Jeudi.
Pour une fois, je ne me réveillais pas le premier.
Je ne peux pas en témoigner, mais je suis prêt à parier qu’étant donnée la gueule de bois qu’elle devait se payer, les premiers mots de Caroline furent, ce matin là : « Oh merde. »
Je me suis réveillé au son de la douche qui coulait dans la pièce contiguë.
Elle en sortit quelques minutes plus tard et me voyant éveillé :
« – Salut beau mec ! »
Soit elle avait l’habitude des grosses fêtes, soit elle se remettait vite mais en tout cas, elle paraissait fraîche et dispose.
Elle s’assit à mes cotés :
« – Je ne me souviens plus du tout de ce qui s’est passé hier soir mais j’ai l’impression que je te dois la vie sauve. »
« – La vie peut-être pas mais l’honneur sans doute » dis-je dans un demi-sourire.
A sa demande, je lui racontais nos péripéties de la veille en édulcorant un peu les passages les plus gênants et en passant totalement sous silence ce qui s’était passé à notre retour dans la chambre, elle devait penser que je m’étais contenté de lui retirer sa robe.
« – Ces mecs sont des gros porcs » dit-elle à la fin.
« – Tu sais, dans un groupe d’hommes bourrés, les QI ne s’ajoutent pas, ce serait même plutôt le contraire. Pris séparément et à jeun ces gars ont plutôt l’air sympa, en groupe et imbibés, hier soir, c’était des prédateurs. »
« – Et toi, mon Prince Charmant. En tous cas, merci. » Et elle me colla un petit bécot sur les lèvres.
Bien qu’agréable, ce chaste bisou n’appelait pas de commentaires.
Pour toute réponse, je lui lançai une de mes devises favorites (qui n’est pas de Gilbert, celle-là) :
« – A friend in need is a friend indeed ! »
« – Ouah, poète et polyglotte ! Quels talents cachés as-tu encore sous le coude ? »
« – Ah ça, il ne tient qu’à toi de le découvrir ma belle » fis-je avec mon plus beau sourire énigmatique.
L’ambiance de bonne camaraderie régnant entre nous depuis le début de la semaine était en train de se changer imperceptiblement en petit flirt adultérin qui n’engageait à rien mais qui, ma foi, s’annonçait assez sympathique.
N’ayant pas la capacité de récupération de Caroline, je passais la journée dans un état semi comateux.
Les débats n’étaient pas tous dignes d’un très grand intérêt et à plusieurs reprises, je piquais du nez sur mon siège pour être ensuite réveillé par le coup de coude vif mais amical de mon voisin me reprochant de ronfler.
Bien que me semblant interminable, l’avant-dernière journée de travaux prit quand-même fin et, étant donné nos exploits de la veille, nous n’aspirions qu’à manger rapidement et à nous coucher.
Pendant notre deuxième dîner en tête-à-tête, afin d’essayer de confirmer mon impression du matin, je tentais assez rapidement d’orienter la discussion sur des sujets un peu plus intimes que le travail ou la simple vie de tous les jours :
« – Dis donc, ce n’est pas pour remuer le couteau dans la plaie, mais hier, tu étais sacrément échauffée. Ca t’arrive souvent d’allumer des mecs comme ça ? »
« – Non ! Je ne sais pas ce qui m’a pris hier. C’est vrai que ça m’est arrivé déjà de chauffer quelques gars en dansant mais c’était juste pour émoustiller Marc et en général ça marche, après, j’ai droit au grand jeu ! » Répondit-elle avec un petit sourire rêveur.
« – Et c’est quoi le grand jeu ? »
« – Eh oh, revoilà le gros Pervers-Pépère, si tu crois que je vais te donner des détails tu peux toujours de brosser ! »
« – Non c’était juste pour savoir. Il y a toujours du bon à prendre des expériences des autres. »
« – C’est ça, je te crois ! Je te préviens si je te racontais, tu finirais par devoir dormir sur la béquille ! »
(Toujours sa façon franche et directe de parler qui me plaisait beaucoup)
« – Chiche ! »
« – Non-non n’insiste pas. »
Comme elle semblait adepte du langage direct, je la poussais un peu dans ses retranchements.
« – Allez ! C’est quoi le grand jeu ? Des menottes ? Des sex toys ? Un gros cuni ? Un petit ani ? »
« – Un quoi ? »
« – Un ani, c’est comme le cuni mais de l’autre côté. »
« – Ah ça ! Non, Pas ça »
« – Pourquoi ? T’aimes pas ? »
« – Je sais pas, je n’ai jamais essayé, Marc n’aime pas. »
« – Et avant ? »
« – Avant quoi ? »
« – Avant Marc »
« – Oh Tu sais, je ne suis pas aussi délurée que j’en ai l’air. J’ai connu mon premier mec il y a seulement cinq an, c’était un salaud qui m’a jeté dés qu’il a eu ce qu’il voulait : « me défoncer la rondelle » comme il m’a dit, j’avais été le gros lot d’un pari à la con des types de mon école de commerce! »
« – Désolé pour toi. » (Je sentais qu’il ne fallait pas insister là-dessus et passer à autre chose.) « Et après ? »
« – Après j’ai eu un copain mignon et assez cool mais quand il a voulu me partager avec ses collocs, là c’est moi qui suis partie » (Elle ne semblait pourtant pas contre le partage la veille au soir).
