Chaque fois que je la voyais j’avais envie de la prendre dans mes bras et de la sauter comme la salope qu’elle devait être, du moins je le souhaitais. Légèrement empâtée, elle avait des nichons incroyables : ronds, bien gros, et qui tressautaient tout le temps quand elle bougeait. J’avais vraiment envie de la baiser, mais c’était ma tante.
J’avais quinze ans, elle en avait quarante six. Mais qu’elle était excitante !!! J’avais envie de lui faire les pires saloperies, de la baiser, de l’enculer, d’en faire une vraie pute, un véritable vide-couille pour tous ceux qui souhaiteraient juter dans sa chatte, son cul, sa gueule ou sur son corps.
Et puis les choses passent et les années aussi. Les regrets restent de ce qui ne s’est pas fait. Mais parfois la chance arrive et les choses auxquelles on ne pensait plus reviennent se rappeler à nous, alors tout peut arriver.
Quand je l’ai vue au détour d’une rue je me suis dit que les ans n’avaient pas de prise sur elle. Ma tante était là, à deux mètres de moi, toujours aussi belle quoiqu’ un peu plus ronde, mais que ces rondeurs lui allaient bien . Elle ne m’avait pas vu et quand elle se tourna pour répondre à mon appel je vis son visage s’ouvrir et refléter la joie de me revoir.
À peine avait elle démarré que je posais ma main sur sa cuisse nue.
Ma main caressante remonta sous sa jupe et trouva sa culotte qui commençait à être légèrement humide .
D’un doigt j’écartai sa culotte et ma main se plaqua sur sa chatte poilue . Je trouvai sa grotte mouillée dans laquelle deux doigts pénétrèrent.
Nous arrivâmes devant un joli pavillon où elle se gara:
C’est là que j’habite avec mon mari. Il est au travail et nous avons le temps de faire ce que nous voulons. Viens entre. Elle me conduisit à son salon, et en défaisant les boutons de sa jupe.
En quelques seconde elle fût nue devant moi. Quelle femme !! des nichons énormes et si doux, des hanches au galbe parfait, un cul de jument qui appelait à la sodomie. Et ce regard de vraie salope.
Elle tomba à genoux devant moi et prit ma queue dans ses lèvres en l’aspirant fort.
Ma tante s’allongea sur le canapé, elle écarta les cuisses et à l’aide de ses mains elle ouvrit sa grosse chatte .
Et je m’enfonça en elle, ma queue écarta sa chatte qui s’ouvrait, acceuillante, se laissant emplir par mon membre qui avait repris facilement sa vigueur devant cette femme magnifique. Mes mouvements de va et vient durèrent longtemps et je la sentis jouir .
Je m’écartai d’elle désirant aller encore plus loin.
Elle se positionna à quatre pattes et de ses mains, elle écarta fortement ses larges fesses me montrant en plus de sa chatte écartée et baveuse, l’étoile brune délimitant son trou du cul.
J’approchai ma bite de son derrière et appuyai le gland sur son orifice .
J’enculais ma tante à sec, mieux que dans mes rêves.
Mon foutre jaillit avec force dans son anus. Je n’en pouvait plus, elle non plus. Mais le temps avait passé très vite, et je dus repartir chez moi, et j’étais aux anges d’avoir passé un si agréable après-midi et d’avoir enfin pu me libérer et m’épanouir sexuellement grâce à ma tante.
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