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Photographe 19

Photographe 19



Récit envoyé par un ami photographe.
Ce matin, je suis convoqué chez mon patron.
« Bonjour Alain. Je crois que vous êtes à vos heures perdue photographe ? »
« Oui Monsieur et je peux m’avancer en disant que ma renommée dans ce domaine n’est plus à faire. »
« Huuum oui en effet, je suis allé sur votre site voir quelques unes de vos « « Œuvres… » Vous donnez quand même sérieuse ment dans le porno Alain ! »
« Heu non enfin oui parfois mais accessoirement. Mon activité principale étant les photos de boudoirs et les portraits Monsieur. » Dis-je un peu gêné, ne sachant pas vraiment où il voulait en venir.
Tout en jetant sur la table quelques uns de mes clichés, il reprend :
« Parceque ça ! C’est pas du porno ? »
Je jette un œil rapide sur les photos et reconnais aussitôt les clichés fait avec, Martine, Suzie et Karine.

Avant que j’ai le temps d’ouvrir la bouche, il me dit :
« J’ai une femme de 41 ans qui a l’habitude d’évoluer dans les plus hautes sphères de la société. Ma femme, est ce qu’il est convenu d appeler une femme du monde. La pratique régulière de la danse lui ont permis de conserver le corps magnifique que lui a donne la nature et que lui envieraient bien des jeunes filles. »

Je regarde mon patron sans mot dire ne sachant trop où il veut en venir.
« Voilà ce qui m’amène vers vous. Je veux piéger mon épouse. La voir entre les mains d’un d’inconnus et lui faire subir une première expérience S.M. Mais je veux de la classe, du tact et du raffinement. C’est une surprise pour mon épouse. Si vous accéptez le contrat, je veux que voir au préalable les hommes que vous aurez choisi pour cette séance. »
Je suis surpris d’une telle proposition et je bégaille :
« Heu oui.. Je Bien oui c’est possible. Je connais des hommes viril pour ça. Mais peut-être que mes tarif vont vous sembler prohibitifs pour ce style de prestation ? »
« Quel est votre tarif ? » Me lance-t-il d’un regard vif.
« 4000€ la prestation plus 50€ par tirage. Je garde en archive toutes les originaux. » »Marché conclu. Établissez le contrat et je le signerai chèque à l’appui. Maintenant discutons du scénario pour arriver au but que je recherche ; déstabiliser Anne progressivement, sans qu’elle se rende compte du dérapage de la séance photo. »

Je reprend la parole d’un ton cet foi assuré. Le pro reprenant du poil de la bête.
« Puisque vous devez vous rendre à cannes, pour y rencontrer d’importants clients allemands. Vous pourriez vous faire accompagner par votre épouse. Le soir, au restaurant, le maître d’hôtel, vous placera à côté de ma table. Négligemment, je feuilleterai un book de lingerie. Là, vous engagerez la conversation et serez intéressé par mon travail que vous présenterez à votre épouse. La soirée commencerait ainsi. »
« Huum oui très classe en effet j’adore. «  acquiesce mon boss.

Je reprends en lui affirmant :
« La suite, vous le verrez, sera tout aussi subtilement orchestrée. »
Le soir du jour J, quand je la vois pour la première fois dans le hall de l’hôtel, je sens tout le potentiel de cette bourgeoise gainée dans une robe sexy à damner un saint.

Mon boss marche un pas derrière Anne, souriant, visiblement fier et amusé des regards furtifs que quelques clients jettent discrètement sur elle. Anne avance d’un pas souple. Elle sourit légèrement, son regard ne fixe personne. Je m’amuse a la déshabiller et estimer ses mensurations. Je souris en voyant cette magnifique robe qui lui sert d’écrin et qui, tout en étant très chic, ne cache que très peu ses atours.

La vue de ses cuisses fines dévoilées par cette robe fendue très haut et le décolleté impressionnant qu’offre cette robe me subjugue. Intérieurement je pense aux trésors d’imagination et aux arguments que Georges a déployer pour convaincre Anne de porter cette robe si sexy. Son corps parfait est ainsi superbement mis en valeur.

