On monte en voiture et nous voilà partis vers « LE MARQUIS ».
On arrive dans une espèce de petite zone industrielle. Les hangars y sont rangés parallèlement à la route. On suit un petit chemin et on arrive devant la devanture du club. Je sors et je vais devant la porte d’entrée. Il y a un interphone. J’appuie sur le bouton. Une voix féminine me répond.
— Code ?
— Aurélie.
Un clac me signifie que l’on accepte notre entrée. Sylviane et sa fille ont ôté leur parka et entrent devant moi. J’attache la laisse au cou d’Aurélie et une femme, d’une quarantaine d’années, nous accueille. Elle nous demande les certificats médicaux, chose que j’avais faite pour la soirée avec Damien. Après vérification de ceux-ci, elle nous fait entrer dans une alcôve qui nous servira de vestiaire. J’y dépose mon blouson, les filles leur parka. Elle me demande d’enlever mes chaussures et de la suivre, nous sommes attendus.
Elle pousse un lourd rideau noir, l’ambiance est mystérieuse. Tout est tapissé de noir, le sol est recouvert d’une épaisse moquette noire. L’éclairage est assuré par quelques appliques rouges. Il y fait sombre. Sylviane me prend la main, elle est inquiète. Aurélie me suit. Je la tiens en laisse. La femme s’arrête devant un pupitre.
— La première soirée est la soirée découverte. Gratuite, mais après il vous en coûtera 50 euros par couple, mais comme vous êtes trois et avec une esclave ce sera gratuit pour l’esclave. On a l’abonnement, 200 euros pour dix entrées et l’accès à nos soirées à thèmes. Seuls les Maîtres peuvent boire au bar, interdit pour les esclaves, mais n’abusez pas, on n’aime pas les ivrognes. Pour aujourd’hui, je vous laisse découvrir. Personne ne doit vous obliger à faire quoi que ce soit. Tenez, la clé de la salle six, si le cœur vous en dit. Bonne soirée.
J’entre dans une grande pièce. Le bar se trouve à ma droite. Je m’installe sur un tabouret.
— En position les filles.
Sans un mot, elles se mettent à genoux, mains dans le dos. Je commande une bière et je regarde autour de moi. Il n’y a pas foule. Un mec arrive bientôt. Il se présente comme étant le patron et m’offre un verre.
— Deux soumises, on ne s’embête pas.
— Bientôt elles seront trois. Elle est en formation chez Cathy. Vous devez connaître ?
— Bien sûr. Et vos deux créatures sont prêtes pour recevoir les honneurs de nos amis et amies ? Me dit-il en me montrant une porte, la porte N°6.
— Que se passe-t-il derrière cette porte.
— Rien de bien hard, que du soft. Par contre, j’espère qu’elles n’ont rien contre le sperme… D’avaler.
— Non, non, bien au contraire.
— Allez, suivez-moi et allons les installer avant l’arrivée de ces messieurs – dames.
On entre dans une pièce mieux éclairée que la principale. Deux croix de St-André, deux bancs réglables en hauteur, deux espèces de pouf en cuir et deux tables gynécologiques sont judicieusement positionnés. Les deux bancs sont positionnés face à face. Il prend Aurélie et l’installe sur un des bancs et de dos. Il l’attache à l’aide de ses menottes. Quant à Sylviane, il me laisse le choix. Soit la table, la croix ou le pouf. Je choisis le pouf. Elle y est installée sur le ventre, ses deux grosses mamelles pendantes de part et d’autre. Il sert t les sangles d’immobilisation, la position est obscène. Le cul et la tête sont relevés. Une invitation pour se faire remplir par tous les trous.
— Superbes femelles que vous avez là. Deux physiques si différents.
— Oui, et pourtant je vous présente la mère et la fille.
— Pouffff… Elles risquent d’être les reines de la soirée.
Il ouvre une tenture donnant sur un immense miroir, sans teint, je présume. On les abandonne à leur sort. J’espère qu’elles apprécient.
On se restaure et j’aligne jus d’orange sur jus d’orange. J’ai une envie de pisser, donc naturellement, je me dirige vers les chiottes. J’urine en me disant que c’est dommage de perdre cette douche dorée. Tant pis, je ferai le plein plus tard.
