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Apéro surprise

Apéro surprise



Un soir, je décide de faire une surprise à mon mari. J’enfile un bustier et un string assorti, agrémenté d’un porte-jarretelles et des bas résilles. Je me chausse d’escarpins et pour finaliser le tout, une ambiance feutrée avec une musique adéquat. très chaude. Alors que je finale mon maquillage, je ne l’entends pas rentrer.
En me maquillant, je suis toute excitée à l’idée de la surprise que je lui réserve. Mais, quand il ouvre la porte de la salle de bain, il n’est pas seul. Sans me prévenir, il a invité un collègue de travail pour l’apéro. Je suis horrifiée. Son ami quant à lui ne se gêne pas pour détailler mon anatomie. Je suis surprise de la réaction de mon mari qui aulieu de refermer la porte et repartir dans le salon, me dit :
« Et bien ma chérie, je vois que tu sais recevoir !  N’est-ce pas Christian ! »
Son collègue acquiesce avec un large sourire et Alain continue en me disant :
« Michèle ! Tu voudras bien nous servir l’apéro ? »
Confuse, rouge de honte, je bredouille :
« J’vais me mettre quelque chose avant ! »
Il rigole et me répond :
« Mais nous mon ange. ; tu es très bien comme tu es. »
C’est donc très gênée que je les sers au salon. Alain à mon passage me pelote ostensible les fesses devant son collègue. Je ne sais comment réagir et je sens, malgré cette humiliation et peut-être à cause de cette humiliation, que je me met à mouiller.
Alain en continuant de me palper les fesses, demande à son copain :
« Elle est bien roulée ma femme non ? »
Christian approuve et non content du résultat, il me demande :
« Mon amour, fais-nous un strip-tease comme tu sais si bien les faire ! »
Je regarde Alain outrée en lui lançant :
« Et puis quoi encore ! Tu veux un peep-show pendant que tu y es ? »
Il éclate de rire en voyant ma réaction et sur un ton plus ferme il insiste :
« Pourquoi pas ! Je suis certain que Christian appréciera. Allez ouste déshabilles-toi ! En plus la musique que tu as mis est parfaite pour ça ! »
Morte de honte et n’ayant jamais rien su refuser à mon homme, je commence fébrilement mon effeuillage. Quand je dévoile mes seins, comme d’un commun accord, les deux hommes sortent leurs queues déjà raide et se masturbe doucement. Christian remercie mon mari pour un tel accueil :
« Merci Alain ! Je reviendrais avec plaisir prendre l’apéro chez toi ! »

Une foi nue, Alain me dit :
« En bonne hôtesse, tu devrais prendre soin de notre invité ma chérie ! Regarde comme il bande pour toi ! Allez ! Sois gentille, viens nous sucer ! »
Et s’adressant à Christian, il lui confirme :
« Tu vas voir, c’est une avaleuse de bite hors pair ! »
C’est une vraie tempête dans ma tête. Je suis très excitée et en même temps je me refuse d’aller plus loin dans cette dépravation. Mais le corps commande parfois plus que l’esprit et je me met à genoux pour les sucer à tour de rôle. Pendant que j’en branle un, je suce l’autre. Il apprécient à sa juste mesure ma caresse buccale. Il est vrai que j’aime sucer une belle bite et que je suis plutôt douée de ce côté là.
Alain au bout d’un moment m’a laissé continuer de sucer son pote et c’est mis à me bouffer le minou. J’adore cette caresse et je me met à gémir et onduler des hanche sous sa langue agile. Ne pouvant plus résister, son membre trop dur, Alain pénètre mon antre d’amour et se met à me baiser tendrement alors que je continue à sucer son collègue de travail.
Puis, Alain me dit :
« Couche-toi sur moi, que je puisse te prendre par-derrière !»
Je n’aime pas trop la sodomie mais prise dans cette tourmente sexuelle, obéissante, je m’allonge sur lui pour lui offrir mon petit trou. Malgré l’excitation, et vu la dureté de son engin, la pénétration est pénible et toujours la queue de son ami dans la bouche, je grimace de douleur. Mais, inexorablement, sa queue entre doucement centimètre par centimètre, jusqu’à la garde. Là il s’immobilise un instant et dit à son copain :
« Elle est bonne ma femme ? T’as vu ? Je t’avais bien dis qu’elle suçait comme une reine ! Allez viens ! Il y a une place de vide dans sa chatte ! »
Empalez comme je suis, je ne peux rien faire. Je lui dis seulement :
« Alain t’es un salop ! »
Bien entendu, Christian s’empresse de combler le trou qui lui est offert et m’embroche facilement le vagin tant je suis trempée. Comme si ils faisaient ça régulièrement, ils se mettent à me bourrer en synchronisant leurs va-et-vient. Leurs bites sont tellement grosses que je les sens aux travers de mes parois intimes et j’ai la sensation de me faire éclater comme un fruit mûre. Les douleurs du débuts remplacent rapidement des vagues de plaisir. J’éructe des mots incompréhensibles. Je suis devenue comme une déesse du sexe et de la luxure. Je suis en transe et prends un plaisir indescriptible. Les vagues de plaisir monte en moi crescendo et me voilà à deux doigts de l’orgasme.

Empalée comme une chienne sur leurs deux bites, je leurs cris :
« Haaaaaaaa !!!! C’est trop boon ! J’vais jouiiiiiiir !!!! »
Dans une ultime convulsion et dans un cris de lionne, mon orgasme explose. Les contractions de mon vagin et de mon cul entraîne irrémédiablement leurs jouissances. Ils éjaculent quasiment en même temps aux tréfonds de mes entrailles dans des grognements de bêtes. Épuisés, nous restons inerte quelques instants, leurs engin ramollissant doucement dans mes conduits intimes. Puis, en se retirant, Alain, sur le ton de la blague me demande :
« Pour l’apéritif, tu devrais goûter nos saucisses ! »
C’était tellement bien que je nettoie leurs petit boudins avec délectation.
C’est dans des éclats de rire que nous finissons cette apéro surprise. Au départ de Christian, je lui dis :
« J’espère qu’on recommencera ! Tu est le bienvenu chez nous ! Je suis certaine qu’Alain est de mon avis. C’était génial ! »

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