Anne s’assied à côté de moi comme prévu, sous l’œil complice de Georges. Rapidement, la conversation s’installe et s’oriente bien entendu son mon métier de photographe de charme. Anne se contente de suivre la conversation en silence, la ponctuant de temps a autre d’un sourire convenu. C’est alors que je place ma première banderille lorsque Georges, sur un ton badin, me dit :
« Mon cher ami, à force de photographier des mannequins plus ou moins dénudés, vous devez être blasé ? »
De cette réflexion anodine, je feins une attitude teintée de respect et de timidité mêlée tout en répondant, en jetant un regard furtif sur Anne :
« Vous savez mon cher, la beauté des mannequins est souvent superficielle et devient de par là même presque banal. Alors que le mélange subtil entre beauté, charme et sensualité est une alchimie bien plus subtile. D’ailleurs, mon cher, pardonnez ma franchise, mais votre épouse est l’incarnation de cette harmonie. »

Anne s’empourpre à ce compliment alors que son époux la regarde en souriant. Anne se donne une contenance en buvant une gorgée de son verre de vin. Georges jugeant alors que le premier acte a produit son effet passe à l’étape suivante.
« Dites-moi franchement cher ami, simple curiosité masculine. Pardonne moi ma chérie. Durant votre carrière, combien de fois avez vous disposé d’un modèle répondant aux vertus dont vous parliez de mon épouse tout a l’heure ? »
Je fais semblant de réfléchir un instant avant de répondre, préservant un peu de suspense. J’en profite pour observer à la dérobée les réactions d’Anne. Elle regarde son époux d’un air surpris , vaguement teinté de reproche, puis saisit fébrilement son verre à nouveau. Je jubile intérieurement de voir la main trembler imperceptiblement, légèrement crispée sur le verre. Reprenant mon air faussement timide, je réponds évasivement :
« En fait, très peu de fois C’est un privilège assez rare de shooter un tel modèle. Sentir que cette femme est à votre disposition et du bout de mon objectif, la posséder. » Je termine ma phrase un peu rêveur. En fait, nous avions convenu d’employer des mots ambiguës pour déstabiliser la dame. Mal à l’aise, Anne se raidit sur la banquette, fixant son mari, choquée du tour que prend la conversation. Je peux percevoir sa poitrine qui monte et descend sensuellement par l’accélération de sa respiration, témoin de son trouble et de sa gêne.

Georges avait raison. Son épouse, par retenue ou en vertu d’une docilité inconsciente, ne disait rien, même si son trouble devenait visible. Georges profite alors de la déstabilisation d’Anne pour pousser l’avantage. Posant sa main sur celle d’Anne, il me confie :
« Voyez vous, mes affaires me conduisent souvent à être loin de mon épouse. Seriez-vous disposé ce soir à organiser un shooting de mon épouse ? Des photos que je pourrais avoir avec moi et ainsi constamment contempler sa beauté. »
Anne se raidit un peu plus regardant courroucée son mari. Et nen croyant visiblement pas ses oreilles. Georges ajoute à sa confusion :
« Des photos sexy mais décentes bien entendu, mon ange, rassure toi. »
Son visage devient rouge écarlate. Comment son mari pouvait penser une seconde qu’elle pourrait poser pour un autre genre de photos. Puis, elle se détend, soulagée, en définitive, qu’il ne s’agisse que de quelques photos souvenirs. Je m’empresse alors d’accepter l’offre, remerciant par avance Anne d’être mon modèle. Celle-ci émet quelques protestations timide, murmurant :
« Mais… je ne suis pas coiffée. Je suis a peine maquillée. ! »
Ne vous inquiétez pas Madame votre beauté naturel n’a pas besoin de maquillage.

Georges coupe court aux arguments d’Anne, et déclare l’affaire entendue. Il rédige devant son épouse un chèque de 4000€. Je souris à cette jolie femme et, d’un air faussement gêné, je leurs dis :
« Mon matériel est dans ma suite. »
Georges finit son café, et se levant dit à son épouse :
«  Et bien ! Allons y ! »
Puis hélant le maître d’hôtel :
« Montez donc une bouteille de Piper Heidsieck dans la suite de monsieur, je vous prie ! »
Anne s’efforçant de conserver un air naturel, arbore un léger sourire figé. Visiblement tendue, elle est gênée par la tournure que prend les événements. La main crispée sur son sac à main, elle marche devant eux. Nous échangeons un sourire de conivence, très complice, le plan se déroulant à merveille. J’ai tout le loisir alors que nous nous rendons vers les ascenseur de détailler la superbe plastique de cette femme.
Nous prenons tous les trois l’ascenseur. Georges, excité passe sa main dans le dos nu de son épouse, frôle ses fesses un instant comme pour lui signifier le plaisir qu il prend par avance à la voir s’exhiber devant l’objectif durant cette séance de photos. Cette caresse accentue le trouble et le désarroi d’Anne. Un frison la parcourt lui faisant pointer les tétons au travers du fin tissu de la robe.

