Voici deux expériences soft, mais qui m’ont éveillé à l’érotisme. Nous sommes dans les années 70 à Nice ma ville natale, j’ai 17 ans et prépare mon bac. Je suis plutôt mignonne et bien faite, c’est le printemps et la mini-jupe est reine, pour moi plus elle est courte mieux c’est.
Nous sommes en de fin de semaine, mon père n’est pas rentré de déplacement et ma mère propose de nous emmener, mes frères et moi au cinéma voire un dessin animé. Comme d’habitude nous sommes assis au centre de la salle, ma mère, et moi qui suis l’ainée, encadrons mes deux frères. A ma gauche le plus jeune qui n’a pas encore 10ans. Alors que tout le monde est pris par le film depuis un bon quart d’heure, quelque chose m’effleure, puis une main se pose sur mon genou droit. Surprise, je referme brutalement les jambes, et les croisent. La main se retire, je jette un rapide coup d’œil à ma droite et aperçoit le profil d’un homme que j’ai du mal à distinguer dans le noir mais qui semble d’un certain âge.
Un temps passe, mon rythme cardiaque retombe et je suis de nouveau dans le film.
Alors que je viens de décroiser les jambes la main se pose à nouveau sur mon genou, et se fait plus ferme. Je suis terrifiée à l’idée que mon frère puisse s’aperçoive de quelque chose, heureusement le film est prenant et bruyant.La main reste un long moment immobile, elle est chaude, douce, pas désagréable.
Je me calme. Lentement, très lentement mais fermement, elle m’oblige à m’ouvrir. La peur d’attirer l’attention m’ôte toute résistance. Mon genou droit est maintenant collé à la jambe de mon voisin. Je remonte mon sac de toile et le pose sur mes genoux pour camoufler la situation.
Toujours aussi lentement elle se fait caressante et remonte l’intérieur de ma cuisse. Mon cœur bat à tout rompre, du coin de l’œil, je surveille mon frère.
Les doigts de cette mains, légers, délicats et chauds sont arrivés au niveau de ma culotte ils effleurent le tissu puis se posent dessus et restent un moment sans bouger en attendant qu’à nouveau je retrouve mon calme. Je finis par me détendre.
Toujours à l’affut d’une réaction de ma gauche, j’essaie de me concentrer sur cette main et commence à trouver la chose excitante. Lentement la main se remet à bouger, les doigts passent sur le côté de la culotte et s’infiltrent dessous, ils flattent ma toison comme ils le feraient sur la tête d’un chat, en l’occurrence d’une chatte, la mienne. Puis doucement les doigts descendent entre mes cuisses, que je me surprends à écarter un peu plus.
L’inconnu comprend qu’il a gagné, son majeur se met alors à explorer avec délicatesse le bord de mes lèvres, les ouvrent et vient s’humecter à l’entrée de mon sexe qui est déjà très humide.
Ignorant si je suis vierge, je comprends que mon voisin hésite à pousser plus loin la pénétration. Ses doigts maintenant bien lubrifiés remontent vers mon petit bouton qui palpite d’impatience. La caresse démarre en en faisant le tour, puis appuie dessus et le décalotte en douceur, je le sens durcir. J’ai alors la sensation que la chaleur de ce doigt traverse mon corps jusqu’au front.
Toujours en surveillant ma gauche je me tends et me crispe aux accoudoirs. La caresse s’accélère, je suis prise de spasmes et je jouis violemment en me mordant les lèvres pour ne pas hurler.
La main s’est immobilisée, sa paume recouvre toute ma toison, le majeur repose sur mon clito afin de ressentir les contractions qui, lentement diminuent.
Plusieurs minutes passent, l’inconnu décide de baisser ma culotte, je lui facilite la tâche en me soulevant légèrement, puis sa main s’anime à nouveau.
Je jouis encore et encore, et de plus en plus fort.
Cinq ou six orgasmes plus tard je suis épuisée et m’assoupie.
La lumière se rallume. Heureusement mon sac couvre ma culotte baissée à mi-cuisses, je la remonte discrètement. Mon voisin a disparu, j’apprécie.
Je n’ai aucun souvenir du film mais en revanche je n’ai jamais oublié ce délicieux moment.
Quelques semaines plus tard, il fait beau et très chaud, je suis en pleines révisions du bac.
