Tous entendent Alice soupirer de douleur comme de plaisir. Sur certaines pinces, comme celles sur les seins ou le sexe, Paul et Karl posent des poids plus ou moins lourd, jusqu’à vingt grammes par pince. Alice à le visage qui se tord mais elle ne crie pas. Paul tend un martinet, il a de fines lanières de cuir terminées par des nœuds. Paul propose de flagelle le cul et le dos d’Alice.
– Maître Karl, afin d’impressionner l’assistance, il serait bon que vous me frappiez du plus fort que vous puissiez.
Tous ont entendu Alice, surtout Mathilde. Paul donne son consentement. Karl recule, exige qu’Alice compte les coups reçus et la frappe violemment une première fois juste sur les reins. Alice compte à haute et intelligible voix. Cependant, elle ne peut s’empêcher de pousser des aaaah, des oooh ou encore comme l’entend clairement l’assistance. À quatre pattes, Caroline s’est approchée d’Alice. Paul, quand à lui, derrière les invités, installe de longues chaines qui pendent d’une poutre traversière et revient que Alice compte vingt. Karl arrête aussitôt de fouetter Alice. Caroline, en excellente soumise, lèche le corps d’Alice. Elle va même jusqu’à menotter ses mains dans son dos. Un homme, son Maître se place derrière et l’encule sauvagement, laissant Caroline s’exclamer bruyamment. Pince après pince, Paul et Karl les retirent. Chacun peut voir la douleur que cela occasionne à Alice qui voit son visage se tordre de douleur. Pourtant, à aucun moment, elle n’a quittée Mathilde du regard. Paul tourne le visage d’Alice face au sien. Ils se font un signe de tête. Paul embrasse amoureusement Alice avant de faire un pas en arrière. Soudain, à la surprise de tous, Paul gifle Alice et recommence une bonne dizaine de fois. Elle ne crie pas, mais des larmes coulent sur ses joues. Paul invite Mathilde à s’approcher.
– C’est comme ma douce que veux être ?
– Oui Maître Paul pour l’amour que je porte à Karl et…pardonnez mon affront, l’amour que je porte à Alice depuis peu.
– C’est exactement ce que Karl et moi voulions entendre. Vas vers les chaines, là-bas au fond et patiente un moment. Alice, mon amour, je crois que Mathilde peut devenir ton égale.
– Je ne pensais pas qu’elle pourrait en être capable avant de l’entendre vous répondre, mon amour de Maître. Il vous faut me brutaliser avec plus de sévérité à présent si vous désirez voir cette belle femme devenir mon égal.
– Karl, t’en pense quoi ?
– Comme Alice.
Paul embrasse Alice puis, prend une grosse poignée d’aiguille pour seringue dans sa main. Avec toujours la complicité de Karl, ils garnissent le corps d’Alice. Là encore, en plus du chevalet qui lui écrase son sexe, Alice laisse s’échapper de sa bouche ses onomatopées de douleur comme de plaisir. Enfin, Karl prend un vibromasseur qu’il pose et fixe au chevalet. Il en prend un autre qu’il colle contre la vulve d’Alice et les met en fonction. Alors que la dernière aiguille traverse le mamelon annelé d’Alice, celle-ci hurle en fixant Mathilde droit dans les yeux, elle hurle son plaisir et non seulement elle le hurle, mais elle le clame avec toute la v******e de sa voix. Son corps s’affaisse un peu, Karl et Paul la soutienne en la délivrant de cet âne espagnol. Alice, fièrement, se redresse et invite quiconque à prendre sa place et y rester au moins dix minutes. C’est un homme qui tente sa chance. Alice lui conseille de coincer son pénis sous lui pour mieux comprendre ce qu’elle elle ressent.
Au fond, près des chaines, Mathilde est à genou. Elle voit arrivé Alice qui se place entre les chaines en levant les bras.
