A L’ HOTEL
J’arrivais à l’hôtel vers20 h, pour prendre à l’accueil le code d’accès. A peine arrivé dans ma chambre, je posais mon sac et mes affaires, me suis déshabillé et glissé sous la douche chaude.
Une fois pris ce moment de plaisir, je m’étendis sur le lit lorsque le téléphone sonna, c’était ma mère qui s’inquiétait de ne pas avoir de nouvelle, je lui racontais qu’il y avait eu une déviation et qu’en suite je m’étais perdu, que tout allait bien, je venais de prendre une douche pour me détendre, je reprendrai la route demain matin après une bonne nuit. Allongé à poils sur mon lit, en grignotant ce qui me restait de mon pique nique en matant un journal rempli de photos de mecs dans des positions plus suggestives les unes que les autres, je recommençais à bander tout en suçant un tube de lait concentré. Des gouttes tombèrent sur ma queue, que j’aurais bien aimé lécher – ce n’est pas faute d’essayer, il manque quelques centimètres – mon doigt essuya ce nectar pour le porter à ma bouche.
D’un seul coup, la porte de ma chambre s’ouvrit, juste le temps de voir la tête d’un jeune mec, qui sans aucun doute m’avait vu à poil sur mon lit la bite raide, recouverte encore de lait concentré. Il referma la porte tout de suite, puis la rouvrit de nouveau plus lentement, – j’eus le temps de me recouvrir avec le drap – m’expliquant qu’il venait de pendre une chambre au distributeur automatique qui lui avait délivré ce ticket. Il s’approcha pour me le montrer, en effet, c’était la même chambre, le même code. Il me dit :
– à cette heure, la réception est fermée.
– Si vous voulez, il y a un lit au-dessus, on peut partager la chambre.
Merci me répondit-il, je suis représentant, j’ai eu une journée fatigante.
Je peux prendre une douche ?
Sans problème, la place est encore chaude.
Pendant qu’il commençait à de déshabiller, je pus le mater à loisir, il devait avoir dans les 25 ans, les cheveux noirs et frisés comme un mouton, bien sapé, je dirai même assez chic. Lorsqu’il enleva sa chemise, j’aperçus son torse recouvert d’une toison clairsemée. J’attendais qu’il ôte son pantalon, ce qu’il fit pour laisser voir un caleçon blanc impeccable, ce type était soigné.
Je me demandais s’il allait l’enlever avant d’entrer dans la minuscule douche.
Il était de profil lorsqu’ il enleva l’écrin montrant un sexe long, assez fin avec son prépuce, des testicules pendants, un vrai modèle de sculpteur, le tout entouré d’une pilosité généreuse et super entretenue.
Il pénétra dans la douche, j’entendais l’eau couler et je l’imaginais se savonnant partout, partout.
Si il avait soulevé le couvre lit il aurait vu mon excitation maximum, que j’entretenais avec ma main.
D’un seul coup la porte du cabinet de toilette s’ouvrit il me dit qu’il oublié son shampoing sur la petite table, si je pouvais lui passer. J’étais mal à l’aise de me lever à poil et bandé comme un arc, et puis je me dis tant pis on ne sait jamais si il apprécierait mon anatomie.
Je retirai le couvre-lit, me dirigeai vers la bouteille, pendant qu’il me regardait le visage ruisselant. Au moment où je lui tendis son shampoing, il me dit :
– je vois que la chaleur dilate les corps !
– en effet dis-je, l’eau doit être très chaude, en regardant son sexe raide et décalotté.
cela le fit sourire, ce qui augmentait son charme naturel
Je retournais sur le lit, mais cette fois je ne remis pas le drap en continuant de feuilleter mon magazine, certain que cela l’intéresserait.
Il sortit de la douche en finissant de s’essuyer, me tournant le dos, je pus voir ses fesses musclées, la raie poilue, il me fit face m’exhibant son membre dressé, je pouvais constater qu’il était plus long que le mien pourtant aussi raide.
– je vois que nous avons les mêmes lectures, je ne vais peut-être pas dormir en haut.
Sans attendre, il se jeta sur moi m’embrassant goulûment, nos sexes serrés l’un contre l’autre, il continua de m’embrasser dans le cou, descendant doucement vers mes tétons, je commençais à geindre du plaisir que cela me procurait lorsqu’il les mordillait doucement.
Je sentais son ventre frotter sur mon sexe ce qui le décalottait, puis le calottait de nouveau à chaque mouvement, il fallait que je réagisse si je ne voulais pas éjaculer trop tôt.
