Avec mon petit ami du moment, par ce beau dimanche de printemps, nous faisons une balade bucolique dans le bois non loin de notre immeuble. C’est en sortant de cette petite forêt que nous rencontrons un ami de Jean, mon copain du moment. Entre eux, c’est les grandes retrouvailles, les embrassades et les accolades sans fin. Enfin, il nous présente sa femme, une belle femme un poil plus âgée que moi. À son cou divinement fin, elle porte un serre-cou avec un anneau sur le devant. J’en ai déjà vu porté par de jeune demoiselle pas encore dégrossies. Mais aussi dans des revues, par des femmes soumises à leur Maître. Très vite, en gagnant une petite buvette à peine sortie de l’hibernation, je me prends d’amitié avec elle et c’est réciproque.
Autour d’un verre, Paul, l’époux, nous dit que sa femme a cessé de travailler pour ne plus s’occuper que de leur maison fraichement terminée. Le problème, ce n’est pas qui nous le dise, mais le ton employé qui me chagrine un peu. Il semble dédaigneux dans sa manière de parler de sa femme, comme si elle n’était là que pour lui porter sa bière et lui tailler une pipe. Et Véronique, elle ne bronche pas, ne se révolte pas, complètement passive, comme soumise à son mari.
Le pire, c’est qu’au bout d’un moment, d’entendre Paul parler de sa femme en des termes à la limite de a vulgarité, been ça me met en transe, allez savoir pourquoi. Plus tard, nous nous séparons avec une invitation pour un souper, un de ces samedis à venir. Paul nous invite même à passer le weekend dans leur maison. Jean se fait un plaisir d’accepter alors que moi, je suis un peu plus sur mes gardes sans encore savoir pourquoi.
Bref, trois semaines plus tard, ce n’est pas un samedi, mais un vendredi soir que nous rejoignons Paul et Véronique. Il est vrai que la maison n’est pas petite. Sur un étage, je préfère, elle couvre une sacrée surface et le terrain tout autour, est immense, presque plus grand qu’un terrain de foot.
Jean sonne, il tient le sac contenant nos petits présents. C’est Véronique qui nous ouvre, tout sourire de nous voir enfin débarquer. Après nous avoir fait la bise, elle nous conduit au salon en s’excusant de ne pas nous suivre. Elle prétexte un petit contrôle de son souper.
Dans le salon, c’est tout juste si Paul se lève pour nous accueillir. Il semble même distant au moment de me serrer la main. Je dirais même froid comme un iceberg. Bref, Véronique accoure nous servir un verre, elle s’est changée pour une robe très courte, s’ouvrant sur le devant. De plus, elle est pied nu. Mais c’est à son cou que le changement est le plus flagrant, elle porte un collier de cuir, comme celui que portait Rex, le chien de mes parents, c’est un collier étrangleur. Mes yeux exorbités ne peuvent plus quitter Véronique. Si elle m’impressionne, le mot est faible. Surtout que je venais de terminer la lecture de cinquante nuances de Grey. Dans ma tête, je n’ai plus de doute, Véronique est une soumise. Alors qu’elle retourne à la cuisine, j’en profite pour la suivre, jouant la curieuse du repas qu’elle concocte.
– Dis, ton collier, c’est bien ce que je pense ?
– Ma femme est une soumise, ma soumise. Elle l’est 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. M’annonce Paul sur un ton sarcastique et un sourire de pervers.
– Une soumise ? Mais une soumise comment ?
– Si tu préfères, elle est plus qu’une soumise, c’est mon esclave. Et cela dur depuis nos fiançailles. Tu peux la gifler, l’obliger de te lécher tes pieds, elle doit t’obéir sinon, elle sait qu’elle sera punie.
J‘en étais sur le cul d’entendre Paul parler ainsi de son épouse. Ok, je sais que ça existe pour de vrai. Mais de là à me retrouver en face d’une femme esclave de son mari, j’étais sur le cul.
Dans le salon, j’annonce cette nouvelle à mon Jean qui ne semble pas trouver cette nouvelle extraordinaire. Il me dit même qu’il était déjà au courant depuis l’épisode de la buvette. Et il savait, ce con et il ne m’en a rien dit ? Mais pourquoi ? Oh je sais, pour ne pas me faire peur. Mouais, c’est surtout pour que je ne refuse pas l’invitation.
Bref, je suis très mal à l’aise devant cette situation peut commune. J’ai peur que… Oh mon dieu, Véronique vient d’entrer au salon, pieds et poings menottés. Elle porte un plateau pincé à ses seins, superbes seins au passage.
– Tu vois, Jeanne chérie, elle ne déteste pas !
