Comme pour beaucoup d’entre nous, c’est un ami de la famille qui m’a initié, je devrais dire « pris en main ». J’avais environ 13 ans, lui plus de 50 et, avec l’accord de ma mère (mon père étant parti) il m’avait emmené pour quelques jours de vacances chez lui, dans la banlieue genevoise. Durant le trajet, il me posait de nombreuses questions concernant mes relations avec les filles, me demandant si j’avais une petite copine, si j’aimais l’embrasser sur la bouche, si je l’avais baisée (je ne comprenais pas ce qu’il voulait me dire puisque je venais de lui dire que je l’embrassait donc pour moi, embrasser et baiser étaient synonymes), si je lui caressait les seins, les cuisses. Toutes ces paroles commençaient à faire un petit effet sur ma jeune queue et j’avoue que j’étais un peu gêné par ces questions « intimes »…Pourtant, tout en conduisant d’une main, il continuait ses avances, continuant à parler en ayant posé une main sur ma cuisse, caressant celle-ci avec douceur. Tout en étant excité par ces paroles et ces gestes, je n’en étais pas moins très mal à l’aise. la route entre chez moi et chez lui durait environ une bonne heure, c’est dire qu’il avait eu le temps de me préparer à la suite de ses désirs. Petit à petit sa main remontait en haut de ma cuisse, approchant de mon sexe qui commençait à bander sérieusement. Il m’excitait avec beaucoup de « doigté » si j’ose dire, et je commençais à trouver agréable cette main sur moi. A proximité de la frontière, il redevint plus sage (presque à mon grand regret) mais très rapidement, dès la douane passée, sa main revint vers ma cuisse, se glissant à nouveau sous mon short pour remonter vers mon sexe qu’elle effleurait de plus en plus souvent. Rusé, il me demanda s’il ne m’ennuyait pas avec sa main, question à laquelle je répondis poliment « non, ça va ». De plus en plus, j’avais envie qu’il continue à s’occuper de moi… et je me surpris à écarter légèrement les cuisses pour lui faciliter la tâche. Il compris rapidement mon émotion et profitant de cet avantage, caressa mon sexe déjà bien dur. Après quelques kilomètres au delà de Genève, nous arrivâmes chez lui, à Versoix, petite cité bourgeoise des bords du Léman.
La voiture mise au garage, nous entrâmes dans la maison et il me proposa de boire une orangeade dans le salon. Ma queue avait retrouvé son calme et je pensais, naïvement, que tout s’arrêtait là…Il s’installa à coté de moi et, très vite repris ses avances, me caressant à nouveau les cuisses et posant ses lèvres sur les miennes. Je fus un peu gêné par ce premier baiser (je n’avais jamais reçu un baiser d’un homme) mais très vite, l’excitation s’empara de moi et, entr’ouvrant un peu les lèvres, je laissai sa langue pénétrer ma bouche d’adolescent amoureux…Il m’excitait de plus en plus, ses mains courant sur mon corps, caressant mes seins, les pinçant doucement, m’amenant petit à petit à m’offrir davantage. Il entreprit alors de me déshabiller, me retirant, dans un premier temps, ma chemise (il savait aller lentement, sans brusquer les choses afin de ne pas m’effrayer), puis m’otant, tout en me caressant les cuisses, mes chaussures et mes chaussettes, avant d’attaquer la fermeture de mon short. Je lui facilitais le travail en soulevant mon bassin pour qu’il puisse me l’enlever et me retrouvais alors en slip devant lui. Il m’étendit sur le canapé et commença à parcourir mon corps de ses mains et de ses lèvres, me disant des mots tendres tout en m’écartant les cuisses largement. Il se pencha sur mon sexe qu’il emboucha (j’en fus heureux, je l’avoue) et me suça longuement tout en me caressant les fesses. Puis, après de longs préliminaires, il se déshabilla à son tour et je découvris alors ce qu’était un sexe d’homme mature en érection. Il avait, selon moi à mon age, un sexe gigantesque. Il me demanda de le lui caresser et, timidement, je me mis à le caresser, déclenchant, chez lui, des soupirs de plaisir. Je m’y prenais mal, ne sachant pas branler un mâle, novice que j’étais alors dans ce genre de relation. Pour autant, il appréciait mes caresses et m’engagea à le branler en guidant ma main sur son sexe, m’obligeant à vraiment le branler. Il me disait d’aller plus vite, plus fort et de lui serrer bien fort la queue. Il avait de grosses couilles et j’avoue que j’aimais bien les regarder.
Il m’embrassait sans arrêt sur la bouche et entre deux baisers, prenait ma queue dans sa bouche pour me sucer avec passion. J’ai adoré ça et je pense qu’aujourd’hui, si j’aime autant sucer des queues, c’est un peu grâce à lui qui m’a donné tant de plaisir avec sa bouche.
Après avoir longuement flirté, il me masturba afin de me faire jouir dans sa bouche, me maintenant fermement contre celle ci alors que je voulais me retirer car j’étais un peu mal à l’aise, sentant venir le sperme dans ma queue. Je jouis donc, finalement avec bonheur, entre ses lèvres, vidant mes jeunes couilles dans sa bouche chaude. A peine avais je fini d’éjaculer qu’il posa ses lèvres sur les miennes mélangeant sa salive à mon sperme et crachant entre mes lèvres le fruit de mon sexe. J’étais honteux de ce qui venait de se passer et ne savais plus que faire. Il me rassura me disant que c’était souvent comme ça la première fois et qu’il ne fallait pas que je me sente mal à l’aise. ensemble nous prîmes alors une douche afin de nous « laver » de ces jeux nouveaux pour moi.
Je ne savais pas, qu’à cause (ou grâce) à lui, j’allais connaître bien de nouvelles pratiques en matière de sexe, et aujourd’hui je lui en suis très reconnaissant. Mes vacances chez cet « oncle » commençaient sous de très bons auspices…et devaient durer 15 jours…Je vous raconterai prôchainement, quelques unes de nos journées en amoureux…
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