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La folle nuit de Charlène

La folle nuit de Charlène



Je me présente, je m’appelle Charlène, blonde de trente cinq ans, et, d’après mes amis et mes collègues de travail, je suis assez bien gaulée. D’ailleurs, certains avouent avoir une attirance physique pour moi. Hélas, j’aime mon mari, et suis d’une fidélité à toutes épreuves.
Je suis mariée depuis huit ans avec Thierry, bel homme de trente huit ans. Nous avons un petit garçon, Kévin, âgé de cinq ans. Je suis une femme comblée, épanouie, et professionnellement, et personnellement…

Ce jour là, je rentre du bureau vers six heures.

-Bonjour ma chérie, dit Thierry en m’embrassant. Sandrine à appelé.
-A bon, et que voulait-elle ?
-Une soirée entre filles demain, Catie qui enterre sa vie de jeune fille… appelle là.
-Et elle sait que je suis mariée, que j’ai un mari que j’adore. En plus, je connais leurs soirées, ça fini à point d’heure.
-Et après ma chérie, c’est juste une sortie, ça lui ferait tellement plaisir que tu y ailles. Et puis, j’ai confiance en toi, ça te sortira.

Sous l’insistance de mon adorable mari, j’appelle Sandrine, pour lui confirmer que je serai présente à la soirée. Elle me donne rendez-vous chez elle vers vingt heures.

-Voila, dis-je à mon mari, c’est fait. J’ai rendez-vous chez elle à vingt heures.
-Je suis content ma chérie, avec Kévin, on va se faire une soirée entre hommes.

Je suis en train de me préparer, quand mon époux me rejoint à la salle de bain. J’ai juste une serviette nouée à la taille. Il me prend par la taille, m’embrasse dans le cou, me caresse les seins, glisse une main sur ma chatte que je viens d’épiler.

-T’as des envies mon amour, je peux rester là si tu veux.
-Mais non ma chérie, on aura tout nôtre dimanche pour faire l’amour.
-Salaud, ma petite chatte est en feu maintenant, qui c’est qui va l’éteindre…je rigole.

Je fini de m’habiller, jean et haut blanc, me dirige vers ma voiture. Avant de démarrer, Thierry me donne ses dernières recommandations.
« Sois prudente ma chérie, si tu as trop bu, couche chez Sandrine. Bipes moi »
Je le regarde en souriant. Après un tendre baiser, me voila parti.

J’arrive à l’heure chez ma copine. On tombe dans les bras l’une de l’autre.

-Bonsoir ma chérie, me dit-elle, ça remonte, hein ? Mais dis moi, tu ne vas pas venir dans cet accoutrement. Viens dans mon dressing. Tiens, essaies cette jupe, et se chemisier…putain, mais tes canon fringuée comme ça.
-N’exagérons rien, je suis mariée maintenant. Et toi, tu ne mets pas de soutien gorge. C’est vrai que tu as une poitrine bien ferme, tu peux t’en passer.
-Et la tienne, elle n’est pas belle, dit-elle en prenant mes seins à pleine mains, tu peux t’en passé aussi. Bon accélérons, on nous attend au « Lapin chaud » vers dix heures.
-C’est quoi, le « Lapin chaud »
-Une boite branchée, il parait qu’elle porte bien son non.

Je sourcille un peu, me demandant dans quoi je m’embarque.
Une fois arrivé, nous nous dirigeons à une table, et commandons à boire.

-Whiskies pour tout le monde, commande Sandrine.
-Non, non, une limonade pour moi.
-Quoi, dit une copine surprise, mais ça va pas. On enterre une vie de jeune fille là.

Je me laisse convaincre, et prend un whisky coca.
Sandrine entraine une copine, et passe à la salle à côté, ou se trouve la piste de danses. Elles en reviennent au bout de dix minutes.

-Ben les filles, elle porte bien son nom la boite, oh putain. Il ya sept ou huit mâles, complètement à poils, qui dansent en se frottant contre les filles. Certaines sont à moitié dévêtues. Allez, on y va.

Sandrine m’arrache littéralement le bras pour m’emmener avec elle.
En effet, l’ambiance est chaude…très chaude. Les hommes sont collés aux filles, leur caressent les seins, glissent une main dans leur culotte…l’orgie.
Catie nous entraine vers le bar, et commende une autre tournée. Trois verres, ça commence à faire pour moi. Mais je ne veux pas passer pour une conne. Petit à petit, l’alcool aidant, je me mets dans l’ambiance, vais danser avec mes copines.
Je me déhanche au milieu de la piste, quand je sens des mains me prendre par les hanches. Bizarrement, je ne repousse pas l’inconnu qui se frotte à moi. Je sens sa bite tendue contre mes fesses. Je ne le repousse pas non plus, quand il glisse ses mains sous mon chemisier, pour me prendre les seins.