On voit que ce n’est pas lui qui porte le plateau à ses tétons. Là, pour tout dire, je n’ai plus qu’une envie, rentrer. Véronique s’agenouille devant moi, humble, terriblement belle. Sur le plateau, je prends l’un des verres. J’ose même une caresse sur sa joue. Son sourire me fait plaisir. Elle me fait même une petite moue avec ses lèvres, comme…oui comme si elle m’embrassait. La main de Jean sur mon genou et qui commence à retrousser ma jupe, je me sens tout chose, comme si Jean et Véronique m’avaient envoyé une décharge électrique dans le corps et cette main qui remonte encore, touche ma culotte que je sais mouillée depuis peu. J’ai voulu croisé mes jambes, Jean, par sa main, me l’interdit. J’étais sans voix quand Paul, caressant la longue chevelure de Véronique me raconte comment tout a commencé. Au début, c’était un couple tout ce qu’il y a de plus normal. Un jour, voulant mettre un peu de piment dans leur vie de couple, Paul a emmené sa future dans un sexshop et là, le jeu de domination et soumission pouvait commencer. Il lui demanda de choisir des dessous et d’aller les essayer dans une cabine. Là, après qu’elle se soit mise nue, il ouvrit le rideau en empêchant Véronique de le refermer.
Un autre jour, elle dut mettre une très courte jupe sans culotte. Une autre fois, c’est une robe presque transparente pour faire ses courses avec un bondage serré sur son corps et tous pouvait le voir car, la robe était moulante :
– Bref, dit Paul, au fil des jours, elle est devenue ma soumise avant que je ne commence à la fesser pour un repas trop salé ou un verre pas propre. De fil en aiguille, acceptant, me demandant même, je me suis fait plus sévère jusqu’à ce qu’elle me demande officiellement à devenir mon esclave. Ça s’est fait ans un club SM, devant une vingtaine de personnes. Tiens, regarde son pubis, Caroline, approche, n’ai pas peur.
Je me suis approchée devant Véronique toujours à genou, le corps bien droit et là, Paul a soulevé le bas de sa petite robe, me dévoilant un tatouage qui dit qu’elle est sa propriété. Enfin, comme pour mettre la pression, il me montre une lettre signée par Véro qui est sa demande de soumission. Derrière moi, Jean glisse sa main sous ma jupe, juste sur mon cul, titillant mon anus de son majeur et je pars, je jouis, j’ai un orgasme qui me met au tapis devant Véronique. En relevant mon visage, j’ai le sexe annelé de Véro sous les yeux. Pour un peu, elle pourrait me pisser dessus que je ne pourrais pas l’éviter.
En me relevant, Paul me tend une main secourable. Piège à cou, oui ! Cet enfoiré m’attire tout contre lui, me colle sa bouche sur la mienne pour me rouler une pelle que je n’arrive pas à lui refuser. Surtout que ce saligot me pose ses grosses paluches sur mon cul sans que Jean n’intervienne pour me défendre.
– T’avais raison, Paul, il lui en faut peu pour basculer du côté obscur. ¨
– Elle est comme ma Véro, il faut juste les mots qui vont avec sa personnalité et la voilà docile.
Et sur un ton si naturel que j’avais l’impression qu’il parlait de moi comme d’un morceau de bidoche. Certes, j’étais vaincue, mais pas totalement. Le coup de grâce est venu de Véro qui s’est jetée sur moi une fois son plateau retiré de ses seins. Ma culotte m’est retirée, presque arrachée. Jean me tient par les pieds, me les écarte. Paul me retient mes bras et Véro s’insinue entre mes cuisses pour me brouter la chatte comme une salope. En quelques instants, il ne me reste plus que ma jupe. Les mains de Paul malaxent doucement mes seins. Et je jouis encore tellement mon corps à soif d’orgasmeS. Quand Paul me pince mes mamelons durs comme de l’acier, je jouis encore. La langue et les doigts de Véro sont dans mon cul et mon mec se branle sur ma tête.
– Donne-moi ta bite, je t’en supplie mon Jean, donne.
– Tu vois, maintenant, elle en réclame ta meuf.
– Si tu me l’avais dit y deux mois, je t’aurais traité de fou. Aller, suce ma salope, suce bien.
– Oui mon Jean, en profondeur, comme tu aimes.
J’ai sucé cette queue comme si c’était un présent des dieux. J’avais envie, une envie dévorante de jouir, de faire jouir, de bouffer du foutre jusqu’à plus soif. Je crois bien que je n’avais jamais sucé sa queue avec autant d’enthousiasme que ce soir-là. Celle de Paul se découvre, plus épaisse que celle de mon Jean, je passe d’une à l’autre alors que la fine main de Véro s’enfonce inexorablement dans ma chatte. Je pars encore, Jean jouit sur mon visage, c’est à peine si j’en ai quelques gouttes sur ma langue. Je le branle encore en me tournant vers celle de Paul que je tète à fond, que je glisse jusque dans mon larynx. Si je ne suis pas encore une salope, je suis sur la bonne route, c’est clair. Dans ma chatte, cette main me fait vivre l’enfer. Orgasme après orgasme, je perds tout contrôle. C’est encore pire quand Paul jouit dans ma bouche. Je me délecte de son sperme plus épais et moins salé que celui de mon homme. je demande grâce, on me refuse cette grâce. Dans mon cul, trois doigts commencent à s’enfoncer alors qu’une main occupe toujours ma chatte. Je crois mourir quand cette seconde main coulisse dans mon fion déchiré. Je hurle mon bonheur de jouir encore et puis, plus rien.
