour dix-huit ans auparavant. Après quelques secondes, ma génitrice émit un feulement de plaisir et ma bouche fut assaillie de sa délicieuse cyprine.

Après que j’eusse avalé la cyprine de ma mère, je regardai à nouveau ce que faisaient mon père et les trois filles.

— Oh ! Oui ! Ça y est ! Ça va venir !

Mon père se retira de l’anus de ma soeur et éjacula sur ses fesses. Élodie et Thu Jin s’agenouillèrent derrière Morgane et léchèrent son fessier afin de le nettoyer du sperme paternel.

Lorsque nous fûmes tous apaisés par l’assouvissement de nos pulsions, nous discutâmes de ce que nous pouvions faire ensuite pour mettre un peu plus de piment dans notre vie.

— Je crois qu’il est temps que je rende une petite visite à mon père. Je pense qu’en lui rappelant le bon vieux temps, il sera on ne peut plus réjoui par la nouvelle que je lui annoncerai.

Tout le monde approuva l’idée de ma mère et celle-ci se prépara pour aller rendre visite à mon grand-père.

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Ma mère quitta la chambre pour aller se changer. Elle revint quelques minutes plus tard dans une superbe robe rouge moulante.

— Alors ? Qu’est-ce que vous en dites ? Je tiens à préciser que je suis complètement nue en-dessous.
— Tu es superbe, maman. Quoi que tu veuilles faire, je suis sûr que grand-père appréciera.
— Je confirme, ma chérie. Tu es sublime.
— Merci beaucoup pour vos avis, les garçons. Je vais de ce pas rendre visite à mon père.

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Je quittai la maison d’un pas allègre. En effet, depuis toutes ces années, mon père et ses petits jeux coquins m’avaient beaucoup manqué. Je me sentais toute drôle dans ma robe. C’était la première fois que je sortais de chez moi dans une tenue aussi… Légère. Mais bon, il y en avait au moins un qui en serait ravi.

Après dix minutes de marche, j’arrivai à la maison dans laquelle j’avais grandi. Je montai les escaliers qui menaient au perron et sonnai à la porte. Des bruits de pas se firent entendre et mon père ouvrit la porte.

— Solange ! Ma chérie ! Comment vas-tu depuis tout ce temps ? Et Daniel ? Et les enfants ?
— Tout le monde se porte à merveille. Et toi, ça va ? Et maman ?
— Moi, ça va. Quant à ta mère, j’ai quelques jolies anecdotes à te raconter. Bon, allez, entre. Nous serons plus à l’aise dans le salon pour parler.

Mon père me fit entrer et m’invita à m’assoir dans un fauteuil en face de lui.

— Alors, ces jolies anecdotes ?
— Tu veux les connaître ? Très bien. Lorsque tu as quitté la maison, ta mère a découvert que nous couchions ensemble ainsi que les petits gang-bang que nous organisions avec mes amis. Elle nous a alors traités de salope i****tueuse et de dépravé désespéré. Le ton est monté entre nous et, au bout d’un moment, j’ai dû lui montrer qui était le plus fort.
— C’est-à-dire ?
— Je me suis saisi d’une corde et lui ai attaché les mains. Je lui ai ensuite demandé de s’excuser pour nous avoir insultés. Elle l’a fait en pleurant. J’ai alors décidé de profiter de la situation. Je l’ai emmenée à la cave et l’ai attachée par les pieds à l’un des poteaux. J’ai ensuite libéré ses mains pour qu’elle puisse prendre la nourriture. Depuis, je lui apporte toujours son repas dans une gamelle et elle mange comme une chienne.
— Whaou ! Ce devait être splendide à voir ! J’aurais beaucoup aimé être là. Au fait, en parlant d’anecdote, j’en ai aussi une à te raconter mais, d’abord, je vais t’expliquer l’objet de ma visite. J’ai une petite surprise pour toi. Petit indice : regarde sous ma robe. Enlève-la moi.

Mon père se leva de son fauteuil et me retira ma robe.

— Pfff… Magnifique ! Rien en dessous ! Ton vieux père te manquait, c’est cela ? Ce n’est pas à cause de Daniel, j’espère ?
— Non, non. Je t’expliquerai tout plus tard mais, maintenant, je veux que tu me prennes comme tu le faisais quand j’avais dix-huit ans.
— Depuis le temps que j’attendais que tu repasses… De plus, les années et les deux maternités n’ont en rien nui à la beauté de ton corps. Bien au contraire ! Et puis, quelle chatte ! Je n’en ai jamais vu d’aussi bien entretenue !

Mon père se déshabilla à toute vitesse, tout excité à la vue de mon corps nu. Il s’avança ensuite vers moi et me demanda de m’agenouiller devant lui. Je pris alors son sexe noueux dans ma main et me mis à le caresser avec amour.

Je posai ensuite mes lèvres sur le gland violacé de mon géniteur et commençai une fellation.

