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Marie – Ch 7

Marie – Ch 7



« Marc, je pense que la moindre des choses serait de remercier Marie pour son travail. Qu’en pensez-vous ? »

Marc ne répond pas. Ce genre de question n’est pas faite pour avoir une réponse.

« Marc ? Oui ou non »

« Euh … Oui sans doute » répond-il doucement avec un ton mi étonné mi résigné.

« Bien ! »
Marie se sent un peu rassurée, si ça se passe uniquement entre elle et Marc, elle devrait arriver à supporter ce jeu sadique plus facilement.

« Marie je pense que vous pouvez retirer votre dernier vêtement. De toute façon il ne cache rien de votre charmante anatomie. »

Effectivement Marie retire son string et ne se sent pas plus nue que quand elle le portait encore ; même si sentir l’air caresser la seule partie de son corps qui était couverte jusqu’à présent lui procure une sensation étrange. Retirer sa culotte était souvent le dernier geste qu’elle faisait avant de faire l’amour avec Antoine, et elle sait qu’elle ne va pas tarder à être touchée, caressée ou pénétrée ; que ce soit par Marc la rassure, et ce qu’elle vient de lui faire a par moment fait monter des ondes d’excitation qui la laisse à présent dans un état qu’elle ne connait pas mais pas complétement désagréable.

« Marie, posez les coudes sur la table, dos à Marc »

Le Directeur se relève et se dirige vers la chaise de Marc. Marie pose ses coudes sur la table devant elle.

« Bien. Écartez les jambes. Bien tendues. Et le dos droit. »

« Écartez davantage »

Une fois de plus c’est le regard de ce vieux pervers qui la dérange. Et dans cette position elle sent ses grandes lèvres s’écartaient doucement. La sensation de fraicheur qui pénètre entre ses jambes lui fait comprendre que son sexe n’est pas resté totalement insensible à la vision de Marc et de son sexe, aux souvenirs remontés par ce gland si près de son visage.

Marie tourne la tête autant qu’elle le peut et voit le Directeur att****r le dossier de la chaise de Marc et le déplacer dans sa direction. Elle sent les jambes de Marc frotter contre l’intérieur de ses genoux quand le Directeur avance la chaise. Cette sensation l’électrise. Pas vraiment d’excitation mais c’est comme si Marc la caressait, pour la première fois.

« Cambrez un peu votre dos Marie. »

Marie imagine la vision obscène que les deux hommes doivent avoir dans son dos, surtout Marc qui est plus bas et dont elle sent déjà le souffle sur son sexe humide tellement il doit se trouver près. Et comble de la honte, elle sent aussi l’air sur son petit œillet que ses fesses, écartées par la position, exposent malgré elle.

« Bien ! Marc je vous propose de vous occuper un peu de ce qui vous est offert. Je veux que vous léchiez uniquement ces lèvres charmantes, et du bout de la langue, pas plus ! »

Le Directeur ne déroge pas à la perversité qui caractérise chaque acte imposé à Marc et Marie. Marc n’a pas le temps de profiter de ce spectacle qui le fascine. Mais il serait presque prêt à remercier le Directeur pour cette punition. Même dans ses fantasmes les plus crus avec Marie il n’a jamais réussi à imaginer une situation aussi pornographique et déjantée. Il ne sent plus vraiment de désir entre ses jambes, mais il tente d’enregistrer cette vision en prévision de futures masturbations qu’il sait déjà fantastiques.

Lentement il avance son visage et se retrouve le nez entre les fesses de Marie. Il tire la langue et arrive à peine à toucher les petites lèvres. Il plie son cou en arrière autant qu’il le peut et commence à donner de petits coups de langue sur le sexe de Marie. La position est ridicule et douloureuse, mais le goût et l’odeur de l’intimité de Marie qui aspergent d’un coup ses sens, le font basculer rapidement dans un monde de débauche et de sexe cru. Des images de lui et Marie dans des positions plus obscènes les unes que les autres lui montent à la tête. Et il continue de lécher ses lèvres divines, il fait glisser sa langue entre les nymphes, avance sa tête, quitte à augmenter la douleur dans son cou, pour pénétrer le plus profondément qu’il peut le sexe de Marie dont il veut goutter le jus.