C’est bien plus tard que je retrouve mes esprits. Paul me montre en train de jouir, les deux mains de Véro dans mon corps pratiquement jusqu’au coude. Je suis encore fatiguée, mes poignets portent des bracelets de cuir, je n’ai plus ma jupe et chatte est totalement rasée de près. Je regarde Jean assit près de mes pieds, il me pose des bracelets de cuir à chacune de mes chevilles.
– Ma chérie, ce soir, c’est ton dernier jour de liberté.
– Oui mon amour.
– Pas mon amour, mais Maître. Dès lundi, avec l’aide de Paul, je vais aller voir une maison pas très loin d’ici. si l’affaire se fait, tu ne travailleras plus pour ne plus t’occupe que de moi et de la maison. comme Véro, tu seras entravée en permanence. Je pourrais te punir quand bon me semble, à la moindre faute, au moindre manquement. Cependant, je te laisse encore le choix jusqu’à dimanche. Si tu me quitte, on en reste là. sinon, dans six mois, tu m’épouse !
Ses mots sont calment, posés, si persuasifs dans le ton que j’accepte sans même réfléchir à ce que pourrait être ma vie future. C’est Véro, autorisée à me parler qui m’explique ce que Jean attend de moi. Du coup, mon Jean m’oblige à aider Véro dans toutes les tâches durant tout le weekend. C’est d’une sévère claque sur mes seins que Jean m’oblige à me lever pour relier mes bracelets de chaines.
En regardant tout autour de moi, je vois qu’il est déjà plus de minuit et que je n’ai encore rien mangé. Je regarde la table, je ne vois que deux couverts. Véro s’en va dans un coin du salon, se met à genou, se penche. Je l’entends qui lape quelque chose. En y regardant de plus près, elle mange à même une gamelle ce que nos Maîtres vont manger tranquillement dans leurs assiettes. Près de la gamelle de Véro, il en est une autre que Paul me destine en me la montrant du doigt avec autorité. Jean, devant ma petite hésitation, m’att**** par ma nuque et me force à m’agenouiller près de Véro, me plongeant mon visage dans cette gamelle. Je me sens soudainement humiliée, mais dans mon corps, c’est tout autre chose, lui, il aime plus que ma tête.
Je mange comme je peux. Je ne suis pas aussi habituée que Véro à manger comme un clebs. Pourtant, en me forçant un peu, j’y parviens. Je vide même cette gamelle et j’ai encore une faim de loup. À table, j’écoute ces deux hommes parler de moi, de ce qu’il me faut ou ne faut plus.
– Tu vois, je n’ai rien pour la contraindre chez nous.
– T’inquiète, dans la journée, on ira faire quelques achats pour elle. Y a un bon magasin à vingt minutes d’ici, une mine pour tout ce qui est SM. Y a tout, même le superflu. Tu verras et pas cher avec ça. Après, si tu veux une qualité supérieure, il y a un autre magasin qui te propose des cravaches faites à la main, de même pour les martinets et tout ce qui peut habiller une esclave. Pire, à deux pas de la première, y a une boutique de fringue, c’est là que j’habille ma petite pute.
– Ok, ben on verra bien.
– C’est tout vu, mon gars. Viens, je te montre ce que j’ai fait dans le garage et la pièce du fond.
En nous abandonnant, les deux hommes nous quittent pour cette visite. Après une ou deux minutes, Paul nous appelle toutes les deux.
– On y va à quatre pattes, tu verras, ça va te plaire, ma chérie. Me dit Véro avec un large sourire. Ils vont nous fouetter, nous mettre des pinces et peut-être même nous couler de la cire brulante sur nos corps. tu finiras par adorer, ma chérie.
– Parle pour toi, je ne suis pas encore une maso !
– Qui te parle de masochisme ? Pas moi, quoi que. Non, ce que j’aime, c’est après, quand mon Maître m’encule, me baise et me fait jouir.
