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Une femme de ménage cela vous change la vie……

Une femme de ménage cela vous change la vie……



C’est l’histoire d’un couple, un peu banal, évoluant dans les hautes sphères de la société, pour qui la vie de couple qu’ils ont connue jusqu’à présent va se retrouver toute chamboulée.
Albi, quartier calme et agréable, où le seul bruit que l’on entend est celui du moteur du peu de voitures qui passe. Le portail s’ouvre et nous découvrons un magnifique parc, avec de majestueux arbres de toutes essences, la pelouse bien entretenue, on pourrait imaginer être sur un parcours de golf.
Le parc entoure une magnifique demeure, datant de 1790, sur un étage, sobre mais splendide à la fois, luxueuse mais simple. La maison est similaire au quartier calme, reposante.
Il est lundi matin 9h, Justin boit son café tout en lisant sa plaidoirie qu’il devra défendre dans une semaine. Bérénice, entre dans la cuisine, bien apprêtée dans son tailleur de grande marque. Elle donne l’impression de la femme parfaite, même au réveil c’est toujours la première à se lever, laver, maquiller. Elle est toujours parfaite.Elle ouvre le frigo, se verse du jus d’orange dans un verre et se dirige vers la table, se pose face à son époux qu’elle regarde de ses yeux pétillants, amoureux. Leur amour dure depuis 16ans.
Ils se sont rencontrés au lycée, et ne se sont plus jamais quittés, aucune digression, aucun acte mal veillant, l’amour fou depuis 16ans, mais chacun un jardin secret, bien gardé.
Justin 32ans, 1m85, 75 kilos, ni trop maigre, ni trop musclé, ancien cycliste amateur, qui a du abandonner sa passion du vélo car il a intégré un des plus côté si ce n’est le plus côté des cabinets d’avocats de la ville, voir de la région. Blond, les yeux d’un vert qui feraient devenir jaloux une émeraude. Mais regard qui est glacial quand il se retrouve dans son jardin : le tribunal. Toujours très bien habillé dans sa vie professionnelle, il n’hésite à se balader chez lui en caleçon ou bien avec des habits déchirés; c’est son côté dichotomique.Il reste cependant inconscient de l’attirance qu’il peut susciter; son jardin secret pourtant est les fantasmes qui hantent ses nuits sur les différentes femmes qu’il a pu croiser dans la vie ou au travail.
Bérénice, 32 ans également, est presque physiquement l’opposé de Justin. Brune, la peau du blanc crémeux, 1m61, 45 kilos, très complexée par sa poitrine qu’elle trouve trop…….. opulente 95C, mais qui ravit bien des hommes. Elle est la première adjointe de M. Le Maire depuis 7ans, discrète mais très efficace dans son travail, elle ne rechigne jamais à la tâche. Par contre, elle est toujours très bien habillée, toujours strict, faisant toujours en sorte de n’avoir aucun défauts sur ses habits, voir n’hésitant pas à se changer plusieurs fois par jour, et ne mettant jamais en valeur les formes de son corps. Son jardin secret, lire des récits érotiques lesbiens pour revivre cette fois où une fille de sa classe de 5eme lui avait donnée du plaisir en la caressant.
Une vie bien rangée donc, sans de problème, qui s’écoule doucement. Malheureusement ou heureusement (tout dépend du côté que l’on veut prendre) pour nos amoureux, cette vie si tranquille va totalement être chamboulée……
Lundi matin donc, Justin perdu dans son dossier, et son épouse en admiration de son mari, Bérénice est sortie de ses songes par la sonnette de la porte, chose tout à fait curieuse pour eux car le grand portail d’entrée est toujours fermé à clé et ne s’ouvre que par un bip ou bien par l’interphone. Surprise, Bérénice ouvre la porte et trouve sur le pallier une femme noire, un large sourire laissant éclater la blancheur de ses dents.
 » Bonjour, je suis Mélissa, la nouvelle femme de ménage » annonce t’elle, avec son accent africain, en tendant sa main droite en direction de Bérénice et la poussant au passage pour rentrer dans la maison.
« Mais euhhh, euhhh, je ne comprends pas » sont les seuls mots que la maitresse de maison n’arrive à sortir.