De retour auprès du proprio, il me dit qu’il y a une autre soumise qui vient d’arriver et d’attendre un peu, on est en train de l’installer. Je patiente donc. Une main qui ne m’est pas inconnue me caresse l’entrejambe.
— Bonsoir Hervé… Je n’ai pu résister.
Cathy me donne son plus beau sourire avant de m’embrasser. Elle m’entraîne devant le plus beau spectacle qui m’ait été permis de voir. Les deux sœurs et la mère attachées. Je lui demande si Amandine progresse. Elle me dit d’attendre, de ne pas être impatient.
Lorsque la troisième soumise est installée, j’ai le cœur qui s’emballe. Amandine est face à sa sœur, bouche contre bouche. Elle est du même gabarit que sa mère, on dirait Sylviane en plus jeune. Elle est nue et rasée. Ça change de la loque humaine que j’ai récupérée.
— Jolie, n’est-ce pas ? Tu vas voir, elle a progressé au-delà de mes espérances. Viens, allons nous installer.
Je suis Cathy qui ondule des fesses plus que de raison. Elle porte un minishort en jean noir et un haut en résille. Ses seins sont libres et ses tétons bien bandés. On s’installe confortablement aux premières loges dans un divan moelleux. Je me mets à l’aise, j’enlève chaussures et futal. Ma queue semble attirer Cathy qui me la caresse du revers de la main. Elle commande deux cocktails spéciaux. Ne me demandez pas de quoi il est composé, Cathy ne veut rien me dire.
— Ah, le spectacle va commencer.
Trois mecs, nus comme au premier jour, sont rentrés dans la pièce en se paluchant lentement. Ils tournent autour de trois femelles. Un des gars présente sa queue à Sylviane qui la lui gobe en entier. Les deux autres sont à côté des deux sœurs qu’ils forcent à s’embrasser. C’est bandant à souhait. Sylviane qui se fait baiser la bouche est rouge pivoine. Elle bave. Étant de petite taille, son mec lui titille la chatte. Amandine et Aurélie pompent les deux queues de concert.
— Eh bien, elle progresse bien la petite, elle a l’air d’aimer ça.
— Oui, je crois que ce soir tu pourras rentrer avec elle ce soir. Il reste à la former un peu, mais le plus gros est fait.
Les places des mecs ont changé. Ils butinent l’anus et le sexe des trois filles. Quatre autres mecs rentrent. L’un d’entre eux tient une esclave en laisse. Elle est entièrement recouverte d’une combinaison en latex. Mis à part l’accès à ces trous, elle en est entièrement recouverte, même ses mains. Il la fait mettre à quatre pattes. Elle est vite prise par son maître. D’autres types, attirés par le spectacle, se suivent dans cette pièce où doit régner une odeur de chatte en chaleur.
— Intéressé ?
— Non, je préfère rester là, à les mâter.
Sylviane a été détachée et est prise en triple. Elle semble adorer son traitement. Je bande et Cathy m’a saisi le sexe et le branle lentement. Je me tourne vers elle et l’embrasse fougueusement. Nos dents s’entrechoquent.
— Viens, me dit-elle.
On entre dans une pièce, petite pièce. Sur le mur du fond, Agnès (l’esclave exclusive de Cathy) y est attachée. Enfin entravée. Elle est accroupie, de dos. Les jambes sont maintenues écartées par un jeu de sangle. Les bras sont maintenus, suspendus au-dessus de sa tête. Je m’aperçois qu’elle est sur une petite estrade.
— Elle a eu de la visite. Regarde. Ça déborde.
— Heu… Ça coule, oui… Regarde le sol.
— HIHIHI… Oui et elle adore cela. Tu as envie de laisser ton sperme dans ce sac à foutre ?
— Non… Ça ne m’attire pas, mais toi, tu m’attires. Mets-toi là, au-dessus d’elle.
Cathy est en appuie sur le mur, cambrée et jambes écartées. Je détache la petite et la positionne devant le sexe de sa Maîtresse. Elle a vite compris, elle fouille déjà le sexe de Cathy. Je présente ma bite devant sa chatte.
— Non, pas par là. Encule-moi…
— Tes désirs sont des ordres.