À quatre pattes, nous rejoignons le garage. Je suis encore une fois sur le cul en voyant ce que Véro appelle le donjon. Pour moi, cela tient plus d’une salle de torture qu’à autre chose. Mais très vite, je suis plaquée contre un grand X par quatre mains très puissantes. Face à ce X, je suis attachée par mes bracelets et fessée avec une sorte de paddle, je crois que c’est comme ça que ça s’appelle. Dans mon cul, on m’enfonce un truc en métal, il est large, long et on me l’attache à ma taille. Sur ma cuisse, je sens quelque chose de doux. Merde, j’ai une queue de renard dans mon fion ! Quoique… ce soit très agréable surtout quand cette même main se met à le bouger dans tous les sens. Sauf que sur mon dos, entre mes épaules, des lanières frappent durement. J’ai mal en même temps que j’éprouve du plaisir. Ce mélange me met à la limite d’un orgasme. Cet orgasme, je le veux, je le désire plus que tout au monde. Pas loin, une voix pousse des gémissements, Véro est enculée par un gros gode. Quand elle pousse un petit râle très expressif, j’explose comme si tout mon corps se déchirait en milliard de petites particules, comme si mon orgasme me démembrait de l’intérieur, me disloquait, rebondissait dans mon corps. Là, j’étais prête à aller plus loin encore, sans savoir encore jusqu’où ces eux fumiers voulaient que j’aille. Enfin, quand je dis fumier, ce n’est péjoratif, non, loin de là, c’est plus dans le sens affectif. J’aurais très bien pu dire ces deux amours. La bite de mon Jean me défonce ma rondelle juste après avoir retiré cette queue. Il se fait sauvage et jamais je ne l’ai senti aussi brutal dans mon fion. Pire que tout, je me mets à le supplier d’y aller encore plus fort. Plus fort, j’ai eu, sous la forme d’une magistrale grosse fessée, une cuisante. Pire que celles de mon enfance. Et pour tout dire, même si je souffre, j’adore. En fait, en quelques heures, je suis passée de la fiancée bien sous tous rapports à une salope de la pire espèce. Autant dire que ce n’était pas une route, mais une autoroute. Enfin, devant nos corps épuisés, nos Maîtres nous rassemblent pour une dernière humiliation, nous pisser dessus. Un peu craintive, voire déjà dégoutée et pourtant, quand Véro colle sa joue contre la mienne, la bouche ouverte, la langue tendue. Je l’imite, reçois les premières gouttes et je me mets à boire directement à la source de Paul et ma Véro à celle de Jean. après cette douche dorée, Véro et moi, nous nous léchons nos corps recouverts de foutre, de pisse, je me délecte de sa chatte quand elle me pisse dans la bouche. Nom d’une moi (PUTAIN), plus je me fais rabaisser, plus j’aime ça, je jouis quand Véro me broute mon minou et que je me soulage à mon tour.
Après quelques heures de sommeil, une douche et une gamelle de céréale, mon Maître m’enfonce un plug de métal dans mon cul avec une jolie de renard qui pend sous une très courte robe prêtée par ma Véro. Dans la voiture, je me rends vitre compte des effets que procure ce genre d’objet et j’adore ce que mon corps vit.
Une petite demi-heure plus tard, en laisse, oups, c’est la toute première fois et en public, mon Jean me guide vers l’entrée de sexshop. Une fois à l’intérieur, je me retrouve avec la robe ouvert, ma poitrine à l’air comme ma chatte. Pire, mon Maître relève l’arrière pour me poser sur mon plug à queue. Dans ce magasin, je sens tout le poids de ces regards envieux posés sur moi et Véro. Nos Maître nous guident à travers les rayons jusqu’au coin SM et fétichiste. Ce que je découvre me stupéfie, surtout cette longue cravache à l’extrémité très fine que mon Maître prend et m’assène un bon coup sur mon cul. Si je pousse un petit cri, je crois que mon sourire fait qu’il la prend. Il défait mes mains, m’ordonnant de choisir de quoi me punir. MartinetS, cravacheS, paddleS, tout passe. Si je ne prends pas ces boites de pinces à linge, c’est parce que j’en ai plus qu’il n’en faut chez nous. Puis, ce sont les bracelets de cuir, les menottes avec ou sans chaine, court ou longue. J’en prends deux paires pour mes poignets, une sans, l’autre avec chaine. Pour mes cheville, deux avec chaine, une courte et une longue. Mon Maître me montre trois colliers, un en cuir, l’autre en métal et un étrangleur, je pose les trois dans mon panier. Satisfait, mon Maître m’emmène vers le fétichisme et m’habille non sans me faire essayer chaque vêtement devant lui, aux yeux et à la vue de tous. Même Véro n’y échappe pas. si je rougis de honte, ma chatte trempe, même que cela coule sur mes jambes jusqu’à mes pieds. Quand Paul lui montre une grosse menotte toute seule, avec une chaine relativement longue, qu’il montre, sur Véro, où elle se met, mon Maître me la met immédiatement à mon cou après avoir retiré mon collier de cuir. Enfin, le rayon chaussure. Là, il ne veut que des talons hauts de dix centimètres au grand minimum. Ceux que je vois me mettent dans tous mes états et je veux essayer cette paire de bottillon avec leurs talons de dix-huit centimètres. Une fois aux pieds, il me faut l’aide de Véro et de mon Maître pour faire mes premiers pas. Je n’ai que l’extrême extrémité de mes orteils qui touche le sol. Cela me fait un effet bœuf quand en plus Maître Paul me fout sa main au panier. Maître Jean se permet encore de me prendre plusieurs godes, tous de bonnes et grosses tailles. Il choisit aussi, sur les conseils avisé de Maître Paul, des vibromasseurs de même tailles que les godes. À la caisse, la carte de crédit dans ma main, suprême humiliation, je passe tout dans les mains poisseuses de ce gros homme vulgaire. Il ne cesse de me reluquer, caressant mes mains que je ne peux retirer, c’est un ordre de mon Maître. En fait, je dois même me laisser peloter par qui le désir sans que je ne puisse refuser sous peine d’une lourde punition. Si pour certain cela ne pose aucun problème de me fourrer leurs sales doigts dans ma chatte, mon cul leur reste interdit. Il n’en est pas de même pour ma Véro près de moi. Son cul, à défaut du mien, se fait durement darder par un ou plusieurs doigts sous le regard goguenard de nos Maîtres. Enfin, le payement fait, mon Maître referme ma robe sans pour autant cacher mon cul. Dehors, il me met même un gros gode que je dois porter comme un cierge allumé. Près de la voiture, un à un, je dépose chaque objet dans le coffre en le nommant haut et fort. Je suis rouge comme une tomate et mon entrejambe baigne dans ma mouille.