Ses joues s’empourprent, alors que sa respiration s’accélère sous une angoisse qu’elle s’efforce de juguler. Elle se répète intérieurement que ce shooting est anodin pour se rassurer. Ils entrent dans le salon de la suite. Il est meublé d’une table basse, d’un canapé, et de profonds fauteuils. Derrière le canapé, une arcade donne sur la chambre à coucher. Georges s’assit dans un des deux fauteuils laissant son épouse debout au milieu de la piéce. Brisant le silence, je m’adresse à Anne :
« Vous savez, Anne. Il ne sagit pas de poses figées. Soyez naturelle. Oubliez l’appareil..Vous allez bouger comme si vous étiez seule avec votre mari. »
Tout en lui parlant je la photographie. Anne se déplace gracieusement dans la piéce, visiblement de plus en plus à l’aise.

Il est temps maintenant de passer à l’étape suivante. Avec le contre jour de la fenêtre, je vais prendre des photo en quasi transparence.
« A présent, allez vers la fenêtre, là bas… Retournez vous vers moi, en passant la tète par dessus votre épaule. Voilà c’est ça… Retournez-vous avez un mouvement de cheveux… Oui c’est bon ça…. »

Doucement, Anne sourit, parfaitement détendue. Elle se prend au jeu. Alors qu’elle marche en lui tournant le dos, vers la fenêtre, je m’arrête brusquement de mitrailler et dit après un silence :
« Ne bougez plus Anne, s’il vous plaît ! »
Elle se fige et m’adressant à son mari :
«  Regardez, Georges ! »
Feignant la surprise, il s’exclame :
«  Ca alors, on ne voit que ça ! »
Anne tournant désespérément la tête dans leur direction, fronce les sourcils cherchant de quoi ils peuvent bien parler.
« C’est normal, c’est un phénomène de contraste actif, lié a la combinaison des lumières. la superposition des tissus. »
J’ajoute laconiquement :
« C’est pour ça que les mannequins ne porte jamais de sous vêtement. »
Anne se crispe à ces mots et d une voix blanche dit :
« De quoi parlez-vous ? Il n’est pas question que j’enlève mes sous vêtements ! »
Sa voix trahit une réelle inquiétude. Je prends alors un air embarrassé.
«  Et bien., on ne voit que ça sur les clichés Anne. C’est plutôt disgracieux de voir votre slip et votre soutien-gorges en transparence. Le résultat est esthétiquement déplorable. Je ne peux continuer le shooting dans ces conditions là. Il en va de ma réputation. »
A ces mots les joues d Anne s empourprent à nouveau. Elle est vraiment craquante dans ces moment là. Georges vole à son secours :
«  Vous ne pouvez pas régler les lumières différemment ? »
Anne a les yeux rivés sur moi. Je hôche la tête en disant fermement  :
« Il faut savoir ce que vous voulez. Des photos de qualité ou non ! » Non je suis vraiment désolé… Mais il vaut mieux arrêter ! »
Anne soupire de soulagement. Enfin cette soirée étrange allait se terminer. Elle allait se retrouver seule avec son époux. Georges marqua un long silence, paraissant réfléchir et s’adressant à son épouse :
« Je tiens vraiment à ces photos ma chérie. Va dans la salle de bains retirer ton slip et ton soutien- gorge. »
En me souriant il ajoute  roublard :
« Elle pourra garder sa robe tout de même…hein ? »
Anne stupéfaite ne dit rien et les regarde se sourire.
Elle soupire longuement, puis d’un pas assez raide, se dirige vers la salle de bains, oubliant nerveusement de bien refermer la porte derrière elle.

Nous échangeons en silence un long regard de satisfaction. Tout se déroulait à merveille et on devine son corps nu alors qu’elle renfile sa robe. Après quelques minutes, Anne revient dans le salon, le feu aux joues. Je me réjouis intérieurement en voyant Anne enfouir rapidement dans son sac à main ses sous vêtements. La voilà donc fesses et seins nus sous sa robe. Elle rougit encore plus quand je lui demande :
« Enlevez la broche qui tient le décolleté de votre robe, vos seins libres ne feront que magnifier votre décolleté ! »
Anne se retourna vers son mari, cherchant de l’aide. Mais n’en trouvant pas, elle se résigne. Sses mains tremblantes défont la broche. Libérés de l’attache, les deux pans s entrebâillent offrant une vue assez large sur le galbe de ses seins.

