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Prise à la chaîne par 12 hommes dans

Prise à la chaîne par 12 hommes dans



Récit de ma dernière soirée chez un club échangiste :

Comme je n’avais pas fait l’amour depuis ma dernière soirée en club échangiste le 24 octobre dernier. J’étais en manque, j’avais une folle envie de faire l’amour entourée de mâles lubriques, j’avais envie d’un gang bang… Mon cocu m’a proposée de monter une sortie dans un club échangiste. Il a réservé pour moi une chambre dans un hôtel 4* pour trois nuits du jeudi au samedi car il me voulait fraîche et reposée pour mon abattage.

Le plus dur restait à faire, trouver un chauffeur/bodyguard pour me conduire de mon hôtel au club car si j’ai une voiture, je refuse de conduire la nuit, j’ai trop peur… Depuis l’étranger mon cocu est allé draguer sur Netech pour me trouver un chevalier servant, pour lui trouver un avatar… Il accroché avec le profil XXX qui lui a paru un jeune homme bien sous tous rapports, un vrai gentleman écrivant dans un français parfait, ce qui est rare sur Netech où les « membres » ont souvent tendance à communiquer dans un français « relâché » et qui était disposé à jouer les chauffeurs. Mon cocu jouait gros car il fallait éviter de tomber sur un psychopathe ou un souteneur…

Je descends donc dans mon palace. Rendez-vous est pris dans la soirée avec mon chaperon dans ma chambre pour boire et verre et faire connaissance. N* de son prénom est venu comme prévu avec un pote à lui et une bouteille de champagne. Il aurait pu, sitôt la porte ouverte, me mettre illico la main entre les cuisses et m’embrasser sur la bouche pour tester ma soumission, je n’aurais pas renâclé sous cette caresse indécente, mais N* a préféré jouer la carte de la drague, de la courtoisie, du charme. Nous avons seulement discuté chastement en bons amis, en sirotant du champagne et mis au point le protocole du week-end. Mon cocu que je tenais informé par téléphone était un peu déçu, lui qui voulait pour moi un week-end tout sexe. Moi ça m’allait plutôt car je voulais me réserver pour le climax qu’allait être ma mise à disposition chez Leïla.

Après une nuit seule dans mon lit King size, mon chaperon est venu me chercher le lendemain vers 10 heures du matin pour m’emmener dans un sex shop de St Pierre m’acheter ma tenue d’abattage : un body en dentelle transparente ouvert à l’entrejambe pour que mon sexe soit accessible sans la moindre barrière textile, du gel pour me préparer à être enculée et des capotes pour mes « clients ». J’étais un peu effrayée que quelqu’un de la famille me repère dans la voiture d’un inconnu et encore plus gênée d’entrer dans ce sex shop où j’ai l’habitude de m’approvisionner et où je suis donc identifiée, avec un autre homme que mon cocu. C’est sûr la vendeuse va désormais me cataloguer comme une vraie putain.

En galant homme, N* m’a ensuite invité à déjeuner, j’étais sous le charme.

Retour ensuite à l’hôtel, grosse sieste jusqu’à 19 heures, heure à laquelle j’ai commencé à me préparer, longue douche, épilation, manucure, maquillage, pour être la plus allumeuse possible, la plus douce, la plus parfumée pour les « clients » qui attendaient de me grimper au club. J’ai pris une photo de moi dans mon body rose et je l’ai envoyée à mon cocu avec l’application Viber. Il s’agissait de l’émoustiller car lui aussi devait profiter de ma soirée. Un body rose sur une peau noire, oui je sais un peu kitsch, mais je n’ai pas eu le choix car mon sex shop était en rupture de body noir. Par dessus j’avais enfilé une petite robe ultra courte, ras la choupette, qui ne cachait pas grand chose.

Un peu en retard, vers 21 heures, mon « chauffeur » arrive, pas le temps de tergiverser me voilà illico dans sa voiture, direction le club échangiste. En parfait galant homme il n’a pas essayé de me peloter les cuisses et la chatte dans la voiture, mon cocu aurait pourtant aimé qu’il soit un peu plus pervers. Moi ça m’allait, on ne me pelote pas en voiture j’ai trop peur de déconcentrer le chauffeur et de le pousser à l’accident.