– Noble Mathilde, je sais votre désir, il me plairait de jouir de vous pendant que vous êtes encore une femme libre de toute entrave.
– Il me plait de donner satisfaction à une condition. Je ne suis plus, dès ce soir, cette femme libre comme tu le dis si bien. Je me place sous l’autorité de Maître Karl et de Maître Paul pour faire mon éducation. Je veux devenir exactement comme toi.
– Il te faudra endurer ce que j’endure et aimer cela, ce qui, au début est loin d’être facile.
– Par amour pour Karl et pour l’amour que je te porte, je suis prête à tout faire pour y parvenir. Maître Karl, je sais que vous allez battre Alice au fouet. Je vous en supplie, attacher moi face à elle afin de recevoir ma toute première leçon.
Paul lève son pouce, Karl accepte, même si c’est du bout des lèvres. Les deux femmes sont attachées face à face. Paul tend un long fouet à Karl et en prend un autre. Alors que les deux femmes écartelées s’embrassent à cœur joie, les fouets commence à faire leur office. Les dos sont rapidement zébrés de rouges. Et ce rouge commence à s’étendre sur les jambes les bras. Il ne reste guère de place qui ne soit encore blanche. Dans l’assistance, une femme à compter tous les coups, Caroline encore enculée par son Maître.
En jouissant, Caroline hurle le nombre cinquante. Paul s’arrête, invitant Karl à en faire autant. Sur les fesses de Mathilde, Karl plante quelques aiguilles, pas beaucoup, une petite dizaine répartie entre les deux fesses.
– Alors, ma chérie, comment vois-tu ton avenir dans la soumission.
– Merveilleusement, ma douce amie. Qu’il me plait de te connaitre.
– À moi aussi, il me plait de te savoir tout contre moi. mais ne bouge pas, ce n’est pas terminé. Le fouet n’est qu’une petite mise en bouche. j’ai senti tes cris que tu m’embrassais. Il te faudra apprendre à ne pas laisser ta voix exprimer ta douleur, mais le plaisir que cela t’apporte.
– Je n’ai pas crié de douleur, mais de plaisir en te sachant tout contre moi, ta bouche sur la mienne. Qu’il doit être divin d’être baisée et battue en même temps.
– Ça l’est, tu peux m’en croire. Regarde ce que mon Maître va nous faire. Cette fois, je ne veux pas que tu m’embrasse. Laisse juste ton corps s’exprimer, même si c’est de douleur.
Paul arrive avec deux longues aiguilles en or 24 carats. Il les montre à l’assistance. D’une tirette, il délivre le mécanisme de la poutre. Les deux femmes sont maintenant de profile par rapport à l’assistance. Paul commence à enfoncer la première aiguille à travers le sein de Mathilde puis celui d’Alice et le second de Mathilde avant de traverser le sein d’Alice. Mathilde pleure, mais ne crie pas cette douleur qui parasite son corps tout entier. La seconde commence son office, cette fois, Paul part de la droite des deux corps écartelé. Alice, lèche les larmes de son amie et amour et finit pas l’embrasser. Entre leurs cuisses, Karl insinue un énorme vibromasseur. Très vite, les deux femmes laissent leur corps exprimer ce nouvel orgasme qui les traverse, semblant même rebondir dans les corps. Paul estime que cela suffit et l’annonce à l’assistance qui se lève d’un seul homme pour applaudir les deux femmes. Paul les amène sur la grande table et chuchote :
– Prenez du bon temps, ne vous occupez pas des autres. Mathilde, je vais aller discuter avec Karl pour la suite. Maintenant, faites le spectacle en jouissant comme des folles. On ne vous dérangera pas, sauf si vous le désirez.
– Merci Maître ! Répondent en cœur les deux soumises.
Une caresse, une autre, des baisers et Paul les abandonne à leurs amours saphiques. En s’éloignant des filles, il demande qu’on leur foute la paix sauf si elles désirent le contraire. Aucun ne fera le moindre geste envers les deux soumises qui laissent déjà échapper ces soupirs de bonheur de leurs bouches.