-Hey, dit Sandrine à poussant l’inconnu, elle est mariée, va frotter ta queue ailleurs.
-Dommage, répond-il, elle est très belle…et mariée en plus, l’expérience quoi…

Je suis flattée du compliment qui prouve que, même mariée, je peux séduire, plaire. Même si la caresse n’était pas déplaisante, Sandrine a bien fait d’intervenir, je ne sais pas jusqu’ou je serai allé. Je suis mariée à un homme exceptionnel, que j’aime.
Ma copine m’emmène au bar, commande le énième verre…le verre de trop.
On repart au milieu de la piste. J’entame une danse effrénée, seule au milieu d’un groupe qui tape dans ses mains. Ma longue chevelure blonde vole dans tous les sens, je suis déchainée, mais aussi une proie facile. Je suis de suite accostée par un jeune black, qui s’enroule autour de moi dans une folle lambada. Il me prend la bouche, nos langues se défient dans un sulfureux baiser. Inconsciemment, je passe une main dans mon dos, lui saisis la bite, que je branle. Elle est énorme.
Une belle brune s’approche, faufile ses mains sous ma jupe, quitte ma culotte. Elle me fixe en souriant, mouille un doigt, qu’elle fait courir sur ma fente, puis l’enfonce dans ma chatte. En un tour de main, elle me met entièrement nue, puis descend son visage entre mes jambes. Je sens sa langue exciter mon clitoris, lécher mes lèvres intimes, puis disparait. J’ai trouvé cette caresse très agréable. Du regard, je cherche mes copines. Elles aussi, ont plongés dans l’orgie. Je vois Catie se faire prendre en levrette, Lori empalée sur une bite, j’aperçois Sandrine se faire gouiner par une sculpturale métisse, qui lui bouffe la chatte.
Des femmes sucent des queues qui me paraissent énorme, je vois des hommes baiser ou bouffer des chattes, je vois des femmes se gouiner.
Le jeune black m’entraine dans un coin de la salle. La, je suis accueillis par deux autres blacks, nus, vautrés sur des poufs. Ils m’allongent en travers de leurs jambes, me couvrent de baisers, me caressent les seins. Le jeune black enfouit son visage entre mes cuisses. Sa langue pointue lèche ma chatte, excite mon clitoris.

-Ouah, comme elle mouille la salope…

Je sens deux bites se frotter sur mes joues. J’en suce une, branle l’autre, puis inversement. Le troisième se relève, passe sa bite sur mes lèvres intimes, frotte son gland sur mon petit bouton décalotté, puis me pénètre. Très vite, j’atteins l’orgasme, hurle de plaisir. Soudain, leur foutre épais déferle dans ma chatte, dans ma bouche. Je n’ai jamais avalé le sperme de mon mari.

-Vas-y mon bébé, avale…c’est bon hein, t’aimes…il reste encore une goute ma chérie… allez, nettoies moi le zob…ah…
-Oh putain qu’elle est bonne, hein les gars…elle aime la bite…on va lui en donner.
-Bien sur qu’on va lui donner…on va lui mettre le compte à cette salope…

Je suis prise dans une tournante. Je réalise que ce sont d’autres mains que celles de mon mari qui caressent mon corps, d’autres doigts qui branlent ma chatte, qui doigte mon clitoris, d’autres bites que la sienne qui me pénètrent, et qui me font jouir plus que lui ne l’a jamais fait. Je tiens à m’offrir à mes amants d’une nuit, de tout leur offrir, même ce que j’ai toujours refusé a mon mari. Je suis possédée par le démon du sexe.
Tour à tour, les blacks se vident leur couilles, un coup dans ma bouche, un coup dans ma chatte. Les orgasmes se suivent à une cadence infernale. A chacun d’eux, les couples, attirés par mes cris, s’arrêtent, applaudissent.
Celui qui m’a recrutée, si je puis m’exprimer ainsi, s’allonge sur le dos, me force à m’empaler sur sa bite. Son copain se place devant moi pour que je lui taille une pipe. Pour boucler la chaine, le troisième se place derrière moi, se vautre sur mon dos, taquine mon petit trou avec sa bite. Il me murmure à l’oreille…
Je suis surprise de ma réponse.

-Oh oui, vas-y…encules moi…sois le premier.

