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Seance

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Je frappe à la porte. Je suis nerveux. Une voix me dit d’entrer. La pièce est éclairée par des dizaines de bougies. Ma maîtresse m’accueille habillée en latex, avec des bas, des bottes, un fouet et de longs ongles noirs. Son maquillage strict me fait tout de suite comprendre qu’elle sera sans pitié pour moi. « Ce soir tu es à moi. Tu es mon jouet, ma chose. Je vais faire ce que je veux de toi, mais surtout je vais prendre beaucoup de plaisir à te faire souffrir… » Elle me tend un collier de chien, m’ordonne de me déshabiller et de mettre à quatre pattes. Elle me prend par les cheveux et pousse ma tête vers ses pieds. « Lèche mes bottes mon petit soumis ! » Puis vient l’inspection. Debout devant elle, elle passe ses ongles sur mon corps, me prend les couilles et les serre jusqu’à ce que j’aie mal. Elle branle ma bite et m’excite, juste ce qu’il faut pour être complètement docile et me fait revenir à la raison par des tapes bien placées sur la bite et les couilles.
Elle colle son corps contre le mien, puis d’un geste très sensuel, se suce l’index pendant plusieurs instants. Elle écarte mes fesses à la recherche de mon anus qu’elle titille de son doigt trempé. « Je vais prendre beaucoup de plaisir à jouer avec cette partie de ton anatomie. » Elle prend un petit plug, verse du lubrifiant et l’enfonce délicatement dans mon cul. « C’est pour te préparer pour la suite. » Elle me fait m’asseoir sur une chaise et m’attache les chevilles et mon bras gauche. Le plug s’enfonce et commence à me donner du plaisir. Elle fait passer une corde sous la chaise pour attacher mes genoux et les écarter afin que mes attributs lui soient complètement disponibles. Elle place des pinces chinoises sur mes tétons et m’ordonne de me branler pendant qu’elle fait de même. Quand elle me sent sur le point de jouir, d’un coup de cravache sur les testicules, elle me stoppe dans ma lancée. Elle, par contre, continue de se donner du plaisir. Plaisir qui sera ponctué au bout de quelques minutes d’un violent orgasme. Je la regarderais sans bouger, de peur de recevoir à nouveau un coup. « Maintenant que je me suis donnée du plaisir, je vais t’en donner un peu, mais pas comme tu l’entends. »
Elle m’enlève les pinces et me masse les tétons pour faire partir la douleur. Elle place des pinces attachées entre elle le long de mon corps. Puis une sur chaque téton. Elle enfile un préservatif sur ma bite toujours raide. « Maintenant tu peux te branler » J’ai du mal à me concentrer à cause de la douleur des pinces. Sentant ma jouissance proche, elle tire d’un coup sec les pinces attachées entre elles. Mon orgasme s’éloigne. M’obligeant toujours à me branler, elle recommence à la deuxième vague, m’empêchant encore une fois de jouir. D’un sourire sadique, elle prend une cravache et s’amuse à me donner des coups sur le buste et les couilles. « Continue. Tu en mets du temps à jouir, ta maîtresse ne t’excite pas ? Dépêche-toi! » Elle continue les coups en essayant de faire sauter les pinces sur les tétons. Le départ de la deuxième pince déclenche mon orgasme dans la capote. J’en profite au maximum, ne sachant pas ce que me réservera le reste de la soirée. Elle retire le préservatif en prenant soit de traire ma bite pour que tout le sperme reste dedans. « Mets ta tête en arrière et tire la langue! » Elle verse le précieux liquide en visant autant que possible ma langue. Elle presse bien le latex pour ne pas en perdre une goutte. Le sperme s’est écoulé dans ma bouche et mais également partout sur mon visage. « Tu es sale, je vais te nettoyer. » Avec son doigt, elle récolte le sperme et m’oblige à le lécher jusqu’à ce qu’il soit propre. Elle continue tant qu’il en reste sur mon visage.