Arrivée au club, grosses bises à la patronne, ravie de me voir car elle sait que moi présente, ses clients repartiront à coup sûr les couilles vides. Du coup j’ai droit à l’entrée gratuite et au bar ouvert avec consommation illimitée de champagne à l’œil. N* a dû lui payer son entrée 80 euros, ce qui m’a fait penser que si les hommes payaient une telle somme pour faire l’amour, ils allaient en vouloir pour leur argent et que de fait ils me verraient et me traiteraient comme une vraie putain destinée à assouvir leurs pulsions sexuelles. Moi ça ne m’effraie, pas bien au contraire, être dans ma peau d’un pute c’est mon gros fantasme…

Un seul homme au bar à notre arrivée, P*, un membre de Netech à qui mon cocu m’avait « vendu » en lui promettant que je ferai tout ce qu’il me demanderait et à qui il avait demandé de ne pas hésiter à me peloter en public. Voilà l’annonce que j’ai publiée sur ma page Netech pour attirer le chaland :

« Je serai à la disposition de tous ceux qui auront envie de me prendre au club échangiste de L*, ce soir vendredi 29 novembre à partir de 21 heures. Si vous venez, ne soyez pas timides, abordez-moi, même au bar, mine de rien, avec la discrétion et la délicatesse de parfaits gentlemen, laissez vos mains courir sur mon corps devant tout le monde, pelotez-moi discrètement, j’adore ça être une femme publique. Et quand vous aurez envie de me faire l’amour, hé bien prenez-moi par la main et conduisez moi avec beaucoup de délicatesse, comme si j’étais une princesse, à l’étage, sur un matelas d’abattage, je vous suivrai soumise et docile et vous pourrez me faire l’amour autant de fois que vous le souhaiterez. »

Je me suis installée au bar, comme à mon habitude, sur un tabouret haut, une coupe de champagne dans la main et j’ai commencé à discuter avec Leila, la patronne, assise de l’autre côté du comptoir et avec N* et P*. D’autres clients, des garçons, sont arrivées petit à petit et ils ont fini par être sept à me regarder avec des regards concupiscents (con, cul, pissant : j’adore la langue française, elle d’une vulgarité sans pareille quand il s’agit de parler de cul) se demandant s’ils allaient pouvoir me sauter ou non. Pour ôter définitivement leurs doutes, au prétexte qu’il faisait chaud, je me suis levée pour aller soit disant me rafraîchir dans les toilettes, en fait mon intention était d’enlever ma robe pour rester en body résille largement ouvert à l’entrejambe, sans slip, ni string. Quand je suis revenue au bar dans cette tenue, plus dévêtue qu’habillée puisqu’on pouvait voir mes seins et mes fesses sous la mince dentelle transparente, tous les regards se sont allumés de lubricité. Ca y est j’avais annoncé la couleur (rose), mes clients étaient désormais assurés d’en avoir pour leurs 80 euros et commençaient à fantasmer ce qu’ils allaient me faire subir…

Je me suis assise sur mon tabouret haut, les jambes croisées, l’air de rien, mais l’ambiance avait radicalement changé, le climat était devenu plus lourd, plus tendu, électrique pour tout dire. Les 7 garçons ont commencé à s’approcher de moi comme des abeilles autour d’un pot de miel. P* qui avait bien appris la leçon de mon cocu s’est placé debout derrière entre mon siège et la piscine et a commencé, mine de rien, à laisser glisser ses main sur mes fesses au prétexte de tester la douceur de la dentelle de mon body, puis sur mes seins, mes cuisses et ça devant tout le monde, dans la zone publique. Moi je me tenais droite, hiératique, la croupe cambrée sur mon siège et je continuais l’air de rien, éthérée, à faire la conversation. J’étais devenue le temps de faire tomber ma robe, une femme publique, ouverte à tous : jeunes, vieux, beaux, laids, gros, minces, blancs, noirs, tout le monde pouvait me caresser, me peloter et baiser sans rien me demander. Je m’étais transformée en vraie putain de bordel, quasi nue au milieu d’hommes qui avaient payé 80 euros pour posséder mon corps, le temps d’un coït a****l…

P* et N* s’enhardissaient de plus en plus, j’avais dénoué et légèrement écarté mes jambes et je sentais la main de N* remonter le long de mes cuisses et effleurer ma fente tandis que P* me pelotait les seins à pleines mains alors que je continuais à deviser mine de rien avec Leila et ses clients.