Je remonte un peu et la prends comme une brute. Elle a ma queue bien au fond et la langue d’Agnés qui lui titille ses lèvres et son clito. À chaque fois que je recule, je sors entièrement et la plante d’un mouvement puissant. Mon Dieu que le cul de cette vieille est accueillant (elle a 60 ans).
— Il a dû en voir passer des bites…
— Et des mains.
Agnès, qui a les mains libres, ramasse le sperme sur le sol et s’en badigeonne le visage. Elle suce même ses doigts.
Ne voulant pas jouir de suite et pas ici, Je décule et m’en vais voir où en sont mes filles.
— Hervé, t’es un salop… HAN… Je… Te… Rejoints… Dans cinq minutes… HUMMM.
Je la laisse avec son cul ouvert. Ma bite est vite remplacée par les doigts de la petite. Je retourne dans mon canapé. Le spectacle est fou. Il y a maintenant plus que mes trois gonzesses et une trentaine de mecs plus fous les uns que les autres. Les calibres se succèdent dans les trous plus qu’accueillants. Je décide de rentrer dans cette pièce. L’odeur me prend à la gorge. Odeur de stupre, de sueur, de sécrétions vaginales et de spermes. Le premier trou qui se présente est celui d’Amandine. Elle est sur le dos, enculée par un black. Les cheveux collés sur son visage, elle sourit en embrassant son amant. Je la prends sans ménagement. Je me saisis de ses mollets et pose ses pieds sur mes épaules. Je sens la queue qui lui ramone le cul. La cavalcade est digne de la Valkyrie. On lui défonce ses deux trous. Elle a la bouche trop occupée pour qu’un son n’en sorte. Elle est en nage, on dirait qu’elle sort de la piscine, et quelle piscine. Le sperme coule à flots. Je vois Sylviane qui pompe plusieurs queues, une dizaine je dirais. Ils lui éjaculent sur sa tronche et dans sa bouche. Aurélie, fidèle à elle-même, est prise à trois. Elle suce comme elle peut recrachant un flot impressionnant de salive.
Je sens une bouche sur mes deux valseuses, c’est Cathy. Elle alterne entre les blanches et les noires comme une pianiste. J’en peux plus et éjacule au fond du vagin d’Amandine. Le black me suit de très peu. Il me tape dans la main en se déboîtant.
— On va boire un verre ? Dit Cathy.
— Oui, ce n’est plus de mon âge.
— D’après ce que je vois, tu te trompes.
Je bande encore comme un âne. On sort de cette pièce surchauffée. J’ai la chair de poule en m’affalant dans le sofa. Deux verres nous y attendent. Je demande s’il y a des douches, pas pour moi, mais pour Sylviane, j’ai envie qu’elle nous rejoigne.
Cathy appelle le patron et lui glisse deux mots. Ce dernier appelle un mec qui servait au bar. Sylviane et sortie manu militari et entraînée vers les douches. Un quart d’heure plus tard, elle est toute pimpante et vient s’asseoir à mes pieds.
— Non. Pas là, lui dis-je en montrant ma queue, mets-toi de dos, que tu profites du spectacle.
Souriante, elle s’installe. Putain que c’est bon de sentir un sexe féminin autour de mon sexe. Cathy me propose de rejoindre la partie, ce que je refuse. J’ai mieux à faire. Ma petite pite ondule du bassin sur mon chibre, cela me fait un bien fou.
Les positions ont changé dans la pièce attenante. On peut voir Amandine et Aurélie face à face en train de s’embrasser et partager le foutre de leurs partenaires. Agnès, qui a rejoint cette partouze, partage avec mes deux belles-filles cette récolte. Cathy se déchaîne sur les culs des trois suppliciées avec un paddle et elle n’y va pas de main morte. Parfois, un mec essaie de prendre le cul ou la chatte de Cathy, ce qu’elle refuse, trop concentré sur ses trois salopes.
Moi, me diriez-vous, je lime lentement le con de ma partenaire qui ne manque rien du spectacle.
— Alors, que penses-tu de tes deux filles ? On va pouvoir en faire deux traînées ?
— Hummm, Ohhhh, OUIIII…
— On ramène Amandine à la maison ce soir.
— Vous êtes sûre Monsieur ?
— Oui, j’ai l’aval de Maîtresse Cathy.
Je lui file quelques coups de bite bien profonds et je me retire.
— Va chercher tes filles. On rentre.
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