Mme L……… (1)
fantasme: histoire lu sur net qe j aime partager l excitation procurée
9 H, encore une belle journée d’été qui s’annonce. Je vais la mettre à profit pour tondre la pelouse devant la porte. Je mets tout en place, me mets torse nu car le soleil matinal commence déjà à taper. Je suis prêt à commencer quand tout à coup la voisine d’en face sort de son garage.
« Mince, elle le fait exprès ou quoi » me dis je
C’est une femme de 80 ans qui vit seule désormais, son mari étant décédé depuis 2 ans au moins. Le problème est que lorsqu’elle engage la conversation on n’en voit pas le bout.
« Bonjour, déjà au travail Jean-Marie » me lance t elle
« eh oui, il vaut mieux commencer tôt car l’après-midi avec cette chaleur c’est impossible de travailler » que je lui réponds tout en me dirigeant vite fait vers la tondeuse pour la démarrer afin de couper court à la conversation. Mais elle est plus rapide que moi, traverse la route pour m’appeler en même temps
« dis voir, Jean-Marie j’ai un petit problème » me dit elle
« ah bon et lequel ? »
« ben voilà, tout à l’heure je voulais partir au super marché faire quelques courses et en rentrant dans le garage j’ai vu que la roue avant droite était pratiquement à plat. Mon mari avait bien un compresseur à air mais je ne sais pas le faire fonctionner. Tu aurais le temps pour venir voir car je voudrais bien pouvoir encore y aller ce matin » me dit elle
« bon ok j’ai compris » me dis je à moi même
» pas de problème madame L…….. je viens de suite »
« oh merci c’est gentil »
Je la suis donc jusque dans son garage, il est vrai que la roue avant a un problème de gonflage.
« il est où le compresseur de votre mari? »
« dans son atelier à l’arrière de la maison je crois, viens suis moi »
Elle est encore très alerte et n’a aucun problème pour se déplacer. Je me dis en moi-même que j’aimerais bien être dans son état physique une fois que j’aurai son âge. La suivant de près, mes yeux se posent sur son fessier sans aucune arrière pensée, je me rends compte alors qu’elle n’a rien sous son tablier à part une culotte style mamy. Je regarde plus haut, il en est de même pour le soutien-gorge que l’on voit également par transparence .Enfin arrivée à l’atelier, elle se penche devant moi pour me dire
« regarde je crois qu’il est là sous l’établi »
Pendant un bref instant j’ai une vue sur son décolleté, le tablier bâille fortement me laissant voir la naissance de deux seins qui, ma foi, ont l’air d’avoir encore fière allure pour 80 printemps. Je suis obligé d’admettre que cela m’émoustille un peu. En se relevant, elle a le temps d’apercevoir mon regard braqué sur sa poitrine, moi je lui souris béatement. Pour me donner une contenance je me penche à mon tour pour att****r la machine. Retour vers le garage puis gonflage de la roue;
« Voilà c’est fait, vous regarderez tous les jours pour voir si ça tient. Il vaut mieux laisser le compresseur ici au cas où » lui dis je
« oui tu as raison, je te remercie Jean-Marie, tu prendras bien un petit café »
« ok mais vite fait car j’ai encore du travail »
« viens, suis moi dans la cuisine »
« vas-y ne te gêne pas, assied toi, je vais chercher de l’eau en bouteille dans le cellier le café sera meilleur »
Je m’installe en l’attendant, j’ai les idées un peu embrouillées par ce que j’ai vu ; J’essaie de me résonner en me disant -Jean-Marie reprends toi tu ne vas quand même pas commencer à bander pour une femme de 80 ans, alors que tu en as une beaucoup plus jeune qui t’attend chez toi-.Mme L…. revient avec son eau et se met de suite à préparer les deux cafés.
« ça vient, deux petites minutes de patience. Heureusement que tu étais dehors, je n’aurai pas eu le courage de venir sonner chez toi, tu sais »
« pourquoi ça! il n’y a pas de problème, entre voisins il faut bien s’entraider, tant que vous ne venez pas tous les jours » lui dis je en rigolant
« voilà c’est prêt » lance t elle joyeusement en se retournant;
Elle dépose ma tasse devant moi en se penchant plus que de raison, j’ai pratiquement son décolleté sous le nez. STUPEUR! elle n’a plus de soutien-gorge ses seins sont libres sous le tablier, sûr qu’elle l’a enlevé en allant chercher l’eau. Malgré mes 40 ans je sens le rouge me monter au visage, de plus elle me fixe droit dans les yeux et me dit
« tu sais Jean-Marie que tu es le premier homme nu que je vois ici depuis la mort de mon mari »
« mais je ne suis pas nu, j’ai un short sur moi »
« pour moi cela ne fait pas beaucoup de différence, j’imagine le reste » me dit elle
« Mme L…… ! » dis je sur un ton qui se veut offusqué,
« ça ne te plaît pas de voir mon décolleté, je sais bien qu’ils ne sont plus de la première jeunesse mais je trouve qu’ils sont encore pas mal pour mon âge »
Tout en disant cela elle ouvre le haut de son tablier pour me montrer sa poitrine.
« alors! tu en penses quoi »
Je ne sais plus si c’est du lard ou du cochon, je dois reconnaître qu’elle a raison, ses seins sont lourds, un peu tombants avec de larges aréoles brunes et de gros tétons. Tout ce que j’ai toujours aimé.
« tu peux toucher si tu veux » me dit elle
Comme un automate j’avance une main pour la poser sur un sein, je le caresse, le soupèse, prends un téton entre les doigts;
« hummmm! c’est bon, ça fait si longtemps qu’une main d’homme ne m’a pas touchée » dit elle en gémissant
« tu sais Jean-Marie avec mon mari on a pratiquement fait l’amour jusqu’au bout, mais la dernière année de sa vie il ne pouvait plus. Cela fait maintenant 3 ans que je n’ai pas touché un homme. Malgré mon âge je me masturbe encore, j’ai toujours aimé ça »
Cette situation irréelle déclenche un début d’érection chez moi.
« j’aimerai vraiment que tu me montres ta queue, ça me ferait plaisir tu sais. Tu ne vas pas refuser ça à une mamie de mon âge »
Je bande de plus en plus, je ne sais vraiment pas quoi faire.
« lève-toi » m’ordonne t elle, tout en se mettant assise devant moi
J’obéis comme un robot.
« ohhhh! mais tu bandes. Laisse-moi voir ça »
Sans que j’ai eu le temps de faire un geste, elle prend le short de chaque côté et tire dessus. En été je ne mets jamais de slip, ma queue reste accrochée un instant après le short puis jaillit comme un diable de sa boîte.
« comme elle est belle ! une vraie queue d’homme comme j’en ai plus vue depuis longtemps »
Elle pose sa main dessus et referme ses doigts autour de mon sexe. Je pousse un soupir de plaisir, elle prend cela comme un encouragement et me décalotte lentement jusqu’à ce que le gland apparaisse dans toute sa splendeur. Elle passe un doigt sur le méat où brille une goutte de liqueur, j’apprécie de plus en plus, puis sans coup férir avance sa tête vers mon pubis et me gobe. Ses deux mains sur mes hanches, sa bouche va et vient sur mon chibre qui a trouvé toute sa plénitude. Je dois reconnaître qu’elle sait y faire la mamie, d’entendre mes gémissements la font redoubler d’ardeur. Je disparais pratiquement en entier dans sa bouche à présent, ses mains pétrissent mes testicules, je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer.
« je vais jouir » lui dis je
« attends, attends, pas comme ça, si tu veux bien je voudrai que tu jouisses dans mes fesses, ça fait longtemps que je n’ai pas senti des jets de sperme s’écouler en moi »
« vous voulez que je vous sodomise ? » dis je un peu surpris
« ben oui, ça te surprend qu’une mamie te demande ça »
« euhhh oui, un peu quand même »
« ne t’en fais pas, j’ai beaucoup pratiquée dans le temps, mon anus doit s’être refermé un peu mais je suis certaine que ça rentrera. Tu peux fermer les yeux si tu veux car je suis bien consciente que le spectacle de mes vieilles fesses ne doit pas être de toute beauté pour toi qui es habitué à des arrière trains plus jeunes »
Cela dit elle se lève et se couche à plat ventre sur la table puis relève son tablier sur les reins. Je vois qu’elle avait tout prévu car son slip a disparu aussi. Son fessier n’est pas décharné mais plutôt bien en chair, blanc comme la neige.
« prends un peu de beurre dans le frigo et enduis moi l’anus avec »
J’obtempère, elle écarte ses globes avec ses mains pour que je puisse déposer une noisette sur la rondelle brunâtre.
« viens maintenant »
Elle se saisit de ma bite et pose le gland sur sa rondelle
« vas-y pousse »
Je pousse, une légère résistance au départ puis ma queue est avalée d’une traite par son conduit, je bute contre ses fesses.
« oh mon dieu que c’est bon, vas-y maintenant prends moi bien à fond. N’aie pas peur, j’aime ça, laisse toi aller »
Je sens tomber mes dernières inhibitions, je la prends par les hanches et commence à la besogner comme un forçat, mon ventre frappe contre son gros cul, je lui assène des claques sur les fesses qui commencent à rosir. Je sodomise une mémée de 80 ans et j’y prends plaisir.
« oui vas-y, enfonce la loin, bien à fond dans mon gros cul, donne moi ton sperme fais gicler ta bite en moi, ohhhhh oui encoreeee »
C’est sûr, elle devait sacrément aimer ça.
Je ressors en entier et replonge d’une traite jusqu’au couilles, elle adore.
Je jouis en elle, je sens que je lâche une bonne quantité de foutre, comme rarement.
« ouiiiiiiii, je sens ton sperme qui gicle dans mon cul, c’est chaud, c’est bon, ahhh j’aime, ouiiiii »
Je me vide complètement, lui donne encore deux ou trois coups bien à fond qui la font gémir puis me retire.
Elle se relève et se tourne vers moi
« Jean-Marie c’était très bon, merci d’avoir osé le faire avec moi »
« Pour être franc, au début j’étais un peu réticent, mais je dois reconnaître que vous m’avez bien fait bander et merveilleusement sucé. J’ai adoré jouir dans votre gros fessier qui est encore tout à fait présentable soit dit »
« tu es gentil Jean-Marie, si tu veux tu pourras revenir quand tu veux si tu as encore envie d’une fellation ou bien me prendre encore une fois par les fesses ou aussi par devant .Je suis totalement à ta disposition »
« merci Mme L…….., je pense honnêtement que je reviendrai »
Je suis effectivement retourné régulièrement pendant au moins deux ans où je pouvais laisser libre court à mon imagination, Mme L……. était toujours partante pour tout. Puis un jour elle a été hospitalisée suite à un infarctus, dont elle est morte. Je suis heureux, lorsque j’y pense, d’avoir eu la chance de pouvoir pimenter la fin de sa vie en lui apportant un peu de bonheur.
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