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Ma voisine, Catherine (2)

Ma voisine, Catherine (2)



Ma voisine, Catherine (2)

Suite à cet après-midi intense, j’eu du mal à m’endormir, ne pouvant m’arrêter de penser à Catherine et surtout quelle était la grosse surprise promise pour le lendemain. Je finis quand même par trouver le sommeil au bout d’une bonne heure.

J’ouvre les yeux, il fait jour. Quelle heure est-il ? 8 heures déjà ? Vite elle est capable de venir bientôt. Je me lève rapidement sans prendre le temps de mettre quelque chose sur moi et nu comme un vers je file à la cuisine pour prendre un copieux petit déjeuner. Il faut prévoir de prendre des forces pour pouvoir m’occuper de ma belle voisine. J’ai à peine fini mon café que la sonnette de l’entrée retentie. La voici déjà ? Je ne suis pas encore habillé mais qu’importe, si c’est bien elle, elle m’a déjà vu nue. Je regarde discrètement par le trou de la serrure et j’aperçois juste un petit morceau de tissu plissé écossais rouge. Je vais pour reculer et aller mettre ma robe de chambre au cas où, mais je la vois reculer derrière la porte et je reconnais bien ses jambes fines. Je décide donc d’ouvrir la porte tout en restant derrière, juste en penchant la tête pour voir qui est là.

Quelle belle surprise ! Catherine est là devant ma porte habillée d’une petite jupe écossaise rouge et quand je dis petite, je peux dire ra la chatte. Je suis sûr que de dos avec ses belles fesses rebondies on peut voir la base de son cul. Pour cacher ses jolis petits seins elle porte juste un petit bout de tissu écossais rouge lui aussi genre bandeau, qui ne cache presque rien et surtout pas ses pointes qui transpercent presque le tissu. Elle a les mains dans son dos et un grand sourire illumine son visage.

J’ouvre grand la porte et l’invite à rentrer. Aussitôt dit aussitôt fait, elle rentre chez moi et ce que je pensais ce confirme, je peux admirer la base de son cul et je peux constater qu’elle ne porte rien sous cette jupette. Elle porte dans son dos un carton et me le montre en se retournant. Je referme la porte et nous nous embrassons à pleine bouche immédiatement. Elle sourit toujours et en me voyant nu elle me dit : « je vois que tu es déjà prêt ».
Je lui souris et lui dit qu’elle aussi semble prête pour prendre du plaisir et que sa tenue de pute lui va à ravir.
« J’aime quand tu me parles comme ça » dit-elle, j’étais sur de te faire plaisir et je vois que ça te fait déjà de l’effet vieux cochon. Bien sur rien que cette vue me plais et je ne peux m’empêcher de commencer à bander.
« Mais qu’apportes tu donc dans ce carton ma chérie? « 
« C’est la surprise promise ! Tu vas voir et surtout tu vas t’en souvenir je te le promets » répondit elle.

Je lui prends la main et la tire contre moi pour l’embrasser de nouveau, nos langues se mélangent et je passe une main sous son petit haut pour caresser ses seins. Ses tétons sont déjà bien durs, je les pince doucement, elle gémit doucement en fermant les yeux. Je sais maintenant qu’elle aime quand je joue avec ses tétons et je les pince plus fort en le tournant un peu. Elle pousse un petit cri de douleur mais me laisse continuer.
Je finis par lâcher mes prises et soulève son haut pour lui retirer doucement, libérant ses petits seins que j’adore. Je me penche alors pour les embrasser pendant que sa main s’enroule autour de ma bite tendue qui n’attendait que ça.

Au bout d’un petit moment je recule la laissant devant et je la regarde avec sa jupette. Salope tu es excitante dans cette tenue mais enlèves cette tenue de grosse pute qui te va si bien et viens à la cuisine je t’offre le café. Sans rien dire elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser le long de ses jambes et une fois le petit bout de toile par terre elle lève ses pieds pour être, comme la veille, nue devant moi. Elle vient contre moi et me prend la main pour la poser sur sa chatte toujours aussi douce et déjà toute trempée.
« Tu t’es branlée avant de venir, trainée ? »
« Oui je voulais arrivée prête à recevoir ta bite dans mon fondement sans avoir besoin de préparatifs. J’ai trop envie de sentir ta grosse queue en moi, mais allons boire ce café » dit-elle d’un air bizarre.