« – Et après ? »
« – Un autre gars, ça n’a pas duré et après, c’est Marc. Tu sais, par les temps qui courent, quand tu en trouve un bon tu le gardes. »
« – Et avec Marc, vous avez déjà essayé un plan à trois ou quatre ? »
« – Ca va pas la tête ! Tu regardes un peu trop de film porno toi ! »
« Oh tu sais, c’est plus courrant qu’on ne le croit. »
Et voilà, elle avait beau être une petite futée, elle n’en demeurait pas moins une nénette bavarde.
En moins de trois minutes, je connaissais l’essentiel de sa vie sexuelle : Elle avait perdu sa virginité à 22 ans, avait connu quatre partenaires et ne pratiquait ni la sodomie, ni l’échangisme.
Je songeais cependant que si je voulais en savoir plus, il faudrait que je donne du mien.
« – Tu sais l’endroit le plus insolite où j’ai fait l’amour ? »
« – Non. Dis-moi. Dans un ascenseur ? »
« – Peuh ! Trop facile ! Non, c’était en terminale, au Lycée, en plein cours de Sciences Physiques. Ma copine de l’époque avait une mini jupe, nous étions au fond de la salle, elle a enlevé sa culotte et pendant que le prof ne levait pas la tête de son cours, elle s’est assise sur moi et on a fait ça à l’insu de tout le monde. »
« – Et vous ne vous êtes pas fait piquer ? »
« – Non, seuls certains sur notre rangée ont peut-être remarqué qu’elle se trémoussait sur mes genoux, mais ils n’ont rien dit. » « Sinon aussi, un grand classique : au boulot de ma femme. Ils avaient invité les conjoints pour un pot de fin d’année ; à un moment, on s’est éclipsé dans son bureau, et je l’ai prise comme ça, sur son bureau, entre l’ordinateur et l’imprimante et alors que ses collègues étaient en train de trinquer dans la pièce d’à-côté et que la porte ne pouvait pas être verrouillée. »
« – Ouah ! Monsieur aime bien le danger ! »
« – Ca donne du piment. Et toi, c’était où ? »
« – Euh… A l’arrière d’un car avec Marc, pendant un voyage organisé. »
« – Pendant la nuit ? »
« – Non le jour, on était les seuls sur la banquette arrière. Comme ta copine, je me suis assise sur lui. »
Je lui demandais des précisions et, petit à petit, j’arrivais à en obtenir.
Nous avons continué à nous raconter des anecdotes plus ou moins olé-olé.
Caroline se révélait être une fille assez déroutante. Tour à tour osée et timide, délurée et coincée (mais je crois que s’était plutôt son mec qui était coincé).
Au fil de la discussion, j’ai donc réussi à contourner la barrière de son premier refus et nous nous sommes échangé un certain nombre de détails intimes. Cela a paru lui procurer des sensations car, à la fin du repas, elle arborait des joues bien roses alors que ce soir là nous n’avons bu que de l’eau.
Finalement, nous avons regagné notre chambre plus tard que prévu. Dehors, une pluie glacée tombait.
Après des préparatifs du soir retrouvant leur classicisme du début de semaine (chouette ! Retour du défilé de nuisette !), nous nous sommes allongés chacun de notre coté habituel.
L’hôtel avait dû pousser le chauffage et au bout de quelques minutes j’eus trop chaud. J’en fis part à Caroline.
« – J’ai super chaud ! Ca ne te dérange pas si on baisse les draps ? »
« – Je préfère pas, moi, j’ai plutôt froid. » (Ah les filles ! Rien que des frileuses.)
« – Est-ce que tu me permets d’enlever mon caleçon alors ? » (Les gars qui, comme moi, ont l’habitude de dormir tout nu me comprendront : le moindre vêtement, même un slip, vous donne chaud).
« – Fait comme tu veux, mon grand, on est des adultes responsables, fais-lui prendre l’air si tu veux, si ça peut te faire baisser le thermomètre. » Répondit-elle avec un petit gloussement.
Une demi-heure plus tard, nous ne dormions ni l’un ni l’autre, je la sentais se retourner incessamment sans trouver sa position. Notre discussion du soir nous avait sans doute un peu trop énervés.