Je le fis rouler pour le mettre sur le dos et me retrouver sur lui, il se laissa faire, je caressais son torse velu, avec ma joue, cela était doux et sentait bon, je descendis vers son nombril que ma langue explorait, puis ma bouche happa son gland turgescent, je le dégustais, l’enduisant de salive pour qu’il glisse encore mieux dans ma bouche, je voulais aller le plus loin possible, je le sentais se raidir, espérant qu’il n’éjacule pas tout de suit. Je quittais ce sucre d’orge pour lécher ses couilles duveteuses. Il se laissait faire, appréciant mes soins. J’écartais ses cuisses pour les butiner jusqu’à l’aine, c’était un vrai régal.
Il attrapa mes jambes pour me faire comprendre qu’il voulait me rendre la pareille, nous somme retrouvés tête bêche, chacun s’appliquant à la besogne.
A un moment, il me souleva le bassin pour aller titiller mon anus, je sentais sa langue explorer cette zone que je lui dis encore vierge, mais devant une telle dextérité, je décidais de le laisser faire. Il me fit mettre à quatre pattes, écartant mes fesses pour aller encore plus loin dans ses investigations, salivant suffisamment pour y enfoncer un doigt. Cette intrusion me fit me raidir. La sensation de plaisir que me produisait son va et vient me fit me détendre. Le deuxième doigt n’eut pas de peine à y entrer tellement il y allait avec douceur. Il massa mon sphincter pour qu’il se détende davantage.
Je sentis son gland recouvert d’un préservatif toucher mon anus et doucement me pénétrer pour la première fois. Il s’enfonça lentement jusqu’à ce que ses poils touchent mes fesses, puis se retira tout aussi lentement, augmentant petit à petit la vitesse de ses mouvements, Devant une telle sensation de plaisir, je le laissais faire ce qu’il voulait de moi, parfois sa main saisissait mon sexe toujours aussi dur pour le branler.
Au bout d’un moment il se bloqua sur mes fesses, je sentis les contractions de son éjaculation.
Lorsqu’il se retira, mon anus était en feu, il le massa pour éteindre l’incendie qu’il avait provoqué.
Un vrai étalon, le préservatif était bien rempli. Quand à moi j’avais toujours les bourses pleines que je voulais vider, je commençais à me branler plus rapidement, il s’en saisit pour le faire à ma place, il avait un sacré mouvement, remontant jusqu’en au du gland, redescendant jusqu’au début des boules, il le sentait de plus en plus dur, sa bouche s’empala dessus, me pompant avec un tel talent que la sève jaillit, je voulus me retirer, mais il me retint en me tenant les fesses, je dus lui cracher tout ma liqueur qu’il avala comme du sirop.
Après nous être lavés, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.
Au petit matin, je me suis levé pour aller pisser, j’avais allumé une petite lampe pour ne pas le réveiller, au moment de me recoucher, je voyais son corps nu allongé sur le dos et son sexe dressé, je me suis allongé contre lui, caressant son corps, son sexe, ses couilles, tout me plaisait dans ce mec.
Je ne sais pas si il dormait ou faisait semblant, en tout cas il s’est laissé faire, je profitais de son corps. Il se retourna, je pouvais profiter de son cul que séparait une rangée de poils. J’écartais doucement ses fesses, je voyais sa raie touffue, je la trouvais attirante, j’arrivais jusqu’à sa rondelle rasée juste autour, je me surpris à y mettre ma langue, essayant d’y pénétrer comme il me l’avait fait. Il remonta son bassin, je lubrifiais de ma salive cette rosette, puis mon sexe encapuchonné le pénétra sans difficulté. Je le limais, je l’entendis gémir me laissant faire à ma guise, nos couilles parfois se heurtaient.
Après plusieurs va et vient, je jouis dans ses entrailles, je retirai le préservatif, m’allongeant sur son dos. A ce moment je l’entendis dire :
– super bon, merci
Je restais un moment dans cette position.
Le jour se levait, il se leva le premier investit le cabinet de toilettes en ressortit rasé parfumé, en un mot superbe.
J’investis à mon tour la douche, en ressortant il était habillé, m’attendant pour aller petit déjeuner et régler le problème de la chambre.
A l’accueil on nous expliqua qu’une erreur informatique était la cause de nos désagréments, nous reçûmes des excuses et le remboursement du trop perçu.
Il me donna la somme en me disant que lui se ferait rembourser par sa boite.
Nous nous sommes quittés sur le parking de l’hôtel, j’aurai bien voulu l’embrasser avant de reprendre la route, mais trop de monde.
J’eus juste le temps de lui dire que ce fut une nuit de conte de fée, que j’aimerais bien le revivre un jour.
– qui sait dit-il le hasard fait parfois bien les choses
Je repris ma route joyeux et détendu.
La suite s’appellera : Mon séjour au domaine
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