Arrivés dans la cuisine, je serre deux tasses de café et je m’assieds en lui proposant de faire pareil. Sans rien dire, elle vient se placer devant moi, et avance en écartant les jambes au-dessus de moi jusqu’à coller son ventre contre ma bouche. Toujours en silence, elle prend ma bite dans sa main et en la tenant bien droite elle se laisse descendre et s’empale directement la chatte. Elle est tellement mouillée que ma bite rentre facilement et au plus profond d’elle. Enfin elle sourit de nouveau et me dit :
« Voilà comment je veux boire café avec toi chaque fois que l’on sera ensemble et pour les repas se sera presque pareil, mais dans mon cul ! »
« Salope, tu sais que si tu bouges sur moi je vais gicler dans ta moule et comme tu ne prends pas la pil… » Stop, me dit-elle, je t’ai menti hier, je prends la pilule mais j’avais trop envie que tu m’encules et que tu me remplisses les intestins de foutre.

Je reste bouche bée devant cet aveu, mais content de savoir que je vais pouvoir gicler dans tous ces trous sans hésiter. Elle commence alors un va et vient lent mais tellement agréable et je me demande si je vais pouvoir tenir longtemps comme ça. Mais la coquine sait ce qu’elle veut. Elle se déhanche sur ma queue autant pour me faire jouir que pour jouir elle aussi. Par moment elle accélère, puis ralenti et recommence de plus belle. Je la sens bientôt prête à exploser et elle me fixe droit dans les yeux pour savoir quand je vais exploser moi aussi et pour jouir avoir moi. Sentant monter ma semence je me raidis et elle se lâche franchement et l’effet est immédiat. Elle gémis, moi aussi, puis c’est des petits cris qui sortent de sa bouche, elle ferme les yeux et je commence à gicler au fond de son ventre. Mon premier jet sorti elle jouis elle aussi, toujours aussi puissamment en m’arrosant le bas du ventre de cyprine. Ma fontaine est là empalée sur moi en train de jouir avec moi. Je continue de jouir en elle trois autres jets de foutre alors qu’elle n’arrête pas de gicler sa cyprine.

Enfin cette jouissance commune s’arrête. Nous sommes en sueur et nous nous embrassons de nouveau à pleine bouche. Elle reste plantée sur ma bite et en me souriant elle boit son café comme si rien ne s’était passé. Je bois le mien aussi et entre chaque gorgée j’embrasse ses seins gonflés et ses tétons durs.
Elle se relève et triomphante me regarde et me dit « ça fait du bien mais ce n’est que le début. Je vais t’apprendre autre chose tu vas voir ». En même temps elle se tient debout en écartant les jambes et passe sa main sur sa chatte qui dégouline encore de cyprine mais cette fois mélangée avec mon sperme. Elle porte sa main à sa bouche et d’un air sensuelle se lèche les doigts pour déguster ce mélange. Elle recommence une fois ce manège mais au lieu de lécher ses doigts elle me les offre en me demandant de les lécher et d’avaler, ce que je fais immédiatement. J’aime ce gout dans ma bouche et elle s’en rend compte. « tu vois comme c’est bon mon vieux salop ! Et attends la suite tu vas aimer aussi, mais allons sur le lit on sera mieux »

Cette façon de parler me plait et même si ce n’est pas un ordre je me sens obligé de me soumettre à ses envies. Nous nous dirigeons vers la chambre et elle n’oublie pas son carton qui m’intrigue tant. « Dis-moi ce que tu caches là-dedans » lui dis-je.
« Tu voudrais bien savoir » dit-elle un grand sourire aux lèvres.
« Bien sûr que je veux savoir »
«  »Je t’ai dit hier que j’aimais me faire enculer mais je t’ai dit aussi que c’était la seule fois où je ne te demanderais rien avant. Tu te souviens ? »
Je n’avais pas oublié et je me demandais quand même ce qu’elle cachait dans ce carton, même si je commençais à avoir des idées. Elle pose le carton sur le lit et me dit :
« Ouvre le et regarde ! Si tu comprends ce que je veux alors tu pourras m’enculer encore, mais à chaque fois tu devras te soumettre avant. »
Je pense deviner maintenant ce qu’elle veut et j’ouvre le carton pour découvrir un beau gode de 25cm par 4,5cm de diamètre. Avec je vois une ceinture et cette fois je comprends tout. Elle veut m’enculer moi aussi ce qui me fais un peu peur mais j’ai tellement envie de son cul que je me sens prêt à tout, même à me soumettre. Et puis si elle trouve ça si bon pourquoi je n’aimerais pas ?
« Si je veux t’enculer je dois me laisser enculer avant c’est bien ça? »
Avec un grand sourire elle me dit « oui mais comme hier tu m’as enculé directement sans me préparer je vais faire pareil aujourd’hui. Je suis certaine que tu vas aimer même si au début tu vas surement avoir au cul, mais un gros porc vicieux comme toi ne recules devant rien n’est-ce pas ? »
Je ne sais pas pourquoi je lui souris en lui répondant « grosse salope je veux ton cul donc tu auras le mien même si pour ça je dois me faire défoncer le fion. C’est quand tu veux et aussi souvent que tu veux ».
« Huuuummmm je vois que tu as tout compris, tu seras mon jouet comme je serai le tien après » dit-elle avec un large sourire.