Ce fut elle qui reprit :
« – Christophe ? »
« – Moui ? »
« – Est-ce que tu voudrais bien qu’on se mette dans la position des cuillers collées ? D’habitude je m’endors toujours comme ça et là, ça commence à me manquer. »
Je voyais très bien de quoi elle parlait : tous les couples connaissent cette position où la femme se met en position fœtale et l’homme vient se coller derrière elle, dans la même position, comme pour la protéger. Chaque couple a sa manière d’appeler cette position ; avec ma femme on l’appelait la position des jumeaux imbriqués.
« – Euh…, je te rappelle que je suis à poil là. »
« – Et alors, on est des adultes responsables. »
« – O.K. »
Je passai donc un bras sous sa tête et me collai à elle. Evidemment, ce qui devait arriver arriva, au contact de sa croupe chaude, mon sexe commença à durcir. Et elle le sentit :
« – Vraiment tous les mêmes, les mecs ! »
« – Désolé, c’est mécanique. »
« – Ouais, c’est ce qu’on dit ! »
J’avais un autre souci : D’habitude, dans cette position, ma main libre va systématiquement enserrer un des seins de ma femme, là je ne pouvais évidemment pas le faire et j’étais bien embarrassé pour la poser quelque part. Si je la laissais contre moi, en arrière s’était très inconfortable, devant, elle se coincerait entre moi et ses fesses. J’essayais donc son épaule puis sa taille pour finalement m’arrêter sur sa hanche et laisser ma main machinalement caresser très légèrement sa peau à travers la nuisette.
A ce moment là, quelque chose attira mon attention, ou plutôt, l’absence de quelque chose : je ne sentais pas de culotte sous le tissu de la nuisette ! Après quelques attouchements plus appuyés, cela devint une certitude : elle n’en avait pas !
Alors là, ça sentait la préméditation. Cette idée fit encore grossir mon membre contre sa croupe et j’eus envie de savoir si je me faisais un film ou non ; je tentai donc un début d’approche le plus discret possible.
J’entamai un léger frotti – frotta de mon bassin sur son postérieur.
Au début, il n’y eut aucune réaction puis, imperceptiblement, elle commença à y répondre en adoptant un petit mouvement de hanches synchrone.
Enhardi par ce début de réponse, j’accentuai un peu mon frottement tout en faisant courir mon bras sur son flan. Ma main vint presque instinctivement de nicher sur un sein, elle ne dit rien. Je continuai donc et fis rouler entre mes doigts le téton que je sentais bien dur à travers le tissu fin de la nuisette, elle émit alors un tout petit gémissement.
Nos mouvements s’accentuaient toujours, j’avais le nez dans ses cheveux, la main sur ses seins et je sentais sa respiration s’accélérer.
Au bout d’un moment, elle s’arrêta, je sentis une petite main chaude se glisser entre nous et saisir mon membre.
Je la sentis alors relever la jambe, basculer son bassin complètement en arrière et tout doucement, elle m’introduisit en elle.
J’accompagnai son geste en poussant délicatement mon phallus dans son antre chaud et humide.
Je ne rencontrai aucune difficulté, Caroline en avait visiblement autant envie que moi la coquine.
Elle de bougeait plus, je repris le mouvement de va-et-vient derrière elle, goûtant avec délectation chaque intromission dans sa grotte délicieusement resserrée. Elle se remit à émettre des gémissements de moins en moins assourdis.
Sans échanger un mot et tout naturellement, nous étions tous les deux en train de commettre notre premier adultère, « en adultes responsables ».
La position que nous avions adoptée (je ne connais pas son nom dans le Kamasutra mais on pourrait l’appeler : « Maman voudrait dormir mais papa ne l’entend pas de cette oreille ») n’est pas très confortable au bout d’un moment et doit se muer en autre chose ( le plus souvent une bonne petite levrette classique) pour laisser libre cours à d’autres mouvements, d’autres sensations.
Effectivement, après quelques minutes, je sentis le corps de Caroline bouger et essayer de se redresser. Je me reculai donc pour la laisser se mettre à quatre pattes et profitai de cet intermède pour chercher à tâtons l’interrupteur. Je voulais la voir. Elle dut le sentir et souffla :
« – Non ! N’allumes pas ! » Peut-être voulait-elle, grâce à l’obscurité, rester dans l’illusion d’un acte d’amour conjugal conventionnel.
C’est donc toujours dans le noir que je me plaçai entre ses jambes ouvertes. Mon oiseau retrouva sans difficulté le chemin de son nouveau nid et pénétra avec grand plaisir son intime moiteur. La nouvelle position me permettait d’aller plus profondément en elle, jusqu’au fond. Elle le sentit bien et murmura d’une petite voix presque paniquée : « Doucement ! Doucement ! » Elle ne devait pas être habituée à mon gabarit (Toujours aussi vantard, ce Christophe !).