Sur la terrasse, dans le salon, après cet intermède, les couples se reforment et la partouze repart de plus belle. Sur la table, deux femmes copulent gracieusement. Paul emmène Karl à l’écart pour une longue discussion qui ne s’achèvera qu’au lever du soleil. Sur la terrasse, les deux hommes découvrent les deux femmes endormies dans les bras l’une de l’autre.
– Ton idée est tout simplement la meilleure pour elles.
– Je le crois aussi. Dommage que mon architecte n’ait pas pu venir. Mais bon, comme tu l’as vu sur les plans, on peut facilement ajouter une ou deux pièces. Regarde-moi ça, ils roupillent tous à la belle étoile. Si on leur préparait de quoi se refaire ?
– Ça roule ma poule.
Dans la cuisine, Paul et Karl plaisante de tout et de rien. Leurs gags sont plats, mais il faut préciser que eux, ils n’ont pas encore été dormir. Des mains viennent prêter main forte à de duo en plein délire humoristique. C’est l’ami des chiffres, Paul en profite pour reprendre un peu de son sérieux en expliquant au financier que les plans ont à nouveau évolués. Et on reparle des plans tout en préparant café, tartines et autres gourmandises matinales.
Dehors, deux femmes s’étendent, s’étirent avec de s’enlacer dans un corps à corps majestueux. Debout, après une douche suave, elles rejoignent la cuisine où les voix se taisent à leur arrivée. Chacune rejoint son amant, chacune l’embrasse avec autant de tendresse que d’amour. Puis, devant Paul et l’homme d’argent, Karl fait assoir Mathilde.
– Je n’ai qu’une question à te poser, l’avenir est dans tes mains. Ma question est la suivante, veux tout quitter pour devenir ma soumise dévouée et ne revoir la lumière qu’avec ma permission ? Je te demande de bien poser le pour et le contre, y des témoins pour entendre ta réponse. Et je te demande de te souvenir de ce que disait Alice hier soir.
– Maître Karl, il est inutile que je me souvienne, les mots d’Alice sont à jamais graver dans ma tête et ma réponse, devant vous tous, c’est un oui que je sais déjà ne jamais regretter ma décision. Si je peux encore, il faudrait mettre tout cela noir sur blanc.
– C’est prévu, Mathilde. Bon, pour faire court, ton éducation débutera à notre retour de vacances, autant Alice que moi en méritons. Donc, et si mon architecte a bien calculé, ma nouvelle maison devrait être prête à notre retour ou une semaine après, je ne sais plus. ce qui veut dire que toi, Mathilde, tu devras avoir quitté ton job à notre retour et venir vivre chez nous avec ton Maître et cela de manière définitive.
– Quoi Maître ? Vous voulez dire que Maître Karl et Mathilde vont vivre avec nous ?
– Oui Alice, c’est bien ce que nous avons décidé. Les plans ont même été modifiés cette nuit et sont déjà chez notre architecte.
Alice, trop heureuse, change de place avec Mathilde et s’empare du sexe de Karl pendant que Mathilde prend celui de Paul dans sa bouche. Seul, un peu à part, le financier s’en va voir dehors s’il trouve de quoi enfiler sa bite dans un orifice accueillant. Il trouve ce vagin qu’il recherchait de ses assiduités. La femme l’accueille à cuisse ouverte en son con. Il se fait fort de faire jouir cette femme plusieurs fois avant de lui remplir la chatte de son foutre.
Une fois les fellations terminées, tous les quatre apportent le déjeuner sur la terrasse à grand rire. S’il y en avait qui dormait encore, les voilà réveillés. Tout y est pour faire plaisir à tous les invités de Paul. Et puis, après quelques douches, quelques baisers échangés parfois furtivement, tout ce petit monde en vient à baiser ici ou là autour de la maison ou même dans la maison.
