Je vais vous raconter un événement qui c’est produit en ce début d’année. Peu de temps après la publication de « Marine, la sexagénaire qui me fait chanter », je reçus un message privé d’une femme pour me dire qu’elle avait grandement apprécié lire cette histoire. Après l’avoir remercié on discuta de certains d’autres de mes récits. Les messages suivants nous permirent de faire un peu connaissance.
– En tous cas je constate avec plaisir en lisant tes histoires que tu apprécies les vieilles.
– Il faut dire que les femmes sont belles à tout âge.
– Tu es un vilain charmeur, j’aime cette attitude.
On continua ce petit jeu de séduction mais les choses prirent une tout autre tournure après que je lui ai envoyé la partie 1 de « Ma maîtresse de stage » pour qu’elle me donne son avis avant sa publication.
– Waouh je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser tout en la lisant j’aurais adoré être cette Anastasia.
– Ca me fait très plaisir de lire ce genre de commentaire.
– Ca va te faire encore plus plaisir de savoir que j’ai continué à me caresser après l’avoir terminé en imaginant une belle et jeune queue me pénétrant.
– En fait tu fantasmes autant sur les jeunes hommes que moi sur les femmes plus âgée.
– Je vais te faire une confidence, je me suis marié très jeune et par conséquent je n’ai fait l’amour qu’avec mon mari. Or, j’ai de plus en plus envie de faire l’amour avec l’un des amis de mes fils…
– Et pourquoi ne pas l’avoir fait ?
– C’est beaucoup trop risqué, j’ai trop peur qu’ils l’apprennent.
– Ne me connaissant pas, il n’y aurait aucun risque si tu le faisais avec moi.
– C’est vrai mais c’est ça le problème, on ne se connaît pas du tout. Qui me dis que tu n’es pas en réalité vieux et moche et qui te dis que je ne sais pas laide également ?
On finit par s’échanger nos facebook afin de communiquer plus rapidement et pour voir à quoi l’autre ressemblait.
– Je suis rassuré, tu es jeune et cerise sur le gâteau tu es beau.
– Tu es très belle également.
Cet échange me permis de savoir son prénom (mais pour garantir son anonymat je l’appellerai Fanny) et qu’elle avait 54 ans. En voyant ses photos, je fus très surpris car en lisant ses messages et le dénigrement qu’elle faisait de son corps, je ne m’attendais absolument pas à tomber sur les photos d’une fan de marathon qui avait par conséquent un corps absolument parfait. En devenant ami sur facebook, on put également se rendre compte avec étonnement que nos villes étaient voisines (une vingtaine de kilomètre seulement). L’idée d’une rencontre faisait du coup son chemin, on en discutait de plus en plus librement.
– Si on doit faire l’amour, je n’aurais qu’une seule exigence.
– Laquelle ? Lui demandais-je.
– Je souhaite que l’on fasse tous les deux un test anti-VIH.
– Sinon on peut utiliser un préservatif, ça ne me gène aucunement.
– Non, si on doit faire l’amour alors je veux aller jusqu’au bout.
– C’est à dire ?
– Je fantasme à l’idée de savoir qu’un jeune homme puisse éjaculer en moi.
J’accédais bien entendu à sa demande. Quelques jours plus tard, on finit par se mettre d’accord sur une rencontre qui avait pour but de voir si le courant passerai entre nous pour ensuite aller plus loin. Ayant trop peur de croiser une connaissance à elle, Fanny décida de venir dans ma ville pour y passer la journée. Je devais l’attendre à la gare avant d’aller manger au restaurant pour finir par prendre une chambre d’hôtel si elle le désiré toujours.
Le jour J était enfin arrivé. J’allais la chercher comme convenu à la gare pour ensuite l’emmener dans un restaurant au centre ville. Une fois arrivé au restaurant, on put se détendre, le courant passait très bien entre nous. A la fin du repas, je lui posais la question fatidique.
– Alors, toujours ce fantasme de le faire avec quelqu’un de plus jeune ?
– Oh oui ! Je ne pense qu’à ça depuis qu’on a tout programmé mais je dois t’avouer que j’ai aussi un peu peur.
– Peur de quoi ?
– De ne pas être à la hauteur et puis n’ayant connu que mon mari, je n’ai pas l’habitude de passer à la casserole avec un autre homme et encore moins avec un homme qui a le même âge que l’un de mes fils. Mais parle moi de toi et de ton rapport au femme plus âgée, elles t’ont toujours attiré ?
– Oui, je m’en suis rendu compte lorsqu’un jour étant chez un ami, je vis par hasard la poitrine de sa mère, j’ai cru que mon pénis allait exploser tant il me faisait mal, je n’ai pensé qu’à elle les jours suivants.
– Tu avais quel âge ?
– 11 ou 12 ans je crois. Et te concernant, ce sont juste mes récits qui t’ont poussé à franchir le pas ?
