Histoires de sexe Histoires de sexe hétéro Histoires érotiques au travail

au Lycée avec Hana

au Lycée avec Hana



Je viens d’arriver dans mon nouveaux lycée, en regions parisienne, après le divorce de mes parents. C’est ma mère qui aura ma garde, mais plus pour très longtemps, le jour de mes 18 ans n’est plus très loin.
Déménager n’est pas facile, c’est tourner une page dans une vie, on parle souvent de quitter ses amis, mais je n’en avais pas beaucoup là d’où je viens. J’ai toujours était un peu réservé, je ne vais pas souvent vers les gens. Je pense qu’on peut dire que je suis un geek… mais attention ! Oubliez vos clichés, autant je ne vais pas vers les filles… autant les filles viennent vers moi… et oui. Je ne peux que remercier mes parents de m’avoir fait comme je suis… même si finalement, elles ne restent pas bien longtemps avec moi, juste le temps de se rendre compte que je ne suis pas très bavard, et que mes centres d’intérêts sont plus jeux de role en ligne et manga que musculation et sortie entre copains.
Ça ne me dérange pas d’être seul, même si je suis toujours fière d’attirer les filles de mon simple physique.
Une gueule d’ange, les cheuveux mi-long en batail, 1mètre80 plutôt maigre mais quelque cours d’art martiaux m’ont suffit a me dessiner des abdos.
Mes ex-copines faisaient plutôt l’éloge de mon regard semble t’il sombre et mystérieux, de mon odeur, ou de ma présence semble t’elle suffisante pour exciter une femme.
Je ne sais pas du tout d’où me vient ce charisme, mais j’en suis fière.

Mes premiers jours au lycée sont pauvre en émotion. Je n’attends rien de cet endroit, et il me le rend bien.
Je discute un peu avec quelque garçons de ma classe. Les filles ne sont pas forcement attirantes, et je retourne vite les 2-3 avances qu’on me fait. De toutes façons, je suis arrivé en fin d’année, inutile de chercher une copine pour si peu de temps.
Par contre je m’ennuie tellement, je pense que je vais m’inscrire au club Cinéma du lycée, il paraît qu’ils ne font que regarder des films, ça comblera d’histoires le vide de cette fin d’année ennuyeuse.

C’est aujourd’hui la première fois que j’y vais, je m’installe a une table, dans le fond, seul.
Le video projecteur déjà installé semble confirmer la rumeur, tant mieux. La lumière s’éteint, un vieux film commence, je ne sais même pas le nom, tant pis, je ne cherche qu’à quitter ce monde quelque instant, peut importe la destination.
Au bout de quelques minutes, on toque à la porte. Le prof va ouvrir, et une fille entre. J’ai dit « une fille » nan… une véritable Déesse !! Un bout de femme sur des talons-haut, tout en courbes magnifiquement généreuse. Des cheuveux très long, « nuit », une frange, au dessus de deux yeux bridés pétillant de lumière, cacaresséar un maquillage auauxerefletsouille sur une peau blance comme neige. Un tout petit nez, des levres pulpeuses, sous un rouge a lèvre très rofortui donne un côté trachsh ce petit minoi. Elle porte une petite veste en cuire ouverte sur un décollé de soie, qui lui même laisse par transparences l’ombre d’un soutien-gorge noir qui rehausse et étouffe deux mont de désir dont on sent d’ici la douceur.
J’attends qu’elle se retourne et ferme la porte pour poser mon regard sur ces fesses, dont la rondeur est, a mon désespoir, dissimulée derrière une mini jupe a fleures, mais qui a mon bonheur, s’arrête très haut, suffisamment pour que ces bas laisse quelque centimètre de peau a la vu des plus coquins des papassants. et a en voir sa démarche, elle en est consciente.

Elle s’excuse rapidement de son retard avec un sourire a tomber, puis regarde les places de libre dans la salle.
Elles sont nombreuses et pourtant, c’est sur moi que vient ce poser son regard. Ça me met mal a l’aise, mais je me dis que si mon charme est a la hauteur, je ferrais des efforts pour la garder dans mes amies au minimum.
Elle me fixe, je rentre dans son jeu, elle laisse échapper un petit sourir puis vient s’assoir a côté de moi d’un pas décidé.
Elle n’a vraiment pas l’air timide. Le film reprend, et elle commence aussitôt la conversation en chuchotant d’une voix sucrée:
– c’est la première fois que tu viens ? Je ne t’ai jamais vu avant…
– heu… oui je suis nouveau au bahut
– et comme ça, tu aimes le cinema…
– je ne savais pas trop quoi faire d’autre… 2 semaines que je compte les secondes…
– 2 semaines ? Tu ne viens que maintenant ?
– si j’avais su qu’il y avait de si jolie fille, je serais venu plus tôt…
Elle rit puis se mord les lèvres… ouf, ca s’engage plutôt bien…
Elle me devisage avec un regard de feu, moi, je fais semblant de regarder le film, mais je ne pense qu’a elle.
– je m’appelle Hana, dit-elle, c’est japonais, ça veut dire « fleure ».
– moi c’est Matheo, mais tout le monde m’appelle « Mat ». (Presonne ne m’appelle « Mat » mais ca fait genre… )
Nous discutons de tout et de rien. L’heure passe vite et a peine la sonnerie retentit, elle se lève, et prend son sac. Apparemment pressé, « j’espère te revoir la prochaine fois » lance-t-elle. Puis rapproche ces lèvre entrouvertes de mon visage, et me donne un bisous chaud, et humide sur la joue, près de ma bouche.
J’en reste sans voix, et la laisse partir sans rien dire.