— Hum… Solange ! Tes fellations sont toujours aussi bonnes ! Oh oui ! Quelle experte tu es devenue !

Je continuai à sucer le membre de mon père pendant quelques minutes puis celui-ci sortit son sexe de ma bouche et me demanda de poser mes seins contre la table et de me cambrer au maximum.

Mon père se plaça derrière moi et enfonça sa verge dans mon intimité. Mon géniteur commença à faire de puissants va-et-vient dans mon sexe puis, au bout de quelques minutes, je sentis que mon père allait jouir.

— Non, ne jouis pas en moi. J’ai une meilleure idée.

Mon père se retira de moi et je me dirigeai vers mon sac à main. J’en sortis mon gode-ceinture et me l’attachai autour des reins.

— Tu ne refuserais pas une faveur à ta fille chérie, papa ? Depuis un certain temps, j’éprouve le fantasme de prendre un homme avec mon gode-ceinture.
— Hum… Tu es vraiment une petite vicieuse… Je suis fier de toi, ma fille. Dis-moi ce que tu veux que je fasse.
— Je vais m’allonger sur le dos et toi, tu t’empaleras sur mon gode-ceinture. Pendant que tu t’empaleras, tu vas te masturber jusqu’à ce que tu jouisses sur moi.
— Bonne idée, ma chérie !

Je m’allongeai sur le sol et mon père s’assit sur mon phallus factice. Il commença à s’empaler en se masturbant frénétiquement tandis que je gardais la bouche ouverte et les seins tendus en coupe.

Après quelques minutes, mon père éjacula dans ma bouche et sur ma poitrine dans un râle de plaisir. Je le laissai se relever puis me redressai à mon tour avant d’ôter mon gode-ceinture.

Mon père alla s’assoir dans son fauteuil et je pris place en face de lui.

— Alors, cette anecdote ?
— Eh bien, pour tout te dire, nous avons été imités par mes enfants. Oui, Alexandre et Morgane ont fait l’amour avec deux amies de Morgane. Daniel et moi l’avons découvert aujourd’hui. Nous avons également pris part au jeu et nous nous sommes dit que, au vu de notre passé, tu aimerais participer.
— Parfait ! Le vieux pervers que je suis n’aurait pas pu rêver mieux ! On sera samedi demain. Par conséquent, vous pourriez peut-être venir tous les six ici et nous pourrions nous retrouver autour d’une belle partouze familiale. Qu’en dis-tu ?
— Super ! Je vais prévenir les enfants et Daniel.

Sur ces mots, j’embrassai mon père puis, après avoir revêtu ma robe, pris le chemin du retour, tout heureuse d’annoncer la bonne nouvelle à ma famille.

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Maman rentra à la maison. À son arrivée, elle nous raconta ce qu’elle avait vécu avec son père.

— Ça a été de belles retrouvailles. Votre grand-père m’a bien honorée et, vous savez quoi ? Il m’a raconté une très jolie anecdote. Il m’a raconté qu’il avait soumis votre grand-mère et que, depuis, elle dort dans la cave et mange dans une gamelle qu’il lui apporte.
— Whaou ! Ça a dû te faire un choc.
— En effet. Mais bon, je ne peux pas dire que cela me déplaise. À part cela, bonne nouvelle : votre grand-père nous a invités tous les six à venir chez lui demain.

Nous manifestâmes notre joie par des sifflets et des applaudissements. Comme il s’était fait tard, nous décidâmes d’aller nous coucher afin de rêver de la superbe journée qui se profilait pour le lendemain. Cette nuit-là, Morgane, Élodie et Thu Jin dormirent avec moi tandis que mes parents dormaient dans le lit conjugal.

Au lendemain, nous préparâmes nos affaires pour aller rendre visite à mon grand-père. Mon père et moi avions déjà ce qu’il nous fallait. Les femmes, quant à elles, avaient pris la précaution de mettre leurs godes-ceintures dans leurs sacs à main et avaient opté pour des tenues… Très légères.

Lorsque tout le monde fut prêt à partir, nous prîmes la route de la résidence de mon aïeul. Après dix minutes de marche, nous montâmes les escaliers qui menaient au perron et ma mère sonna à la porte. Des bruits de pas se firent entendre et mon grand-père ouvrit la porte.

— Bonjour à vous tous ! Entrez !nous dit-il d’un ton joyeux.

Mon père et moi serrâmes la main de mon aïeul tandis que celui-ci échangeait des baisers avec les femmes.

— Tu leur a raconté l’anecdote, ma chérie ? demanda-t-il à ma mère.
— Oui. Ils ont beaucoup aimé.
— Parfait. Avant que nous ne commencions, j’aimerais que nous nous échauffions un peu. Déshabillez-vous et descendez avec moi à la cave. Les filles, n’oubliez pas de mettre vos godes-ceintures.

Nous nous déshabillâmes donc tous les six, les filles se munissant de leurs godes-ceintures, puis nous descendîmes à la cave.