Chez Maître Paul, les deux Maîtres m’attache solidement, m’enfonce un gros vibro dans ma chatte, me l’attache de sangle de cuir avant de me cagouler et de m’habiller d’un corset de cuir rigide. En plus du corset, on me retire ma menotte qui me faisait office de collier pour me mettre une minerve en cuir, me bloquant mon cou. Sur mon cul, la longue et fine cravache finit par s’abattre violement. J’ai mal, je le crie, on me bâillonne et on recommence je ne sais combien de fois. Je ne sens plus mes fesses, j’ai même l’impression de ne plus en avoir s’il n’y avait ce plug bien enfoncé à l’intérieur de mon anus. C’est sur ma poitrine bien posée sur le balconnet de mon corset que les coups viennent s’abattre. Ils pleuvent si fort que je ne les vois plus tellement les larmes inondent mes yeux. Cette fois, je n’y échappe pas, j’ai droit à la total. Ce vibro dans ma chatte, je crois que c’est encore pire que les coups que j’encaisse. Il me fait jouir au pire moment, quand la cravache frappe mes mamelons durs comme de la pierre. Pire que tout, les orgasmes s’enchainent à un rythme que mon corps peine à supporter en plus des coups de cravaches. Quand tout s’arrête, c’est autour de Véro de souffrir pendant que mon Maître me bourre la chatte en plus du vibro. Une expérience douloureuse pour qui est étroite comme moi. Sa bite collée au vibro, après quelques minutes, c’est l’enfer sur terre qui se déchaine dans mon corps au point que mes yeux se ferment et que je n’entende plus rien.
Je me réveille en pleine nuit, attachée, posée sur le ventre, le corps en feu dans un silence de mort. Rien ne bouge, je ne vois rien, il fait nuit noir autour de moi. Je ne peux pas remuer, mes membres sont attachés les uns aux autres. Je ne peux pas crier, je suis encore bâillonnée. J’ai soif, je n’ai rien à boire, j’ai faim, rien à manger. Même si, peu à peu, je peux voir des formes autour de moi, je ne sais pas où je me trouve. Dans ma tête, je me fais déjà tout un cinéma. Je me vois vendue à un quelconque homme ou femme pervers, sadique jusqu’au bout des ongles quand soudain, mon corps se met à vibrer. Oh merde, j’ai encore ce foutu vibro en moi et mon corps adore ça qui plus est.
Une porte s’ouvre, un bruit de chaine, je n’arrive pas à me tourner. Une douce main se pose sur mes fesses, elle étale de la pommade. L’autre douce main me retire mon bâillon, une bouche me fait chuuut. Sous ma bouche, je sens cette gamelle, c’est de l’eau, je la vide. Véro en profite pour me mettre une cagoule qui ne couvre que le haut de ma tête, elle s’arrête au bout de mon nez.
– Ma douce chérie, tu subis l’épreuve d’endurance, ne lâche rien, tiens bon. Je t’aime ma douce. Il y a mangé sous ta bouche, c’est du dessert, régale toi.
Un baiser et plus rien, le silence et la nuit.
Je ne sais combien d’heure j’ai passé dans ce lieu inconnu. Si je parviens à garder mon calme, je n’arrive pas à dormir avec ce vibro qui ne cesse de vibrer dans mon corps. Je suis si crevée que je n’arrive plus à avaler ma propre salive. Deux, trois peut-être plus, des jours peut-être, je ne sais plus, le temps, pour moi, s’est arrêté.
