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PARTIE DE JAMBES EN L’AIR (suite de sucette s

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Je n’y tiens plus,je rentre dans la chambre,la queue en érection entre mes doigts la masturbant ; »coucou,surprise!c’est moi le mari de madame,comment va?
que je te trouve en pleine bouffarde ». Alors là mes colons j’ai marqué…
Le belâtre saute du lit,à poil bien sur, tout débandant ,pris en flagrant (du lit) hi-hi! Tu es sur le coup de la surprise ne sachant quoi dire ,la bouche polluée que tu tantes d’essuyer ainsi que ta poitrine couverte de sperme ,assise éberluée tu me regardes craintive ; alors je lance jovialement-
continuez !c’est parfait,je me joins à vous – ce disant,je me déloque ,nu je prend place contre toi.Je tend la main à ton copain et dis-je m’appelle ALAIN,si ça ne vous fais rien. Ah mais,c’est vrais quoi,je suis chez moi!
Bon,alors où en étions nous?Complètement déconcertés,ne sachant comment réagir,vous avez envie de déguerpir. Alors,pour ouvrir « le bal »,je commence par t’embrasser en plongeant une main entre tes cuisses,force de constater que ta chatte mouille un max.Mes doigts te farfouillent la vulve ,titillent le clitoris . -« Beau gosse » t’intèroge du regard,tu sembles comprendre qu’il veut nous quitter,tu t’approche de lui qui,debout,ne sachant pas si c’est du lard ou du cochon!tu lui prends la main et l’invite à se recoucher.hésitant,mais comme tu insistes et moi de dire- pas de problème à trois,ça va être plus excitant-sur ce ,il s’allonge de l’autre coté,tu te trouves entre nous deux,pour le tranquiliser tu l’embrasses sur la bouche ,sans la langue .
Et c’est parti! tu as repris sa verge en main pour redonner plus de vigueur à son érection,tu prends la mienne aussi -pas de jaloux-elle est franchement plus grosse et plus longue que la mienne. Tu nous masturbes simultnément,à genoux entre nous deux;les queues suffisamant raides,tu nous suces alternativement,quelques secondes égales à chacun,pour commencer.Dans un premier temps tu gardes en bouche la bite de ton ami qui a repris du » poil de la bête »,pendant ce temps,je reprend ta vulve en main ,gonflée et béante ,le clito bien raide comme un petit gland ,mes doigts s’agitent afin de t’exciter d’avantage; Tu as la chatte trippée. Tu es remises de ton émotion et de la surprise occasionnée par mon retour innatendu et de mon irruption dans la chambre ainsi que de ma réaction désinvolte,vous découvrant.
Je bande,je me tripote en te caressant,ému par ton dévouement à t’exercer à une fellation ,tu y mets tant de passion et de délectation que s’en est devenu naturel chez toi ,une vraie dévoreuse de bite;il savoure ce délicieux moment,ronronnant de plaisir ; on se fait lui et moi des clins d’oeil de satisfaction et de complicité naissante . En lui pompant la queue,tu pelotes ses grosses couilles et les miennes pour comparer,il y a pas photo!comme on dit.J’ose pour me rendre compte,de les palper ,sans se douter que c’est moi,non seulement elles sont énormes,elles sont lourdes et paraîssent bien pleines Tu lâches prise de sa verge sans cesser de le sucer,pour que je m’en saisisse,elle est ferme et épaisse ,tu me jettes un air d’entendement à prendre le relais;je la met en bouche de la même manière de faire comme toi,sans qu’il se doute que c’est moi qui lui suce le gland ,faisnt le tour avec ma langue ,aspirant tout le paquet jusqu’à la glotte ; ça l’a surpris ,car tu n’étais pas alléé jusque là,cause de sa grosseur,je me met à le pomper avidement,il se rendit compte du changement de partenaire,ça lui plais,je pense me perfectionner dans l’art de faire des pipes.
Alors que je m’occupe de sa queue,tu l’as chevauché ,ton cul sur son nez,il te bouffe la chatte et chacun notre tour,nous le suçons . En faisant le cunnilingus,tu as un orgasme fulgurant,j’ai juste le temps de reprendre le relais,ta bouche lâchant prise de sa bite.Peu-t-être est ce ton orgasme quidéclanche sa jouissance,je sent les veines saillantes de son tube gonflées ,le sperme en grandes quantité m’inonde la bouche et que je n’arrive pas à contenir le trop plein dégouline aux commissures,j’en ingurgite une bonne dose .Ce que c’est bon une pipe !.

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