Elle me détache de la chaise pour me suspendre à une poutre. Elle attache une barre à mes pieds pour m’écarteler. Elle place des poids sur ma bite et mes couilles et s’amuse à les faire se balancer. « Voyons combien tes couilles peuvent supporter. » Elle prend tous les poids dont elle dispose et les attache un à un à mes couilles. Ma peau est étirée et me fait mal. Elle passe ses ongles sur mon dos, mes fesses, mon torse, mon gland… Puis elle joue avec le plug anal, le faisant tourner sur lui-même, tirant dessus en le sortant et le rentrant immédiatement après. Je commence à gémir malgré la douleur des poids aux couilles. Un claque sur les fesses me fait reprendre mes esprits. « Qui t’a demandé d’y prendre du plaisir ? Je vais te donner une bonne correction. Disons… 50 coups de fouets. » Ses talons claquent alors qu’elle va chercher le fouet. « Mais je ne veux pas t’entendre sinon je double les coups » Joignant le geste à la parole, elle me met un bâillon. Et les coups commencent à tomber. Mes fesses s’échauffent rapidement. La douleur est de plus en plus forte. Chaque coup fait balancer les poids. J’ai l’impression que le châtiment dure une éternité. Au bout des cinquante, elle me détache et me conduit, groggy à cause de la douleur, jusqu’à un lit.
« Mets-toi à quatre pattes sur le lit dos à moi. Tu vas me donner un petit spectacle. » Elle prend une chaise et s’installe. « Joue avec le plug. Enlève-le, remets-le, branle-toi le cul avec » Je me mets sur une épaule et tire doucement sur le plug. Une sensation diffuse commence à émerger de mon cul. Je le fais tourner sur lui-même. Je bande à nouveau. Ma maîtresse a pris un vibro et je la vois entre mes jambes sur la chaise. Elle a écarté ses cuisses et se caresse le clito. Je l’entends gémir. « Tu fais ton timide, branle-toi le cul. Montre à ta maîtresse comme tu veux lui faire plaisir » Je tire un peu plus sur le gode et celui-ci sort bruyamment. Mon anus est béant d’être resté dilaté si longtemps. « Rentre-le à nouveau et ressors-le. » Je m’exécute et je gémis de plaisir. « Tu vois que ce n’est pas si difficile. » Elle jette sur le lit un gode d’une bonne taille. « Prépare-toi avec tes doigts et pénètre-toi avec ça. Tu ne t’arrêteras que lorsque j’aurai jouis du spectacle. » Je mouille mes doigts avec de la salive et les rentre un à un dans mon anus. J’arrive à me pénétrer avec mon index et mon majeur. Je tourne tout doucement pour habituer mon cul à l’intromission. J’arrive à introduire un troisième doigt. « Passe au gode maintenant. » Je retire mes doigts et prends le gode. Je le suce pour le lubrifier et le présente devant mon cul. J’entends ma maîtresse qui s’active avec le vibro. « Pénètre–toi comme si c’était ma bite. Tu ne t’arrêteras que lorsque j’aurai jouis. » J’entame les va-et-vient. Je gémis tout doucement pour ne pas m’attirer les foudres de ma maîtresse. Celle-ci me regarde avec envie et pousse des hurlements de plaisir. Mon cul commence à s’échauffer. Heureusement, ma maîtresse vient rapidement dans un râle de plaisir. Je ralentis peu à peu la cadence jusqu’à m’arrêter. Je garde le gode dans le cul et ne bouge plus. Ma maîtresse se lève et retire violemment l’objet en plastique.
« Mets-toi sur le dos maintenant ! » Elle m’attache aux quatre coins du lit et sort de la pièce. Un bruit d’écoulement me fait comprendre où elle est allée. Elle revient dans la pièce, s’agenouille au-dessus de ma tête, ma langue à hauteur de sa chatte et m’ordonne de la lécher. Son odeur est très forte, un oubli de s’essuyer aux toilettes.. ou pas. Je la lèche goulûment, aspirant ses lèvres et son clito. Je la pénètre avec ma langue. « Oh oui, lèche sale chien. Et n’oublie pas mon cul ! » Son bassin bouge d’avant en arrière pour que je puisse lui lécher l’anus. Très excitée, je sens sa mouille couler le long de mon menton. Avec la cravache, elle s’amuse à me fouetter. D’abord les cuisses, puis plus haut sur le ventre, la bite et enfin les couilles. Mes cris étouffés l’excitent encore plus.