La porte située derrière moi s’ouvre, je sens son faisceau de lumière près de moi. Une main rude me retourne, je ne vois l’homme qui me caresse, je présume que c’est mon Maître. Ses mains me délivrent mes jambes, mes bras. Tous mes membres sont engourdis d’être resté si longtemps immobiles. On me lève, je chancelle, on me soutient, on me fait marcher de force. Puis on me pose sur une chaise, on retire mon bâillon avec ordre de faire silence, on me donne boire, à manger, c’est un sandwich. Pour moi, c’est un repas de fête. Deux autres mains viennent laver mon corps, ce sont celles de Véro, ma douce Véro. Quel jour sommes-nous ai-je envie de demander, de hurler. Je me tais pourtant, docile soumise que je suis devenue. Sur mes seins, ces douces mains étalent de la pommade. On me retourne, ces mêmes mains en mettent une bonne couche sur mes fesses, le tout dans un silence monacal. Je porte toujours ma cagoule. Cette bite qui force ma bouche, je la connais par cœur, c’est celle de mon Maître que je m’empresse d’emboucher, de pomper, de sucer si cela peut me permettre de sortir de la nuit. Je suce, l’avale entièrement, passant outre ma luette, plongeant dans mon larynx. C’est bien elle, celle qui me fait si merveilleusement jouir quand elle pilonne mon corps. Il y a ce foutre qui me noie de plaisir car j’ai osé me caresser pendant que je pompe cette bite si bonne. Ce foutre, tout comme le sandwich, c’est une bénédiction dans ma bouche. Je ne peux m’empêcher de jouir en étalant ce qui a débordé de ma gueule de salope. Je sens aussi la langue de Véro venir lécher ce trop-plein. Ma belle, que j’aimerai t’aimer, te faire jouir jusqu’à plus soif. On relie mes poignes, une main claque violement mon cul avant que mes chevilles soient reliées entre-elles. Cette queue revient à la charge, non pas pour que je la suce, mais pour se soulager. Ma bouche est prête, ma langue sortie et je bois, je me gave en essayant de ne pas en perdre la moindre petite goutte. Pourtant, une autre bouche guette, lèche déjà ce qui coule de chaque côté de mes lèvres, la douce bouche de Véro. Après s’être retiré, la main de mon Maître guide ma tête vers celle dont je suis tombée amoureuse, Véro. Nous nous embrassons longuement avant mon Maître ne me bâillonne à nouveau, me couche à même le sol de bêton. Et c’est à nouveau le silence autour de moi.
Couchée sur le ventre, ma tête imagine, me turlupine, m’angoisse avec ses idées complétement folles. Je crois devenir folle de mon imagination, folle de ne pas savoir, de ne pas connaitre de quoi sera fait demain. À propos, c’est quand demain ?
Ce foutu vibro, il ne s’arrête donc jamais. Il me rend aussi folle que mon imagination. Il m’arrive même de souhaiter mourir pour ne plus sentir cette chose vibrer dans ma chatte devenue encore plus douloureuse que mes fesses et mes seins réunis.
Je ne sais où je suis, sous moi, ce n’est plus du bêton, mais une sorte de moquette ou un tapis, allez savoir. Tout ce que je sens sous mon dos…Yes, je ne suis plus sur le ventre. Me cul remue, c’est un doux tapis que mon cul sent. Et…merde, plus de vibro non plus. Je me retourne, j’y parviens très facilement, même entravée. J’en suis à parier que tout était prévu de longue date, dans mon dos, à mon insu. Je ne peux me retourner plus qu’un demi-tour, à mon collier, une chaine me retient encore. Si mes jambes sont aussi libres, ce n’est pas le cas de mes bras. Je porte encore ma cagoule. Je n’ai plus la moindre notion de temps. Pour moi, cela fait deux jours, une semaine, un mois, qu’est-ce que j’en sais. Je crois que c’est encore pire que le vibro. Une odeur de céréale et de lait parfum mon nez. Oui, il y a une gamelle sur ma droite, j’arrive même à m’en approcher. Je lape, aspire tout ce que je peux, je peux même lécher. Mince, je n’ai plus mon bâillon. Mais alors, je pourrais crier, hurler, appeler du secours. Non, je ne m’en sens pas le droit. Et puis y a Véro, si je me souviens bien, elle m’a demandé de tenir le coup aussi longtemps que possible. Mais si je décide que cela assez duré, se pourrait-il qu’ils m’entendent crier ?
Pour me rassurer, je me mets à chantonner une vieille rengaine apprise à l’école enfantine. Je ne chante pas fort, juste assez pour me donner du courage. Un sentiment de bien-être m’envahit en fredonnant, il me semble même remonter au temps béni où j’allais encore à l’école. De cette époque, je reviens lentement à ma vie actuelle, passant par toutes les périodes de ma vie, de mes premiers amours, de mon premier vrai baiser jusqu’à mon dépucelage tellement doux avec mon Jean. il s’était montré si grand Seigneur en me faisant l’Amour si tendrement que c’est à peine si j’ai senti mon hymen se déchirer. Plus je revois ces images de mon passé, plus je sens mon corps s’échauffer. Il faudra un tout petit rien pour je jouisse, juste une petite caresse, un petit courant d’air sur ma chatte pour que j’explose. Je revis toutes les fois pendant lesquels mon Jean m’a fait l’Amour jusqu’à vendredi soir, le jour de mon changement de vie. Je revois tout, encore une fois, jusque dans les moindres petits détails. Et le miracle arrive, je jouis en poussant un long hurlement de bête en rut. Un râle si puissant qu’il parvient à m’assourdir pendant un moment. Tout mon corps s’est vouté sou l’effet puissant de mon orgasme. J’étais tendue comme un arc prêt à lâcher sa flèche.