J’allais et venais donc extrêmement lentement entre ses reins, enfonçais mon épée jusqu’à la garde puis la retirais quasiment entièrement avant de replonger dans son intimité. De façon maintenant quasi continue, elle gémissait et grognait de plaisir. Pendant ce temps, mes mains couraient sur ses fesses et ses reins, sur une peau qu’elles connaissaient déjà bien mais qui là, frissonnait à chaque caresse.
Bien que bougeant très lentement, je sentais que je ne pourrais pas tenir très longtemps comme ça, je ressentis le besoin impérieux de lâcher les chevaux. Progressivement, j’accellèrai le mouvement. J’empoignai sa taille fine et m’introduisis de plus en plus fort en elle. A chaque coup de boutoir, je tapais plus fort dans son fondement, à chaque coup de boutoir, nos genoux avaient tendance à glisser et à s’écarter, me permettant à chaque fois d’aller plus loin si c’était encore possible. Ses gémissements se muèrent en cris rauques, gutturaux comme si ma lance lui arrivait au fond de la gorge.
L’assaut fut bref mais intense. Les cuisses écartelées, le bassin secoué de spasmes violents, elle finit dans un long cri qui tenait plus du hurlement (Heureusement étouffé par l’oreiller). De mon coté, tendu comme un arc, je connus mon plaisir dans un grand cri de fauve.
Complètement hors d’haleine, je m’écroulai à ses cotés, ivre de plaisir, comme on dit.
Après avoir retrouvé un rythme respiratoire plus calme, nous avons repris la position « des cuillers collées », toujours sans échanger une parole.
Je me suis endormi, la main sur son sein.
Vendredi
Pour la deuxième fois consécutive, je ne fus pas le premier à me réveiller. Caroline avait déjà tiré les rideaux quand, ouvrant les yeux, je plongeai dans le regard baltique qui me fixait.
« – On a fait une grosse bêtise, hein ? »
« – Mouais, on n’aurait pas dû. »
« – Non, c’est clair, on n’aurait pas dû. »
C’est marrant, son petit sourire en coin m’incitait à croire qu’elle ne pensait pas un mot de ce qu’elle disait.
Le menton posé sur son bras lui-même replié sur ma poitrine, elle caressait machinalement mes abdos avec sa main libre.
« – Qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? » Demanda t-elle. Son visage se rapprocha du mien et elle posa ses lèvres fraîches sur les miennes. Sa langue trouva la mienne et elles se dirent bonjour.
Elle rompit notre premier baiser d’amants et se releva.
« – J’chais pas. On oublie tout ? » Je passai ma main derrière sa nuque et attirai son visage à moi. Nos langues se cherchèrent et se retrouvèrent facilement, plus longtemps.
« – Tu as raison, il ne s’est rien passé ! » Troisième baiser, plus fougueux.
« – Rien de rien ! » Quatrième rencontre, nos lèvres étaient maintenant très intimes.
« Et qu’est-ce que t’es en train de faire là ? » Sa main était discrètement descendue et fouillait délicatement mon buisson pubien.
« – J’attends la relève de la garde. »
Elle n’eut pas à attendre longtemps. Ma virilité endormie entre mes jambes se releva nonchalamment et arbora assez rapidement une forme olympique.
Elle se redressa avec un sourire coquin et détourna le regard vers le bas de mon anatomie :
« – Sacré Boy-scout ! Toujours prêt ! »
Sa main n’eut que quelques centimètres à franchir pour s’emparer avec autorité de mon appendice et lentement commencer un petit mouvement de va-et-vient très agréable.
Des réveils comme çà, j’en veux tous les jours !
« – On est toujours des adultes responsables ? » demandai-je.
« – Oui. Totalement irresponsables. »
Elle continua, ses yeux étaient concentrés sur son mouvement. Peut-être était-elle, comme moi, fascinée par le contraste entre la fragilité de sa petite main pâle et la force sauvage se dégageant de mon membre en érection.
Son geste se fit énergique et elle se pencha en avant. Je me dis qu’elle allait poser ses lèvres fines sur mon petit bout et laisser sa bouche entrer dans la danse… Au lieu de cela, elle m’enfourcha soudainement et je crus bien qu’elle allait s’empaler d’un seul coup sur la lance ainsi dressée. Elle stoppa in extremis, maintenant mon sexe juste en dessous de la jointure de ses jambes écartées, à quelques millimètres de sa rose ouverte.
Caroline me regarda dans les yeux, mordit sa lèvre inférieure avec ses petites dents blanches et, très lentement, descendit sur mon pieu, l’engloutissant millimètre par millimètre, sans reculer.
Lorsque nos toisons se touchèrent, elle ferma les yeux, entrouvrit la bouche et poussa un gémissement de contentement. Elle resta un moment immobile, goûtant peut-être la sensation d’être remplie puis, entama un léger mouvement d’avant en arrière, en basculant son bassin afin que son clitoris frotte longtemps contre mon pubis.
