Ce soir, en rentrant au domicile familial, je n’en mène pas large. J’ai honte de ce que j’ai fait au travail aujourd’hui et je n’ai qu’une seule crainte, celle de ne pas parvenir à cacher mon malaise à mon mari, le père de mes trois enfants. J’ai 38 ans, nous sommes ensemble depuis bientôt vingt ans et jamais encore je ne l’avais trompé.
Quelques heures plus tôt, en début d’après-midi, j’ai sucé mon patron, ou plutôt le nouveau directeur de l’agence bancaire où je travaille. Oh, il n’a pas eu à me forcer beaucoup, il est tellement séduisant. Un peu plus jeune que moi, toujours très bien habillé et surtout très sûr de lui. J’ai craqué. Je sais que je n’aurais pas dû mais c’était plus fort que moi.
Quand il m’a fait entrer dans son bureau, j’ai vite compris où il voulait en venir. Il avait ôté sa veste, ce qui arrive rarement, et était à moitié affalé dans son fauteuil de direction, ce qui ne lui ressemble guère. En y réfléchissant, je crois qu’il avait remarqué combien je le trouvais désirable et qu’il a pris un risque tout à fait mesuré en me faisant sa proposition.
« Aurélie, fermez la porte et venez vers moi ! Approchez, n’ayez pas peur ! »
Je me suis avancée derrière le bureau et il a saisi ma main qu’il a posée sur son entrejambe. C’est là que j’aurais dû réagir, tant que c’était encore possible, en retirant mes doigts de sa braguette. Mais je suis demeurée sans bouger, impressionnée par la taille de son sexe qui enflait sous ma main.
« Voilà, comme ça, doucement ! Maintenant… »
Mes gestes précédaient ses paroles. J’avais déjà sorti la queue du patron de son slip et je faisais aller et venir mes doigts dessus. Je n’étais plus moi-même et je ne me rendais pas vraiment compte de ce que j’étais en train de faire, ni des risques que je prenais.
Après l’avoir masturbé quelques instants, je me suis laissé tomber au sol et j’ai posé mes lèvres sur son bout. Il n’avait même pas eu besoin de demander que je le suce. Je me soumettais à ses désirs de mon plein gré, je les devançais et j’étais bien décidée à les combler.
J’ai pris le gros membre entre mes lèvres après lui avoir donné quelques coups de langue sur la pointe et lapé avec délice les gouttes qui perlaient au bout. Vicieuse, j’ai regardé mon chef dans les yeux en enfournant son vit dans ma bouche. Il me souriait d’un air satisfait mais légèrement supérieur. Cela ajoutait encore à mon excitation.
Pendant que je pompais le dard, ma main gauche s’est aventurée entre mes genoux et je me suis touchée la motte. Je dégoulinais tellement j’étais troublée, ma mouille coulait sur mes cuisses.
Le gland de mon patron me déformait les joues à chaque fois qu’il venait buter au fond de ma bouche. Je suffoquais presque, tellement je le prenais profondément. J’avais envie de lui faire plaisir, presque de l’avaler. Ma main demeurée libre lui flattait les couilles. Elles semblaient serrées et dures comme de l’acier. Quand, sous l’effet de mes caresses buccales elles commencèrent à se vider, je les sentis exploser sous mes doigts.
Je fus trop surprise par le jaillissement de foutre pour avoir le temps de me retirer. Moi qui n’avais jamais permis à mon mari de me juter dans la bouche, j’étais en train de boire littéralement le jus que la bite de mon patron y déversait sans limite. Celui-ci, renversé en arrière sur son siège de cuir savourait l’instant à sa juste valeur en étouffant ses gémissements dans son bras pour ne pas risquer d’alerter mes collègues qui se trouvaient seulement à quelques mètres de nous.
Il eut la correction de me laisser me finir dans son bureau. Peu à peu la honte envahissait mon cerveau, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me faire jouir jusqu’au bout. Je suis restée une petite minute affalée sur la moquette alors que mes doigts ressortaient de ma fente après l’orgasme.
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