Mélissa fouille dans son sac et finit par sortir une lettre toute froissée à l’entête de l’agence de nettoyage avec qui ils ont signé un contrat.
Bérénice se dirige vers la cuisine tout en hurlant le prénom de son mari; ils finissent par se rejoindre dans le salon. Affolé Justin prend sa femme dans ses bras et lui demande des explications.
Mélissa intervient  » Ma collègue Ilda s’est fracturée une vertèbre, elle doit être hospitalisée et elle ne pourra pas bouger avant 6/7 mois minimum, après si vous le souhaitez, je peux très bien partir »son sourire toujours aux lèvres.
Justin est bouche bée, il ne dit un mot, il semble impassible devant la situation mais son sexe se réveille à la vue de cette grosse poitrine. En effet Mélissa ne porte qu’un tee shirt assez usagé et du coup transparent.
Sa femme lui donne discrètement un coup de coude et lui lui dit
« Fais quelque chose »
« Oui pardon je vais contacter l’agence et toi commence à lui montrer ce qu’elle doit faire ».
Bérénice explique donc à Mélissa ce qu’elle doit faire et où se trouve les produits d’entretien.
Justin revient soulagé de sa conversation avec l’agence, et rassure Bérénice.
Mélissa commence par le nettoyage de la cuisine. Bérénice s’en va tandis que Justin finit son jus d’orange et commence à ranger ses affaires.
Mélissa commence par nettoyer avec une éponge le plan de travail. Comme elle récure assez fort, ses grosses fesses moulées dans son legging aussi transparent que son tee shirt, bougent suivant les mouvements des bras. Justin avec son verre à la bouge reste hypnotiser de ce spectacle. Cette fois ci son sexe durcir et déforme son caleçon. Mélissa se tourne, toujours avec son sourire et vient nettoyer la table. Etant de petite taille elle s’affale sur la table pour la nettoyer faisant remonter sa poitrine généreuse. Justin sent son sexe se durcir encore plus, sensation qu’il n’avait jamais ressentie. Son visage étant d’autant plus cramoisie. Il a mal tout le long de son sexe jusqu’à son gland. Il prend son temps pour ranger ses affaires, médusé par sa poitrine si « généreuse »; en sortant il se retourne et admire le bon gros fessier de Mélissa se dandinant comme s’il demandait que l’on s’occupe de lui.
Justin toujours dans ses nuages, et sa verge collée à son ventre va au salon travailler.
Bérénice est déjà là, affairée, elle ne le regarde à peine.
Il s’assoit à côté d’elle. Bérénice soulagée de sentir sa présence, tend sa main vers son bras, mais ne regardant pas ce qu’elle fait elle touche quelque chose de dur mais trop dur pour que ce soit le bras de son mari.
Elle détache son regard de l’écran de son ordinateur et regarde son mari, il est rouge comme un piment, mais il continue de feindre l’ignorance.
« Mais tu bandes??? » dit elle avec sa voix haut perchée que l’on dirait qu’elle crie;
« Mais ché….ché…riiii, lai….. lai…ssseee moiiii t’expliquer…. »
« Qu’est ce qui t’arrive chéri??? Non tu vas pas me dire que c’est cette femme de ménage qui t’excites??? » dit elle toujours sur le même ton.
Justin reste là sans rien dire ce qui a le don d’exaspérer Bérénice.
Elle de son côté tout se bouscule dans la tête; elle n’aurait jamais pensé que son homme, son mari, son amour de toujours puisse avoir une érection pour une autre femme. Et là les questions se bousculent dans sa tête: a t’il souvent des érections pour d’autres femmes?? l’a t’il déjà trompée?? avec qui?? comment?? quand??. Le monde qu’ils avaient créés est entrain de s’écrouler pour elle.
Mais un sentiment depuis ce matin la trouble. En effet, quand elle a vu Mélissa la première fois ce matin, elle a été gênée. Gênée oui pas par sa couleur mais ses formes. Elle n’arrivait pas à détacher son regard de cette poitrine si généreuse, et ses hanches si développée et cette transparence de ces vêtements qui montrait allègrement les sous vêtements rendait la situation si gênante. Mais l’élément le plus gênant pour Bérénice c’est que tout ceci à provoquer en elle quelque chose de tout nouveau: elle a senti une chaleur envahir son ventre, puis descendre vers son bas ventre, inonder sa culotte marron tout en dentelle, et durcir ses tétons.
