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A la noce…

A la noce…



Cette histoire se passe lors du mariage d’une cousine. Moi, 20 ans à l’époque.

Je trouve ces cérémonies ennuyeuses la plupart du temps. L’intérêt de s’y rendre pour moi, c’est de pouvoir se rincer l’œil en regardant les invitées, qui mettent leurs plus belles robes et leurs escarpins les plus hauts (Hmmmm….).

Claudine est de la fête ce jour là et au repas je suis assis presque en face d’elle. C’est une vieille amie de la famille, je l’ai connue depuis que je suis gamin. Elle avait à l’époque la réputation d’être assez coureuse et d’avoir une vie assez « libre ». Elle a deux enfants, qui sont adultes maintenant ; d’un premier mariage.

Elle a 48 ans maintenant, un peu forci, mais toujours aussi coquette. Hanches larges en amphore et beau cul. Remariée à un retraité de l’armée de 20 ans son aîné.

Pour le mariage elle a revêtu un corsage blanc décolleté mettant en valeur son opulente poitrine, ainsi qu’une jupe noire droite largement fendue à l’arrière et des talons aiguilles noirs également, d’une hauteur assez impressionnante. Du nylon noir finit d’habiller ses jambes. Une bonne partie de la soirée je me demande s’il s’agit de bas ou de collants. Je la dévore des yeux… S’en aperçoit-elle ?

A la fin du repas, la salle des fêtes se transforme en piste de danse. Après les morceaux valse, tango, rock, voici quelques slows. Claudine m’invite à danser avec elle. Je me fais prier dans un premier temps car je déteste cet exercice. Mais elle ne me laisse pas le choix, et je me retrouve collé à elle dans les secondes qui suivent.

Nous avons bu plus que de raison, et Claudine, pendant que nous sommes enlacés le temps du slow, me questionne sur ma vie amoureuse. Comment se fait-il que je ne sois pas accompagné d’une petite amie? Est-ce que j’en ai une ? Et tout en me parlant, elle fait descendre mes mains sur ses hanches. Je n’ose y croire mais il me semble détecter une jarretelle sous sa jupe. Claudine reprend :
– En plus je suis sûre qu’il y’a un beau machin dans ton pantalon. Ça doit plaire aux filles. Et elle éclate de rire. Excité par ce qu’elle me dit, mes doigts continuent leur exploration en surface
– T’as mis un porte-jarretelles, Claudine?
– Et bien oui mon p’tit cochon. On sait ce qui vous plaît à vous les hommes.
– Oui oui ! J’adore !
– Tiens donc ! Mon petit Yves !

Le slow se termine et je regagne ma place. Claudine continue à danser et se trémousser comme une folle. De temps en temps, elle lance comme des regards vicieux dans ma direction. Clins d’œil. Je n’arrête pas de mater ses jambes. J’ai des pensées lubriques. Je rêve de la baiser cette belle femelle !

Claudine s’octroie une petite pause et vient s’asseoir à mes côtés pour papoter. Elle cherche ses cigarettes, mais son paquet est vide. Et j’ai vidé le mien également.
-Il doit me rester un paquet dans la voiture, dit-elle, je vais aller le chercher.Tu fais quoi?
-Je t’accompagne, belle Claudine. Les rues ne sont plus très sûres la nuit.

Nous éclatons de rire, et nous nous éclipsons sans que personne ne nous remarque. La fête bat son plein et le mari de Claudine dort sur sa chaise.

Nous arrivons sur le parking. Claudine ne marche plus très droit et met un petit temps à se rappeler où sa voiture est garée. Elle ouvre la portière conducteur, mais comme les cigarettes sont dans la boite à gants, voilà ma Claudine en position suggestive, évoquant la levrette. Le tissu de sa jupe est tendu à craquer sur son splendide cul. Et par la fente, j’aperçois le haut de ses bas nylons, dont le voile est très fin. Une bosse déforme mon pantalon. Je bande comme un âne. Je commence à approcher ma main des cuisses gainées de Claudine, mais cette dernière se retourne, ayant trouvé le paquet de cigarettes, et mon action est interrompue.

Claudine se retrouve maintenant assise sur le siège conducteur avec les jambes à l’extérieur pendant qu’elle ouvre le paquet de cigarettes. Mon sexe étant à hauteur de son visage, elle ne peut que remarquer mon érection.
Elle me propose une cigarette puis je m’accroupis en face d’elle pendant que nous causons. Je pose ma main sur son genou, l’air de rien. Et commence à caresser doucement sa cuisse tout en discutant. Le contact du nylon est délicieux. Pourtant cela ne semble provoquer aucune réaction en elle. Déçu, je retire ma main. Mais Claudine me la reprend d’autorité et la repose sur sa cuisse:

-Continue! Fais pas ton timide. Elles te plaisent mes jambes, hein ?
-Oh oui, elles me rendent fou. Et j’adore quand les femmes mettent des bas.
– Ah, et puis moi c’est des vrais bas nylon t’as vu? C’est pas comme les minettes que tu fréquentes.
Je remonte le long des cuisses de Claudine et les embrasse à travers le fin voile de nylon.
Claudine, de son côté, se décide à palper mon sexe durci à travers mon pantalon:

– Humm… On doit pas s’ennuyer avec toi… Relève-toi !