C’est la première fois que je me fais sodomiser, aussi, poussais-je un cri de douleur quand son calibre déflore mon petit trou. Petit à petit, la douleur s’estompe, pour laisser la place à des gémissements de plaisirs. Là encore, il se vide copieusement dans mon cul, l’autre dans ma chatte, pendant que le troisième me barbouille le visage de son jus.
Je sors épuisée de cette sulfureuse partouze. Je n’ai jamais atteins un tel niveau de jouissance, même lors de ma nuit de noce, ou pourtant mon mari s’était avéré être un merveilleux amant.
Au bout de deux heures de folle chevauchée, les trois blacks se retirent. D’autres mâles les remplacent. J’offre ma bouche à toutes les queues qui se présentent. Certaines font juste quelques rapides va et vient. mais l’un d’eux s’y attarde d’avantage, plante son énorme bite au fond de ma gorge, prends tout son temps pour se vider les couilles, et me force à avaler.
Au bout de trois heures d’incroyable partouze, je me retrouve seule allongée sur un amas de poufs, perdue dans mes pensées.
Je réalise que j’ai fait une énorme bêtise, j’ai trompé mon mari. Mais est-ce que mon corps n’avait pas envie de connaitre autre chose.
Est-ce pour ça que j’ai fait avec mes amants, ce que j’ai toujours refusé à mon époux, comme tailler des pipes, avaler leur sperme, ou encore me faire sodomiser…
Il doit être quatre heures du matin, quand une voix m’interpelle.

-Oh mon dieu ma chérie, dit Sandrine en me prenant dans ses bras, tu n’as pas fait ça, viens, rentrons maintenant.

Elle m’emmène aux toilettes, me nettoie le corps souillé de sperme. Par miracle, je parviens à récupérer ma jupe et mon chemisier, mais pas ma culotte.
A peine arrivé dans l’appartement, Sandrine me pousse à la salle de bains. Après une douche glacée, je retrouve peu à peu mes esprits.
Sandrine m’emmène à la chambre, me met au lit, et s’allonge près de moi. Epuisée par cette nuit de folie, nous nous endormons assez rapidement.

Vers dix heures du matin, je me tourne, et me trouve face à Sandrine, qui apparemment, attendait que je me réveille. Son sourire me rassure.

-Alors ma chérie, bien reposée, sourit-elle. Tu t’es donnée cette nuit. Tu sais qu’il y a des soirées qui sont filmées et envoyées sur internet.
-Oh mon dieu, ne me dis pas ça, déjà que je m’en veux. J’ai trompé mon mari, mais c’était tellement bon. Je n’ai pu résister à ces mâles, ils m’ont données du plaisir comme jamais. J’espère que Thierry n’en saura rien, hein, ça restera entre nous.
-Mais ça dépend de toi, dit Sandrine en glissant une main entre mes cuisses.
-Oh…que veux-tu…ne me dis pas que…je n’ai jamais fait ça avec une femme.
-Et tromper ton mari, tu l’avais déjà fait ?

Pour le coup, elle n’a pas tort, mais de là me faire du chantage.
Sandrine insiste, prend ma jambe qu’elle met en travers de son corps. Ma chatte, dont il reste des séquelles de la nuit, est totalement offerte. Je sens ses doigts caresser mes lèvres intimes avec douceur. Finalement, je trouve la caresse très agréable, et succombe aux avances de ma copine.

-Détends toi ma chérie, me dit Sandrine, je vais te faire du bien.
-Hum…c’est bon…vas-y, branles moi…mon clito, doigtes le…hou…hou…

Je m’investis à fond dans ce jeu lesbien, nouveau pour moi. Je fais de mon mieux, mais manque cruellement d’expérience. Pourtant, je fais tout pour satisfaire ma partenaire, mais Sandrine est bi, donc habitué à ce genre de relation. Elle me fait prendre des positions des plus odieuses, humiliantes. Une fois sur le dos, jambes bien écartées, pour que ma chatte et mon clito soient offerts à ses doigts pervers, ou à genoux, la croupe bien cambrée, pour me branler les deux trous…et j’aime ça.
Elle s’amuse avec mon corps, prend plaisir à me voir jouir, m’entendre crier.
Ca, plus ce qui s’est passé cette nuit, je ne me reconnais plus…

Il est midi quand nous prenons nôtre deuxièmes douches. C’est Sandrine qui s’occupe de ma toilette. Vicieuse comme elle est, je vous laisse deviner la suite.

-C’est pas tout ma chérie, lui dis-je, mais il faut que je rentre, Thierry doit s’inquiéter. D’autant que je lui avais promis de faire un câlin cet après midi. Je vais être obligé de faire semblant.
-Attends, j’ai une idée, mon copain doit passer, demande à ton mari de venir, il y a la piscine…on fera des grillades…
-Ouais, super, ça me laissera de la marge jusqu’à ce soir.

Je me rends au salon pour téléphoner. Sandrine se colle à moi, dénoue la ceinture du peignoir qui tombe au sol, commence à me caresser.

-Oh non, assez, s’il te plait…laisses-moi téléphoner.
-T’es tellement belle quand t’es toute nue. Tu sais quoi, je veux qu’on devienne amante. Le weekend, on enverra nos mecs à la pêche, aux skis ou je ne sais ou. On aura tout le weekend pour faire l’amour.

Je suis surprise, mais j’avoue que l’idée est séduisante. Pour toute réponse, et lui faire comprendre que j’accepte, je me retourne et lui prend les lèvres.

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