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Saoule, la mère de ma petite amie…

Saoule, la mère de ma petite amie…



L’histoire qui suit n’est pas toute jeune… Il y a une petite vingtaine d’années. J’avais alors un peu plus de 20 ans et je sortais avec une nana un peu plus jeune que moi.

Très jolie, Sandra était assez capricieuse. Nous avons habité ensemble au bout d’une année de liaison, et au bout de deux nouvelles années, tout s’est arrêté de par son tempérament « trop compliqué ».

En tous cas, un soir, nous étions chez sa mère. Nous n’habitions par encore ensemble et on se voyait le week end et une fois par semaine. Ce samedi soir là, tout le monde était couché et je venais de prendre Sandra par le minou. Je dois préciser que sexuellement, il y a eut des femmes avec qui je me suis mieux entendu. Avec elle c’était ou tout ou rien, en fonction de ses lubies. Ce soir là, c’était « pas grand chose ».

Bref j’avais joui, pas elle, contrariée pour encore je ne sais quel truc. Et si moi j’avais pris mon pied, c’était bien à minima, ce qui fait que ma queue restait bien dure, disons « prête pour une autre occasion », une sorte de jouissance contrariée… les hommes savent de quoi je parle. Le mauvais coup quoi.

En tous cas, Sandra endormie, je descend au rez de chaussée pour boire un verre d’eau. 1 H du mat, maison silencieuse, je me demande un peu ce que je fais là.

Surprise en bas, la mère de Sandra est là, et moi, convaincu d’être seul et à deux pas de la cuisine, je suis bien sûr totalement à poil. La vingtaine, pas mal fait, le charme de la jeunesse… Elle la cinquantaine bien fatiguée, on ne peut pas dire qu’elle soit vraiment sexy, ni moche.

Elle me voit et je suis surpris et je cache direct ma queue avec la main avec un « oups » et elle me dit « non non mais ne t’inquiète pas, pas de souci va ». Elle fume une cigarette derrière son bar et je sais qu’elle en a vu beaucoup. En fin de carrière, elle cherche un mec riche qui pourra financer ses envies de vie de luxe, mais pour l’instant, on en est loin.

Bref, gêné, je cache un peu mon demi-barreau et j’avance prendre un verre. La situation est à moitié excitante et à moitié pénible. Elle, elle se la joue super cool genre désabusée. Elle me lance « alors ça va avec Sandra ? ». Je réponds honnêtement en parlant du tempérament un peu « cahotique » de sa fille. Sa maman justifie ça par le fait que son père soit parti blablabla. Et je dis que sexuellement « c’est pareil », « quel tempérament » !

Ça la fait bien rire et je me trouve nu, au bar et elle de l’autre côté, en train de boire un verre. En fait je ne suis pas trop gêné car elle ne voit que mon torse sachant que nous sommes chacun d’un côté de la paroi.
Elle me dit qu’avec son mec du moment ça n’est pas la joie non plus et me déclare : « par exemple il ne veut pas me sodomiser ». Je suis supris, pour le moins, et commence à penser qu’elle est un peu saoule.

Très mince, un peu racornie, elle a dû être belle mais elle a un peu le visage rougi par un petit excès de boisson, abimée par la clope et la vie genre tuyau de poele, dans une certaine mesure. Très grande, mince, elle ne fait pas trop rêver mais je commence à être excité.

Je lui dit que sa fille n’aime pas trop être sollicitée « par derrière ». Elle répond comme si on parlait du temps qu’il fait que c’est dommage car « quand c’est fait avec respect, c’est très agréable ». Et que son mec ne veut pas car il trouve que c’est faire atteinte à la dignité de la femme etc. Etrange.

Cette fois ci je suis bien excité, surtout par le fait d’être à poil dans la cuisine, assis sur une chaise de bar, le verre à la main, avec cette vieille (pour moi à l’époque) qui, un peu grise, à ses considérations sur la sodo.