Je suis maintenant debout face à Claudine, qui est toujours assise sur le siège conducteur. Elle approche sa bouche au niveau de ma queue, et y dépose des baisers par dessus l’étoffe de mon pantalon. Elle me lèche à travers le tissu pendant plusieurs minutes. Puis elle défait enfin ma braguette.
– Quelle belle matraque ! Bien épaisse !
– Enfile-la ! Ma belle salope !
– Oui, tiens je te suce et je l’enfourne !

Et dès la première succion, elle entraîne directement ma queue tout au fond de sa gorge, l’y maintenant pendant plusieurs secondes. De plus en plus excité, je lui baise la bouche à grands coups de reins.

Claudine me propose de continuer sur la banquette arrière pour plus de discrétion. Elle ôte sa jupe pour ne pas la froisser et reprend sa divine pipe. Quelle pipeuse !
Enfin, elle me demande de la sauter, selon ses propres termes. Elle me présente son gros cul .Je la prends vigoureusement en levrette.
-Vas-y, mets-la moi, petit vicieux.
– Tiens prends ça, belle garce !

Mes couilles claquent contre ses fesses. Je me régale de la vision de son cul et de celle de ses bas qui plissent sur ses jambes, maintenus par un porte-jarretelles couleur noire. Je lui remets ses hauts talons, qu’elle avait ôtés en même temps que sa robe, pour que le spectacle soit encore plus excitant. Et je suis excité !

Ses mamelles ballottent sous mes coups de queue. Tant bien que mal j’arrive à lui peloter ses gros nibards !

– Ca te plaît, Claudine? Tu aimes?
– Oui mon chéri. Encore! Défonce-moi petit salaud.
– Elle te plaît ma queue?
– Oh oui! Elle me remplit bien ta grosse biroute !
– Qu’est-ce que tu m’excites avec tes bas! C’est pour ça que je suis aussi dur !
– Ah ouais, ça te plaît ça, je le sens bien. Encore!
– Biter une femelle comme toi ! Les femmes mures m’excitent ! (Je ne lui parlais pas de ma vie passée avec ma tante Mado, Gina et différentes aventure.)
– Ah ! Oui, putain c’est bon ! Bourre-moi !
– Attend, je ressors ma bite et je la replonge tout de suite ! Vite fait !
– Aaaaah oui, comme ça, comme ça ! Replonge-la !
– Ah ! Baiser une femme mure, mamie peut-être ?
– Oui oui oui, je suis mamie, mais une mamie enfilée par un jeunot !
– Et ton mari ? Il ne profite pas de ce corps de femelle magnifique ?
– Lui ? A son âge il ne pense qu’au tiercé ! Pas comme toi ! Allez continue !
– Oui moi j’aime les grosses pouliches, je t’enfile ! Putain, t’es chaude du cul !
– Qu’est-ce que tu crois ? Qu’à mon âge on n’aime pas le cul ?
– Pour ton âge, t’es vraiment active !Tu bouges bien sur ma queue!
– Continue mon chéri ! Enfonce, enfonce ! Pas très longue ta bite, mais alors elle me remplit en entier !
– Tu aimes vraiment ?
– Ouiiii, ouiii ! Vas-y vas-y ! Baise-moi, je sens que tu vas me faire jouir !
– Tiens tiens prend-ça ! Moi aussi ça monte !
– Aaaaah oui oui oui !
– …
– Oui, ça y est, je viens !
-…
– Aaaaaargh !
– …
– Oui oui oui ! Putain c’est boooon, je coule ! Je jouiiiiis !!!
– Moi aussi je vais décharger ! Ouiiiii !!!

Sentant que je suis au bord de jouir, Claudine se retourne et prend une nouvelle fois ma queue dans sa bouche. Pourtant mon éjaculation que je croyais imminente tarde à venir. Je regarde, caresse à nouveau les cuisses de Claudine pour me remotiver. Je pense aussi à son vieux jeton de mari qui dort pendant que sa femme se fait tringler comme la dernière des salopes, en porte-jarretelles et bas couture…

Et j’explose en plusieurs jets saccadés au fond de la gorge de Claudine.

Claudine renfile sa jupe. Elle me demande aussi de vérifier si ses bas sont bien mis, ce qui me donne une dernière fois l’occasion de palper ses cuisses.

Je la laisse partir en avant pour rejoindre les convives. Je n’ai pas envie qu’on réapparaisse ensemble après ce qui vient de se passer, je me méfie du qu’en dira-t-on.

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