Le soir même elle avait déjà retrouvé mon profil facebook, et envoyé une invitation. J’accepte bien sur, la voila qui commence une convertation, a croire qu’elle n’attendait que moi:
– c’était vraiment sympa aujourd’hui, tu viens mardi j’espère…<3
– pourquoi pas ^^ »
– si tu viens, il y aura une surprise 😉
– une surprise ?
*Hana Mezashi est hors ligne.

Voila qui me laisse perplexe… et impatient.
les deux jours auront été tres long mais mardi est enfin arrivé. Je me presse vers la salle de cinéma.
Cette fois ci, Hana est déjà dans la salle à la même place que la dernière fois. Elle est sur son portable.
Je m’en vais la surprendre en faisant comme si je regardais ses message par dessus son épaule.
– c’est tres impolit ce que tu fait là, la curiosité est un vilain défaut, Dit-elle sans tourner la tête. Elle aura devinait que c’était moi sans me voir, je pense que c’est un bon point. Je m’installe à ses côtés:
– Partir sans dire au revoir n’est pas très polit non plus, pourtant c’est ce que tu as fait su facebook non ?
– je n’aurais pas pu m’empêcher d’en dire plus sur ma surprise… dit-elle en sortant une enveloppe de son sac. Tu ne l’ouvre qu’une fois chez toi, et seul, daccord ?
– bien sur ! Je la prends et la laisse sur la table. Le film du jour commence, nous discutons un peu, puis elle quitte la salle quelques minutes, sans doute pour des besoins naturelles.

C’est le moment idéal, je ne peux pas m’en empêcher, j’ai promis mais tant pis, j’ouvre la surprise.
Une photo ? Hana ? En sous vêtements ? J’avais déjà eu des avances osé, mais pas a ce point, ni aussi tôt. Elle est vraiment parfaite, dans cette ensemble jaune plutôt original mais qui met bien en valeur ses formes. Elle est de dos, le torse retourner vers l’objectif. De façon a voir son regard de coquine, sans pour autant oublier ses fesses bien rebondit, a l’étroit dans ce petit shorty. On sent qu’elle sait qui elle est et ce qu’elle veut. La voir comme ça me donne des idées, et surtout le fait qu’elle ait osé me donner cette photo m’excite, je sens que ça ne va pas s’arrêter là.
– et n’est ce pas impolit de ne pas tenir ces promesses ? Dit-une voix de miel dans mon dos.
Et merde ! Je me suis fait avoir sur ce coup là. Restont calme:
– Ha, j’etais trop impatients, je suis désolé…
– je t’en veux beaucoup. Elle reprend sa place.
– je veux me faire pardonner, tout ce que tu veux… voila une bonne approche pour savoir ce qu’elle attend de moi exactement.
– tres bien, regarde le film ! Dit-elle sévèrement.
Je m’exécute. La voila qui prend la photo d’elle sexy, et la pose dans ma direction sur la table. Le reste de la classe dort, ou regarde le film, et les lumières éteintes, il n’y a pas trop de risque.
– comment tu me trouve ? Murmure-t-elle
– magnifique
– juste magnifique ? Allons, ne soit pas timide. Elle pose sa main sur ma cuisse, et son visage glisse dans le creux de mon cou.
– excitante. dis-je…
– dit en plus… n’ai pas peur… Sa main remonte sous mon tee-shirt et me caresse. J’ai peur, mais je sais qu’à partir de maintenant, il n’y a plus de chose interdites, et laisse ma main se raprocher de ses jambes.
– non ! Ne me touche pas !… lance-t-elle sechement. Elle raproche sa bouche de mon oreille et dit: Branle toi !