Après le départ des invités, il ne reste plus que Karl et Mathilde, Mathilde qui aide Alice à commencer les nettoyages. Autour d’une bière, Karl et Paul discutent de la suite à donner à l’éducation de Mathilde. Paul propose que Mathilde suive le même programme déjà bien rodé qu’Alice. Dans son bureau, il sort et le montre à Karl. Sur la terrasse, rassemblant toute la vaisselle, Alice est bombardée de question par Mathilde. Alice lui répond sans détour, elle ne lui cache rien de sa vie de soumise. Dans la cuisine, les questions continues et Alice lui fait une réflexion.
– Arrête de me poser des questions. Je n’avais personne pour répondre au mienne à part Maître Paul. Le mieux à faire, c’est de suivre l’éducation de mon Maître. Il fera de toi ce que tu veux et que tu dois être. Après, nous verrons si tu as encore des questions.
– Alice, viens avec Mathilde, Mickey désire de faire quelque chose.
– Allons-y, c’est Maître Paul qui veut me voir baisée par son chien.
– Hein, mais tu es folle ?
– Non, c’est même mieux que tu ne peux l’imaginer.
Derrière la maison, cette fois, Alice arrive en chienne, à quatre pattes. Mathilde l’imite, peu ou pas rassurée à l’idée de voir un chien prendre son corps.
– Tu vois Karl, Alice est devenue accro à mon chien. Remarque que le première fois, j’ai eu peur qu’Alice refuse. Oh, elle n’était pas très rassurée et puis, tout c’est bien passé. Mickey l’a baisée plusieurs fois et Alice l’a sucé une ou deux fois.
– Mais c’est sans danger ?
– Oui, Mickey adore se faire de belle poulette. Tu vas voir. Alice, vas voir Mickey.
Alice se glisse dans la grande cage du chien. Le chien, la voyant trépigne d’impatience, il va et vient dans sa cage. Quand Alice y pénètre, c’est comme deux vieux amis qui se retrouvent. Le chien lèche le corps que lui présente Alice. Il ne tarde pas à sortir son sexe de sa cachette. Mathilde semble tétanisée en les regardant. Alice se met en position, le chien renifle, lèche et grimpe. D’une main, Alice le guide. Une fois bien à l’intérieur, Alice parle au chien, le calme. Mickey fait exactement ce que lui demande Alice, il obéit aussi bien qu’elle avec Paul. Mathilde s’approche de la cage. Karl lui ouvre la cage et la pousse à entrer. Elle hésite, regardant Karl et Paul. Paul prend un air sévère et Mathilde abdique.
– Vas lécher le visage d’Alice, embrasse-la. Si le chien vient vers toi, pas de geste brusque, des caresses. Il va te renifler et s’il te lèche c’est qu’il t’accepte. Explique Paul.
Mathilde s’approche à quatre pattes du visage d’Alice. Elle découvre une Alice rayonnant de bonheur. Le chien se retire, s’en va renifler Mathilde, hé, une nouvelle, faut voir ça de près. Il la renifle de partout. Paul continue de parler, soit au chien, soit à Mathilde. Puis Mickey lèche la fente de Mathilde. Alice vient se mettre parallèlement au chien et Mathilde, encourage le chien qui grimpe et Alice guide le sexe du chien en Mathilde. Dès les premiers coups de queue, Mathilde explose dans un orgasme qui la foudroie. La tête sur le sol, le visage tourné vers Alice, elle la supplie de se mettre en position. Alice posa son visage près de celui de son amie et le chien passe de l’une à l’autre. Mathilde s’étonne de son comportement, elle ne pensait pas se faire mettre par ce chien aussi vite. Il faut dire qu’Alice et Paul ont des arguments très convaincants. Si pour Paul, ce sont des ordres, pour Alice, c’est son comportement soumis.
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