Donc après réflexion, elle comprend pourquoi Justin est dans cet état. Et cette situation elle veut en profiter, car son sexe dégouline encore de son suc intime, ce qui lui donne des flashs dans la tête.
Calmée, elle regarde Justin toujours aussi cramoisi au niveau du visage. Son érection est moins forte.
Bérénice: « elle te plait Mélissa?? »
« Maiiisss euh euh euh no….no….non » finit par dire Justin.
« Tu sais Justin je comprendrais si tu me dis l’inverse. Si tu me dis que ses formes t’attirent, que ses gros seins t’excitent, ainsi que ses fesses. Tu me le dire ».
« Nooonnnn, noooon Bérénice il n’y….. a que…que…. toi qui qui qui… me plaiiiiit. » Bégaye Justin.
« Chéri dis moi la vérité » dis elle de sa voix la plus suave. « tu aimerais tripoter ses gros seins et son gros cul hein??
« Arrêtes Bérénice…. »
« Je suis sure que tu aimerais fourrer ta belle queue dans sa chatte » sur ce Bérénice att**** le sexe de son mari qui est tendu. » tu vois tu bandes comme jamais, j’en étais sure »
« M….mais…a..a…mour c…c’est parce que tu dis des choses cochonnes qu…qu…que tu n’as jamais dites. » finit par lâcher Justin.
« Mais tu es un gros cochon Justin » Bérénice le branle maintenant, tout en lui malaxant les couilles. « Tu sais je suis sure que t’aimerais baiser Mélissa » lui demande t’elle tout en lui compressant la verge et ses couilles.
« Oui….oui, jajajavoue. J’aimerais lalala baiiiiiissseeerrrr » crache enfin Justin.
Bérénice relâche sa prise. Un sourire illuminant son visage satisfaite de la réponse de son mari.
Justin se courbe en deux, d’une part honteux de ce qu’il vient de révéler à sa femme, de deux car son sexe lui fait vraiment mal et de trois pour l’explosion de sa jouissance.
Mélissa passe la tête par la porte, toujours souriante: « Je monte, je vais cherche le linge pour le mettre à la machine »
« OK » lâche Bérénice, lui renvoyant son sourire.
Bérénice et Justin discutent de la situation, Bérénice harcèle de questions Justin pour savoir s’il a déjà couché avec d’autres femmes. Il lui jure que non, et a ses yeux et au ton de sa voix, elle sait qu’il lui dit la vérité.
« Merci » lui susurre t’elle à l’oreille.
Elle monte dans sa chambre, change sa culotte souillée de son jus; elle se dirige vers la salle de bains. La porte est entrouverte et stupeur, elle voit Mélissa devant le miroir avec une de ses culottes prises de la corbeille. Elle se la met devant elle, elle prend un soutien gorge et fait de même. Elle déballe la corbeille et agit ainsi, jusqu’à qu’elle remarque un string blanc que met rarement Bérénice, juste quand elle a envie de son homme.
Mélissa trop occupée n’a pas encore vu Bérénice dans son dos. Elle enlève son legging et sa culotte, et oh surprise pour Bérénice elle passe son string. Elle se regarde dans le miroir, le string lui rentre littéralement dans la chatte lui séparant bien en deux les lèvres, et que dire de la ficelle qui se perd dans les profondeur de sa raie.
Bérénice est surprise et une décharge de cyprine dans sa culotte la fait sortir de sa torpeur.
Mélissa se tourne pour voir l’effet du string sur son derrière, et c’est là qu’elle s’aperçoit de la présence de Bérénice.
Ni une ni deux avec son air de matriarche, Bérénice prend par le bras Mélissa et la tire dans les escalier malgré la différence de poids. Elle pousse la porte du salon violemment et pousse Mélissa dans la pièce.
Justin reste médusé, son visage s’empourpre.
« Tu vois ce que fait notre nouvelle femme de ménage, pendant que nous avons le dos tourné » siffle Bérénice à Justin tout en lui faisant un clin d’oeil que Mélissa ne peut pas voir.