– Il y a les récits érotique mais il y a eu également une discussion avec une amie avec qui je m’étais confiée. Elle m’a dit de me prendre un amant pour qu’un homme me considère comme une femme et non pas seulement comme la mère de ses enfants.
On se dirigea ensuite vers l’hôtel le plus proche. Dans la chambre, on se mis d’accord pour prendre une douche avant de commencer. Elle me proposa d’y aller le premier. Dans la salle de bain, après être entré dans la douche je refermais le rideau de la douche tout en faisant exprès de le laisser suffisamment ouvert pour que Fanny puisse me voir. Fanny ne manqua pas de remarquer ce détail et ne se priva de m’observer. Discrètement, elle se rapprocha un peu afin de voir le reste de mon corps.
Voulant l’exciter un peu plus, je saisissais doucement de mon sexe afin de commencer à le caresser lentement. Mon sexe ne tarda pas à bander sous les caresses lentes de ma main sur toute sa longueur. La réaction de Fanny ne se fit pas attendre, je vis son regard se fixer avec intérêt sur mon pénis. Puis, je vis l’une de ses main remonter lentement jusqu’à sa poitrine pour masser doucement ses seins au travers de son chemisier. Son autre main glissa lentement sur son bas-ventre puis commence à caresser son sexe au travers de son vêtement. Son corps ondulait légèrement au rythme de ses caresses.
Ne voulant pas jouir, je finis par prendre une vrai douche mais je vis que Fanny continuait de m’observer sans relâche tout en ayant une main sous sa jupe.
– Tu veux m’essuyer ? Lui demandais-je.
– Oui. Me dit-elle timidement.
Elle semblait désorientée, elle s’exécuta maladroitement. Ses mains commençaient par mes bras, remontaient ensuite sur mes épaules avant de parcourir mon torse. Je me tournais ensuite pour lui offrir mon dos. Ses mains se faisaient plus sensuelles en glissant le long de mon dos. Elle se mis ensuite à genoux pour continuer avec mes fesses et pour descendre le long de mes jambes. Profitant de cette position particulière, je me retournais sans prévenir afin de placer mon sexe sous ses yeux.
– Tu sais, j’ai très envie d’une fellation.
Bien trop excitée, Fanny ne me répondit même pas et tout en terminant de me sécher mes jambes, elle approcha lentement sa bouche de ma verge. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon sexe. Je sentis alors la pointe de sa langue venir enfin délicatement titiller mon gland, un violent frisson parcourra tout mon corps. Ses mains laissaient tomber la serviette et remontaient lentement entre mes jambes pour venir entourer délicatement mes testicules. La pointe de sa langue continuait de lécher méticuleusement mon gland.
Ses yeux me fixaient avec satisfaction comme pour surveiller la moindre de mes réactions. La pointe de sa langue parcourait longuement mon sexe. Appréciant autant que moi cet instant, elle faisait durer un long moment ce délicieux léchage avant de passer à l’étape suivante. Sa langue quittait mon sexe pour laisser la place à ses lèvres. Lentement, sa bouche grande ouverte s’approchait lentement de mon sexe avant de l’avaler avec délicatesse.
Quand mon gland était seul dans sa bouche, je pouvais sentir sur lui le contact expert de sa langue chaude. Ses yeux me fixaient par moment pour évaluer ma satisfaction avant de revenir sur mon sexe. Ses mains continuaient à offrir à mes testicules un doux massage. Après de longues minutes d’un tel traitement, elle décida d’alterner entre sa langue et sa bouche. Mon sexe est ainsi tour à tour léché puis sucé sur toute sa longueur. Puis, lorsqu’elle commença à lécher mes testicules, je sentis que je n’étais pas loin d’arriver au bout de mes forces.
– Je ne vais pas résister très longtemps si tu continus.
Du coup, elle laissa mon pénis pour venir m’embrasser.
– Je crois que c’est à mon tour d’aller prendre une douche.
J’étais très frustré de ne pas aller plus loin mais sa douche allait me permettre de faire retomber un peu la pression. Pendant qu’elle prenait sa douche, je n’arrêtais pas de penser à ce que j’allais lui faire augmentant encore un peu plus mon excitation qui n’en avait pourtant pas besoin. Puis, elle sortie enfin de cette douche pour venir s’allonger prêt de moi sur le lit entouré d’une simple serviette. Alors qu’elle me parlait du rêve érotique qu’elle avait fait peu de temps après notre accord pour une rencontre, je caressais son corps en essayant d’être le plus sensuel possible.
– C’est très agréable. Me dit-elle tout en fermant les yeux.
