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Le camioneur italien

Le camioneur italien



C’etait un matin d’hiver, il neigeait depuis la veille. Je me suis levé avec la gaule, et je me suis demandé si il y aurait quelqu’un de disponible et intéressant sur Grindr. Normalement les premières minutes sont excitantes mais après on tombe dans la monotonie des profils deja connus et peu intéressants. Mais ce jour là la chance était de mon côté, car au bout de quelques minutes je reçois un message d’un gars connecté pas trop loin de mon appart. Pas de photo de profil, mais un texte assez révélateur « italian driver looking for fun ».
Il jouait avec un certain avantage étant donné que j’ai une photo de profil et pas lui, et mon expérience avec les chauffeurs de poids lourds avait été assez mauvaise, car généralement ils sont pas comme dans les films porno. Du coup je lui réponds « salut, que cherches tu? » La base quoi, mais j’avais pas non plus je envie de m’eterniser sur un plan foireux. Il me repond qu’il est en repos (je connais comment ça marche) et qu’il a aime mom profil, donc que si je suis partant il m’accueille dans sa cabine. Vu la météo et son moyen de transport je n’allais pas lui proposer de ce déplacer, alors je lui demande où il est garé mais surtout une pic de lui récente.
Il est soulage de savoir que je peux bouger et m’envoie une pic live de lui. En TShirt, mec a cheveux courts, non rasé, look hyper masculin. Il me donne l’adresse ou se trouve garée sa remorque, et je lui dis que je prends une douche et je pars.
Si tôt dit, si tôt fait. Je me presente au lieu de rendez vous, mais pas de chance il y a 3 poids lourds dans la même rue… Cela sent le traquenard. Mais juste un camion est immatriculé en France, les autres sont d’Europe de l’est. Je lui envoie un message sur Grindr en espérant qu’il sera toujours connecté. J’avais bien vu son camion. Je descend de la voiture, il ne neigeait plus. Je cogne à la porte du camion et il ouvre le côté du passager. Je monte. Il fait bon dedans, chaud, mais pas en excès. J’avais déjà été dans un poids lourd, mais celui ci était très confortable à l’interieur. Les sieges bien séparés entre eux, et un petit lit juste derrière.
J’avoue que j’étais très nerveux, mais a la vu de cet homme, je me sentis un peu plus rassurant. Il me serra la main, bonne poigne dit-il. Je remarquai ses grosses mains, poilues, de même que ses bras. On a discuté un peu, le classique: » tu aimes quoi?, beau camion, jolies lèvres… » La je me dis que j’allais bien y passer.
Avec un main il prit ma tête par derrière pour me raprocher de lui, tout en me regardant droit dans les yeux, avec des yeux verts tres profonds et pleins de désir, il m’embrassa. D’abord doucement, que avec ses belles lèvres pulpeuses, raclant un peu avec son menton poilu. Puis peu a peu en mettant un peu plus de langue. Toujours son regard perdu dans le mien. Puis j’ai fermé les yeus. Son baiser devint plus fougueux. Mais toujours aussi tendre. Son autre main se posa sur ma cuisse, puis sur mon torse. Il me caressa par dessus mon pull et alla chercher en dessous.
Il me tenait toujours la tête, comme pour eviter que je parte, mais ses lèvres me tenaient encore plus prisionnier que sa poigne masculine. Sa main alla sur ma peau, me caressa le ventre, le torse, remonta vers mon cou. Je sentais son contact, chaud et sûr. « Enlève tout ça! » Je lui obéis. « Laisse tes joggings, c’est moi qui va te les enlever » comment résister? Il me dit qu’il aime les mecs poilus, et que parmis les profils qu’il avait vu depuis l’heure où commençait son arrêt il n’était tombé que sur des gens imberbes ou qui ne veulent pas se déplacer. « Quelle chance pour moi! » « Tu trouves? Ben tu seras pas venu pour rien alors! »
Il me demanda de me mettre a 4 pattes sur les sièges, la tête vers la couchette. Il se serra contre mon dos, je sentis qu’il n’avait plus de t shirt. J’ai tout de suite senti son ventre ferme, et son torse contre moi. Je tendis ma main en arrière, très poilu, comme j’aime. Il remit ma main a sa place en me disant que j’aurais besoin de bien m’accrocher. Il se decolla de moi, et passa ses mains le long de ma taille et fit descendre mon pantalon, laisant mes jocks en vue. « Petit coquin! Tu es venu préparé à ça! » Il me descendi les pantalons aux chevilles mais ne me laissa pas les enlever. Soudain je sentis une grosse langue parcourir mon dos en sens descendant, elle s’arrêta à l’élastique du jockstrap, l’évitai et continua en dessous… Un frisson me parcouru de bas en haut. Un deuxième coup de langue, plus direct et plus large. Puis un troisième. « Maintenant je retrouve ton odeur de petit mâle. Ça me donne la gaule! » Je me mordais la lèvre inférieure car il allait vraiment dans le bon sens pour bien me chauffer. « Reste comme ça, mais sort ta main! » Je le fit, sa queue était bien dure et bien grosse. Pas enorme mais de taille considerable. – — Voila ce qui t’attend si tu es sage, me dit il.
