Dimanche 4 Août 2013
Ce matin, tout le monde se lève assez tard.
Pierre et Christine ont déjà repris la route. Personne ne les a entendus partir, tout le monde étant en train de récupérer dans un sommeil profond.
Ce sont Ju et moi qui sommes les premiers debout, étant plus entrainés à ces nuits de sexe débridé. Après avoir pris une bonne douche réparatrice, juste ponctuée de caresses légères, nous nous préparons un petit déjeuner que nous allons siroter dans les transats sur la terrasse.
Thomas est le premier à nous rejoindre, le regard ensommeillé. Il a passé le reste de cette nuit dans le lit de sa mère avec aussi Lola et a fait attention de ne pas les réveiller car elles avaient l’air d’avoir encore besoin d’un peu de repos.
Il s’installe avec sa tasse dans le transat libre à côté de moi.
Un moment passe pendant lequel tous trois nous finissons notre petit en-cas, puis je demande à Ju:
– J’ai un peu mal dans le dos, aux épaules et vers les lombaires. Tu voudrais bien me masser un peu?
– Volontiers, à charge de revanche…
Je pose le matelas du transat sur le sol et me mets à plat ventre dessus. Ju vient chevaucher mes cuisses et commence à me masser les épaules. Puis il descend le long de ma colonne vertébrale et continue vers le bas du dos. Il aventure une main plus bas encore entre mes fesses et demande:
– Et là, tu es contractée aussi?
– Non, mais tu peux masser quand même, ça peut pas faire de mal…
Il commence donc à s’occuper des fesses et de ce qui se trouve entre, s’attardant largement sur la rondelle brune qui trône au milieu. Je soupire doucement et ça donne la trique à Thomas qui a tout ça en direct sous le nez.
Ju arrête ses manœuvres pour économiser des cartouches, surtout pour lui qui commence à bander aussi tandis que je me redresse et remarque:
– Dis donc Thomas, tu as bien récupéré, je vois!
– Euh, oui, j’ai bien dormi…
– Et bien, tiens, mon petit déjeuner était un peu léger, je me ferais bien un supplément!
Disant cela, je m’installe à côté de lui et me mets à le caresser un peu partout, me rapprochant progressivement de son centre de gravité. La destination finale se précise et je commence à le branler. Dès qu’il a atteint le développent et la dureté maximum, je me penche et le prend en bouche.
Après l’avoir sucé un petit moment, je le fais se lever du transat et coucher sur le matelas au sol, me mettant tête-bêche sur lui pour continuer.
Pendant que nous nous donnons mutuellement du plaisir avec la bouche, Ju vient se placer derrière moi et envoie aux oubliettes son envie de s’économiser. Il m’embroche en levrette, sortant de temps en temps sa bite pour passer son gland ente ma chatte et la bouche de Thomas.
C’est alors que nous sommes lancés en pleine action que Lola et Hélène font leur apparition. Lola nous dit en plaisantant:
– Vous auriez pu nous attendre, ou nous réveiller…
Ce disant, elle se place derrière Hélène et commence à lui caresser les seins:
– Viens, on a pas besoin d’eux pour se faire plaisir…
Tout en se délectant du spectacle qui se déroule devant ses yeux, Hélène laisse Lola lui pincer les tétons puis descendre vers son triangle où son clitoris tout tendu n’attendait que de se faire titiller. Lola s’y attarde un moment avant de pousser ses doigts Jusque dans la fente qui est maintenant totalement humide.
Elles abrègent les préliminaires pour se mettre sur le sol en soixante-neuf. Ayant obtenu de Thomas mon complément riche en protéines et ayant manifesté mon contentement par un soupir de jouissance langoureux, Ju quitte mon fourreau pour venir continuer dans celui d’Hélène qui occupe la place supérieure de son tandem avec Lola. Il la baise sur toute sa longueur, lentement, voluptueusement, sortant de temps en temps pour présenter son gland à Lola qui s’empresse de lécher le mélange de sucs sur le membre paternel avant qu’il ne le mette bien au chaud dans la chatte d’Hélène.
Je m’éclipse en annonçant que je vais chercher les jouets pour diversifier les plaisirs. Je reviens déjà harnachée de mon strapon, les deux vibros à la mains sans oublier un bon tube de lubrifiant. Je vois que la situation à changé. En effet, Hélène ayant eu un bel orgasme, Ju a arrêté de la pistonner pour ne pas encore jouir lui-même. Elle est maintenant à genoux devant son fils afin de le remettre en forme de la bouche et de la main, aidée par Ju qui alterne avec elle sur le gland qui retarde pas à repointer vers le haut sous ce traitement. D’autant plus que Lola est derrière et caresse les fesses de Thomas. Les fesses? Non, en y regardant bien, elle a introduit un doigt dans son anus et le fait aller et venir doucement. Du coup, je vais donner à ma fille le plus petit gode après l’avoir bien enduit de gel. Lola retire son doigt, passe le gode un peu sur la rosette de Thomas, puis enfonce le vibro sans rencontrer de résistance.
