Chapitre 5 : Interlude
La dernière soirée n’a fait qu’attiser mon désir pour ma nièce qui, entre nous, n’est pas tombée de la dernière pluie en matière de sexe et même avec plusieurs sexes vu ce qu’elle m’a raconté. Je me demande quand même si elle n’en fait pas un peu trop et si elle ne fantasme pas pour m’exciter à mort.
C’est Dimanche soir et il est tard, et le seul excité dans cette maison c’est moi !
Dans mon lit, je n’arrive pas à dormir en pensant sans cesse à Marilyn qui n’est pas loin et sûrement complètement nue
Depuis que nous avons fait l’amour puis baiser comme des fous avec ma bite bien au chaud dans le doux et étroit tunnel d’amour de ma jolie et jeune Nièce, je revis ! Je me sens de nouveau jeune et en pleine forme !
Mais maintenant je ne pense qu’à ça ! Je ferme mes yeux et j’ai l’image de son corps qui m’a fait tellement fantasmer.
Tout en rondeur, avec une poitrine orgueilleuse et un cul qui me fait bander comme un jeune puceau en manque de caresses. Et ses lèvres qui me font craquer dès qu’elle sourit en me regardant avec ses yeux brillants.
Tout le weekend malgré la présence de Carole, mon amie, qui décidément ne nous a pas lâché plus de 10 mn, je n’ai pu que toucher ma nièce en passant ma main sous sa jupe quand j’étais sûr que Carole ne pouvait nous voir.
C’est une vraie torture pour moi d’être si près de Marilyn, de la regarder lire, manger et passer sa langue sur ses lèvres en me fixant dans les yeux, de faire la vaisselle et de se retourner pour voir si je la regarde quand elle tortille ses adorables fesses charnues avec un sourire coquin.
Néanmoins, samedi soir, nous regardions la télé et Carole est tombée de sommeil.
Je regarde ma nièce assise dans un fauteuil sur le côté et quand elle voit que je la fixe, elle met une de ses jambes par-dessus l’accoudoir.
Je vois immédiatement qu’elle n’a pas de slip et qu’elle est nue sous sa robe légère. Quelle coquine ma Marilyn !
Elle me laisse admirer sa belle chatte sans poil sous la douce lumière émanant de la télé en face d’elle.
Je me lève et je lui fais signe de me suivre dans la cuisine.
J’attends un peu mais finalement elle me rejoint avec un sourire espiègle sur son visage. Je l’att**** et l’embrasse rudement à pleine bouche car sa langue est chaude, délicieuse, et pleine de fougue. Je la pousse contre l’évier et lui fait sentir contre son bas ventre mon sexe qui a bondi dans mon short.
– Doucement, Tonton.
Me dit Marilyn quand ma main pelote ses cuisses et glisse vers sa chatte pour lui fourrer deux doigts dedans.
– Ma chatte est toujours très sensible depuis l’autre soir.
– Je te veux, Marilyn ! Lui dis-je doucement dans l’oreille.
– Je sais Tonton, moi aussi ! Mais…j’ai vraiment mal quand je me touche la chatte juste après mes petites lèvres. Elle est encore irritée.
– Je n’arrête pas de penser à toi ! Je te désir comme un fou !
– Je ne sais pas quoi faire…
Me dit-elle en attrapant néanmoins ma queue coincée entre mon short et ma cuisse. Ta bite est vraiment trop grosse et ma chatte est si serrée que tu m’as sûrement déchiré quelque chose.
– Je suis désolée Marilyn,
Dis-je en gémissant, car ma bite tremble de plaisir sous la caresse de Marilyn. J’essaye d’être doux et de ne pas aller trop loin.
– Ce n’est pas de ta faute Tonton. Je ne suis tout simplement pas habituée à quelque chose d’aussi gros dans ma chatte. Faut dire aussi que tu m’as baisé comme un sauvage.
– Mon cœur…pardonne moi, mais tu n’arrêtais pas de me dire…encore…plus fort…
– Oui…c’est vrai…c’était tellement bon que je ne sentais même pas que cela m’irritait. Je suis désolé, j’espère juste que ça passera et que lundi je serais en pleine forme. Au moins, j’ai appris ce que veut dire « se faire défoncer le con »
– Ma petite chérie…mets-toi souvent de la crème apaisante. Moi aussi j’espère que tu vas aller mieux rapidement car ma queue va exploser ! Tu pourrais peut-être me soulager autrement…
– Tu veux dire comme ça, avec ma main ?