Elle était magnifique, la tête en arrière, ses cheveux cuivre et or frôlant ses épaules frêles. Je posais mes mains sur le globe parfait de ses seins diaphanes qui dressaient avec fierté leurs petits tétons rose pale. Je caressais avec bonheur son ventre musclé puis, mes mains sur sa taille, j’accompagnais le mouvement lent de ses hanches.
Je savourais des yeux sa fine touffe d’or allant et venant sur mon bas ventre.
Progressivement, elle accéléra le balancement de ses hanches et je ne pus plus détacher mon regard de ses petits seins fermes tressautant au rythme de la chevauchée fantastique.
Très rapidement, son rythme s’emballa, ses mouvements se firent désordonnés et je sentis autour de mon membre englouti les contractions caractéristiques du plaisir féminin.
Elle poussa quelques petits cris puis, essoufflée, elle s’effondra sur mon torse, sans plus bouger.
Je lui laissai à peine quelques respirations puis je la basculai sur le côté pour, tout en restant bien profondément en elle, me retrouver au-dessus et reprendre à mon compte le va-et-vient fabuleux.
Cette fois, j’arrivais à contenir les chevaux et notre corps à corps dura encore de longues minutes.
J’allais doucement entre ses reins. Mes yeux ne lâchaient les siens que pour regarder mon sexe entrer et sortir se ses lèvres pourpres.
Elle se cambrait pour mieux accompagner mes assauts, elle gémissait de plus en plus fort et se mordait le poing pour ne pas crier.
Elle dut connaître plusieurs répliques de son orgasme avant que, ni tenant plus, je n’explose d’un coup en elle.
Je me suis ensuite laissé tomber sur elle, « mon corps lourd comme un cheval mort » (Merci Johnny).
Nous sommes restés un long moment dans cette position avant qu’elle ne se dégage. Elle se leva et en tenue d’Eve, elle se campa devant la grande porte-fenêtre de la chambre avant de s’étirer de toute sa hauteur.
Je ne perdais pas une miette du merveilleux tableau : en négatif sur fond de fenêtre gris blanc, je dévorais des yeux sa silhouette parfaite, sa taille de guêpe surmontant un petit cul à faire damner un monastère entier de bénédictins. Elle avait les jambes légèrement ouvertes et l’on pouvait deviner à la jonction de cette splendide paire de ciseaux, le renflement bombé de son puits d’amour.
« – Dis-donc, s’il y quelqu’un dehors, il va en avoir pour son argent ! »
« – A part un car de touristes japonais, y a personne. » Dit-elle en riant. « Oh merde ! … » (Ah oui, ça manquait au cérémonial du début de journée) « ..Il commence à neiger ! »
« – Ah oui ? Ne t’inquiètes pas, en cette saison ça ne tiendra pas… Oh putain ! On est super à la bourre ! »
Nos ébats matinaux nous avaient complètement fait perdre la notion du temps. Nous sommes arrivés bons derniers dans la grande salle sous les regards suspicieux (envieux ?) de certains.
Cette dernière journée était consacrée aux conclusions et aux diverses évaluations. Le programme en prévoyait le terme en début d’après-midi pour que tous les protagonistes puissent partir pendant qu’il faisait encore jour et rentrer chez eux dans la nuit pour les plus éloignés.
Comme à chaque fois, dans ce genre de réunion, ceux qu’on n’a pas entendus de la semaine profitent des derniers instants pour poser des questions absurdes ou demander des précisions inutiles alors que tout le monde voudrait en finir au plus vite pour pouvoir regagner ses pénates rapido.
C’est donc avec une heure de retard sur l’horaire prévu que nous avons rejoint notre hôtel pour, en toute hâte faire nos bagages et régler la note. La neige s’intensifiait et si elle ne tenait toujours pas, elle menaçait de rendre la conduite pénible.
Une fois nos formalités de départ accomplies, nous avons chargé nos bagages dans la voiture et nous sommes installés. Je mis la clé de contact, tournai et… et rien ! Rien ne se passa. Je recommençai, toujours rien.
« Dis-donc Christophe, tu sais que normalement, le coup de la panne se fait avant de coucher avec la fille ? Après c’est plus la peine. »
Je n’avais pas fait tourner le moteur de la semaine, la batterie déjà pas en forme avait rendu l’âme. A moins qu’en arrivant, tout à mes fantasmes sur ma jolie collègue, je n’aie oublié d’éteindre les phares.
Assez furibard, je descendis de voiture et me mis à la recherche d’un garagiste, suivi de Caroline qui, comme à son habitude, semblait trouver la situation très drôle. Décidément, cette fille ne se fâchait jamais.
Premier garage : fermé.