J’étais hyper excitée et je sentais ma chatte toute moite sous les doigts de N* qui me suggérait à l’oreille de monter dans une chambre de l’étage me faire prendre à la chaîne. A un moment mon cocu l’a appelé pour avoir des nouvelles et il est allé dans le jardin pour répondre.

Sans attendre son retour, je suis descendue de mon tabouret et je me suis dirigée sans mot dire vers l’escalier prenant au passage une serviette. Les 7 mâles présents m’ont suivi comme un seul homme, certains profitant d’être derrière moi pour me peloter les fesses, pour eux j’étais devenue une putain. Je me suis dirigée vers la plus grande chambre qui a la particularité d’être aussi la mieux climatisée. Un couloir sombre délimité par un mur de bois percé, une sorte de moucharabieh qui permet de mater le lit sans être vu, sépare la pièce en deux, de l’autre côté un immense lit avec un matelas recouvert de plastique noir, le parfait matelas d’abattage, mon lieu de travail pour l’heure à venir. Examiné à la lumière d’une lampe ultra violette, il révèlerait sans aucun doute une myriade de taches de sperme…

Je reste debout devant le lit attendant d’être « sacrifiée » et illico mes 7 clients se jettent sur moi je sens leurs mains partout, mes seins, mes cuisses, ma chatte, des doigts qui appartiennent à je ne sais qui la pénètre sans douceur. Cette sensation unique d’avoir des dizaines de mains courant sur mon corps, explorant sans pudeur mes moindres recoins intimes, quelqu’un abaisse le haut de mon body et je sens deux bouches se coller sur mes seins telles des ventouses, je frissonne, mes tétons sont hypersensibles et j’adore la sensation. Derrière quelqu’un que je ne voit pas se presse contre moi, la queue raide incrustée dans la raie de mes fesses et essaye de me pénétrer. Je ferme les yeux et me laisse emporter par cette sensation d’être entre dans les bras d’une pieuvre humaine… Je tends les mains dans le noir et me saisit de deux belles queues bien raides et longues que je branle, m’efforçant de passer de l’une à l’autre. Au bout d’un moment de ce pelotage forcené je me mets a quatre pattes et commence à prendre en bouche une à une les queues dressées qui m’entourent. Un garçon s’agenouille à côté de moi et plonge ses doigts dans mon sexe humide et ouvert, d’autres se penchent pour me sucer goulument les seins, des doigts caressent la moindre parcelle de peau accessible. J’ai envie d’une première queue au fond mon ventre, j’ai envie de sperme. Je me lève donc et m’allonge au milieu du matelas, mes clients désormais nus me suivent et se placent autour de moi. P* impatient et à qui j’ai promis d’être mon premier mari de la soirée, s’allonge sur moi et me pénètre sans difficulté. Voilà son récit authentique de ce moment : « C’est divin. Elle était humide, très humide en plus. Quand j’ai glissé ma main pour y guider ma queue. J’ai senti sa chatte qui était très très mouillée. Je l’ai ramonée dur… on l’a tous ramonée dur. Elle gémissait… les corps claquaient l’un contre l’autre ».

Pendant que P* me prenait dans la position du missionnaire, j’avais une queue dans la bouche et je branlais deux queues avec chacune de mes mains. Les autres clients se branlaient en regardant la scène et en attendant leur tour.

P* a fini par se retirer, a jeté sa capote, est venu au niveau de mes seins et a éjaculé à gros jets sur moi. Par jeu mon cocu qui avait échangé avec lui sur Netech lui avait demandé de ne pas se masturber de toute la semaine de façon à m’inonder et je crois qu’il l’a vraiment fait car il m’a mis du sperme chaud et épais sur toute la poitrine. Sans même prendre la peine de me nettoyer, N* a pris la place de P* dans ma chatte et assez vite s’est retiré pour jouir sur mon ventre, à travers mon body désormais maculé de sperme que j’allais devoir continuer à porter le reste de la soirée. Mes souvenirs sont ensuite moins précis, emportée que j’étais dans un tourbillon de sexe, de queues anonymes qui se succédaient dans ma chatte et ma bouche. Je me souviens toutefois m’être ensuite mise en levrette et avoir été prise par un parfait inconnu qui lui, a éjaculé sur mes fesses après s’être retiré. J’avais exigé en effet de mes clients qu’ils ne jouissent pas dans leur capote mais sur moi. J’en ai même sermonné un qui n’a pas eu le temps de se retirer et s’est laissé aller dans son préservatif. Après chaque éjac j’étalais consciencieusement le sperme chaud et collant sur ma peau comme si c’était une crème de beauté. Au bout d’un moment j’étais toute blanche car je ne m’essuyais pas entre deux assauts et que le sperme se voit bien sur une peau noire, je sentais la saveur âcre de la semence mâle sur moi, je me sentais pleinement femelle, faisant ce pourquoi une femelle est sur Terre, donner du plaisir aux mâles afin de faire jaillir leur semence et être fécondée et c’est sûr que sans préservatif j’aurais pu tomber enceinte de X. Rien que d’y penser ça m’excite. Attendre un bébé conçu lors d’un gang bang et élevé avec mon cocu qui je le sais adorerait faire grandir l’enfant d’un autre…