Demande Marilyn en pressant plus fort ma bite dans sa main.
– non…autrement…
– Tu veux dire avec ma bouche ?
Demande Marilyn en mimant une toute jeune pucelle en passant sa langue sur ses lèvres luisantes et en décalottant bien mon gland.
– Noooon, (je gémis). Tu m’as montré autre chose vendredi dernier.
– Quoi d’autre…,
– Tu sais bien… quand tu t’es penchée en avant et que…
– Oooh…non…Dis-le Tonton ! Dis-moi clairement à quoi tu penses !
– A ton cul ! Permets-moi de te baiser dans le cul.
– Tonton ! Oooh, je ne peux pas faire ça avec toi ! Imagine les dégâts que fera ton monstre dans mon petit trou du cul ! Avec mon amie Stéphanie, c’est autre chose ! Elle a un cul encore plus gros que le mien et il est rodé. Je t’ai dit qu’elle aime ça et le fera sûrement avec toi malgré la grosseur de ta bite. Ça va même sûrement l’exciter à mort. Elle va bientôt nous rendre visite. N’oublie pas de prévenir Carole. Il ne faut pas qu’elle vienne nous déranger
– Je le ferai, sois en sure
Appuyant mon sexe sur ses mains j’ajoute.
– Mais s’il te plaît, fais quelque chose pour me soulager !
– Bon… sale pervers…surveille la porte.
Elle baisse mon short et att**** de ses deux mains ma queue qui n’en peut plus. Elle me branle doucement et, seulement après quelque va et viens et mes couilles dans une de ses mains, j’éjacule dans la cuisine, debout comme un vieux cochon.
Marilyn retire ses mains et me montre celle-ci remplies de sperme qu’elle a récolté en enfermant mon gland pendant ma jouissance.
En souriant, Marilyn lèche mon sperme tout en se dirigeant vers le salon.
– Vous étiez où, demande Carole émergeant de son sommeil
– Dans la cuisine, Tonton avait besoin de moi. Il a mal au ventre…et…aux reins…
– Avec son âge il faut qu’il fasse attention à ne pas faire d’excès et trop d’efforts.
Comme j’entends la voix de Carole se rapprocher, je remonte vivement mon short avant qu’elle ne fasse irruption. Me voyant appuyer sur l’évier elle me demande :
– Que t’arrive-t-il ? Tu en as une mine ! Tu ne digère pas bien ?
– Peut-être, ça ressemble à ça…Ça grouille dans mon ventre.
– Seigneur, ne me dis pas qu’il va falloir te mettre des couches !
Me dit-elle, d’un air dégoûté en regardant mon entre-jambe et apercevant une tache humide sur mon short.
– Je vais me coucher ! Je ne suis pas bien.
– Assure-toi que tu n’as plus envie, avant d’entrer dans le lit!
**********
Je quitte mon retour dans le passé et je m’aperçois qu’au lieu de m’envoyer au pays des rêves comme je l’avais espéré, j’ai une érection qui ne semble pas pressée de s’en aller. Et Carole, à côté de moi dort d’un sommeil de plomb.
Je sors du lit et sans réfléchir je vais dans la chambre de Marilyn. Je peux voir Marilyn dormir, recouverte de son drap, tiré jusqu’au cou.
Un Tonton sans idées cochonnes serait sorti sur la pointe des pieds mais ce n’est pas mon cas, car moi, je pense plutôt à toutes les choses sexuelles et perverses que je pourrais faire avec elle.
Je tire le drap vers le bas et Marilyn m’apparais nue comme au premier jour de sa naissance.
Mes yeux dévorent le magnifique corps de la petite salope qu’est devenue ma nièce. Elle paraît si innocente quand elle dort. Un instant j’ai envie de la réveiller mais je me contrôle et je me place devant elle pour bien voir sa belle chatte, je baisse mon pantalon de pyjama et je me branle comme un salaud en manque.