Sentant le désir monter en elle, je rapprochais ma bouche du lobe de son oreille afin de le lécher délicatement, puis je descendis sur son cou alors qu’avec ma main je caressais ses mains, son ventre, puis sa poitrine. Il était temps de passer à l’étape suivante, elle retira la serviette me laissant enfin la possibilité de la voir nue, elle était très belle et désirable, chose que je ne me priais pas de lui indiquer.
j’imprégnais mes doigts de sa salive avant de placer ma main près de son sexe. Je plongeais donc un premier doigt dans son antre après avoir écarté ses petites lèvres avant de le faire coulisser lentement à l’intérieur. Je le tournais pendant qu’on s’embrassait à pleine bouche. Puis, je remontais en allant plus en profondeur tout en plaçant mon pouce sur son clitoris.
Au bout de quelques minutes, je retirais mon doigt afin de le remplacer par ma langue. Ma langue alla téter ses lèvres ainsi que son clitoris tandis que l’une de mes mains remontait vers l’un de ses sein pour le caresser. Ensuite, elle plongea ma tête un peu plus dans sa chatte et ouvrit encore plus ses jambes tout en se mordant les lèvres, signe que je me débrouillais plutôt bien. Après avoir déclenché un orgasme, je retourner m’allonger prêt d’elle.
– Alors tu regrettes d’avoir trompé ton mari ?
– Oh non !
– Donc tu as envie que je te prennes ?
– Tu n’imagines même pas à quel point j’ai envie de t’avoir en moi !
Du coup, je présentais ma queue à l’entrée de son sexe qui, ouvert et humide, l’engouffrait presque instantanément. Que c’était bon de se sentir en elle, il faut dire que je fantasmais ce moment depuis plusieurs jours. J’y allais de plus en plus vite et profondément. Elle remonta alors ses genoux au maximum pour encore mieux me sentir en elle tandis que ses cris se faisaient de plus en plus sonores.
Au bout d’un certain temps, je lui demandais de se mettre en position pour une levrette car j’adore cette position et cela me permettait de souffler pendant quelques secondes. Son cul était magnifique à regarder. Je repris sans plus tarder la pénétration tout en la tenant bien par la taille pendant plusieurs longues et délicieuses minutes.
– C’est trop bon !
– Je ne vais pas tarder à venir.
– Oh oui, donne moi ton sperme, fais gicler ta bite en moi !
Elle imprimait le tempo de l’acte avec ses encouragements. Alors, j’allais de plus en plus loin, de plus en plus fort jusqu’à ce que nous jouissions et nous écroulions, elle sur le lit et moi sur elle. Comme elle le souhaitait, j’avais éjaculé en elle. Après m’avoir un peu sucé pour me goûter, elle finit par aller se nettoyer alors que je restais sur le lit, l’imaginant entrain de se laver. Une fois la douche fini, elle vint s’allonger à mes côtés.
– J’ai fait une grosse erreur ?
– Laquelle ? Lui demandais-je.
– J’aurais du prendre un jeune amant bien plus tôt !
Tout en me parlant, elle me donnait divers bisous sur la bouche ou sur le cou. Et ce qui devait arriver arriva, ma queue commençait à reprendre de la vigueur. Du coup, elle prit mon pénis à pleine bouche, puis l’entoura de sa main tout en bavant sur mon gland. Il n’y a pas à dire, elle me suçait divinement bien, me titillant le gland avec sa langue.
– Bon je pense que tu es prêt.
Tout en me disant ça, elle se replaça en position de levrette, son envie était plus qu’évident mais j’avais une autre idée en tête. Je titillais son anus avec ma langue, sa réaction ne se fit pas attendre.
– Mais que fais-tu ?!
– A ton avis ?
– Mais je n’ai jamais était sodomisé !
– C’est encore mieux ! L’idée qu’un jeune homme te fasse un truc que ton mari ne t’a jamais fait ne t’excite pas ?
– Si un peu mais…
– Si ça te fait mal, j’arrête tout de suite mais tu as de si belle fesse…
– Bon d’accord, je veux bien essayer.
J’étais rassuré et repris la préparation avec ma langue avant de passer à un doigt lorsque j’estimais qu’elle était prête pour cela. Je guidais maintenant mon sexe vers son petit trou afin de l’introduire avec précaution. À chaque blocage, je faisais une petite pause laissant le temps à Fanny de s’y habituer. Je progressais ainsi, par petites étapes, jusqu’à ce que mon pénis soit entièrement à l’intérieur.
Le premier aller retour se passa plus facilement que je ne le pensais et je pu rapidement commencer à faire de petit va-et-vient dans ses fesses. Même à petite vitesse, la sensation était excellente pour moi.
– Alors je continus ?
– Oui ! Me dit-elle en gémissant.
J’accélérais alors la fréquence des va-et-vient, ce que Fanny apprécia si je me fiais au retour des mouvements de son bassin. J’étais content de voir qu’elle appréciait sa première sodomie. Je finis par jouir plusieurs jets dans ses fesses cette fois-ci. Nous sommes restés ainsi quelques instants, le temps pour mon sexe de réduire suffisamment de taille afin de le sortir sans dégât. Après une bonne douche, on quitta l’hôtel afin d’aller manger un dessert dans un petit restaurant avant que je ne la raccompagne à la gare.
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