Les 7 garçons m’ont prise l’un après l’autre, plusieurs fois. Certains sont descendus après m’avoir baisée, d’autres sont resté pour mater en se masturbant mais avec le temps le matelas s’est vidé et après avoir pris ma dernière douche de sperme je me suis levée dépenaillée, les cheveux en bataille, toute collante du sperme de mes clients, et je suis allé prendre une toute petite douche (seins, ventre, chatte) sous le regard égrillard de deux voyeurs puisque la salle de bains n’est pas fermée, mais bon j’avais abandonné toute pudeur. J’ai réenfilé mon body tout poisseux et après avoir regagné un semblant de dignité, même si je sentais le sperme à plein nez, et que j’ai découvert plus tard des gouttes de sperme séchées sur mes bras, je suis allée, à moitié nue, fumer une cigarette dans le jardin avec N* et P*. Ce dernier a envoyé sous mes yeux un message à mon cocu qui disait : « Je viens de lui jouir dessus. Le chauffeur (N*) lui a joui une première fois aussi. On fait une pause là. 5 autres mecs lui sont passés dessus ». Mon cocu m’a dit qu’il était au bord de l’apoplexie et qu’il n’a pas cessé de se branler de toute la nuit.

De retour au bar le regard des garçons avait encore changé, il avaient découvert une authentique salope et P* n’était plus le seul à me peloter, j’étais une authentique femme publique et quand quelqu’un passait à côté de moi il ne manquait pas de laisser glisser sa main sur mon cul ou sur mes seins sans que je ne réagisse.

Je me suis de nouveau assise au bar avec les garçons autour de moi qui laissent leurs mains courir sur mes seins, mes fesses, mes jambes et qui allaient même jusqu’à glisser un petit doigt entre mes cuisses que j’avais légèrement écartées pour laisser libre accès libre à ma fente. Je suis assise toute droite, comme une reine, une coupe de champagne à la main faisant semblant d’ignorer que je suis entrain de me faire peloter en public. Il y a deux nouveaux garçons qui viennent d’arriver… De la chair fraîche. Le temps de fumer deux ou trois clopes et de siffler deux à trois coupes je vais remonter pour continuer à vider les couilles des clients de Leïla (ils ont payé 80 euros l’entrée tout de même, ce ne serait pas charitable de ne pas leur en donner pour leur argent en les laissant repartir les couilles pleines). Je suis en pleine forme. P* et N* rendent compte par téléphone à mon cher et tendre mari cocu de mon comportement.

Arrive alors un homme de 45 ans à peu prés, plus âgé que les autres mâles présents, qui avaient tous la trentaine, et deux travestis, sans doute amis de Leïla. Le nouvel arrivant est allé très vite dans une petite salle rectangulaire récemment aménagée, pas loin du bar, pour se faire sucer par les deux travs. Curieuse et émoustillée je me penchais sur mon tabouret pour mieux voir par l’encoignure de la porte. Voilà comment P* de retour chez lui, décrit la scène à mon cocu dans un message posté sur Netechangisme : « Pendant la pause elle était au bar en train de discuter avec un couple et d’autres mecs ainsi qu’avec Leila. Au premier abord je dirais qu’elle est timide mais qu’elle se lâche si le courant passe. Pendant qu’elle parlait, deux travs et un homme sont partis s’isoler. Ils sont passés à l’action et ta pute se penchait sur son tabouret pour mater tout en restant assise au bar.