Elle est sur le dos et mes yeux vont de ses cuisses à ses seins. Je cherche ce qui me plait le mieux… mais tout m’attire chez elle. Sa beauté naturelle, ses yeux de biche, clos pour l’instant, ses gros seins aux mamelons roses, son ventre légèrement bombé, ses jambes avec deux longues cuisses et une chatte plus belle que la plus belle des roses de mon jardin.
Ma main accélère son mouvement quand j’imagine à quoi peut ressembler son amie Stéphanie qui, elle aussi, touchera surement son corps, sucera ses tétons, et dégustera son trésor entre ses cuisses. Quel spectacle ça doit être de voir cette fille et Marilyn l’une sur l’autre.
Mon orgasme m’a surpris et j’ai essayé, de mon autre main, d’att****r mon sperme qui giclait tout en étouffant mes grognements de plaisir. Je suis resté là pendant une minute avec ma bite ridée dans mes mains poisseuses avant de remonter mon pyjama et de quitter sa chambre.
Dans la salle de bains, je regarde, presque dégoûté, mes mains pleines de sperme. J’aurais préféré décharger mes couilles dans la chatte de Marilyn, plutôt que de jeter mon sperme dans l’évier.
Je nettoie tout ça le plus vite possible et un peu triste et honteux, je suis retourné me coucher.
Lundi,
Carole est partie dans la matinée et je monte en courant les escaliers pour voir Marilyn. Mais, au lieu de trouver Marilyn couchée, nue sur le dos, les cuisses ouvertes en attente de ma bite, je la trouve habillée en petite jupette ultra court et en train de lire un livre.
– Qu’est ce qui se passe ? Je demande à Marilyn, qui pose son livre et me sourit.
– Je suis désolé Tonton, mais ma chatte est encore un peu sensible.
– Tu plaisante j’espère…
– Non, tonton, ça va mieux mais je me suis bêtement blessée avec mon ongle la nuit dernière en mettant deux doigts dedans. Tu sais après que tu te sois branlé en me regardant…
– Tu étais réveillée ?
– J’ai un sommeil léger, et je pense que c’est le bruit de ta main qui branlait ta bite et tes halètements étouffés qui m’ont réveillé,
Me dit Marilyn malicieusement.
– Bien sûr ça m’a excité, c’est pour ça que je me suis branlée quand tu es parti comme un voleur. Mais ne fais pas cette tête-là, Tonton, Nous pouvons faire encore d’autres choses.
Elle saute de son lit, défait mon pantalon, arrache mon slip et ses mains impatientes att**** mon pénis flasque et commence à la triturer dans tous les sens.
– Tu sais Tonton, j’adore la prendre dans ma main quand elle est encore molle et toute douce et ensuite, quand j’arrive à la rendre grosse et bien dure, je me sens femme et un peu putain à la fois. Laisse-moi te déshabiller pour que tu sois plus à l’aise.
Décidément ma nièce n’a pas fini de m’étonner.
Je la laisse faire et je m’allonge sur le lit. Marilyn enroule de suite ses mains autour de mon pénis en pleine forme.
– J’ai eu une idée, dit Marilyn. Tu me laisse faire ce que je veux ?
– Quoi ?
– Je te faire ce que tu m’as fait.
– Dans ce cas …alors vas-y !
Je ne sais pas bien ce qu’elle a en tête, mais je me dis que ça ne peut qu’être agréable.
Elle part dans la salle de bain et revient avec un nécessaire de rasage et une bassine d’eau.
– Ne bouge pas ! Je vais te raser.
– Quoi ! Marilyn, tu es complètement folle ! Je ne sais pas si…
– Tonton, tu ressembles à un ours poilu et je t’aime, mais je vais te raser tes poils à la base de ta bite. Ce sera amusant, non ? Tu as un beau sexe, pourquoi le cacher
– Marilyn, je ne suis pas sûr que…
– Laisse-moi faire, tu as trop de poils en bas et je suis sûr que cela la fera paraître encore plus grande qu’elle ne l’est déjà.
– Bon mais sois prudente, je ne veux pas être castré comme un eunuque !
Et elle commence à me raser en tirant bien sur ma bite pour tendre la peau.
– Whaoo ! Dit Marilyn en trempant le rasoir dans l’eau. Regarde tous ces poils ! Tu en avais vraiment de trop !