— Restez derrière le trou. nous ordonna-t-il.

Mon grand-père ouvrit ensuite la porte de la cave et détacha ma grand-mère.

— Pose ton cul contre le trou : mes amis ont envie de te prendre.

Ma grand-mère obéit à l’injonction et mon grand-père nous rejoignit derrière le trou.

— Qui veut commencer ?

Ma mère leva la main et se positionna derrière la soumise. Elle fit lentement entrer son gode dans l’anus de sa mère et se mit à pousser. Ma génitrice accéléra son mouvement, faisant gémir ma grand-mère de douleur.

Après cinq minutes, ma mère se retira et céda à ma soeur. Celle-ci se mit à pilonner mon aïeul dans un puissant mouvement de va-et-vient. Après quelques minutes, Morgane céda sa place à Élodie qui l’imita. Elle fut ensuite suivie par Thu Jin, mon père et moi.

Lorsque j’eus éjaculé à la suite de mon père dans le fondement de mon aïeule, mon grand-père prit la parole.

— Et si nous allions boire un verre pour nous remettre de nos émotions ?

Nous approuvâmes d’un mouvement de tête puis mon grand-père alla rattacher son épouse. Nous montâmes ensuite les escaliers jusqu’à la salle de séjour.

— Bon, après ce petit échauffement, attaquons le plat de résistance.

Morgane, Élodie et Thu Jin retirèrent leurs godes-ceintures et s’agenouillèrent devant mon père et mon grand-père. Les trois filles se mirent ensuite à lécher leurs testicules. Ma mère allait retirer son gode-ceinture lorsque je lui fis signe de le garder.

— Non, pas maintenant. Je veux d’abord sentir ta grosse queue dans mon fondement.

Ma mère sourit et me fis me mettre à quatre pattes sur le canapé. Ma génitrice se positionna derrière moi, me saisit par les hanches puis enfonça son phallus factice entre mes fesses. Lorsqu’elle eut bien enfoncé son gode dans mon anus, ma mère commença à faire des va-et-vient d’abord lents afin que je puisse savourer sa pénétration puis plus puissants.

Depuis la première sodomie qu’elle m’avait faite, j’avais développé une sorte de fétichisme envers elle. À tel point que je ne pouvais faire l’amour avec elle sans qu’elle ne me prenne avec son gode. Le plaisir que je ressentais lorsque ses cuisses frappaient mes fesses était indescriptible tant j’adorais cela.

Ma mère poursuivit ses va-et-vient durant quelques minutes encore puis se retira. Elle ôta son gode-ceinture puis s’allongea sur le divan.

— Viens vénérer le sexe de ta mère, mon enfant.

Je plaçai ma tête entre ses cuisses et commençai à lécher avec application le sexe qui m’avait mis au monde. Ma langue remontait et redescendait le long de ses grandes lèvres en tâtant son clitoris érigé.

Après la jouissance, manifestée par un feulement de plaisir, ma mère se mit à quatre pattes, son fessier orienté vers moi.

— Et maintenant, viens prendre ta mère, mon chéri.

Je me saisis de mon sexe et fis passer mon gland à présent violacé par l’excitation dans l’anus de ma génitrice pour ensuite y faire entrer mon sexe entier. Comme elle l’avait fait avec moi quelques minutes auparavant, je commençai par faire de lents va-et-vient afin de lui procurer plus de plaisir à la pénétration puis accélérai le rythme.

Entendre le bruit du contact entre mes cuisses et le fessier de ma mère fut également très excitant pour moi, tant et si bien qu’au bout de quelques minutes, je me retirai du fondement de ma génitrice et éjaculai sur ses deux globes fessiers.

Lorsque je me fus remis de mes émotions orgasmiques, je fis assoir ma mère à mes côtés et commençai à lui caresser les seins en regardant ce qu’il se passait entre les autres membres de ma famille.

Morgane avait à présent les seins collés à la table et se faisait sodomiser par mon grand-père tandis qu’Élodie et Thu Jin prodiguaient une branlette espagnole à mon père qui faisait gémir celui-ci d’extase.

Ma mère et moi nous caressâmes mutuellement jusqu’à ce que les deux mâles éjaculent sur leurs partenaires respectives.

Lorsque mon père et mon grand-père eurent joui, ma mère alla lécher le fessier de ma soeur tandis qu’Élodie et Thu Jin donnaient leurs poitrines à nettoyer à Morgane. Lorsque les quatre femmes furent propres, le patriarche prit la parole.

— Alors ? Ça vous a plu ? Moi, je ne me suis jamais autant amusé de ma vie.

Tout le monde approuva et nous tombâmes tous d’accord pour remettre cela.

Épilogue : depuis cette partouze familiale, Morgane et moi avons chacun rencontré quelqu’un pour partager nos vies. Élodie et Thu Jin également. Malgré nos mariages, nous avons continué nos jeux i****tueux et nos femmes et maris y ont pris goût à leur tour.

FIN

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