Quand le garçon d’étage entre, Anne est en train de rajuster les pans de sa robe, impuissante à masquer le décolleté qui maintenant allait désormais jusqu’à son nombril.

Anne se mord les lèvres, imaginant sans peine ce que pense le garçon d’étage. Une bourgeoise perverse s’offrant à deux hommes. Elle réprime un frisson. Le garçon ressort sans un mot, mais non sans s offrir un regard sur le large décolleté et sur les cuisses découvertes jusqu’à la jonction des cuisse de cette bourgeoise. Je m’avance pour offrir une coupe de champagne à Anne. Malencontreusement, alors qu’elle se saisit du verre, je trébuche et le contenu de la coupe se renversa en grande partie sur ses seins. Anne pouse un grand cri et je me confons faussement en plates excuses. Le champagne glacé, lui fait pointer les tétons et son haut devient totalement transparent.

Anne se mord les lèvres. La situation lui échappe et son mari qui ne dit rien. Elle ne fait même pas un geste quand je commence à tamponner doucement le sein avec mon mouchoir.

elle ne se rend même pas compte que, dans son désarroi, elle a légèrement écarté les cuisses, alors que je suis à genoux devant elle. Constatant que le téton s érigeait involontairement sous les frôlements de mon mouchoir, je dirige mon regard entre ses cuisses qui se relâchent. Placé comme je suis, je peux facilement voir le sexe d’Anne soigneusement épilé.

Anne remarque mon regard.et se ressaisissant, honteuse, humiliée d être ainsi dévoilée devant un inconnu, elle resserre les genoux.regardant son mari avec une moue désespérée. Georges se lève, et passe derrière le canapé Sa honte est telle qu’elle ne réagit pas quand Georges, glisse sur ses yeux une bandeau de velours noir qu’il noue sur sa nuque. . A peine a-t-elle un sursaut.

Elle reste, là, assise sur le canapé, les yeux bandés. Son mari lui prend les poignets, les tirent dans son dos et les attaches

Elle murmure :
« Mais Georges ? Tu es fou ? Que fais-tu ? »
Elle n’ose comprendre. Ses poignets liés dans son dos tirent ses épaules en arrière, projetant son buste vers l’avant et faisant ainsi glisser sur les cotés les pans de sa robe libérant cette foi totalement ses seins. Anxieuse, complètement perdue, les yeux voilés par son bandeau, on la met debout dans la piéce. Sa robe tombe à terre et elle se dévoile entièrement nue devant nos yeux. Je la contemple en prenant des photos. Georges me sourit.

Une évidence lui vient subitement à l’esprit. Les lectures de Georges, ces revues d’annonces qu’elle avait découvert un jour et qu’il prétendait les avoir trouvées dans l’avion, en fait il les avait acheté. Et ce soir, il avait décidé de l’offrir à ce pseudo- photographe. Dans ses pensées, elle reste là, immobile, comme hypnotisée. Horrifiée par cet acte si pervers. En même temps, elle est inexplicablement résignée à le subir par amour pour Georges. Son cœur bat la chamade, alors qu’elle arrive à cette conclusion. Je m’approche alors que Georges s’est confortablement calé dans un fauteuil pour ne rien perdre du spectacle qui va suivre. Je me met à la caresser. Au contact de ma main Anne se raidit brusquement. Son corps se tend. Ma caresse dure plusieurs minutes, lente et explorant son intimité qui malgré elle s’humidifie Je prononce les premières paroles depuis que la soirée a basculé :
« Sa chute de reins est superbe, cher ami.. Elle prometeuse de belles pénétrations ! » tout en faisant glisser un doigt du bas des reins, tout le long de la raie des fesses.

Anne émet un petit halètement. Ma main quitte ses fesses. Elle est honteuse de sa docilité, mais aussi de sa position qui, elle le devine la rend particulièrement indécente .

La cambrure d’Anne est si prononcée qu’entre ses cuisses, les lèvres du sexe, sont parfaitement visibles et accessibles grâce à sa position.