Sans attendre plus longtemps elle déballe les objets de son désir du carton et doucement enfile la ceinture autour de sa taille. La sangle passe sur sa petite chatte et lorsqu’elle la tend elle s’enfonce un peu entre ses lèvres. Elle prend le gode dans sa main et me l’approche de la bouche, le pose sur mes lèvres et le pousse. J’ouvre la bouche et elle le rentre dedans en me disant de le sucer un peu et de l’enduire de salive avant qu’elle me le mette dans le cul. Je lui obéis et je pompe doucement son gode en bavant dessus pendant qu’elle me l’enfonce plus profond. J’ai un haut le cœur quand elle touche le fond de ma gorge mais elle le voit et le retire un peu. Au bout d’un moment ma salive coule au coin de mes lèvres et c’est l’instant qu’elle choisit pour le retirer et le fixer sur la ceinture solidement.
« Je vais t’enculer en levrette vieux salop ! A 4 pattes et tends ton cul ! »
Je me mets alors à 4 pattes sur le lit en écartant un peu mes jambes et cambrant mon cul, mais j’ai quand même peur de me faire exploser la rondelle.
Elle se place à genoux derrière moi et commence à frotter le bout du gode sur mon petit œillet ce qui m’excite et me fait tendre encore plus mon cul curieux de découvrir une sensation inconnue jusqu’alors.
« Tu veux que je t’encule vieux porc! Je veux t’entendre le dire haut et fort salop ! »
« Oui Catherine encules moi à fond exploses ma rondelle de gros cochon, vicieux et voyeur »
Sans hésiter elle pose le bout sur mon fion et d’un coup sec rentre le bout du gode dans mon cul ce qui a pour effet de me faire crier de douleur. Elle éclate de rire et redonne un nouveau coup de rein et je me sens pénétrer dans mon fondement sans aucune pitié, comme je l’avais fait moi-même dans son cul la veille. La douleur est intense et je ne peux m’empêcher de crier même si j’essaie de me retenir en serrant les dents.
« Pousses avec moi salop, ouvres ton cul de pute toi aussi. Je n’ai pas encore mis la moitié dans ton fion de chienne »
Ces mots m’excitent encore plus et je lui obéis. Je deviens son esclave ou son jouet sur lequel elle a tous les droits. Je suis soumis à son désir. Elle pousse encore et d’un coup passe mon sphincter qui s’ouvre pour laisser passer le gode. Je pousse de petits cris sous la douleur qui ne baisse pas et je sens son gode aller de plus en plus loin en moi. J’ai l’impression qu’elle va me perforer le cul en appuyant si fort.
« Oh salope tu me déchires, tu vas m’ouvrir les intestins, doucement »
Comme toute réponse j’ai le droit à un nouveau coup de reins violent après lequel elle s’arrête de bouger. Elle est arrivée à ses fions, son gode est en entier dans mon cul. Jamais je n’aurais cru un jour me faire enculer comme ça, de plus par une femme avec un gode si long qui rentre jusqu’à la garde.
« Tu le sens mon salop ? Je vais rester là sans bouger pour habituer ton fion de PD et après je te limerais. Tu vas voir je suis sûr que tu vas jouir comme ça ne t’es jamais arrivé jusqu’à maintenant. »
Je ne sais pas quoi répondre et j’essaie de prendre une respiration profonde et bien rythmée pour encaisser cette chose énorme et longue dans mon cul. Au bout de 2 minutes environ mon cul commence à s’habituer à cet intrus et la douleur diminue lentement. C’est le moment qu’elle choisit pour retirer le gode entièrement de mon cul qui doit être grand ouvert sous ses yeux. Elle se penche au-dessus de mon trou béant et crache dessus et d’emblée repose le gode et me l’enfile à nouveau. La douleur est encore là mais bien moins forte qu’avant, ce qui me fait juste gémir. Elle sait qu’elle a gagnée et commence à bouger doucement dans mon cul. Des va et vient lents mais qui me font éprouver quelque chose que je ne connaissais pas encore avec pour seule déception que ma bite ne bande plus. Je suis trop absorber par mon cul qui se dilate, et j’ai envie qu’elle continue.