De son côté, Marie n’arrive pas à croire l’effet que lui fait la langue de Marc sur ses petites lèvres. Le premier contact qu’elle a senti a été celui du nez de Marc juste sous sa petite rondelle. Et même si elle ne veut rien montrer à ce vieux pervers de Directeur d’un éventuel plaisir ressenti, elle n’a pu retenir un mouvement de la tête quand un frisson parti du creux de ses reins est remonté jusqu’à son cou, comme une décharge.
Et à présent la langue de Marc au creux de son sexe entretient ces ondes de sensations aux frontières du plaisir. Quand elle sent cette langue s’enfoncer un peu plus profondément dans son intimité, elle n’arrive pas à garder son bassin immobile. Elle ne maitrise plus totalement les ondulations imperceptibles de son corps dont elle ne sait plus s’il essaie de fuir ces caresses ou de faire pénétrer davantage cette langue impudique ; et aussi impensable que cela lui paraisse, dans cette situation, elle arrive à ressentir un plaisir étrange dans lequel volupté et v******e s’équilibrent.

Les minutes passent, Marie tente de tourner la tête pour voir où est le Directeur qu’elle n’entend plus. Elle sent son sexe de plus en plus chaud et humide, et par moment des images violentes lui traversent l’esprit comme des flashs. Elle se voit se retourner et crier sur Marc de la prendre là sur le bureau, parce que c’est tout ce que veut le vieux débris qui les fait chanter, elle imagine sa bite coulissant dans son intimité brulante. La langue de Marc est en train de la transporter dans un état qu’elle ne connait pas, entre colère et dégout, ou est-ce entre plaisir et frustration. Elle sait qu’à un moment ou un autre elle va y passer, alors pourquoi pas maintenant ?

Elle commence à consciemment onduler son bassin au rythme de la langue de Marc, cherchant à lui donner son petit bouton à sucer, mais la position ne le permet pas, au mieux la langue de Marc arrive-t-elle à titiller la naissance de ses petites lèvres. Et les minutes s’écoulent, sans bruit, Marie a envie de glisser une main sous son ventre pour aller caresser elle-même son clitoris qu’elle sent gonfler, et la sortir de cet état entre deux eaux.

« Bien ! »

Ce n’est pas la manière dont elle aurait voulu en sortir mais la voix du Directeur la réveille brutalement de ses pensées et sensations.

« Marc, je pense que notre petite Marie est assez … » il ne termine pas sa phrase, ne trouvant pas le mot juste immédiatement.

Marc relève sa tête et ne peut se tenir droit immédiatement. Son cou est trop douloureux, il redresse son torse mais sa tête reste penchée en arrière. Il est obligé de s’adosser complètement au fauteuil avant de pouvoir petit à petit se remettre droit. Sous ses yeux, le spectacle le saisit à nouveau : le cul de Marie, obscènement ouvert sur son petit œillet, et sa chatte humide et béante, ses petites lèvres brillantes et écartées sur une voie qu’il voudrait fouiller de ses doigts. Malgré ses deux orgasmes précédents, il sent à nouveau quelques pulsations dans sa queue.

« Marie, je sais que vous aimez exhiber votre corps mais vous pouvez quitter cette position obscène, indigne qu’un jeune fille bien élevée. »

« Quel connard !! » pense-t-elle. Un éclair de rage vient de la traverser et si elle avait eu quelque chose sous la main, elle lui aurait sans doute balancé dans la tronche.

Elle se relève et quand elle ressert les cuisses elle sent à quel point son sexe est humide. A nouveau elle ne sait pas comment se tenir, elle croise les bras devant sa poitrine et regarde le Directeur de l’air le plus agressif qu’elle peut.

« Calmez-vous Marie. Ne vous inquiétez pas vous aurez votre petit plaisir. Et si nous prenions un verre c’est l’heure je crois et cela va détendre tout le monde. Marie, Marc, je me serre un petit Cognac Schweppes, si vous ne connaissez pas c’est délicieux. »

Le Directeur se dirige vers la bibliothèque, ouvre une des portes et att**** une bouteille de Cognac, puis à côté, par une porte qui cache en réalité un réfrigérateur, prend une canette de Schweppes et revient vers la table ronde sur laquelle il les pose.