Mais Justin a du mal à se concentrer par la situation qui se déroule devant lui.
« Elle essaie mes dessous à la place de les nettoyer, cela mérite bien une correction » dit Bérénice.
Justin ne dit toujours mot, obnubilé par ce tissus perdu dans cette fente, laissant dépasser une toison développée.
« Je ne veux plus de cette femme, il faut la renvoyer » assène Bérénice en criant
Le sourire naturel de Mélissa a disparu, laissant place à des larmes.
« Ne faites pas cela madame, je vous en pris, ne faites pas cela, je n’ai que ce travail….. » dit elle en reniflant.
Justin est maintenant pivoine et son sexe est de nouveau douloureux.
Bérénice ayant vu la réaction de Justin, se tourne vers lui et lui dit « Lève toi »
Justin penaud se lève tout doucement, essayant de cacher son érection.
« Et en plus elle fait bander mon mari. Que dire il n’a jamais bandé aussi fort avec moi »
Justin et Mélissa n’ose se regarder, ils sont tous les deux rouges de hontes.
« Combien vous gagnez par mois Mélissa? » finit par demander Bérénice
« Euh euh euh…. »
« Quel est votre salaire à la fin du mois Mélissa? C’est pas bien compliqué comme question quand même » s’emporte Bérénice.
« Environ 900 euros madame » dit Mélissa.
« Et vous êtes prête à vous faire licencier pour 900 euros parce que vous avez essayé un string qui ne vous appartient pas?? »
« ……non madame, je regrette….. vraiment »
« Bon Mélissa, je suis prête à vous laissez une chance. Mais une seule. Compris »
« Euhhhh oui, j’accepte »
« Alors vous allez enlever mon string de vos fesses et le donner à mon mari »
Justin qui pensait se faire oublier, regarde sa femme d’un air interrogatif et surpris; Mélisse est surprise également.
« Vous avez bien entendu et dépêches toi Mélissa autrement je risque de changer d’avis à votre sujet. »
Mélissa après un temps d’hésitation prend le string entre ses doigts et le fait glisser lentement, le long de ses cuisses. Une fois enlevé, elle le tend d’une main tremblante en direction de Justin, mais sans le regarder.
« rRegardes mon mari » lui ordonne Bérénice
Mélissa tourne lentement la tête et regarde Justin, qui est toujours rivé à ce petit bout de tissus suspendu en l’air.
Justin tend sa main et le récupère.
« Amène le moi » lui crie sa femme
Il lui donne, elle le prend, le temps, l’étire » mais il es tout mouillé »
« Sens le » dit elle en le montrant à son époux
« Aller sens le autrement je te le fais avaler »
Justin, craintif, ne reconnait plus sa femme si douce et si gentille d’habitude. Il ne voit pas d’autre choix que de le prendre et le porter à son nez.
Une odeur de vanillé, mais forte, envahit ses narines, il le renifle deux trois fois sans s’apercevoir que sa bite est de nouveau dressée et turgescente.
« eh bé cela te fait de l’effet à ce que je vois, tu es un beau salaud »
« Mélissa allonge toi sur la table » ordonne Bérénice « et plus vite que ça, je commence à m’impatienter ».
Mélissa, s’allonge sur le ventre les fesses à l’air, les jambes fermées. Elle ressent le froid du marbre de la table, elle tressaille et sent ses tétons se durcir. Son corps est lui tout chaud. Son coeur bat à 100 à l’heure, elle a l’impression qu’il va se décrocher.
Elle attend les yeux fermés.
« Ecartes les jambes » crie Bérénice
Mélissa obéit de suite, montrant ainsi son intimité à Justin, toujours le sexe dressé et ne disant toujours un mot.
Il admire l’entrejambe de Mélissa, tout rose, a moitié ouvert, où il semble luire de mouille, le tout entouré de poils. Les fesses de Mélissa sont légèrement séparées laissant dépassées quelques poils également.
« Allez mon chéri, elle est à toi. Caresse là je te donne l’autorisation »
Justin ne sait plus quoi faire son cerveau lui dit non de ne rien faire, Bérénice est juste entrain de vérifier sa fidélité, mais ses mains son corps et surtout sa queue sont affamés de ses rondeurs.