Elle prend deux grosses bougies et s’amuse à me verser quelques gouttes sur le ventre. Je sursaute sous l’effet de la surprise. « Ne t’arrête pas. Fais moi jouir esclave. » Elle parcourt tout mon torse avec la cire. S’attardant sur mes tétons pour les recouvrir entièrement. « Je vais m’occuper de tes attributs. Je vais faire disparaître ce qui te rend viril. » Elle commence par les couilles. Faisant doucement mais continuellement tomber la cire, d’assez haut pour que je supporte la douleur, jusqu’à ce que toute la peau soit recouverte. Je n’en peux plus. Je hurle mais mes cris sont étouffés par la chatte de ma maîtresse sur mon visage. « Oh oui, hurle, ça m’excite! » Puis elle tend ma bite et remonte tout du long. Je sursaute à chaque goutte tombant sur la fine peau. « Et pour finir… » Elle décalotte mon gland et ne s’arrête que lorsque celui a disparu. La douleur est si intense que je m’évanouis presque. Me laissant quelques instant, elle revient avec un sac et en sort un énorme gode. « Celui-là sera pour toi tout à l’heure si tu es sage. »
Toujours sonné, elle s’installe debout au-dessus de moi, lèche sensuellement le gode et se pénètre avec. La vue de ma maîtresse se donnant du plaisir me réveille et me redonne de la vigueur. Elle continue jusqu’à un orgasme bruyant au cours duquel un giclé de mouille vient m’inonder le visage. « Tu es remis? Je vais pouvoir continuer et m’amuser avec le cul de ma salope! » Elle nettoie la cire avec peu de délicatesse et détache mes jambes pour les rattacher au-dessus de ma tête. Mon cul est complètement ouvert et disponible pour combler ses désirs. Elle couvre ses mains avec des gants en latex, en prenant bien soin de faire claquer le gant en le mettant. Puis elle m’injecte du lubrifiant dans le cul à l’aide d’une seringue. « Comme ça tu mouilleras comme une chienne. » Elle en ajoute une bonne quantité sur mon anus pour compléter le tout. Elle commence par m’introduire un doigt puis deux. Puis elle rentre facilement deux doigts de chaque main et s’amuse à écarter au maximum mon cul. « Tu es assez échauffé pour la suite. » Elle fait couler du lubrifiant sur un gros gode et l’enfonce dans mon anus. La douleur fait place rapidement à un plaisir diffus. Elle me branle et me suce. De sa main libre, elle fait bouger le gode pour me faire venir. Sentant mon orgasme arriver, elle arrête tout. Elle recommence plusieurs fois jusqu’à ce que je la supplie de me laisser jouir. Après quelques instants d’hésitations, elle me branle le cul avec le gode pour m’offrir un puissant orgasme. La v******e me fait éjaculer des litres et des litres de spermes. Sa main et mon torse en sont recouverts. « Tu vas nettoyer ça, sale chien. Qu’il ne reste plus une goutte » Joignant le geste à la parole, elle enfonce sa main dans ma bouche pour que je lèche toute ma jouissance. Une fois sa main propre, elle ramasse avec ses doigts le sperme sur mon torse et me fait tout avaler. « Maintenant que tu es propre et docile, je vais pouvoir continuer la dilatation. » Elle m’enlève d’un coup le gode, ce qui me donne la sensation d’avoir un anus béant, ouvert à toute caresse. Elle comble vite le vide par des godes et des plugs bien lubrifiés de plus en plus gros. Quand mon cul est dilaté à sa convenance, elle s’enduit les mains de lubrifiant et commencerait à me pénétrer de ses doigts. Les cinq rentrent facilement. Mais pas le poignet… Elle est obligée de faire lentement tourner sa main pour gagner millimètre après millimètre du terrain sur mon anus ouvert. Après quelques minutes de ce traitement, mon anus lui laisse passage à son poignet. Un bien-être m’envahit immédiatement. Je gémis de plaisir. Elle s’amuse à masser la prostate. « Je ne vais pas te faire jouir à