Mes doigts s’approchent au ras du sexe. Je sens tout le corps d’Anne se tendre. En souriant, je dis à Georges :
« Son sexe va accueillir pas mal de queues tôt ou tard. Plutôt tôt que tard d’ailleurs ! 
Mais l’ouvrir maintenant par une caresse serait trop facile.. Il y a d’autres moyens. »

Anne entend ces mots dans un quasi brouillard, tant ses sentiments sont paradoxaux. Elle respire fort, la bouche entrouverte. Ses tétons érigés par l’émotion pointaient vers le ciel.
« Elle a des mamelles magnifiques ! Très beau volume… Quelle taille de bonnets fait t elle ? Elle porte toujours quelque chose pour les soutenir ? »
« 95D, Anne est très sensible des seins, vous verrez… ! » Répond Georges.
Je prends un feutre et le note sur ses seins.

Anne se fige en entendant Georges parler ainsi d’elle, d’une manière aussi impersonnelle. Elle sent un frisson la parcourir. Toutes ces allusions parfois choquantes quand ils faisaient l’amour et son ton sec alors, sa brutalité pour la prendre parfois, elle comprend que Georges voulait depuis longtemps la voir ainsi, humiliée, traitée en objet et suprême honte par un inconnu. Elle murmure dans un souffle :
«  Georges….je t’aime…. »
C’est un silence qui lui répond en sentant la main de Georges, lui caresser doucement la joue.
Je reprend :
« Bien, nous allons voir jusqu’où va l’amour de votre épouse pour vous…mon cher Georges ! »
Ils attachent Anne en croix au baldaquin du lit.

Anne est à présent les bras levés, écartés.

« Georges, je préfère lui maintenir les jambes à l’écartement voulu avec ça, pour éviter qu’elle ne se dérobe à certaines manipulations en serrant les cuisses. »
Elle entend avec horreur Georges acquiescer. Entravée ainsi, nue, elle ne peut qu’attendre et subir le bon vouloir des deux hommes. Pendant une dizaine de minutes, on la laisse ainsi.

Elle nous entend parler d’elle, non pas comme d’une personne, mais comme d’un objet. Son cœur se serre en entendant Georges me dévoiler certains secrets de leur vie intime d’une manière très crue. Notamment, Georges me décrit dans le détail ses talents de fellatrice.
«  Anne s’applique toujours beaucoup à bien couvrir la totalité de la verge de salive. Elle est très douce et gourmande de queue. J’aime particulièrement qu’elle lève les yeux vers moi lorsqu’elle me suce. Elle n’aime pas le sperme mais c’est si agréable de se lâcher dans sa gorge et sur son visage. Voir son visage ainsi maculé me ravit toujours. »

Je m’approche d’Anne et lui saisi les seins fermement. Elle se raidit et serre les dents. Je les malaxe, les soupèse en commentant :
« Vraiment, belle fermeté et tenue impeccable, d’une souplesse admirable. La peau est très douce. Voyons l’élasticité des globes. »

Je saisis un téton entre le pouce et l’index. Anne pousse un gémissement. Je soulève alors le globe par le téton. Le plus haut possible arrachant un cri à la jeune femme.

« Bien ! Ses mamelles ont une bonne élasticité .» Commentais-je en faisant rouler le téton entre mes doigts, le sentant avec plaisir durcir sous la manipulation.
« Ses tétons réagissent parfaitement aux stimulations. Elle est réceptive. C’est bien. Voyons la texture des globes. »
Je prends à pleine main un sein et le malaxe cherchant la glande sous mes doigts. Anne pousse un cri de douleur.

« Texture très serrée, très dense. On dirait des seins de jeune fille. »
Je prends plaisir à manipuler ses seins en alternant douceur et fermeté. Sous ce traitement, les seins ont gonflé légèrement et paraissent plus volumineux. Les mamelons se sont gonflés et les tétons sont bien érigés.