Pour travailler et profiter du soleil j’ai pour habitude d’aller m’installer à une terrasse de café bien orientée.
Le nez dans un bouquin depuis un bon moment, c’est en relevant les yeux que j’aperçois à environ trois mètres, un homme, la quarantaine, qui me fait face et se contorsionne en me reluquant.
A l’abri de mes larges lunettes de soleil je l’observe quelques instants et je comprends.
Absorbée par ma lecture j’ai entrouvert les jambes et je réalise instantanément, que sous ma jupe plus que mini, je porte une culotte en dentelle transparente qui ne dissimule rien de mon anatomie. Par reflexe je resserre les jambes et au bout de quelques temps l’homme finit par détourner le regard.
Pour être tranquille en cours, je suis toujours la majorité du temps en pantalon et donc j’enfile la première culotte qui me tombe sous la main. En rentrant à la maison je me change, enfile ma mini et le plus souvent mets un bas de maillot pour être à l’aise. Mais aujourd’hui distraite, j’ai oublié.
Après un moment de réflexion et toujours derrière mes verres sombres, je constate que le regard de mon « examinateur » revient régulièrement sur moi et cela me donne des idées.
Donc, sans en avoir l’air et pour lui éviter un torticolis, imperceptiblement, je me positionne dans son axe de vision, et je commence en toute innocence, à laisser mes jambes s’ouvrirent. L’homme s’en aperçoit rapidement et redouble d’attention. Il ne peut voir que je l’observe.
Alors qu’il a le regard fixé sur moi, je laisse tomber mon stylo. En me penchant pour le ramasser j’écarte ostensiblement les cuisses le temps nécessaire pour ratt****r ce satané stylo qui m’échappe volontairement un peu, puis je reprends ma position en croisant bien haut les jambes.
Le monsieur est ferré, j’ai toute son attention. Ce jeu m’amuse et m’excite au plus haut point, je sens mon clito se mettre à palpiter et durcir, mon sexe est chaud et suinte.
Durant plus d’une heure, j’alterne les positions, reste parfois de longues minutes sans qu’il puisse apercevoir quoi que ce soit, puis je recommence, croise et décroise les jambes plus ou moins lentement.
A un autre moment, après m’être assurée qu’il est bien le seul à pouvoir profiter du spectacle, je simule une démangeaison soudaine, j’écarte franchement les jambes pendant plusieurs secondes pour me gratter du bout des doigts et avec délicatesse l’intérieur de la cuisse jusqu’au ras de la culotte, tout cela évidemment sans relever la tête ce qui ne m’empêche pas de l’observer.
A ce moment il me fait penser au loup de Tex Avery.
Mon voyeur passe un superbe moment et moi aussi, mais il faut que je rentre. En partant je décide de lui offrir en guise de cadeau d’adieu un autre point de vue. Je me retourne pour récupérer mes affaires posées au sol et me baisse bien plus que nécessaire. Je suis sûre qu’il a une vue directe sur mes fesses, malheureusement les strings n’existaient pas encore. Puis sans même lui jeter un regard je m’en vais.
Ce jeu m’a tellement échauffé qu’une fois dans ma chambre, je me masturbe comme une folle.
A l’inverse de l’expérience du cinéma que je n’ai jamais vraiment réussi à renouveler, j’ai très souvent recommencé ces petits jeux aux terrasses. Je me suis donc constituée une collection de culottes toutes plus provocantes les unes que les autres, et je suis aussi devenue experte à repérer le voyeur idéal, c’est-à-dire celui qui se contente de mater, mais qui a aucun moment ne cherche à m’importuner.
J’avoue aussi qu’il m’est arrivé quelques fois dans un état d’excitation extrême, ayant estimé la situation sans danger, d’aller retirer ma culotte, puis plus tard mon string, dans les toilettes et de revenir poursuivre mon petit jeu. Là je ne vous laisse deviner la tête de celui qui le découvre.
Aujourd’hui, bien sûr même si les années ont passé, que les jupes sont plus longues, je reconnais que si l’envie et les circonstances s’y prêtent, en présence ou non de mon mari, qui adore, je ne m’interdis jamais une petite séance d’exhib, qui me procure toujours autant de plaisir.
Julie
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