Il prend son courage, fixe son regard dans celui de Bérénice, qu’il ne reconnait pas, il n’a jamais vu ses yeux comme aujourd’hui, un regard de prédateur. Il a peur, peur de sa femme, peur de la perdre.
Alors il se décide enfin, il s’approche de Mélissa, pose une main tremblante sur son dos. Mélissa tressaille, elle ferme les yeux encore plus fort.
Justin caresse le dos de Mélissa, de haut en bas, il prend goût à cette peau si douce, encore plus douce que celle de sa femme. Se sentant mieux, il pose l’autre main sur les épaules de la femme de ménage. Il ose regarder sa femme, elle le défit du regard.
Il n’arrive pas à soutenir son regard, alors il se concentre sur le corps entre ses mains.
Mélissa quant à elle commence à se détendre, à apprécier les caresses prodiguées, mais surtout la chaleur, la tendresse, qui se dégagent de ces mains. Elle sent son sexe s’humidifier et elle n’arrive pas à se contrôler.
Bérénice, est sur le canapé, accroupie, elle ne sait plus ce qui lui arrive. Qu’est ce qui se passe?? Son mari caresse une autre femme et cela l’excite au plus haut point. Sa culotte ne retient plus déjà sa mouille, son corps est bouillant, son cerveau en feu, ses tétons dressés, ses seins durs. Elle a même une drôle de sensation à ses fesses.
Justin descend délicatement ses mains sur le bas du dos de Mélissa, puis en passe une sur une fesse, faisant gémir Mélissa.
Il continue la découverte de ce corps, en glissant ses mains jusqu’aux pieds;en remontant à l’intérieur des cuisses, il effleure l’entrecuisse de Mélissa et découvre une chaleur et une moiteur, jamais connue auparavant; il a les doigts mouillés.
Bérénice » retourne la à cette chienne »
Justin s’exécute prenant délicatement Mélissa par les bras, elle sort de sa torpeur, de cet état d’extase, la chatte en feu, elle n’a jamais désiré un homme autant que maintenant.
Justin l’aide à s’allonger sur le dos, et elle se trouve à deux centimètre de son gland, il peut sentir son son souffle sur son gland. Il aimerait lui prendre la bouche, lui baiser la bouche.
Mais Justin prend son temps, pensant que ce sera peut être la dernière fois que cette situation se reproduise; il guide maintenant ses mains sans retenu vers les énormes globes de Mélissa, il les prend en main mais ils sont tellement gros et doux; il les soupèse, les palpe, les malaxe, tirant des gémissement de la bouche de Mélissa. Excité au plus haut point, Justin prend les deux tétons en même temps et les pince tout en les tirant dessus. Mélissa crie plus fort; Bérénice est toujours aussi excitée; elle a sorti ses seins de son haut, et également de son soutien gorge, elle se les titille, les caresse. Justin n’a jamais vu sa femme se caresser ni les seins, ni le sexe, rien rien, mais il adore ca.
Justin continue encore quelques minutes à triturer les gros seins de Mélissa.
Mais il n’en peut plus il faut qu’il soulage son sexe qui le torture depuis de longue minutes déjà. Justin est même surpris de ne pas avoir déjà déchargé son suc.
Il prend Mélissa par les cuisses et lui écarte au maximum les jambes; les lèvres se décrochent l’une de l’autre mais toujours reliées par un filet de mouille;
Justin se décide à la pénétrer; mais Bérénice n’est pas de son avis.
« stop stop stop stop ».
Justin relève la tête, il sent son sexe se ramollir, il regarde sa femme d’un regard plaintif, elle finit par lui dire  » bouffe sa chatte d’abord. Léche son trou ».
Justin lache les jambes de Mélissa qu’elle maintient dans la même position, il approche la tête de sa chatte. Il sent toujours cette odeur de vanille, il sent également une forte chaeur se dégager. Ni une ni deux il plaque sa langue sur les grosses lèvres luisantes de plaisir. Il monte et descend, sous les gémissements de Mélissa. Il continue, et fini par découvrir le bouton de plaisir de Mélissa, qui sort de son capuchon. Il le titille, l’aspire, le mordille, pendant que Mélissa pousse de crie de plaisir de plus en plus fort.