nouveau. J’ai un autre programme pour toi, maintenant que tu sembles prêt à recevoir ma bite dans ton cul. » Elle retire délicatement sa main. Mon anus reste ouvert quelques instants, complètement dilaté. Ma maîtresse s’éloigne et revient harnachée d’un énorme gode ceinture digne d’une bite d’étalon. « Avec mon échauffement, tu ne devrais pas avoir trop mal. Et comme je n’aime pas les couilles qui pendouillent pendant que j’encule mon soumis, je vais les enlever de ma vue ». Elle attache la base de ma bite puis vient enrouler la corde autour de chacune de mes testicules. La nouvelle tension sur mon membre me fait mal. « Voilà, la vue est plus dégagée. » Elle s’assoit sur mon torse de telle manière que son gland soit à hauteur de mes lèvres. « Lèche ma bite » Je sors timidement ma langue. Trop timidement car ma maîtresse viole ma bouche avec son sexe en plastique. « Suce-moi comme une vraie pute. » Je m’exécute du mieux que je peux dans cette position. « Maintenant, mon petit soumis va me supplier de l’enculer. – S’il vous plait maîtresse, enculez-moi. – Ce n’est pas suffisant! Dis-moi comme tu aimes. – J’adore quand ma maîtresse m’encule avec sa bite et qu’elle me défonce le cul. – Ca ira. » Elle enduit de lubrifiant sa bite et se positionne devant mon anus et enfonce doucement le sexe en plastique. Il passe sans problème. Elle commence alors un va-et-vient rapide. De temps en temps, elle calme le jeu, se retire, pour mieux m’enculer à nouveau. Lorsque ce qu’elle se sent que j’éprouve trop de plaisir, elle m’assigne un coup de cravache sur les testicules pour me ramener à la réalité. Elle s’amuse à sortir complètement le gode et à la rentrer à nouveau. Après plusieurs minutes de ce traitement, je commence à ne plus sentir mon anus se refermer. Le plaisir diffus de la sodomie me fait monter au nirvana. Elle reprend les aller-retour qui lui procurent rapidement un orgasme intense au cours duquel elle me pénètre jusqu’à la garde pour mon plus grand plaisir. « Hum, c’était très agréable de jouer avec mon jouet. Mais j’ai encore envie d’une dernière chose. » Elle me détache les jambes et vient faire un bondage serré de ma bite pour me forcer à bander. « Je veux que tu restes bien dur. Hum, mais ton chibre est encore trop petit pour me satisfaire. Je vais devoir lui ajouter un petit plus. » Elle me lance une capote. « Mets ça. » Elle passe ensuite ma bite dans une sorte de gaine, comme un gode creux pour atténuer mon plaisir et augmenter le sien. Elle vient s’empaler sur moi, non sans avoir pris quelques pinces avec elle. Elle me place d’abord des pinces à poids qu’elle laisse tomber de chaque côté de mon torse. « Ca c’est pour t’échauffer ». Mes tétons sont complètement déformés par les poids. La douleur est intense mais supportable. Ma maîtresse bouge son bassin pour se donner du plaisir. J’ai une vue imprenable sur ses seins. Continuant la pénétration, elle retire soudainement les pinces et me masse les tétons pour me soulager de la douleur. Mais ses caresses se font plus brusques et ses doigts me pincent de plus en plus fort les seins. Elle enfonce ses ongles directement dans mes tétons et jubile de me faire mal ainsi. Elle s’amuse à prendre mes tétons entre ses doigts et à les tirer pour les allonger de plus en plus. La douleur aiguë décuple mon plaisir et mon érection au point de me faire mal. Pour finir, elle bouge de plus en plus vite son bassin, hurle son plaisir et lorsqu’elle me tourne violemment les tétons, je jouis en elle. Elle se retire, me suce pour me nettoyer la bite et d’une pelle inoubliable, me fait partager ma semence. « Tu es un esclave qui restera à mon service. Et pour toi, cela ne fait que commencer… »

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