« Marie, s’il vous plait. Vous voulez bien att****r trois verres là dans la bibliothèque à droite derrière la porte vitrée. »

Obligée de quitter sa posture, elle se ne s’est jamais sentie aussi nue que lorsqu’elle se dirige vers ce coin de la pièce sous les regards de Marc et du Directeur. Elle revient, deux verres dans une main et le troisième dans l’autre, faisant face, totalement exposée et les seins encore dressés, au Directeur qui laisse trainer ses yeux sur sa petite fente humide dont les lèvres ressortent à présent.

Le Directeur pose les verres côté à côte, verse une bonne dose de Cognac dans chacun, puis ouvre la canette et complète le cocktail. Marc a remarqué le « XO » sur la bouteille et pense qu’il faut vraiment être très riche ou totalement stupide pour mettre du Schweppes dans un tel Cognac.

« Ah oui Marc, attendez je vais vous libérer une main. Mais n’en profitez pour vous astiquer sans mon autorisation ! Ah ah ah ! » Ce qu’il a l’air ridicule quand il force ce rire obscène, pense Marie.

Le Directeur se dirige vers son bureau, en fait le tour, ouvre un tiroir et revient avec une paire de ciseaux pour libérer la main droite de Marc dans un « clac » qui indique la solidité de ces liens en plastiques. Puis, après avoir remis l’outil à sa place, il tend un verre à chacun et prend le sien en main.

Chacun a son verre : « A la vôtre ! »

Marie est surprise par le goût, elle trouve le mélange très fort mais pas mauvais. Elle apprécie l’amertume. Marc quant à lui connait cette boisson et se surprend à le déguster à petites gorgées.

« Vous allez voir, cela va nous détendre un peu. Marie, parlez-nous un peu de vous. Vous êtes célibataire ? »

« Oui »

« Une fille aussi belle que vous, j’ai du mal à y croire. »

« Je travaille beaucoup et je n’ai pas de temps pour … » elle ne sait pas comment finir sa phrase mais le Directeur, qui n’a pas vraiment envie d’écouter ce genre de réponse sans intérêt, poursuit sans attendre :

« Comment s’appelait votre dernier petit ami ? »

« Antoine » tout en répondant elle se dit qu’elle aurait dû mentir, mais l’alcool commence déjà à lui monter à la tête et son esprit lui semble au ralenti.

« Combien de temps êtes-vous restées avec lui ? »

« 10 mois, à peu près »

« Et en dix mois il ne vous a jamais sodomisé ? »

« Non » Marie essaie de mettre une pointe d’agressivité dans sa réponse, montrant au Directeur que ce genre de pratique n’est pas le sien, que seuls les obsédés peuvent prendre du plaisir à faire ça.

« Même pas un doigt ou deux dans votre sublime cul ? »

« Non » Marie insiste ajoutant du dégout.
Et pourtant elle se souvient d’un soir de septembre, peu de temps avant qu’Antoine ne la quitte. Tous deux étaient dans l’appartement de Marie, et prenaient un verre pour fêter le week-end qui s’annonçait caniculaire, Antoine rentrait d’un footing et Marie avait quitté sa tenue de travail et avait uniquement enfilé un tee-shirt assez large qui laissait voir un joli string noir au moindre de ses mouvements. Comme souvent Antoine avait commencé à la taquiner en lui soulevant son tee-shirt, glissant ses mains sur son cul, ses seins qu’il massait doucement.

L’odeur de transpiration avait poussé Marie à lui demander de prendre une douche s’il voulait avoir une chance d’aller plus loin. Il n’était pas contre, bien sûr, mais voulait souffler cinq minutes et profiter de son verre avant. La discussion s’était alors portée sur la sodomie justement : « Et si je me douche je pourrais passer par la petite porte ? » avait-il lancé entre plaisanterie et taquinerie, tout en espérant lancer le sujet un peu plus sérieusement. « Mais bien sûr ! ». « Allez, je ferai tout doucement. » « Non ! » avait ajouté Marie en l’embrassant tendrement.