La porte s’ouvre au moment où tout mon corps s’apaise. Une main se pose sur mon ventre, le caresse, c’est celle de mon Maître, j’en suis presque certaine. Mais non, cette voix, c’est celle de Maître Paul. Il me demande si tout va bien. Je vais bien, merveilleusement bien. Je tente de me redresser pour l’embrasser, lui dire combien je suis heureuse. La chaine me rappelle à l’ordre.
– Ma chère, vous venez de battre le record de Véro.
– Un record Maître ?
– Oui, 96 heures dans le noir complet, sans qu’on ne vous parle. Et en plus, tu parviens même à jouir. Je ne pensais pas à te dire ça, mais tu es une soumise merveilleuse, exceptionnelle même. Viens délivrer ton amie, Véro. Prends grands soin d’elle. Jean est sorti voir un notaire.
– Quel jour sommes nous, Maître Paul.
– Nous sommes jeudi, il est presque onze heures du matin et on va aller te baigner. Délivre la et tu lui coule un bon bain mon amour.
– Avec plaisir mon Maître adoré. J’adore la voix e ma Véro quand elle parle ainsi.
Si je suis rapidement libre, ma cagoule enfin retirée. Je ne peux encore marcher. Mes jambes, elles n’ont pas marché depuis plus de 96 heures, c’est long. Il me faut le massage de Véro, un massage sensuel, délicat, merveilleux et, mais surtout, si jouissif quand sa main se perd entre mes cuisses.
Debout, peu vaillante encore, Maître Paul et sa douce esclave m’aident à me rendre dans la salle de bain. Maître Paul m plonge lentement dans cette eau délicieusement chaude. Véro y pénètre à son tour pour me laver entièrement. Je n’ai qu’à me laisser chouchouter, dorloter, coucouner et tout et tout, pour une fois depuis vendredi passé. Que c’est bon de sentir bon. Mon cul ne sent plus, la bouche et la langue de Véro y veillent. Ma chatte n’est plus malodorante, la bouche et la langue de Véro y font un merveilleux ouvrage. Les mains de Paul se font douces sur mes seins. Sa bouche sur la mienne équivaut à du miel. J’ose même lui dire que je l’aime. Mon dieu, j’ai clamé mon amour à un autre que mon homme, suis-je folle, oui, je le suis de ce couple, de leur soif de pousser plus loin les limites de l’amour. Paul nous laisse. Véro me raconte sa vie entièrement tournée vers son dévouement au service de son époux. Je sais que Paul écoute, je n’en doute pas une seconde. Je l’imagine sourire quand Véro m’apprend que c’est elle qui a désiré être tatouée. À mon oreille, elle me glisse qu’elle rêve de porte plusieurs anneaux. Cependant, il en est deux qu’elle veut absolument, sur son nez et l’autre sur son clitoris. Quand elle me donne la raison, tout sourire, les yeux brillants de mille feux, je comprends son désir de se voir promenée en laisse tenue ou par son nez ou par son clito. Je me mets à imaginer Jean me promenant nue, une laisse accrochée ou à mon clitoris ou à mon nez. Je me vois aussi faire les boutiques, ma laisse confiée à des vendeurs, hommes et femmes, qui me tourmentes, me baisent, m’enculent ou m’obligent à lécher chattes et cul, à boire leur urine. Je m’imagine ma laisse accrochée devant un bar, tel les chevaux devant un saloon avec un vaste abreuvoir devant moi. je vois même Véro accrochée comme moi, juste à mes côtés avec nos seules bouches de libre pour nous embrasser tendrement.
Deux mains qui claquent entre-elles me font sortir de mon rêve. C’est Maître Jean, il est de retour, frais comme un gardon.
– Ma chérie, c’est fait !
Oui, mais quoi ?
– Paul, j’ai signé, voici les papiers qui te reviennent. T’as plus qu’à signer et on peut entamer les travaux.
– Viens boire une bière pendant que je te signe tout ça, mon pote.
J’allais pour demander quoi quand l’index de Véro se pose sur ma bouche. Elle attend que mon Maître rejoigne Paul avant de me dire :
– Nos Maîtres ont décidé d’agrandir la maison. ils veulent ajouter une nouvelle chambre à coucher, une nouvelle salle de bain et un donjon pour nous punir. Chut, ne parle pas, ma chérie. Rends-toi compte que nous allons servir nos Maîtres, toi et moi, toutes les deux, tous les jours, du matin au matin sans que cela ne cesse jamais.
– Ma chérie, mais c’est fantastique, merveilleux. Toi et moi, je n’ose encore l’imaginer.
– Chut, ce n’est pas tout. Comme la maison sera plus grande, nous serons aussi obligées de baiser avec tous ceux qui franchiront la porte. ils veulent faire des partouzes dans le salon qui va doubler de volume, peut-être plus, je n’en sais encore rien.
– Tu nous vois baiser avec dix, vingt ou plus. Nous deux remplies de foutre, de pisse et ces bites qui se vident en nous sans interruption ?
– Mais c’est exactement ça qui vous attend, mes deux commères. Sortez de ce bain et venez au salon voir les plans. S’exclame mon Maître.
