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Michael

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J’étais en stage de plongée sous-marine pour passer un brevet. Nous étions un groupe de dix encadrés par des instructeurs. Il y avait 4 filles et 6 garçons tous jeunes adultes. Le premier soir en descendant du bateau je dis à celle qui marchait à côté de moi « après la douche je vais à la plage, si ça te dit je t’emmène c’est à 5 minutes en voiture ». Je connaissais le coin et je voulais aller à une toute petite plage de galets accessible par un sentier au bas d’une falaise.
Arrivés sur place nous laissâmes nos vêtements dans la voiture et nous primes le sentier équipés de nos maillots de bains et de chaussures. Nous étions seuls. A mi-chemin elle enleva le haut de son maillot pour l’attacher au bas. Elle avait un beau dos mais je ne voyais pas ses seins. Arrivés sur la plage nous nous sommes assis pour bronzer et discuter. Elle avait de petits seins bien saillants avec des tétons sombres érigés sous l’effet des embruns qu’envoyaient des vagues.
Elle me raconta qu’elle était en phase de reconstruction depuis un an après une séparation difficile. Son homme à qui elle pensait avoir tout donné l’avait laissée sans aucune explication. Elle ajouta « ça va je commence à émerger, ce stage va finir de me remettre à flots ».
Gêné par ses confidences j’ai bougé en marchant un peu sur la plage pendant qu’elle s’appuyait sur ses coudes pour profiter du soleil. Revenu vers elle je me suis tenu devant elle en lui racontant mon parcours de plongeur. Elle était belle et triste. J’ai eu un début d’érection qui devait se voir car elle ne quittait pas mon maillot des yeux.
Elle s’assit, me fit signe de me rapprocher avec sa main puis elle baisa un peu mon slip. Mon sexe pointa fièrement. Elle releva et écarta ses cuisses pour se rapprocher en laissant ses mains sur ses genoux. Puis sans rien dire elle engouffra mon gland entre ses lèvres, le téta un instant et en me regardant bien dans les yeux elle me pompa de plus en plus profond. Cela dura quelques minutes sans qu’elle ne manifeste rien. Je commençai à être vraiment tendu.
Elle laissa mon pénis et me dit « écarte les jambes » puis d’une main elle découvrit son sexe. En s’appuyant sur ses mains derrière son dos elle souleva son bassin et se mit à uriner d’un jet puissant entre mes chevilles en me regardant droit dans les yeux avec une expression amusée. Ce fût assez long et j’entendais sa pisse qui éclaboussait les graviers derrière moi. Quand elle eut fini, elle eut un soupir de soulagement et secoua son bassin pour égoutter sa chatte qu’elle recouvrit encore humide. Puis elle se leva et me dit « on rentre ».
Pendant la remontée vers la voiture je voyais son petit cul onduler devant moi en me disant que j’y aurais bien mis au moins ma langue. Le reste du stage se passa agréablement. Elle était amicale et il n’y eut aucun autre moment d’intimité entre nous. J’avais aimé ce moment de lâcher prise qui avait dû lui faire du bien.
Le dernier soir un des stagiaires me dit « j’ai des deux amies qui passent, on ira la fête foraine, si tu veux on a une place dans la voiture ». Une des deux filles était sa sex-friend du moment et l’autre sa meilleure amie venue d’Afrique pour un mois. Elle était assise à côté de moi à l’arrière de la voiture. C’était une jeune femme célibataire de trente ans qui travaillait comme ingénieur agronome pour une ONG en Afrique noire. Elle vivait en brousse depuis plusieurs années. Je l’ai trouvée sympa et nous avons passé une soirée de détente agréable. Elle n’était pas vraiment jolie mais elle était intelligente et cultivée. Au retour j’ai mis ma main sur son genou. Elle ne dit rien mais me regarda avec des yeux interrogateurs. Je me suis penché vers elle et lui dit très doucement à l’oreille « j’ai envie de toi, reste dormir ». Elle a souri mais ne répondit pas. Arrivé elle descendit, pris sa copine à part et lui parla brièvement puis elle revint vers moi et me dit « on y va ».
J’étais logé dans une chambre rustique avec un lit monoplace. Elle, je le sus plus tard, était affamée car elle n’avait pas touché d’homme depuis un an. Nous avons fait l’amour toute la nuit sauvagement. D’abord sur le lit en missionnaire, puis sur le plancher en levrette. Elle était insatiable. Elle me coucha sur le dos pour me chevaucher en se caressant les seins pendant que je titillais son clitoris et qu’elle se pénétrait profondément. Elle finit par me demander de l’enculer debout alors qu’elle s’appuyait penchée en avant sur le rebord de la fenêtre ouverte. Elle m’encourageait en disant « plus fort, va-y défonce moi » et j’espérais que les voisins dormaient bien. Elle voulut me revoir, me téléphona deux jours après et m’écrivit d’Afrique. Elle disait qu’elle était amoureuse, mais pas moi.
D’une fille à l’autre la semaine fût riche et j’ai eu mon brevet de plongée.

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