« Grosse trainée, je commence à aimer ça. Vas-y continues plus vite. Sers toi de mon cul comme un bon jouet. »
« Tu vois que tu commences à aimer vieux salop, maintenant tu vas t’allonger sur le dos que je puisses te branler en même temps. Je vais redonner de la vigueur à ta belle queue et tu vas jouir des deux bouts en chienne que tu es ! »
Elle se retire de mon cul et je me retourne, m’allonge et replis mes jambes sur mes épaules. Sans me demander si je suis prêt, elle se positionne entre mes jambes et guide le gode vers mon trou grand ouvert et elle m’empale à nouveau à fond. Tout son gode est rentré en moi, mais cette fois presque plus de douleur, plutôt une sensation de chaleur sur mes parois intestinales. Elle commence alors à me laminer le fion et d’une main me prend la bite pour la branler. Rapidement je finis par bander de nouveau et elle accélère son va et vient au fond de mes entrailles. Je sens la chaleur envahir mon cul, j’aime ça et la douleur a disparue. Elle va de plus en plus vite, autant pour me branler que pour m’enculer et je sens monter en moi le plaisir, mais je suis incapable de dire d’où il va sortir. Mon cul aime se faire défoncer, ma bite est bien dure et prête à gicler, je ferme les yeux me raidis et je lui dis ; « je vais jouir salope. Ouiiiiiiiiiiiii »
Je pars aussitôt dans un état second propulsant de nouveau mes jets de foutre qui m’arrosent du bas ventre jusqu’ à mes seins, et je jouis aussi du cul en même temps. Mon sphincter se contracte et se décontracte sur ce gode et je sens un flot de liquide qui veut sortir de mon cul.
Elle regarde avec un grand sourire et d’un coup sec retire le gode de mon fion en m’arrachant un petit cri.
Dans la foulée elle se penche sur mon cul et se met à le lécher. Elle rentre facilement sa langue dedans tellement je suis dilater et elle lape mon jus de cul qui coule de mon trou. Elle lèche un petit moment et puis elle remonte sur mon ventre et lèche tout mon foutre en essayant de ne pas en perdre une goutte. Je peux voir mes deux jus sur sa langue et quand elle approche sa bouche de la mienne je comprends vite qu’elle veut m’embrasser à pleine bouche avec et me faire partager ce nectar. Je ne peux pas refuser de gouter en l’embrassant à pleine bouche pour gouter ce mélange qui ne me semble pas si mauvais que ça au début et finalement que je trouve agréable.
Pour finir cette nouvelle expérience pour moi, nous nous allons côte à côte en nous embrassant longuement sa main sur ma bite et la mienne sur ses seins.
Nous reprenons tranquillement des forces après ce passage torride surtout pour mon cul qui me fait quand même un peu mal d’avoir été défoncé et dilaté comme ça. Catherine reprends vite le dessus sur moi et se penche pour me sucer dans l’espoir de me faire bander rapidement, mais à mon âge il faut quand même laisser un peu de temps au temps pour me fiare reprendre vigueur. Elle s’applique sur ma bite en la suçant et la branlant doucement en même temps et au bout de 5 minutes elle est fière d’elle car me voici de nouveau opérationnel, prêt à continuer nos ébats. Elle abandonne ma queue tendue et me propose de prendre ma revanche en l’enculant et en la remplissant de foutre, puis de faire comme elle, c’est-à-dire lécher son cul après avoir jouis dedans pour récupérer mon foutre et son jus de cul sur ma langue et lui recracher dans ma bouche. En moi-même je repense à la veille où elle a jouit comme une folle inondant mon ventre de jets de cyprine et pensant que je vais pouvoir ajouter son jus au mélange avant de lui donner.
Je lui demande de s’allonger comme moi sur le dos et de poser ses jambes sur mes épaules pour m’offrir sa petite rondelle. Elle s’exécute aussitôt et prend ses fesses à pleines mains pour les écarter et me laisser voir son trou envieux de coup de bite.

