Ah les aires d’autoroute!
Tout est possible….
Découverte
Prologue
J’ai senti très tôt mon attirance pour les hommes. J’ai toujours été plus ou moins efféminé, ce qui fait que mes préférences vont vers les petites culottes ou les strings des filles – et de ma femme, par la suite.
Ma féminité fait que je m’épile entièrement. Ma femme ne déteste pas, et les hommes en général aiment un corps d’homme lisse, d’autant que j’ai la chance d’avoir aussi des petits seins très pointus, qui apparaissent dès que je mets un tee-shirt serré.
Les hommes avec qui j’ai – ou eus – des rapports sexuels ont aimé me faire l’amour et la plupart sont revenus pour en redemander, car ils ont pris beaucoup de plaisir à me fourrer leur bite dans la bouche ou le cul.
Est-ce un don, mon expérience des hommes et des femmes ? En tout cas, j’adore sucer une queue, surtout si elle est longue et grosse. Je l’avale très profond dans ma gorge, surtout lorsque je sens que le mec va jouir.
Sur le plan cul, c’est aussi le pied, pour eux : je suis très large et profond. La plupart disent que cela ressemble à un vagin. J’avoue sincèrement que cela me fait très plaisir, car j’ai toujours regretté de ne pas être une femme. J’aurai été une sacrée pute, car pour moi, si en l’état actuel des choses j’aime les femmes, je ne peux pas me passer de bites ni de sperme.
Les vacances
Nous avons passé, ma femme et moi, trois semaines de vacances sur la Côte d’Azur, trois semaines merveilleuses, surtout que le soleil était au rendez-vous: sorties le soir, restaurants gastronomiques, balades en mer, promenades et farniente.
Mais aussi grasses matinées, car nous avons fait l’amour tous les jours, ou plutôt toutes les nuits. Oui, nous avons baisé sans relâche. Ma femme est plus jeune que moi. C’est une jolie blonde, petite mais bien proportionnée, bouche large, des seins assez gros, comme je les aime, avec de larges aréoles.
Son corps entièrement épilé dévoile une chatte dont le triangle est très large, montrant une fente bien ouverte, faisant apparaître l’entrée de son vagin entrebâillé, une entrée appelant à la pénétration. Ses fesses sont rebondies et très ouvertes. On voit dans le fond son cratère, à peine brun clair mais assez large, ce qui laisse supposer qu’il n’est pas vierge.
Lorsque je l’ai sodomisée, la première fois, mon sexe n’a eu aucun mal à entrer. Je lui ai dit :
– Tu n’es pas vierge, de ce côté ?
Elle m’a répondu :
– Non.
Était-ce pour m’exciter ? Elle a enchaîné :
– J’ai vécu en Afrique et tu sais, nous, les blanches, on adorait se faire baiser par des bites de couleur.
En fait, elle est tellement large devant et derrière que cela ne me surprend pas, car moi aussi j’ai eu le plaisir, durant ma vie de bisexuel passif avec les hommes, de me faire baiser – je dirais défoncé – par des hommes de couleur.
C’est merveilleux, car on en prend plein le cul, en longueur, grosseur et quantité de sperme. De plus, moi aussi j’ai le trou largement dilaté. C’est un gros avantage, car on ne redoute pas une bite lorsqu’elle est au-dessus de la taille normale.
Donc nous avons baisé sans relâche pendant trois semaines, pipes avec éjaculation, cunnilingus, sodomies pendant qu’elle se brossait les dents, baise sur la table, au balcon, etc. Nous en avons profité.
Le retour
Nous sommes repartis dimanche en fin d’après-midi, vers dix-huit heures. Nous nous sommes arrêtés pour manger un casse-croûte, pisser un coup, et sommes repartis. Nous roulions tranquillement en discutant de choses et d’autres sans intérêt.
À vingt et une heures, ma femme a pris un somnifère, car elle aime dormir en voiture, elle a une confiance aveugle en moi, sur la route. Elle n’a pas mis longtemps avant de plonger dans un profond sommeil.
Moi, j’écoute la radio en sourdine et je roule pépère, la nuit commence à tomber, je pense aux bons moments passés avec elle, les parties de jambes en l’air… C’était sublime, ces vacances ! Je serais bien resté plus longtemps. Mon esprit vagabonde tant et plus.
Ma bisexualité
Mon imagination se met à gamberger très fort. Pendant trois semaines, pas une seule fois je n’ai pensé à un homme, une bonne bite à sucer, une bite grosse et ferme, pour me baiser et me donner son sperme, pas une seule fois, et je revois la dernière qui m’a fait jouir de plaisir.
Elle était très belle, et pendant longtemps elle m’a limé, avant de me donner son jus dans le ventre. Au fur et à mesure que j’y pense, je sens mon sexe qui grossit dans ma petite culotte de nylon transparent jaune paille. Je sens ma bite qui s’échappe de ce petit morceau de tissu, trop petit pour la contenir. Machinalement, je me caresse. Elle est grosse, elle a envie de jouir.
En pensant à cette bite de mâle, je sens mon trou qui se dilate et frémit, d’autant que je prévois toujours de mettre du lubrifiant avant de sortir, où que j’aille : il m’est arrivé d’avoir des occasions et, l’entrée étant déjà préparée, la pénétration s’est toujours faite facilement.