– Ok, je lui dis, mais vas y doucement s’il te plait.
– N’aies pas peur, tu vas aimer après que je t’aie bien préparé ton petit trou de mec.
J’en pouvais plus. Son odeur, sa peau, son toucher et ses propos me mettaient hors de moi, je voulais qu’il me prenne et me défonce, qu’il se donne du plaisir avec moi, autant qu’il m’en donnait. Il a du le lire quelque part sur mon dos car il commença a me bouffer le cul avec plus d’ardeur. Je l’entendit dechirer un emballage et le son de la capote en se deroulant sur son sexe. Je dois dire que normalement à ce stade là je me branle deja comme un fou, mais la ma queue était toujours dans mon jocks et je la sentait qui allait l’exploser, mouillant grande partie de sa surface.
Il me pris par la taille et mit le gland devant l’entrée de mon cul. Il s’arrêta et je le sentit laisser tomber de la salive dessus. Elle était presque plus chaude que moi. Il enfonça un peu de son membre, se pencha sur moi et me dit à l’oreille « si tu la veux, empale toi dessus »
Il savait vraiment comment me motiver, donc doucement, mais sûrement je reculais. Il me tenait par la ceinture, en me serrant pour me montrer qu’il etait là et que cela lui plaisait. Je la refis sortir un peu, pour relacher mon sphincter et refis entrer tout le morceau.
– Voila, je suis tout en toi, tu sens mes couilles contre toi?
– Mmmm oui… J’adore!
– Alors mon petit je vais te faire du bien.
Et il commença un va et viens, me tenant toujours avec ses grosses mains poilues, me serrant contre son torse, me chuchotant des mots que je comprenais pas à l’oreille. Quand soudain je le sentit trembler, râler, et me serrant encore plus il me lacha tout dedans en criant quelquechose en Italien.
– Désolé petit, mais ton petit cul serré était trop bon. Dit il en haletant.
– Tu as aimé ?
– Ah oui! Heureusement que j’avais une capote sinon tu allais en avoir jusqu’aux oreilles. Mais toi tu as pas joui.
– Non, mais c’est pas grave (tu parles!).
– Si si, maintenant je veux que tu prennes ton plaisir avec ta queue.
Je n’en revenais pas. Il voulait que je le prenne… Pourquoi pas? Après tout je suis aussi actif, et un homme comme lui c’est le pied.
– Ok, mais laisse moi le faire a ma façon alors, lui dis-je.
– C’est toi qui commandes bébé.
Je lui demandais de s’allonger sur le dos, sur la couchette, sans rien, tout nu, je me suis couché sur lui, profitant pour bien l’e,brasser à pleine bouche, le serrer contre moi, sentir ses muscles et ses poils, déja trempés de sueur. Sentir son odeur de mâle méditerranéen. Il ouvrit ses jambes et mon montra son trou bien poilu, entre deux fesses bien bombées. Décidément le gars parfait. Je n’en pouvais plus, ma queue allait exploser, elle me mouillait et dégoulinait partout. Je mis un préservatif et me raprochais de son trou. Il crachat abondamment sur sa main, la passa entre ses poils, sur son trou puis sur ma queue et me dit « vas y bébé, prends moi! »
Je le fis, doucement, en profondeur, le regardant dans les yeux, ils avaient une couleur que je ne saurais décrire, mais il etait réellement magnifique, sensuel, masculin et extatique. A sa vue je ne pouvais pas durer trop longtemps, chose que je lui dit. Il pris mes fesses dans ses grosses mains et dirigea le rythme. Je me rendis compte qu’il bandait à nouveau. D’une main il se branlait et de l’autre il me tenait le torse, me laissant un angle d’entrée parfait pour prendre notre pied ensemble.
– Vas y bébé, remplis moi!
– P*tain je vais jouir! Ahhhhhhhhh la vaaaaache!
Je sais pas ce qu’il dit a ce moment car le sang me bourdonnait dans les oreilles en même temps que je giclais en lui. Son cul se serrait en spasmes contee ma queue presque en même temps. Il venait lui aussi, sur son torse. Quand nos spasmes s’arrêtèrent il me serra contre lui. Il collait de partout. Ma queue toujours en lui il me roula un patin d’enfer.
– Petit, c’est vrai que les espagnols vous êtes chauds… Je me fais jamais prendre mais tu m’as trop excité !
– Ben toi non plus tu n’y es pas allé de main morte.
On discuta comme cela un peu plus, les deux a poil, sur sa couchette. On parla unpeu de tout, et on se quita après, en échangeant nos numéros pour remettre cela une prochaine fois, peut etre sans la neige.

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