Lorsque je ne suis pas puni, je dors dans un débarras, petite pièce de la maison aménagée en chambre à coucher. Ce réduit n’a pas de porte et je n’y ai aucune intimité. De plus, mon père prend plaisir à me fixer, chaque soir, sur le sexe glabre, cet outil de contention adapté qui m’autorise à uriner, mais m’interdit toute possibilité d’érection nocturne. Je suis, de fait, souvent réveillé par des douleurs très vives, la nuit, et je me sens horriblement frustré par la présence de cet accessoire incommode quand le trop fort besoin de masturbation se fait sentir. Je dois alors demander la permission parentale de me soulager. Il m’est interdit de faire ça ailleurs que devant eux ou en présence de tiers. C’est à genoux et implorant que je dois les supplier de bien vouloir ouvrir, par un système à clé, le piège qui m’entrave. Et, au milieu des railleries et des réflexions blessantes, je me défais d’une trop grande pression en prenant soin de ne rien salir. Au creux de ma main, je recueille ma semence qu’il me faut avaler ensuite ou garder en bouche selon les directives du moment car il n’est pas rare qu’un vieux vicieux ou maman viennent m’embrasser pour goûter, à mes lèvres, la saveur du produit fermenté de mes couilles.
Au réveil, j’apporte le petit déjeuner au lit, sur un plateau. Je dois calmer les grosses érections matinales de mon père pendant qu’il sirote son café en un bon et appliqué travail de fellation sous les draps, entre ses cuisses. Il se laisse sucer son gros noeud, presque indifférent. C’est le moment de la journée que je préfère. Je ne suis jamais prévenu par ses explosions et il m’appartient de faire attention à ne pas tacher le lit. Les week-ends, la flemme paternelle m’oblige à jouer aussi le rôle d’urinoir ambulant. C’est en petits jets obtenus par compression du canal urinaire qu’il se vide progressivement la vessie dans ma bouche. Je déglutis sa pisse par gorgées amères sous les ricanements…Ce rituel plait à ma mère qui ne manque jamais de manifester son plaisir en se godant à nos côtés en roulant, de temps en temps, de grosses pelles fiévreuses à son mari. Parfois, c’est dans une bouteille en plastique vide que je le regarde uriner à gros bouillons. Il me faut la boire ensuite…
Il y a des types d’un âge certain qui se présentent à la maison, en l’absence de mes parents. Je les reçois toujours en petite tenue. Certains se contentent de se faire sucer dans le hall d’entrée, sans dire un mot et repartent soulagés. D’autres sont plus exigeants et demandent à se faire servir un verre d’alcool au salon, confortablement installés sur le canapé. Ils prennent des aises devant un bon dvd porno. C’est bien mieux qu’en cabine de sex-shop et, c’est gratuit! Un vieux pervers me demande de venir m’asseoir sur sa queue. Il m’a enfilé profond et me caresse lascivement. C’est moi, maintenant, qui doit faire le travail. Je me positionne en équilibre de façon à pouvoir le chevaucher. Ce salaud apprécie mon cul qui le suce comme une bouche. Mais, c’est sur ma « tronche de pute » qu’il veut cracher. Je suis éclaboussé de foutre sur toute la face quand le vieux se rajuste alors que survient ma mère qui rentre du boulot: « T’es beau comme ça, mon petit pédé »…Cette adorable vicieuse n’hésite pas à me lécher la figure en présence du vieux et finit par m’embrasser goulûment, devant lui. Je caresse ma mère sous sa robe. Elle se laisse tripoter un temps, puis réagit violemment par une paire de claques: « Tu n’as pas honte d’exciter ta mère, charogne?!!!…Tu te prends pour qui?!! Attends que ton père rentre! Tu vas voir ce que tu vas prendre ce soir, sale morveux! »
A suivre.
Ajouter un commentaire