– quoi ?
– je veux que tu te masturbe en regardant ma photo, maintenant !
– mais…
– tu as dis que tu ferrais tous ce que je voudrais… allons, je sais que du bande déjà.
La voila, qui ne mache plus ses mots. Mais je suis obligé de lui obéir cette fois, au risque de tout arrêter. Il en est hors de question. Elle a raison, je suis déjà en érection. Je dois faire ça le plus discrètement possible, une dizaine d’élève est avec nous dans la classe. Je commence pas déboutonner mon jeans, et tire un coup sec jusqu’à mi cuisse. Mon glan dépasse de mon caleçon, et je sens a sa respiration que ça fait de l’effet a Hana.
– dépêche toi !
Je tire mon caleçon laissant ma verge se dresser sous ses yeux…
– j’adore ! Chuchote-t-elle.
Je commence, par prendre mon penis et apres un dernier regard sur les gens dans la classe, commence a me masturber doucement. Sa main quitte mon tee shirt et viens se poser sur la mienne, avec laquelle je fais ma petite affaire. Elle me fait accélérer, et je laisse échapper quelques gémissement, pendant quelle me lèche le coup. Nous somme tout les deux très exciter, elle lache ma bite, et emporte ma main vers sa culotte. Voilà pourquoi elle met si souvent des jupes.
– caresse moi !
Je glisse ma main sous sa petite jupe, quand a elle, elle reprend mon sexe et l’astique bien franchement de haut en bas. L’entre-jambes de Hana est tout chaud, et la culotte déjà trempé. Je cherche son clitoris a travers le tissue, et je vois bien qu’elle aime ça. A mon tour de la chauffer:
– alors tu aimes ? Mes doigts sont déjà tout mouiller de ton jus alors que je n’ai encore touché que la culotte. Tu es une belle cochonne ! Regarde comme tu me fais bander comme un fou !…
Son regard se pose sur ma verge entre deux gemissement de plaisir puis en fermant les yeux, elle lance:
– je n’en peux plus !… et d’un coup, lacha ma bite, remonta sa juste sur les anches, et baissa sa culotte jusqu’au chevilles. Ecarta les jambes et en sueur, m’ordonne: doigte moi a fond !

Malgret l’obscurité de la pièce, n’importe qui peut se retourner a nimporte quel moment, et la voir a moitier nue, mais je sens que c’est justement ce qui l’excite autant. Je fait quelque tour sur les levres de la vulve en chaleur sans tarder, et rentre directement deux doigts au plus profond. Elle a déjà l’autre main sur la bouche et le nez pour étouffer tout ses gémissements. Mais je peux quand même les entendres, et ça ne m’aide pas a tenir la longueur. Je continue de la doigter, de plus en plus vite.
– va y, encore, encore !! Dit-elle, mais plus je vais vite, plus elle accélère aussi ma branlette. Je vais bientôt jouir, comment faire ? – ca vient ! Arrête ! Mais elle n’arrête pas… Je sens que ça monte…
– je veux que tu jouisse. Dit-elle, en plongeant sa tête entre mes jambes. La surprise et la sensation de ses lèvres sur ma queue et trop forte, je me laisse aller et éjacule tout mon sperm chaud au fond de sa gorge. Quel plaisir !! C’est trop bon… apres deux trois vagues de sperme. Elle remonte la bouche pleine et commence a m’embrasser. C’est la première fois que je goute a mon sperm, mais je ne peux pas dire non cette fois. Le goût n’est pas si mauvais et Hana prends un plaisir certain a lécher ma langue pleine de mon sperm encore chaud. Elle gémit encore, pourtant j’ai arrêté de rentrer mes doigts dans son vagin.

je me re concentre, et m’attarde cette fois sur son clitoris. Surprise, elle aspire la majeur partie de liquide de ma bouche et reviens correctement a sa place. Elle me regarde droit dans les yeux, souris, puis avale. Je fini par croire que rien ne peut arrêter cette fille. Je ne cesse de lui caresser ses levre poilus et son petit bout. Elle se cambre dans tous les sens et donne de petits coup de bassin. Je sens que son tour ne va pas tarder. Je passe mon bras dans sont dos, lui att**** un seins et le malaxe généreusement.
– ca vient ! Murmure-t-elle. Elle prend mon coup d’une main, se recouvre la bouche de l’autre et juste apres avoir basculé sa tête en arrière de plaisir, son entre-jambes explose de mouille. Une ejaculation feminine magnique et bruillante, heureusement le sond du film couvre tout. Elle gicle encore une, deux fois puis je pose ma main a plat sur sa chatte ruisselante de cyprine. Elle reprend son souffle et me donne un dernier ordre: lèche toi la main !

Je racle ses lèvres vaginal pour récupérer le plus de mouille possible et tout pres de son visage commence a glisser ma langue entre chacun de mes doigts dégoulinant. Elle me regarde un peu, puis se joins a la dégustation. Je film va bientôt se terminer, et tout en s’embrassent nous nours rhabillons. Cette fois encore je la laisse partir sans rien dire. Je me contente de matter son petit cul qui s’éloigne en dandinant joyeusement, sous lequel tout le monde peut voir pleuvoir encore quelques goutes de mouille. D’ailleurs, une large flaque trône sur sa chaise, et le sol en est trempé aussi. Dépêchons nous de s’en aller, avant que quelqu’un remarque ce qu’il vient de ce passer. Je récupère la photo, et fuis en attendant la prochaine rencontre.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire