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éloge de la perversité

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je tiens à raconter ici les aventures – toutes réelles – que j’ai vécues. J’ai 48 ans, je n’ai jamais été beau et pourtant …
Ma première expérience insolite a eu lieu quand j’avais près de vingt ans. je travaillais pour payer mes études et alors que j’attendais le bus pour rentrer chez moi je vis une fille, de mon age ou presque qui attendait à l’arrêt d’à côté. Nous étions en juillet, elle était en t-shirt et jupe légère. C’était une brune, cheveux au carré, bien proportionnée, ni grosse ni trop maigre, pas très jolie mais agréable malgré ses lunettes à montures en plastique marron. Quelque chose dans son attitude attirait le regard et de fait je me rendis compte que je n’étais pas le seul sur le coup : un type improbable, tout petit et très moche se glissait derrière la fille et je le vis, sidéré, qui commençait en douce à lui remonter sa jupe. La scène était si drôle que je ne songeais même pas à intervenir et au contraire je me reculais pour suivre la progression verticale de la jupe qui dévoilait petit à petit un peu plus de cuisse ronde. La fille hélas se rendit compte du manège et chassa d’un revers la main aventureuse du pauvre garçon.
Et c’est là que cela devint intéressant car au lieu de faire un scandale la jeune fille lui parla gentiment, et même lui donna un rapide baiser sur la bouche avant de monter dans son bus! Le type en resta sidéré, paralysé sur le quai. Je saisis alors ma chance et montai dans le bus à mon tour. Ce n’était pas ma direction mais qu’importe ! Cette fille était chaude, c’était évident!
Elle était allée s »assoir vers l’arrière, son sac de sport posé sur le siège à côté d’elle. Le bus était presque vide et j’hésitais à m’approcher. Et puis à l’arrêt suivant je vis que de nombreux passagers allaient monter. La peur de me faire griller la place pulvérisa ma timidité. Avant que les nouveaux passagers n’arrivent je m’étais avancé vers elle. Dès que je fus près d’elle, elle prit son sac et se le mit sur les genoux. Je m’assis à côté d’elle, sans un mot. Mon genou était collé au sien. Je mis ma main sur mon genou, puis très vite sur le sien. Pas de réaction. Elle regardait le paysage. Je commençai à remonter. Autant son genou était un peu calleux, autant le début de sa cuisse était très doux et incroyablement frais. J’étais aux anges. Hélas son sac de sport bloqua assez vite ma progression et je dois avouer que cette gêne provoqua chez moi un geste énervé. La fille réagit aussitôt, soulevant son sac et le callant contre le siège de devant. J’avais le champs libre.
J’avoue que j’étais si excité que la présence de passagers tout autour de nous ne me freina pas une seconde. Aussitôt libérée, ma main fila entre ses cuisses que j’écartai avec autorité. Autant ses cuisses étaient fraîches, autant son slip me sembla chaud, voîre brûlant. Je n’étais pas très délicat à l’époque et j’avoue que je lui fourrai directement la main dans le slip, pour m’occuper de son clito. J’étais trop excité par la situation pour le faire avec délicatesse alors je dois dire que je la branlai assez sévèrement.
Elle ne parut pas trop mécontente de ce traitement car outre les gémissements sourds qu’elle laissait échapper et son souffle de boeuf, elle commença à me tremper les doigts de manière indécente. Je lui glissai alors directement deux doigts. Aussitôt elle me saisit le poignet. Pour me retirer? pas du tout ! Au contraire elle me poussait en elle plus profond ! Je lui mis alors trois puis quatre doigts, malgré l’inconfort de notre position.
Elle commença alors à avoir des soubressauts si violents que les passagers devant commencèrent à râler. J’arrêtai auusitôt et entraînai ma conquête. On est descendus à l’arrêt suivant, du côté d’Olivet. On s’est écartés un peu de la route. Sophie – elle se reconnaitra – s’est appuyée contre un arbre. J’ai commencé par lui enlever son slip que je garde encore en souvenir puis je lui ai glissé ma queue afin de la lubrifier et j’ai réussi aussitôt après à la sodomiser. Non sans mal d’ailleurs mais quand le gland est passé le reste suit.
J’ai revu Sophie à Orléans quelques années après. Elle était avec sa mère à la terrasse d’un café. Je vous raconterai la scène la prochaine fois. Sachez seulement qu’elles préparaient le pélerinage de Sophie à Lourdes, comme chaque année !

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