Second (et donc dernier) garage : « Ah non, mon petit Monsieur, il est 16 H 30, on est vendredi, j’ai personne pour aller vous dépanner là ! » ( Et dire qu’on critique les fonctionnaires !) « Si c’est la batterie, soit vous allez en acheter une neuve au supermarché, soit vous m’amenez la votre et on la charge pendant la nuit, si elle n’est pas morte. »
Etape au supermarché, rayon accessoires auto : Evidemment, la référence de ma batterie était « momentanément indisponible. » L’abattement me tomba d’un coup sur les épaules. J’éprouvais le besoin primaire de balancer mon poing à travers de la figure du premier chef de rayon passant à ma portée.
Caroline me prit alors par la taille :
« – Tu sais, le retard, la neige, la panne, le garage, le supermarché et maintenant la nuit qui tombe… j’ai l’impression qu’une force supérieure veut nous faire passer une nuit supplémentaire ensemble » et elle me décocha un petit clin d’œil mutin.
Mon ego d’homme vexé fut d’un coup rassuré. Elle n’avait pas tort.
Après un démontage fastidieux, nous avons confié l’objet du délit au garagiste et nous sommes retournés, avec nos bagages à l’accueil de l’hôtel. Ce n’était pas le même réceptionniste que le premier jour et heureusement. Comment lui expliquer que cette fois nous voulions une chambre unique ?
De retour dans la chambre 127, nous nous sommes réinstallés. On se serait cru revenus une semaine en arrière si ce n’est que nous n’étions plus tout à fait les mêmes. Les collègues distants s’étaient transformés en amants fougueux.
Tout en vaquant à nos affaires, je ne manquais pas une occasion de coller un bisou dans le cou de Caroline à chaque fois qu’elle passait à ma portée. Parfois j’en profitais pour tâter ses muscles fessiers à travers le jean (En langage clair : je lui mettais la main aux fesses).
A un moment, Caroline m’a fait basculer sur le lit, m’a sauté dessus et m’a roulé une pelle d’anthologie.
Nous en étions à reprendre notre souffle quand une petite idée, genre grain de sable, s’immisça dans mon esprit :
« – Au fait ! Je dois prévenir ma femme de ne pas m’attendre cette nuit. Sinon elle serait capable de ne pas dormir de la nuit et j’aurais droit à la méga scène en revenant. »
« – Tu as raison, moi aussi. Tiens, à toi l’honneur » me dit-elle en me tendant le mobile qui était posé sur la table de nuit.
Je composai donc le numéro de la maison sous le regard attentif et amusé de Caroline restée allongée sur moi, les bras croisés sur mon ventre. Dorothée décrocha et rapidement, je lui expliquai la situation et les raisons de notre retard. Il n’est pas nécessaire de préciser que je n’eus pas les félicitations du jury. La discussion s’annonçait âpre et longue.
Pendant ce temps, en silence, Caroline s’était redressée et avait adopté un petit jeu : elle faisait trottiner deux doigts sur mon ventre. Peu à peu, les deux doigts ont franchi la ceinture de mon pantalon et sont allés se balader sur mon jean, à hauteur de la braguette.
Tout en parlant à ma femme, je souriais à sa tentative de déconcentration ; mon sourire se figea quand les doigts de Caroline dézippèrent mon pantalon et s’attaquèrent à ma ceinture. Je fis les gros yeux et « Non-non » de la main mais elle n’en eut cure et continua son affaire. Elle avait réussi à desserrer ma ceinture et écartait les pans de mon pantalon alors que, continuant mes dénégations muettes, je tentai sans succès de la repousser de ma main libre. Avec son sourire malicieux elle me fit signe clairement que si je ne me laissais pas faire, elle allait parler, ce qui serait très difficile à justifier auprès de Dorothée, cela va sans dire.
Je capitulai et elle plongea la main dans mon slip pour en sortir mon pénis encore mou mais déjà bien excité par ce débat à mots couverts. Quelques attouchements et il montra d’emblée son contentement : Pfff, quelle solidarité !
Elle passa ses mains sous mes fesses et je la laissai baisser d’un seul geste mon jean et mon slip jusqu’à mi-cuisses. Elle reprit ma virilité en main et, le nez littéralement dessus, l’examina sous toutes les coutures.
Après ce moment d’examen attentionné pendant lequel j’essayais de rester concentré sur ma discussion avec Dorothée, elle posa ses lèvres fraîches sur le bord de mon gland et un frisson de plaisir me parcouru qui m’obligea à m’interrompre en pleine phrase.
« – Allo ? Christophe ? T’es toujours là ? »
« – Oui-oui, euh, il doit y avoir des coupures sur le réseau, on doit mal recevoir à cause de la neige. »
L’excuse bateau fait toujours merveille !
Caroline continuait à poser de très légers baisers sur ma verge tendue, de haut en bas. Arrivée à la base, elle remonta lentement en la léchant de l’extrême bout de sa petite langue.
Il y eut une nouvelle coupure du réseau.
Rendue au sommet de mon éminence, elle ouvrit la bouche et happa mon gland d’un seul coup.