« Mais que veux-tu ma salope chérie ? Tu as un beau cul et une belle chatte » dis-je en lui fourrant deux doigts dans sa fente trempée.
« Encules moi salop ! Je veux que tu me défonces comme une chienne ! Prends mon cul vas-y j’ai trop envie de sentir ta grosse bite dans mon cul de pute ! »
Je lui souris, frotte ma bite sur sa chatte, descend la frotter sur sa rondelle, et je recommence en poussant juste un peu sur ses deux orifices.
« Encules moi je te veux ! Exploses moi le fion comme une trainée que je suis, je ne peux pas résister à mon envie ! »
Je ne dis toujours rien et la fais encore languir ce qui a pour effet de la mettre presque en colère tellement elle n’attend que ça. Sur un ton autoritaire elle me crie :
« Encules ta grosse pute toute de suite et vas-y à fond direct ! Je veux que tu me défonces le fion à m’en faire mal comme je le fais avec le tien ! arghhhhhhhhhh »
Je viens de l’enculer sans pitié mais même si mon gland a forcé le passage ma bite rentre bien dans son cul habitué, c’est sûr, et je lui enfile en entier en une seule fois.
« Salop tu me déchires le cul ! Tu te venges en me faisant mal ! Mais pas de chance j’adore ça » dit-elle en rigolant. « Plus tu me feras mal et plus je prendrai de plaisir tu verras »
En l’entendant me dire ça je me retire et repousse à nouveau ma bite dans son fion sans aucune délicatesse comme elle le demande. Je recommence plusieurs fois de suite mon manège et l’effet se fait sentir rapidement. Elle ferme les yeux en criant et son corps se raidi. Je lui pince les tétons, les tord et les tire ce qui décuple son envie et très rapidement son premier orgasme arrive. Comme la veille elle se met à jouir en criant de plaisir et de chauds jets de cyprine arrosent copieusement mon ventre.
Je décide de ne pas la laisser souffler et m’attaque à lui limer le cul comme un dingue. Elle crie toujours à chaque coup de bite au plus profond d’elle, mes couilles touchant à chaque fois son cul. Je ne lâche plus ses seins gonflés et ses tétons bien durs et je n’arrête plus de les pincer et de les écraser avec mes mains et mes doigts. Je pistonne son cul de plus en plus vite et pour la deuxième fois elle prend son plaisir et jouis de nouveau très fort projetant toujours autant de cyprine hors de sa chatte. Je sens en moi monter ma jouissance et je n’arrête plus. Son cul est grand ouvert et je coulisse de toute la longueur de ma bite dans ce trou béant.
« Chéri, c’est trop bon, j’aime sentir ta queue en moi, j’ai le cul en feu, je vais encore jouir vas-y viens dans mon cul, fourres moi toute ta semence »
Son langage m’étonne mais je ne l’écoute presque plus et d’un seul cou j’enfonce ma bite au plus profond de son antre anale et je jouis de nouveau. Deux bons jets de foutre chaud et gluant lui remplisse les intestins et lui déclenche aussi son troisième orgasme en moins d’un quart d’heure. Elle halète, pousse des petits cris mêlés à de petits gémissements et sa chatte gicle encore et encre de la cyprine chaude qui m’arrose et le ventre et coule ensuite jusque sur sa fente. Je m’arrête enfin et m’allonge sur elle pour l’embrasser. Elle passe ses bras autour de mon cou et me rend mes baisers fougueux. Puis me regardant dans les yeux elle me dit :
« Tu sais ce n’est pas souvent que j’ai pris un pied pareil. Je crois même que c’est la première fois qu’un mec me fait jouir autant et surtout en si peu de temps. Je t’aime « 
Je reste sans voix un instant et en reprenant pied je lui réponds :
« Moi aussi je t’aime. Tu m’as fait découvrir de nouvelles sensations même si j’ai encore mal au cul, mais tu m’a offert tellement. Tu es une belle salope, tu es ma belle salope adorée »
Elle me souris et m’embrasse encore une fois puis sentant ma queue se ramollir sérieusement je me retire et descend ma tête entre ses cuisses et je lui lèche le cul qui dégouline de jus mélangé. Avec mes deux jets de foutre je peux deviner qu’elle coule beaucoup du cul vu tout ce que je récupère. Je remonte ensuite sur son bas ventre et sa chatte, je lèche un peu de sa cyprine pour l’ajouter à ce doux mélange et je remonte vrs sa bouche qu’elle tient déjà grande ouverte prête à recevoir le mélange. Je laisse couler de ma bouche dans la sienne juste une partie de ce jus car je veux en déguster moi-même et nous avalons ensemble jusqu’à la dernière goutte avant de nous embrasser de nouveau enlacer ensemble sous des « je t’aime ». Finit les insultes pour le moment, mais à charge de revanche dans nos chauds ébats et à ma demande de pouvoir l’appeler la salope chérie.

La suite de cette journée va bientôt venir, mais il faut que j’ai un peu de temps pour l’écrire.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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