Bérénice a remonté son tailleur, écarté sa culotte montrant sa chatte dégoulinante, comme elle n’a jamais mouillée même pour sa première fois avec Justin. Elle passe et repssa ses doigts fins sur ses lèvres, sur son bouton.
Justin concentré sur sa tache jette de temps en temps des yeux sur sa femme, et il est ravi du spectacle qu’elle lui offre, elle si pudique de nature. Il est excité au plus au point, alors il accélère les mouvements de sa langue le long de cette chatte noire,
il se délecte de ce jus qui n’arrête pas de couler, il coule entre ses fesses également et finit sa course sur le parquet; à force d’insister de ses coups de langue, Mélissa finit par se cambrer tout en poussant un cri sorti du plus profond de son ventre, ou bien de sa chatte « aaaaaaahhhhhhhhh aaarrrrrrrgggggg aaaaaaaaarrrrrrrggggggg jjjjjjjjeeeee joooooouuuuuiiiiiiieeeesss aaaaarrrrrggggggh » elle jouit tellement fort que c’est la première fois qu’elle a des spasmes, il lui vient également un vertige, une chaleur forte l’enveloppe entièrement.
Bérénice reste médusée un instant devant une telle jouissance, elle qui refuse systématique que Justin lui prodigue un cuni, elle pense changer bientôt d’avis.
Justin lui se redresse et pose son gland violacé à l’entrée de la grotte de Mélissa. Il n’a pas le temps de pousser qu’il est englouti en partie. Une poussée permet à Justin d’être bien au fond du vagin de Mélissa. Mais qu’elle sensation, cette chatte si ouverte, si chaude à l’intérieur, c’est si délicieux. Il ferme les yeux et apprécie ce moment. Il entame des mouvements de va et vient doucement, pour vraiment apprécier cette pénétration, cette bonne chatte, il sent la sa bite graissée de la mouille de Mélissa. Mélissa est enfin comblée de recevoir le gros membre de Justin en elle. Il lui comble bien sa grosse chatte, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas pris une queue si nervurée et épaisse, elle contracte les parois de son vagin, la chaleur envahit de nouveau son corps, elle veut se faire baiser.
« Baise moi » sort de sa bouche, étourdi d’entendre les mots de sa bouche Mélissa rougit et ouvre les yeux.
Bérénice:  » eh bé mon chéri tu as entendu; allez baise la, elle réclame ton chibre »
Alors Justin écoute les deux femmes devant elle, il bombe le torse, tend tous ses muscles et accèlere les mouvements de son bassin. Il voit également la scène comme si son esprit était sorti de son corps, il a l’impression de ne plus rien maitriser. Ses couilles claques contre la chatte de Mélissa, il sent le jus de Mélissa sur ses couilles, il entend une voix au loin qui crie « je jouiiiiiiiieeeeeeesssss ausssssiiiiiiii, ouuuuiiiiiiiii hhhuuuuuuummmmmmm hhhhhuuuummm » et voit sa femme se déhancher, son corps se tendre également. Il sent son sexe durcir encore, son prépuce lui tire, Mélissa crie de plus fort « encore encore encore ca vient je vaiiiiissss veniirrrrrr ooooohhhh mon dieeeeuuuuuuuu », et là black out, son corps se cambre une nouvelle fois, sa chatte comprime au maximum le sexe de Justin, elle est prise de spasmes encore une fois, les yeux fermés, juste des râles sortent de sa bouches.
Justin sent l’orgasme arriver, il donne un dernier coup de rein. Son gland plein planté au fond de cette grotte lâche une première grosse giclée desperme, aussitôt fini, une nouvelle éruption inonde le vagin de Mélissa, Justin lâche tout le restant en reprenant des vas et viens. Il se retire lentement de ce corps caverneux, qui finit par expulser le trop plein de jus.
Bérénice est allongée comateuse sur le canapé, seins à l’air, cuisses ouverte, chatte luisante.
Mélissa se caresse doucement le ventre, en passant par ses seins; la chatte blanchâtre.
Justin regarde la pièce, ces femmes devant lui, son sexe a dégonflé, mais Justin à encore faim………..

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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