Un motard, ça trompe énormément.
L’autoroute était fréquentée habituellement et quotidiennement par des policiers, gendarmes et motards avec leurs radars et contrôlaient les automobilistes. La plus belle chose que j’ai vécue en 2003.
Effectivement, je sortais d’une Administration, et il pleuvait surtout ce soir et les autoroutes étaient encombrées, ce qui était normal.
Je regagnais le domicile, si j’en avais bien la certitude car un rêve m’indiquait un présage assez particulier.
La forte pluie ne cessait de masquer la vue et les dépassements étaient impossibles. Je tente le risque pour éviter les péages. C’est alors, que lentement et là c’était dangereux, j’entreprends un dépassement, ridicule car j’avais l’impression d’être une tortue alors qu’il fait spider.
Un homme, un motard me fait signe à plusieurs reprises de m’arrêter. Il me demande de venir au poste. J’avais la peur au ventre, l’angoisse.
Il restait quelques hommes de son métier mais lui était certes, exceptionnel.
Je lui montre les papiers et me demande l’explication.
Je lui ai dit :
– Vous savez, la routine, les formations, le boulot, bref il me comprenait.
C’est alors qu’il me propose de me reposer.
Je ne comprenais pas car son visage montrait son propre caractère et jargon mais le plus surprenant est de me dire que là-haut, il y avait un lit. Je lui dit :
– Mais, monsieur, je ne vais pas me permettre de m’approprier les lieux?
Il me répliquait que c’était important pour moi et que le fait de se reposer permet de mieux regagner la route. Par ailleurs, il me dit que même ses collègues et lui-aussi prennent un peu de repos et se relaxent.
– Monsieur, regardez, mes pantalons mouillés,mes chaussures sales.
Ce fonctionnaire me propose de faire comme chez moi.
Je monte et lui demande de m’accompagner car il y avait plusieurs pièces et là, je remarquais des livres un peu je crois en dessous des autres vêtements, que je soulevais discrètement pour aller chercher une couverture mais je lui ai dit qu’il faisait assez chaud.
C’est ensuite que l’on commence un peu à dialoguer et je lui ai dit que j’ai râté une consultation de kiné en raison de douleurs cervicales et je lui ai dit que je souffrais de cela depuis mon accident.
Il me regardait et me dit :
– Heureusement et je suis content pour vous que vous puissiez vous rétablir. Quant à moi, j’ai manqué ma séance de muscu.
C’est alors que tout le long de son discours, il me raconte de ses séances de massage au club. Il me conseille de m’allonger, d’ôter mes vêtements, si je le souhaite car il était curieux de savoir mes souffrances.
Je lui ai promis pour ne pas rendre le matelas, d’ôter tout le reste et le slip (l’on verra après).
Ses mains, d’homme, de sportif musclé mais pas brutales rendaient mon corps au fur et à mesure plus détendu et lui demande de continuer. Je lui ai dit qu’il me faisait du bien.
Le massage a duré pendant quelques minutes et la chose permise :
– Etes-vous marié? M’a t-il dit.
– Je n’ai pas de goût pour les femmes.
Certes, il a compris et m’a affirmé que dans sa vie, sa femme n’était pas capable de lui donner un garçon. J’étais ahuri.
Il m’a demandé enfin si je voulais être massé ailleurs. Ma réponse était :
– Mes jambes me font mal.
Le plus est qu’il regardait mon slip et j’ai douté. Jamais je n’aurais cru être dans les mains d’un mécène.
Il me caresse les jambes et je lui demande s’il est content de sa femme et avec son sourire, j’entends de sa propre voix :
– J’en ai marre des moules infectes.
C’est alors que je lui dit que le slip était gênant aussi pour le matelas car il pouvait le rendre humide, il me dit :
Ote-le, sans problème, je suis un homme et ma queue est comme la tienne.
Enfin , je lui propose tout en me caressant les jambes pour quelques minutes, si cela lui faisait du bien car il en avait besoin surtout pour la pause.
Il ôte non seulement son uniforme en se levant et maillot, slip. Jamais, je n’aurais vu un torse aussi velu, musclé, un autre type de caractère cette fois, souriant et rigolant, avec une barbe piquante par la suite.
J’étais allongé : mais, je lui ai dit:
– Approche ton visage, barbe et langue vers mon pénis, si tu veux car là c’est douloureux.
N’hésitant pas, il se met rapidement et d’une manière comme un suceur expert à tourner sa langue et à employer sa barbe qui ne cessait de me chatouiller. Cela a duré vingt minutes car il tenait mes jambes à l’aide de ses bras musclés et poilus. Il me disait qu’il avait faim et à mon tour, je ne cessais de respirer violemment et brutalement tant les collègues en bas disaient de faire moins de bruit mais lui était commandant mais je lui recommandais de se régaler en abondance.
J’étais en sueur, et en conclusion, je lui dis d’enlever sa tête et là : splash, un jet de sperme sur son visage.
Cette aventure de la part d’un homme généreux me marquera à vie. Ainsi, plus la peine de payer les dépassements d’honoraires pour ceux qui sont rusés.
La morale : rien ne sert de se contrarier car » mains froides, coeur chaud »
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