Soudain, elle se penche par dessus le bar et regarde mon membre : je suis bien raide et ça la fait marrer. On dirait qu’elle regarde ça comme autre chose et elle tire sur sa cigarette. Elle me dit « bah vous n’avez rien fait avec Sandra ce soir ? ». Je réponds qui si mais que la situation fait qu’il soit bien normal que je bande encore.

Elle fait le tour du bar et à ce moment je sais ce qu’il va se passer. Elle se met accroupi et me prends la queue en bouche avec sa clope dans l’autre main. Elle me suce très adroitement et je me dis qu’elle a dû en pomper un sacré paquet déjà. Elle suce lentement, doucement, et pas très profondément. Par contre elle aspire mon gland très fort. Elle se relève et à ce stade je ne sais pas quoi faire, comme un con. Elle baisse son pantalon blanc, se met contre le bar et me dit « vas y ».

Le spectacle est excitant… oui et non. Heureusement elle vient de me pomper la queue en me massant les couilles car son cul est moyen et sa raie un peu velue me fait un effet mitigé. Mais j’y suis, donc j’y vais. Je lui écarte sa raie, la tripote, la retourne et découvre une chatte velue comme à l’époque.

Elle tangue un peu, elle a un peu bu. Je n’ai pas envie de mettre ma langue sur sa vieille chatte peu entretenue, je décide donc de lui lécher sa raie qui m’attire plus. Je doigte direct son cul car j’ai bien retenu ce qui lui manquait.

Maladroit, voila qu’elle change de ton et me dit « d’y aller doucement ». Mon manque de pratique et son mauvais vin rendent l’expérience étrange. Pour mieux faire je fais quelque chose de simple : quelques doigts et je lime sa chatte avec ma pine. Elle commence à bien aimer et elle se secoue les fesses comme une bonne salope.

J’ai l’impression qu’elle est beaucoup plus ivre que je ne le crois. Je décide de me servir et comme je sais que je n’arriverais pas à l’enculer (pas envie de la préparer pendant de longues minutes et son état moyen me dit qu’il faut faire vite, elle est capable de tout : pleurer, rire, comme péter un plomb).

Je lui baise le minou et la tire par les cheveux. Elle ne dit plus rien. Je me rassois sur le tabouret de bar et lui ordonne de « me vider les couilles ». Elle essaie de me monter dessus, en vain. Elle me prends en bouche, elle a l’air dans un état second. Je lui secoue la tête sur ma queue, je lui lime sa bouche.

Je jouis dans sa bouche et bizarrement, beaucoup plus fort qu’avec Sandra peut être 45 mn avant. Il y a beaucoup de crème et la vieille avale en grosse gorgée, avec peine dirait on. Mais elle continue a me lécher la queue et les couilles, les yeux fermés, elle semble vraiment pétée.

Je l’embrasse au bout d’un moment et lui dit « que demain est un autre jour ». A la suite, je suis repassé voir belle maman quelques fois. Parfois elle ne voulait rien du tout, d’autre fois c’était soft et une ou deux fois je lui ai vraiment défoncé son petit trou comme elle avait envie.

Sa raie poilue laissait à la fin apparaître un trou du cul bien dilaté qui sentait bon le foutre et le cul. Je me suis parfois vidé sur son visage et j’ai découvert en elle une vraie soumise qui aimait se faire humilier… tout en redoutant ça.

J’ai laissé tombé Sandra et ne suit pas repassé voir belle maman, pris par d’autres aventures. A l’heure ou j’écris ces lignes, je pense surtout que c’était une femme assez malheureuse qui courait après l’argent par de mauvais biais. Mais c’était un bien meilleur coup que sa fille, mais si je pense bien qu’elle a fait des progrès depuis (j’espère !).

Aujourd’hui, « belle maman » doit avoir pas loin de 70 ans, je me demande si son gendre lui fend le cul. J’espère aussi pour elle que quelqu’un s’en occupe en tous cas.

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