« Ok, je te propose un truc, on se douche tous les deux et tu me laisses te faire un massage sans bouger. » Marie s’était sentie super excitée à cette idée mais avait quand même ajouté : « Ok, mais ne compte pas passer par la petite porte ensuite. » « Promis mais tu te laisses faire. »

Et tous les deux s’étaient douchés, l’un après l’autre, il n’y a pas de place pour deux dans la douche de Marie. Quand celle-ci était sortie enroulée dans sa serviette, elle avait trouvé Antoine nu sur le lit dont il avait enlevé tous les draps, allongé sur le dos et le sexe dressé, il se caressait doucement. Marie était au comble de l’excitation.
Antoine l’a installée sur le dos et à commencer à la caresser sur tout le corps, insistant un peu trop au goût de Marie sur ses seins qui le rendait dingue et qu’il avait tendance à malaxer plus qu’à caresser. Mais ces caresses avaient duré, ne faisant que frôler le sexe de Marie qu’elle lui offrait pourtant, genoux repliés et écartant ses cuisses. Son excitation ne cessait de monter tout en attendant le moment où il poserait enfin sa main sur son sexe trempé, où il jouerait avec son petit bouton, où il la pénètrerait d’un ou deux doigts.
Antoine avait préféré glisser au bord du lit et avait commencé à lui lécher doucement le sexe. Marie était au paradis, elle savait qu’il ne mettrait pas longtemps à la faire jouir. Pourtant il évitait soigneusement le petit bouton, il léchait, suçait et aspirait les petites lèvres, et de temps en temps, maintenant de ses mains les cuisses de Marie dans le plus grand écart possible, il glissait sa langue vers sa petite rondelle, il en faisait le tour et appuyait dessus comme pour y entrer. Marie, la première fois avait tenté de se soustraire timidement à cette caresse mais Antoine, la chaleur et l’alcool, avaient réussi à la plonger dans un état d’excitation rare ou elle perdait enfin un peu sa raison et ses principes, n’écoutant que ses sens et son plaisir.

Et les caresses avaient continué, longtemps, Marie était au bord de l’orgasme, les yeux fermés, dans un lit de coton et de volupté. Antoine fouillait son sexe de sa langue, il avait lâché une de ses jambes et caressait le cul de Marie de la paume de sa main. De temps en temps il approchait un doigt du petit œillet et le posait dessus pour le masser. Dès qu’il sentait un mouvement de recul, il le remontait et l’enfonçait dans la vulve trempée de Marie qui soulevait alors son bassin accompagnée d’une bouffée d’extase. Il avait fait durer le plaisir et Marie n’était plus tout à fait elle-même.

La sentant au bord de l’orgasme, Antoine avait enfin posé sa langue sur son petit bouton, et le faisait rouler doucement. Il avait alors sorti son doigts trempé de la chatte dégoulinante de Marie, l’avait posé sur sa petite rondelle et tout en augmentant la pression de sa langue sur le clitoris, avait commencé à l’enfoncer dans son petit trou. Marie n’avait pas pu contrôler les mouvements de son corps qui tremblait dans un orgasme fulgurant. Le doigt d’Antoine dans son anus l’avait plongée dans un état de lubricité qu’elle ne connaissait pas et alors qu’elle restait d’habitude toujours silencieuse, même au comble de la jouissance, elle n’avait pu retenir quelques cris qui avaient accompagné les spasmes de son corps. Antoine avait rarement été aussi excité lui aussi, il aurait voulu garder son doigts dans le cul de Marie, l’avancer davantage encore mais celle-ci s’était déjà reculée, avait replié ses jambes sur sa poitrine et le regardait avec tendresse.

Si leur relation avait duré plus longtemps, peut-être aurait-elle fini par accepter d’essayer cette pénétration qu’elle trouvait si dégradante mais qui pouvait peut-être finalement être une source de plaisir.

« Vous avez encore beaucoup de chose à découvrir Marie. » ajoute le Directeur, effaçant les images qui se succèdent dans la tête de Marie.

« Et vous Marc, vous a-t-on déjà enculé ? »

Marc quitte rapidement le corps de Marie que ses yeux ont du mal à ne pas regarder.

« Non » répond-il avec colère.

« Oh, mais ne vous énervez pas. Vous devez penser que vous n’êtes pas ce genre de personne sans doute. Pourtant j’ai pu voir que la petite introduction de Coralie ne vous a pas laissé de marbre. »

Marc est en rage et même si le doigt que Coralie lui a enfoncé tout à l’heure, avant d’y mettre ce petit plug vibrant l’a mécaniquement fait bander, il sait bien que jamais il ne prendra jamais de plaisir avec cette pratique immonde. Sa rage est d’autant plus grande qu’il n’a aucune envie que Marie découvre ce que Coralie lui a fait et ce qu’il a encore dans son anus.

« Bien si on poursuivait après ce petit apéritif ! Plat de résistance ! »

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