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UNE SEMAINE À PAU (Histoire vécue)

UNE SEMAINE À PAU (Histoire vécue)



En ce début d’année, mes envies semblent avoir encore pris de l’ampleur. Je me contente simplement que de jeux partagés par caméra interposée. Longues séances sur cam4 pour plusieurs voyeurs, en privé sur MSN avec certains. Mais pourtant, l’appel du réel se fait plus fort…

Consciente que je serai une semaine seule à l’hôtel à Pau début février pour une semaine de stage, je prends rendez-vous avec deux de mes contacts du moment. Le premier, vit seul la majeure partie du temps dans sa maison proche de Pau. Quelques échanges de courriers et voilà le rendez-vous est pris: Il me laisse son numéro de téléphone. Il me propose aussi de passer toute la semaine avec lui…

Je dois juste aller dès lundi soir, m’acheter une autre tenue afin de me présenter tout de suite en femelle docile à sa porte. Avec mes courriers, il a dû comprendre que j’attends de le rencontrer avec impatience pour être docile et soumise entre ses bras, dans ses draps, réceptive à ses fessées, excitée par ses mots, enflammée par ses caresses interdites. Je suis bien décidée à m’appliquer à l’exciter et lui obéir pour lui donner envie de me pénétrer, encore et encore!

A l’approche de la date fatidique, un autre Palois, R, prend contact avec moi; que de succès !! Lui, il recherche une salope soumise mais ne peut recevoir. C’est presque naturellement que je lui parle de M. Il est prêt à me baiser avec lui, pourquoi pas chez lui. Je reprends contact avec M et lui propose une aventure à trois. Ce dernier, émoustillé, accepte alors de nous recevoir. Nous définissons ensuite sur MSN le rôle de chacun: R viendra me chercher tard le soir à l’hôtel, je serai impérativement travestie en salope; il m’emmènera ensuite chez M où là, je serai tout de suite prise en mains. Une laisse accrochée à un collier que je devrai porter me dirigera. Très vite, j’aurai à sucer mes hommes pour les mettre en condition.

Les fessées succèderont aux pénétrations de tout genre. Une bite dans la bouche, une autre me laminant la chatte. Les positions les plus humiliantes seront aux choix de mes amants qui me baiseront à tour de rôle. Mais il était aussi prévu que je sois prise par mes deux partenaires en même temps. Une double pénétration dont je rêve depuis si longtemps. Il va sans dire que je me devrai de nettoyer scrupuleusement les queues que j’aurai satisfaites, chatte et bouche n’étant pour eux que des trous à remplir. Je serai leur putain d’un soir (R ne pouvant se libérer qu’une fois) et devrai alors me contenter de respecter leurs envies, aussi perverses soient-elles. Je finirai ensuite la nuit dans le lit de M ou à mon hôtel s’il se fait trop tard.

Malheureusement, le programme ne pu être respecté. La copine de M était présente ce lundi chez lui. C’est donc dépitée que je suis allée m’acheter un collant porte-jarretelles, un gode, du poppers, du gel et des préservatifs en fin de journée. De retour à mon hôtel, une douche, un lavement prononcé et un rasage précédèrent à ma mise en condition. J’enfilais ensuite un petit déshabillé, des bas (finalement) qui venaient souligner mes fesses partagées par ce petit string dentelle que j’affectionne. Je posais appareil photo sur la table, le gel et les préservatifs à la tête du lit et sous l’oreiller, poppers et gode.

Vers 23h, R m’appelait enfin. Il arrivait sur le parking de l’hôtel. Je lui appris alors la mauvaise nouvelle. Il ne parut pas dérangé car son objectif à lui, était de « tirer un coup » avec une salope. Il me rappela que je devais ouvrir en salope en me demandant le code de la porte de ma chambre. Mon cœur battait comme un fou dans ma poitrine et faillit exploser quand la porte s’ouvrit.

Un bel homme, mature, cheveux clairs et courts ouvrit et entra très vite. J’étais debout, face au lit, excitée de me savoir considérée comme une putain. Il posa un petit sac à dos, s’approcha de moi et me mis une tape sur les fesses. Aussitôt, je me laissais tomber pour être alors en appuis sur les mains, reins cambré. Quelques mots sont échangés; il relève ma nuisette transparente, admire mes fesses qu’il tâte avec insistance mais s’inquiète de l’appareil photo. Je le rassure en lui avouant que j’espérais des photos pour immortaliser ce moment de débauche.

Il ne fallut pas longtemps pour que ses doigts entreprennent de me fouiller. Je lui tendais le pot de gel… Maintenant à 4 pattes sur le lit, le visage dans l’oreiller, je devenais sa chose. J’entrepris alors de sucer le gode devant lui et sortais le poppers que je sniffais plusieurs fois. Sous l’effet de cet « aphrodisiaque », excitée, je me laissais complètement aller, dandinant du cul comme une chienne en chaleur, avalant le membre de silicone comme si je suçais une vraie bite tandis qu’il continuait à me dilater la chatte de ses doigts experts, tentant même de me fister. Il ne tarda pas à se saisir du gode et à me l’enfoncer dans le fondement. Quel bonheur, quel plaisir ! Je gémissais sans retenues. Il se saisit alors d’une capote tandis que je reprenais le gode dans ma bouche un court instant.

Je le suçais ensuite… Hummmmm. Sentais sa queue se raidir. Il m’attira vers le bord du lit, lui, debout derrière moi, me renfonçant le gode sans ménagements, comme pour me préparer. Je l’étais déjà ! Ouverte au maximum, je sentis son gland presser sur ma rondelle déjà occupée. Un peu de poppers… Il entre, me baise comme une pute, partageant ma chatte avide avec la queue fictive qu’il vient de pousser en moi. Je suis au bord de l’évanouissement, voudrais plus encore quand j’entends sa respiration s’accélérer. Peu de temps après, il retire le « concurrent », me replace mieux pour pouvoir me pénétrer seul, me glissant à l’oreille: C’est ça que tu veux salope!? Te faire baiser comme une pute!

e sens ses coups de bite dans mon ventre, vais à sa rencontre, prise de vertiges. M’empale telle une nymphomane en prenant conscience que je ne suis plus pour lui, qu’un trou à bite. Quelle agréable sensation; quelle émotion de savoir ses mains me cramponner et me tirer vers lui. Mais tout à une fin, malheureusement. Sa petite affaire finie, il se retire, enlève alors la protection que je lui prends. Remonte son pantalon et ramasse son sac. Il n’y a ni merci ni au revoir quand il s’en va: J’étais une putain, j’ai été baisée, c’est tout… J’avoue que c’est ainsi que j’adore être considérée par mes amants.

Je ne le reverrai jamais, enfin, qui sait !?

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