Je me suis naturellement mis à la caresser… enfin à la peloter. Et là, pendant que je lui effleure les tétons et les cuisses, elle me dit qu’au retour de N*, l’avatar de son cocu, elle voudrait remonter à l’étage. Je lui ai répondu que j’allais faire un tour dans le jacuzzi, de choisir ses clients avec N* et que j’allais la rejoindre quelques instants plus tard.


Ni une ni deux, l’homme qu’elle avait maté l’a rejointe au bar, a entamé la conversation pendant que N* à côté d’elle lui caressait la chatte et que deux autres garçons caressaient ses seins et le bas de son dos. Après lui avoir expliqué que les deux travs n’avaient pas réussi à le faire jouir il lui a demandé de venir achever le travail, dans la même pièce où il s’était déjà fait astiquer. En bonne putain soumise, Ta chienne a immédiatement obtempéré, il lui a tenu la main pour l’aider à descendre de son siège puis l’a dirigée, toujours main dans la main, dans la petite pièce, il l’a fait asseoir sur l’un des canapés posés le long des murs, s’est mise en face d’elle, a descendu son pantalon et son slip sur ses chevilles. Sans hésitation et le plus naturellement possible, Elle l’a pris en bouche et a longuement sucé ses couilles et sa queue. Nous étions 7 dans la petite pièce, braguette ouverte, entrain de nous masturber en regardant la scène. Au bout d’un moment le gars s’est retiré de la bouche de ta femme, a enlevé sa capote et a éjaculé sur ses seins. On voyait son regard pétiller.

Il reste à ce moment là 7 mecs uniquement pour elle. N* la propose à tous. Elle nous suce et nous branle les uns après les autre, sans négliger personne. A un moment elle se lève sans rien dire et se met à quatre pattes en travers sur le canapé, les fesses cambrées, offertes, demandant à l’évidence à être pénétrée. Je ne me fais pas prier et je la prends longuement en levrette pendant qu’elle continue à sucer les bites qui se présentent à sa bouche.


La position étant assez inconfortable et la petite pièce bondée et surchauffée, Ma chérie décide alors de remonter à l’étage pour qu’on la prenne et surtout, surtout qu’on lui jouisse dessus.
Elle se lève et le haut du body baissé, laissant ses beaux seins gonflés, les tétons turgescents et durcis par l’excitation, à l’air libre, elle court presque vers l’escalier suivie par ses prétendants, la bite à la main, comme par une meute de chiens en chaleur. Dans l’escalier je me place derrière elle et profite pour lui caresser les fesses. On se retrouve à l’étage à 5, on se met debout autour d’elle et on la pelote comme la première fois pendant qu’elle nous branle à tour de rôle. Je finis par l’allonger sur le lit, je lui écarte les jambes et on lui suce la chatte à tour de rôle, on la caresse, on lui met des doigts dans son sexe pendant qu’elle nous suce et nous masturbe. Malheureusement on a pas pu dilater assez son petit trou pour pouvoir l’enculer.


A un moment donné je l’ai longuement doigtée pendant qu‘elle suçait. J’ai massé son point G et j’étais sur le point de lui faire connaitre pour la première fois une éjaculation féminine quand elle a dit « STOP, sinon je vais jouir » alors qu’on voulait tous la voir jouir…


Mais elle a dit qu’elle voulait pas partir tout de suite, pour continuer à avoir des sensations et envie de se faire pénétrer.


Comme elle commençait à sentir les prémisses de l’éjac féminine, une irrépressible envie d’uriner, elle nous a laissé en plan sur le matelas pour courir aux toilettes. Elle est revenue très vite et nous avons recommencé à lui ramoner la chatte pour lui faire plaisir.


Je suis le premier à lui avoir joui sur les seins. Puis ça a été le tour N* et de deux autres hommes.
Elle a tellement impressionné les autres hommes que certains avaient du mal à bander. »

Après avoir vidé les couilles de mes maris d’un soir, je suis descendue pour une rapide toilette, j’ai enfilé un jean et un chemisier, fait la bise à la maquerelle et N* m’a raccompagnée. Il a été très sage et n’a pas essayé de mettre un dernier petit coup pour la route sur le parking de l’hôtel. Grosse douche arrivée dans ma chambre pour me débarrasser de tout le sperme dont j’étais couverte puis un formidable gros dodo. J’étais complètement épuisée. Messieurs vous ne pouvez pas imaginer combien c’est crevant pour une femme de se faire pénétrer 12 fois dans une seule soirée.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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