De plus, le gel me procure une bonne sensation à l’anus.
Donc l’envie me prend de plus en plus. Ma bite raide, mon entrée intime qui en demande… Il me faut une bite de suite ou je vais réveiller ma femme pour la lui foutre dans le cul.
Mais mon choix va plutôt vers une queue, une bonne queue qui me baiserait et me donnerait son jus. Que faire ? Je suis fébrile quand, machinalement, je vois au loin des feux. On dirait un camion. J’ai souvent eu l’occasion, sur les autoroutes, de me faire baiser par des routiers. La nuit, ils sont comme moi à l’instant : ils rêvassent, ils sont en manque, et ils ont envie de baiser, comme tout le monde.
Au fur et à mesure que je me rapproche, je vois qu’effectivement, c’est un camion. Je me mets derrière et lui fais des petits appels de phares discrets. Il donne des petits coups de patin. Je mets mon clignotant pour le doubler. Arrivé à hauteur de sa cabine, je lui fais un petit signe et lui envoie un petit bisou avec la main, puis le double lentement et viens me mettre devant, à la même vitesse que lui. Je reste là, petits coups de patin de temps en temps. Il me fait des petits coups de phares, puis je vois :
« Aire de repos à deux mille mètres »
Je mets mon clignotant et quelques coups de frein. Deux cents mètres. Il met son clignotant. Chouette ! Il a compris ! Il va venir me rejoindre, je vais le sucer et il va me baiser…
Je regarde ma femme, elle dort bien, elle ronfle. Tant mieux !
Je m’engage sur l’aire de repos. Il est derrière, à deux cents mètres environ. J’ai le temps de me garer et de filer aux toilettes. Lentement, je me gare, ferme discrètement la portière, pour ne pas réveiller ma femme et cours aux toilettes.
Je vais vers celle qui a une porte. Je pousse celle-ci sans la fermer. Un petit rai de lumière filtre à l’intérieur, c’est bien, car il verra mon petit cul, ça le fera bander.
Je quitte vite fait mon short et garde ma petite culotte de nylon transparent. Je me mets en position, comme si j’allais uriner, une main contre le mur, les jambes éloignées pour mettre mes fesses bien en évidence, et les pieds très écartés.
J’entends ses pas feutrés qui se rapprochent de plus en plus. Dans un instant, ça va être ma fête ! Il va me la fourrer très profond. Je bande, mon trou frémit d’impatience.
La porte s’ouvre et se referme aussitôt. Il est derrière moi, je sens son odeur de mâle. Une main glisse sur mes fesses, l’autre m’effleure le sexe, il passe sa main dans ma culotte, et descend entre mes cuisses, chaudes de plaisir. Il me glisse un doigt dans la fente, puis s’arrête sur le trou lubrifié.
Il s’attarde, rentre le doigt, le tourne à l’intérieur, puis deux doigts qu’il enfonce très profond. Trois doigts, je suis large, il veut savoir combien il peut en mettre. Je le sens excité.
Brusquement, il me fait mettre à genoux et me fourre sa bite dans la bouche. Elle est énorme et dégage une odeur de mâle. Ça m’excite. Je l’engloutis au fond de la gorge et le suce goulûment pendant quelques minutes. Je voudrais qu’il éjacule dans ma bouche, car j’adore l’odeur et le goût du sperme, mais non, je préfère qu’il me défonce avant.
D’un geste doux et tendre, il me repousse, me tourne… Enfin ! il va m’enculer !
Il me fait mettre mes deux mains contre le mur, tire mes fesses vers l’arrière, écarte mes jambes et, d’une main, il prend sa bite et la passe dans ma raie. Il la fait glisser, elle vient buter contre mon trou humide et prêt à engloutir ce membre gros et raide.
L’autre main est sur mon ventre. Sa bite, dont le gland me réchauffe l’anus, entre tout à coup de quelques centimètres, s’arrête, puis sous un coup de reins s’engloutit complètement, pour aller buter au fond de mon ventre.
Il entreprend un lent mouvement de va-et-vient qui me comble de plaisir, il est heureux de bonheur. Il s’active de plus en plus vite, il gémit, il râle et, tout à coup, avec sa deuxième main qui était venue se mettre sur mon ventre, il me tire de toutes ses forces contre lui, me bourrant sa bite tout fond, si bien que je sens ses couilles entre mes fesses. Il me bourre, et une première giclée de sperme brûlant vient s’abattre au fond de mon vagin en feu, puis une deuxième, et tout le jus de ses couilles vient me remplir. Pendant ce temps, je jouis.
Lentement, il s’est retiré. Je sentais le sperme ressortir, dégouliner entre mes fesses et couler sur mes cuisses. Il m’a dit :
– C’était merveilleux ! Tu es bonne, et j’espère un jour te retrouver sur ma route, pour te remettre ça !
Je lui ai dit qu’il était bon, et sa bite merveilleuse, et que le plaisir qu’il m’a donné, je ne suis pas près de l’oublier.
Une petite tape sur les fesses :
– Bon petit cul et superbe trou ! À un de ces jours, et bonne route !
– Merci, pour le plaisir et le sperme ! À plus, et bonne route !
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