Là, je ne pus réprimer un « aaah » de surprise et de plaisir.
« – Qu’est-ce qui t’arrives ? »
Vite ! Trouver une explication. Vite ! Trouver une explication. Vite ! Trouv…
« – Oh rien, j’ai vachement mal au dos et je me suis mal installé sur le lit. »
Cela sembla passer.
Pendant ce temps, Caroline avait entamé une fellation de première catégorie, digne d’une professionnelle (mais là, je ne parle pas en connaissance de cause) : de la main gauche, elle malaxait très précautionneusement mes testicules, sa main droite allait et venait doucement sur ma lance, ses lèvres avalaient par intermittente le haut de mon sexe pendant que sa langue s’attardait sur la corolle de mon gland. Par moment, elle l’avalait tellement loin que j’avais l’impression que j’allais lui toucher les amygdales.
Il y eu ne nombreuses « coupures de réseau », heureusement que Dorothée assurait l’essentiel de la conversation.
Je priais pour qu’elle n’entende pas le bruit de succion qui commençait à poindre, Caroline augmentant peu à peu le rythme. De temps en temps, pendant que sa bouche continuait à s’activer, ses mains agiles lâchaient mon service trois pièces pour aller remonter mon pull sur mon torse et caresser mon ventre et sa pilosité courant en ligne droite du pubis au nombril.
La sensation de ses cheveux caressant et chatouillant mon bas ventre décuplait le plaisir.
C’est alors que l’intuition féminine de ma femme se réveilla, sans transition et tout à fait hors propos, elle me parla de Caroline :
« – Et ta jeune collègue, qu’est-ce qu’elle en dit de tout ça ? »
« – Caroline ? Euh, elle est furax, elle voulait retrouver son mari au plus vite, tu sais comment sont les jeunes couples. »
Je me disais qu’en introduisant le thème du mari dés le début ça calmerait sa jalousie excessive d’entrée (Et oui, la bite est occupée mais le cerveau fonctionne encore !) Ce fut peine perdue.
« – Elle est sympa ? »
« – Oui. »
« – Jolie ? »
« – Oui »
« – Bien foutue ? »
« – Euh …Oui » Toutes ces questions, elle me les avait déjà posées avant ; pas la suivante :
« – Tu te l’es faite ? »
« – Ca va pas ! C’est une chieuse de première, pas du tout mon genre ! »
Entendant cela, Caroline se mis en devoir de me punir en sortant légèrement les dents.
Je la taquinai un peu :
« – En plus, elle a l’air complètement coincée, son mari ne doit pas s’amuser tous les jours ! »
Les petites dents se firent plus présentes, je poussai un cri muet et abandonnai les hostilités :
« – Tu sais bien que je t’aime »
Il s’ensuivit un échange de mots doux avec Dorothée et chaque fois que je lui disais « je t’aime », Caroline accentuait la succion sur mon gland : La perversion faite femme.
Je me cambrais pendant que Caro accélérait encore les secousses de sa main et les aspirations de sa bouche.
Fort heureusement, à l’autre bout du fil, Dorothée était partie dans un monologue qui ne semblait pas demander de réponse.
Avec un tel traitement, je sentais que je n’allais pas tenir longtemps et de fait, je sentis la sève monter en moi.
A l’instant fatidique ou j’explosais en silence, elle se recula et me laissa m’épancher sur mon ventre en continuant quelques derniers va-et-vient du poignet. (Apparemment, elle n’avalait pas ou réservait ce privilège à son époux.)
C’était la fellation la plus bizarre et la plus intense de ma vie.
J’eus toutes les peines du monde à me remettre de mes émotions et à terminer la conversation avec ma femme sans que celle-ci ne se doute de quelque chose ; je ne suis pas sûr d’y être arrivé.
A peine raccroché, je laissai tomber mes bras en croix et soufflai : « Petite salope ! »
« – J’ai l’impression que t’aimes les petites salopes, gros cochon ! » Répondit-elle en s’allongeant à coté de moi.
Et me prenant le téléphone des mains : « Allez, à mon tour ! »
Il était évident qu’elle demandait une revanche ; j’étais tout à fait prêt à la lui accorder. J’allais lui faire payer son culot.
Elle composait à peine le numéro que je m’attaquais déjà a sa ceinture puis aux boutons de son jean. Evidemment, elle se laissa faire et se cambra pour me laisser passer ses mains sous ses fesses et lui baisser le pantalon. Marc n’avait pas encore décroché que le jean et la culotte jaune pâle étaient arrivés au bas du lit aussitôt rejoints par les deux chaussettes de laine.
« – Allo, mon amour…. » Elle parlait à son mari tout en me regardant avec un sourire diabolique. Elle était allongée sur le lit, le haut du corps habillé de son gros pull de laine super doux et les jambes nues repliées et légèrement écartées. Elle avait posé sa main libre sur son sexe comme pour m’empêcher de le voir ou d’y accéder.