Quand je sens le rasoir qui commence à passer en revue mes couilles, je n’en mène pas large.
– Fais très attention !……C’est fini, Marilyn ?
– Presque…maintenant retourne toi et mets-toi à 4 pattes que je te finisse !
Putain ! Elle va me faire aussi mon petit trou !
Comme d’habitude je fais ce que Marilyn me demande et je sens le rasoir qui file sur le dessous de mon scrotum très délicatement et elle pousse de ses doigts le bord de ma rosace pour bien me raser de chaque coté
– Voila ! T’es chouette comme ça ! Tu veux voir
Et elle me tend un miroir.
Je dois admettre que de prime abord je suis surpris. La base de mon instrument d’amour est rose et lisse, sans bronzage, tout comme mes couilles. La différence d’aspect est assez troublante, car ma bite est entièrement dévoilée sans ce buisson de poils déjà un peu argentés.
– C’est beau hein, Tonton, Elle est belle comme ça ! Je l’aime encore plus ! Je suis amoureuse de ta queue mon tonton d’amour…
Dit-elle en caressant ma bite tout en l’admirant.
– Marilyn… fais-moi jouir.
– Tu dois d’abord regarder si ma chatte n’a pas de petits poils qui repoussent.
Dit-elle en me tendant le rasoir.
– Vraiment… « quelle petite garce ! »
Je ne peux ajouter qu’elle va m’exciter encore plus car en une seconde sa jupe tombe et comme elle ne porte pas de slip, je peux voir sa belle petite chatte qui n’a plus aucun poil autour de sa fente. Je suis toujours en admiration devant cette beauté de la nature qui se cache entre deux cuisses féminines douces et soyeuses. Mais celle de ma jeune nièce est particulièrement belle
– Ouais, je veux que tu fasses ça ! Vérifie avec ta langue si tu sens des repousses désagréables
Et je m’exécute. Je lèche son pubis puis ses grandes lèvres avant de pousser le bout de ma langue entre celle-ci et je remonte vers son clito.
– Oooh…
– Quoi, mon cœur ?
– Mon clito est hyper sensible !
Je donne deux coups de rasoir pour la forme puis soulevant ses fesses, j’inspecte la zone glabre entre sa chatte et son anus.
Son anus parfaitement dessiné m’attire comme un aimant alors que je n’ai jamais porté d’intérêt à un trou du cul jusqu’à maintenant. Mais on est tous vulnérables et je trouve son petit anneau plissé très excitant, bien dessiné comme une rosace. Je laisse ma langue descendre entre ses lèvres de chatte, en dessous, dans la zone sensible entre les deux orifices.
– Tonton… t’as fini de me raser ?
– Euh, Oui Marilyn, sortant de ma transe. Tout est parfait. T’es toute lisse comme un bébé.
Marilyn balance ses jambes et att**** le miroir pour vérifier elle-même.
– Whaaooouuu ! Ma chatte est toute propre et toute lisse. Elle est belle, hein, Tonton.
– Je la trouve toujours belle, mais comme ça elle est vraiment magnifique. Si tu es amoureuse de mon sexe moi c’est de ta chatte. Un vrai bijou, un délicieux fruit exotique.
Et je replonge ma tête entre ses cuisses pour que ma langue s’introduise dans sa jolie fente toute rose qui perle légèrement. Elle ne dit rien et se laisse faire, ses mains sur ma tête.
Ma bite durcit encore un peu plus et je lui demande.
– Je peux t’enfiler ma queue ma chérie, tout doucement…
– Demain, Tonton, ça ira surement mieux. Mais on peut faire autrement. Vient là et met ta queue entre mes cuisses.
Elle met un oreiller sous ses fesses et je m’agenouille entre ses cuisses levées et je glisse ma bite entre ses cuisses serrées.
– Ooooooh, Tonton, dit-elle en roucoulant. Je la sens bien. Qu’est-ce que c’est bon de l’avoir entre mes cuisses.
Elle bouge un peu ce qui me permet de frotter mon gland sur son clitoris et elle commence à agiter ses hanches, comme moi.
-Oooohhhh, ouiiiii…ton gland me fait des bisous sur mon petit clito ! Gémit-elle
Je regarde sa chatte et je vois mon gland qui malgré moi, sonde un peu le trou de sa chatte et je résiste pour ne pas aller plus loin.