Une fois que Thomas a atteint son développement maximum, je propose de faire une combinaison à cinq, nouvelle pour Hélène et son fils. Je me couche sur le sol et Hélène vient s’empaler sur le strapon. Puis Lola guide Thomas, toujours par le gode qui lui sert de manche vers le cul d’Hélène qu’elle prend soin de préparer un peu. Il s’empresse d’investir l’anus de sa mère qui se retrouve donc dans un sandwich amélioré. Ju vient donc lui présenter sa bite qu’elle enfourne. Cette fois, elle est investie par les trois trous à la fois. Ju lui dit en rigolant:
– Reste plus qu’à te pincer le nez et tu est complètement étanche!
Lola qui est la seule à n’avoir personne pour s’occuper d’elle s’est enfoncé l’autre vibro, le plus gros des deux, dans le cul et l’a réglé sur sa fréquence préférée.
Cette figure hautement jouissive fait monter la sève chez tous les participants. Ju n’ayant pas encore envie de tout lâcher, et parce qu’il a une autre idée, se désengage de la bouche d’Hélène et vient contourner l’amas humain. Il fait signe à Lola de retirer le gode du cul de Thomas et se positionne derrière lui. Il pose son gland contre l’anus déjà un bien dilaté par le vibro et comme il ne sent pas de refus, il pousse un peu. le gland franchit l’anneau qui n’est pas crispé, il attend un peu puis continue de pousser lentement Jusqu’à la garde. Pour compléter le tableau, Lola se décale d’un cran et vient loger le petit vibro dans le cul de son père. C’est elle qui donne la cadence en poussant et relâchant.
Le mouvement se transmet de cul en cul, de Lola à Ju à Thomas pour finir dans celui d’Hélène. C’en est trop pour Thomas qui lâche donc sa deuxième bordée de la journée dans le fondement de sa mère. Suivi de peu par Ju qui ne voit pas de raison de se retenir encore et qui arrose copieusement le boyau de son coéquipier de devant. Hélène ayant senti l’éjaculation de son fils lui remplir le boyau se sent emportée par un bel orgasme et se laisse tomber sur le côté, se désengageant de mon strapon Du coup, Lola en profite pour venir se finir sur moi, complétant son plaisir avec dans le cul le gode qui continue à lui transmettre ses vibrations.
Après cette phase hautement mouvementée, tout le monde aspire à un peu de calme, sauf moi qui n’ai rien eu, finalement.
Reconnaissantes, Hélène et Lola vont remettre en forme de la bouche et de la main, qui son fils, qui son père. Et leur action porte ses fruits sans trop de délai.
En tableau final, je viens donc m’empaler à cheval sur Ju pendant que Thomas investit mon entrée de service. Les deux autres se contentent de se caresser chacune et mutuellement tout en caressant aussi les partenaires de ce trio. Lorsque j’annonce enfin avoir mon compte, les deux mâles se libèrent de leur fourreau et proposent leurs produits à venir l’un à sa fille, l’autre à sa mère. Les deux ne se font pas prier, mais les dépenses préalables font que la récolte est maigre, juste quelques gouttes.
Tout le monde étant rincé, après une dernier plongeon réparateur dans la piscine et un petit casse-croûte pour compenser les dépenses énergétiques, il est temps pour nous, les trois invités de nous rhabiller pour reprendre la route de Marseille.
Se rhabiller? Non finalement, nous décidons, surprenant une nouvelle fois nos hôtes, de repartir à poil dans la voiture et de nous arrêter le plus tard possible pour enfiler quelque chose afin de ne pas se faire arrêter pour exhibitionnisme. Mais sur ces routes, au moins jusqu’au péage de Manosque…
Et c’est donc à poil avec nos sacs de voyage contenant l’intégralité de nos fringues (excepté les sandales que nous avons aux pieds) que nous quittons la maison, sortons dans la rue, déserte (heureusement ou malheureusement), et prenons notre voiture pour rentrer chez nous.
Par solidarité et pour le fun, Hélène et Thomas restent aussi tous les deux entièrement nus pour nous accompagner Jusqu’à l’extérieur, avec promesse de très prochaines visites mutuelles.
Hélène se posait un peu depuis trois jours la question de la tournure maintenant différente des relations avec son fils, mais elle se dit qu’après tout, autant profiter pour le moment, on verra plus tard…
Fin.
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