On n’y croyait pas un instant !
Avant de m’y attaquer, je m’approchai de son visage et, pendant qu’elle ne parlait pas, l’embrassai en sentant mon goût encore présent sur ses lèvres.
Je m’installai ensuite entre ses jambes et remontai son pull pour poser mes lèvres sur son ventre chaud puis, après avoir écarté sa petite main qui bien-sûr n’opposa aucune résistance, j’entrepris de descendre plus bas afin de brouter avec bonheur son gazon doré et soyeux tout en respirant à fond son odeur intime. Descendant toujours, j’écartai ses cuisses et pu observer, sans encore la toucher, sa vulve rose palpitante et déjà bien humide. Soufflant dessus comme sur un plat trop chaud, je lui envoyai un peu d’air frais qui la fit sursauter et connaître sa première « coupure de réseau ».
Afin de la laisser dans l’excitation d’une attente insupportable, je me détournai pour aller poser doucement mes lèvres sur la partie si tendre de l’intérieur de sa cuisse droite. Je descendais le long de sa cuisse puis remontai, traversai la zone du petit minou sans le toucher puis redescendais embrasser et lécher l’intérieur de la cuisse gauche.
Je fis ce double trajet à plusieurs reprises et, à chaque fois que mon souffle effleurait ses pétales de rose, elle tressaillait d’excitation. Au cinquième passage, sans prévenir, je me suis arrêté pour sucer avidement son petit clito. Ce fut à son tour de pousser un « Aaaaah » instinctif.
« – …. »
« – Non, c’est rien, j’ai super mal au dos depuis l’autre jour et je me suis mal installée sur le lit. » (Copieuse !)
Ma langue lâcha ensuite son bouton nerveux pour aller plonger dans son puits délicieux. Je goûtais avec délectation son essence plus liquide que la dernière fois où, à son insu, j’y avais mis le nez.
Alternativement, d’une grosse langue râpeuse, je léchais de bas en haut et de haut en bas sa fleur à vif puis d’une petite langue fouineuse, je plongeais le plus profond possible dans son intimité. Mes mains ne restaient pas inactives, elles profitaient de la situation pour caresser ses cuisses et pétrir ses jolies fesses.
Caroline eut de plus en plus de difficultés pour discuter avec son mari, elle répondait de plus en plus souvent par onomatopées genre « hmm », « hmm », se mordait les lèvres et essayait avec ses doigts de masquer le haut-parleur du téléphone quand elle ne pouvait plus contenir ses gémissements. De sa main libre, elle appuyait sur ma tête pour m’encourager à continuer. Je n’avais pas besoin d’encouragements.
Ma langue courrait sur sa vulve, débordait sur l’extérieur des grandes lèvres pour s’égarer sur le début des cuisses et revenir de plus belle brouter son mont de Vénus.
Pour amplifier ses sensations, je fit pénétrer deux doigts dans son antre parfaitement lubrifié et en fouillai les limbes pour titiller de l’intérieur son clitoris que ma bouche suçait à l’extérieur, puis j’entamai un lent mouvement de va-et-vient.
Elle se cambra, bloqua sa respiration pour ne pas gémir et ne dit plus un mot au téléphone. A l’autre bout du fil, Marc avait-il remarqué qu’il n’avait plus de réponses, même laconiques ?
Ma bouche ne quittait plus son clito, un troisième doigt avait rejoint les deux premiers et leur pénétration se faisait de plus en plus intense. Ma main libre s’était glissée sous le pull et sous le soutien-gorge et massait un petit sein tendu de désir.
Voyant qu’elle ne pourrait sans doute plus retenir ses cris plus longtemps, Caro miaula un « -Chériii, j’ai un double appel, faut qu’j’te laisse, à demain bisouuu ! ! » et balança le mobile de l’autre coté de la chambre. Elle m’attrapa aussitôt la tête à deux mains et me plaqua le visage contre son bas ventre puis cria « Oh oui ! ! C’est ça ! C’est bon ! » Elle haleta, soupira et gémit crescendo pendant deux ou trois minutes avant de changer d’avis :
« – Non arrêtes ! C’est trop fort ! Aaaaahhh ! » et elle essaya de repousser ma tête d’entre ses jambes.
Seulement, j’avais ferré ma proie et n’entendais pas la lâcher comme ça. Je tentais donc de prolonger le supplice de plaisir le plus longtemps possible. Elle se laissa faire quelques instants avant de se dégager d’un violent coup de rein en arrière et, dans un cri, elle se replia sur le coté, les mains entre ses jambes, le corps secoué de tremblements convulsifs.
« – T’es un fou furieux », haleta-t-elle.
En souriant, j’essuyais d’un revers de main, la cyprine dégoulinant sur mon menton.
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