Aussitôt dit, aussitôt sèches, Véro et moi. Main dans la main, nous gagnons le salon. Je ne sais pas si cette merveilleuse nouvelle ou quoi, mais nous arrivons comme des chattes en chaleur, marchant sur la pointe de nos pieds. Mon Maître déroule les plans, Maître Paul nous situe, nous montre ce qui va changer, s’agrandir, s’ajouter et :
– Ma chère, il nous faut te dire que nous avions, Jean et moi, avec l’aide de ma merveilleuse et docile épouse, tout programmé depuis près d’un an. Il ne manquait plus que toi. je suis désolé si nos procédés ton choquées, mais il le fallait.
– Maître Paul ne vous excusez plus jamais devant moi, plus jamais. Je préfère recevoir une bonne fessée, une bonne gifle que de vous entendre vous excuser.
– Ma chérie, est-ce à dire que tu ne veux pas revenir en arrière ?
– En arrière, foutre non, jamais de la vie. je viens de passer 96 heures attachées, dans le noir, le silence et vous voudriez que je renonce à me soumettre à vous deux, me séparer de mon amour de Véro. Qui plus est, pendant mon bain, mon Maître que j’aime, j’ai osé dire à Maître Paul que je l’aimais.
– Eh bien voilà qui nous satisfait. Il ne reste plus qu’à alors !
– Plus qu’à ! Les filles, une bière ?
– Merci Maître mais…
– Une bière ?
– Oui mon Maître. Répond Véro à mon Maître, la tête baissé, un joli sourire à ses lèvres pulpeuses.
– Mes Maîtres, on pourra dire que je suis tombée dans un merveilleux piège.
– C’est vrai ! Et tu le regrettes ?
– Oh certes non, tout au contraire maintenant que je sais pour voir jouir comme une dingue.
– C’est vrai que tu jouis nettement mieux maintenant que chez nous, ma belle. à propos, le mariage, tu y tiens toujours ?
– Plus que jamais si je peux choisir une robe qui aille avec mon nouveau statut.
– Alors là, ma chérie, je te laisse carte blanche à une condition, que cette robe puisse être réutilisée ensuite. M’annonce mon Maître.
– Le défi ne me semble pas trop difficile à tenir. Cependant, mes Maîtres, il y a une chose que Véro et moi désirerions. Oui, elle m’a parlé d’un de ses fantasmes, celui de porter des anneaux. Seulement, en tout premier, nous aimerions en porter deux dans un premier temps, un dans la cloison nasale et un autre sur le capuchon de nos clitoris. par la suite, Maîtres, vous pourriez continuer en nous en mettant sur nos tétons ou sur nos sexes.
– Tu entends ça Paul ?
– Mais voilà qui n’est pas pour nous déplaire, hein Jean !
– Ça non, va pour les deux premiers. Autre chose ? Me demande mon Maître.
– Oui mon Maître adoré, votre marque sur mon corps, votre titre de propriété à l’emplacement que vous choisirez.
– Un tatouage comme Véro peut-être ? Demande Maître Paul.
– Oui Maître Paul, exactement.
– Parfait, on voit ça la semaine prochaine. Pour les anneaux, idem. Véro connait la personne qu’il faut. En plus, il vient à domicile. Ajoute Maître Paul.
Pour ce soir, nous en restons là avec les souhaits. Nos Maîtres nous baisent comme des dieux, passant de Véro à moi, ils nous baisent toutes les deux parfois en me prenant tous les deux, une queue dans mon cul, l’autre dans ma chatte. Et Véro n’est pas en reste puisqu’elle subit le même délectable sort que moi.
Ce matin, je le sais de source sûr, c’est vendredi. Oui, j’ai un calendrier sous les yeux. Avec Véro, nous préparons le déjeuner de nos princes, un déjeuner royal pour deux Maîtres merveilleux. Avec Véro, nous avons pris la décision de toujours être menottée, que cela soit nos mains sur le devant ou nos pieds avec une chaine plus longue pour pouvoir nous déplacer. Tout cela en plus de notre collier, le même pour toutes les deux, cette grosse menotte bien fermée et bloquée pour ne pas qu’on puisse la fermer trop et nous étrangler. La chaine bien entre nos seins, le plateau fixé en nos seins, nous voilà en train de marché en crabe pour délivre nos repas du matin. Pour nous, deux gamelles de céréale et un peu de lait nous suffit. Devant eux, chacun d’un côté du plateau, ils ne font pas que manger leurs tartines, on est aussi du menu, Véro et moi.
Ensuite, on les lave, les deux ensembles et on les viole avec amour, mais pas trop pour qu’ils puissent nous baiser après. Pendant qu’ils s’habillent, Véro me confie que le tatoueur possède une queue digne de celles de nos Maîtres et qu’il baise comme un dieu. Je me réjouis d’avance de me donner à un autre devant nos Maîtres. Je veux leur prouver que je suis bien une salope tout comme Véro et j’en suis une, n’en doutez pas, une vraie de vraie.
Histoire écrite d’un trait en deux petites heures
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