« Elle réagit parfaitement malgré elle, son corps s’échauffe. Regardez, sa chatte coule ! »…
Anne est humiliée de ne pouvoir se maîtriser. Je passe derrière elle et teste sa rosette qui se relâche sous la pression de mes doigts. Je demande à Georges :
« Quelle élasticité étonnante ! Est-ce le fruit d’un usage intensif de cet orifice.. ? »
« Oui certainement car, quand j’ai connu Anne, elle avait 20 ans. La première fois que je l’ai sodomisé, j’ai été étonné de la facilité avec laquelle j’ai forcé son anus. Elle était pourtant vierge de ce coté là. Enfin, c’est ce qu’elle m’a toujours dit. Cela dit, même si l’anneau est souple, la gaine anale reste très serrée. Vous verrez…»

Anne se tend à ces derniers mots comme sous l’effet d’un coup de fouet. Georges ne voulait pas uniquement l’exhiber, elle devrait aussi se faire sauter.
« Regardez comme son sexe s’ouvre, alors que je ne l’ai pas encore directement sollicité. Voyons la lubrification. »
Je passe rapidement son doigt entre les lèvres entrouvertes et le tend à Georges en lui disant :
« Elle est déjà parfaitement lubrifiée. Elle est prête à se faire démonter par mes amis ! Mais avant nous allons l’attendrir.»

J’essuie mes doigt couvert de cyprine sur ses seins, puis je prend deux fouets et en donne un à Georges. A tour de rôle, nous fouettons la pauvre qui cri et se tortille sensuellement dans tout les sens.

On frappe à la porte. Tandis que Georges continue de fouetter sa femme, je vais ouvrir à mes amis.

Ils observent le superbe spectacle qu’Anne offre à mes invitées malgré elle.

Les invités se mettent à la tripoter et un premier mec la pénètre. Ce sexe s’enfonce fermement alors qu’une bite emplit sa bouche. On la détache et mes amis se ruent sur elle. Elle est devenue leur chose, leur garage à bite.

« Elle va jouir rapidement malgré elle cher ami ! »
« Oui je vois ça. Je savais que c’était une salope en puissance mais pas à ce point. C’est vraiment génial. Je vous en remercie Alain ! »

Je mitraille pour que mon client puisse garder un souvenir impérissable de cet événement exceptionnel.

«  Les gars, je vodrais faire des gros plans de sa chatte et de son cul pris par deux bites : »
Aussitôt mes amis s’exécutent et la pénètre en double vaginal et annale. Anne remplis ainsi cri de plus bel sous les applaudissements de son mari au comble de la joie de voir ainsi son épouse si BCBG d’habitude.

« Vous avez vu Georges comme son vagin est élastique. Un vrai garage à bite votre femme ! »
« Oui en effet ! J’ai hâte de voir si son cul peut en prendre autant ! »

Le mecs se retirent et explorent alors le petit orifice. Un râle continue sort d’Anna, défoncée et humiliée d’être ainsi devenue la pute de ces mâles en rûtent.

Anne ne réagit même plus à cette discussion dans laquelle elle n’était plus qu’un réceptacle à bites. Anne refuse de l’admettre encore, mais elle est excitée par ce qu’elle subit.

« Incroyable… ! Ils entrent quasiment sans effort ! Regardez ! Ils la baise par tout les trous sans problème. Une vrai pro votre femme : »
« Oui, je crois qu’Anne apprécie inconsciemment. Il ne faudrait pas que le plaisir la gagne trop vite…qu’en pensez vous ? »
« Ce serait trop dommage…la nuit ne fait que commencer. » Répond Georges….

Mes amis se relayent et c’est alors qu’après plusieurs orgasmes violents qui la laisse pantelante que les mâles se lâchent en elle l’inondant de sperme.

Mes amis repartent laissant la pauvre épuisée sur le sol. Anne reste silencieuse un long moment, puis elle murmure dans un souffle qui scelle sa soumission :
« Georges, je me suis laissée faire pour toi ! Je t’aime mon chéri. »
Je souris à Georges en lui disant :
« Le plan c’est déroulé à merveille. Votre femme est une bonne pute. Vous avez bien eu raison de me la confier pour la débrider. Elle ne peut plus rien vous refuser maintenant. »
Georges s’adresse alors à sa femme :
« Rhabille -toi et va te refaire une beauté. Là franchement tu n’est plus présentable. »

Les yeux baissés, Anne va se refaire une beauté et s’habiller. Je lui dit au passage :
« Nue sous ta robe salope ! Tu sera beaucoup plus excitante et plus accessible ainsi si on veut vous utiliser rapidement . »

Sans un mot, Anne disparaît dans la salle de bains. Quand elle ressort, de longues minutes plus tard, sa tenue, toujours très sexy, est redevenue plus décente.

Malgré sa grâce naturelle, nul ne peut ignorer en la voyant qu’elle est désormais offerte et soumise.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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