– Non ! Tonton, n’entre pas ! Frotte ta bite le long de mes lèvres ! J’adore la voir et la sentir comme çà.
De ma main j’aide ma bite à caresser toute la longueur de sa chatte et je tourne autour de son clitoris que j’aperçois bien car Marilyn écarte le plus possible ses lèvres intimes avec le bout de ses doigts.
Je sens ses cuisses trembler, ses joues rougissent par un afflux de sang et elle s’écrie :
– Je jouiiiiiisssssssss ! OOOooohhhh, Tonton ! Tu me fais jooouuuiiiir !
Mes yeux ne lâchent pas ma bite qui abuse de son clitoris tendu et qui le frappe comme un petit sac de boxe. Une petite giclée de son fluide intime jailli de sa chatte et éclabousse ma bite pendant que le corps de Marilyn est pris d’une série de convulsions.
Impuissant à me retenir, je sens ma bite entrer en éruption, cracher des giclées épaisses de sperme, sublimant son pubis fraîchement rasé et sa chatte tremblante, pour se mélanger avec son propre jus qui sort entre ses lèvres intimes.
Je tire sauvagement sur ma bite, pour éjecter les dernières gouttes de ma semence et je regarde le filet de liquide qui coule de sa chatte entre ses jambes, pour finir sur le drap en dessous.
– Oh Tonton, c’est formidable ! Je sentais tes giclées de sperme sur ma peau et dans ma fente pendant que je jouissais comme une dingue !
– Oui, ma chérie, c’est merveilleux comme tu prends vite du plaisir. Tu es une amante exceptionnelle et je t’aime
.
Nous avons réussi à jouir ensemble malgré tout, et Marilyn m’a promis que demain ce serait encore mieux.
Ce n’est pas le cas, et je dois me contenter de fellations et de branlettes, car je sens qu’elle a peur d’avoir mal et je ne veux surtout pas la forcer même si c’est une belle petite salope en herbe. Mais elle me promet.
– Dans 1 ou 2 jours, je suis sûre que nous pourrons nous aimer à nouveau, et aussi longtemps que nous pourrons le faire. Promis Tonton !
Dans la nuit je fais un rêve…ou un cauchemar…. Dans ce rêve je fais l’amour à Marilyn et quand je la pénètre elle me demande d’arrêter car je lui fais mal. Je ne l’écoute pas et je la pénètre encore plus loin.
Elle pleure et me dit que ça fait encore plus mal.
Je jette Marilyn sur son ventre et je force ma bite lubrifiée à l’intérieur de son sexe le plus fort que je peux. Elle hurle et chiale en m’implorant de me retirer mais je continue à la perforer et à la déchirer de mon gros dard.
Marilyn hurle et appelle à l’aide mais je lui écarte les fesses et je l’encule d’un seul coup ! Je sens ses tendres chairs craquer sous mon implacable assaut et je jouis dans son trou du cul éclaté !
Son hurlement me réveille et je me fais peur ! Est-ce vraiment ce que j’ai envie ? Je deviens un grand pervers ou je tombe dans la démence sexuelle ? Les larmes aux yeux je cours vers la chambre de Marilyn. J’ouvre la porte en faisant du bruit, réveille Marilyn qui lève sa tête et me demande :
– Tonton ! Qu’est ce qui se passe ?
Je l’embrasse sur le front :
– Rien ma douce, juste un putain de mauvais rêve. Rendors-toi, je retourne me coucher.
Je sors de la chambre et appuyé contre le mur dans le couloir j’attends que mon cœur reprenne un rythme normal et je sèche mes joues.
C’est affreux de rêver qu’on blesse la chose la plus précieuse au monde qu’on ne veut que chérir et aimer
Mais quand je réalise que j’ai des relations sexuelles avec ma jeune nièce et bientôt, peut être aussi avec son amie, je me dis que je suis bien devenu un pervers ! Mais je veux être un gentil pervers pour leur donner du plaisir !
Que Dieu me pardonne car je n’ai même pas honte et aucun regret car j’attends la venue de sa copine Stéphanie avec impatience.
Phantome
Ajouter un commentaire