LU SUR LE NET
Ceci est une histoire vraie qui m’est arrivée il y a 10 ans environ. J’étais étudiant et j’avais été embauché dans un camping sur la côte vendéenne comme personnel de service pour l’été. Je devais assurer la propreté des locaux et parfois aider les arrivants à s’installer sur leur emplacement. J’étais affecté plus spécialement au secteur caravanes. Une grande partie des vacanciers étaient Hollandais, Allemands ou Danois.
Un jour que j’étais à la réception, une touriste allemande âgée de 50-55ans est venue demander à ce que quelqu’un l’aide à installer le gaz sous sa caravane. Elle était plutôt grosse, blonde permanentée avec un postérieur et une poitrine énormes. Elle était vêtue d’un paréo. Elle parlait bien français, ce qui était plutôt rare pour quelqu’un de son âge. Le patron du camping m’a dit d’aller lui installer le gaz en souriant.
En la suivant je me suis rendue compte qu’elle ne s’épilait ni les jambes ni les aisselles, ce qui est fréquent chez les Allemandes d’un certain âge. Arrivé sur place, elle me dit que le tuyau doit se brancher sous la caravane. Celle–ci est à environ 45 cm du sol et je me glisse facilement dessous. A ma surprise, le tuyau est déjà branché. Alors que je ressors en glissant pour lui en demander la raison , je me retrouve entre ses deux jambes potelées et je vois que non seulement elle est nue sous le paréo, mais qu’elle a le sexe épilé. L’été meurtrier version « beauf ». Je suis instantanément troublé et gêné. Elle me regarde en souriant. Je m’extirpe en m’excusant alors que mon short présente sûrement une bosse, ce qui ne fait qu’accroître ma gêne. Je lui bégaye que le tuyau est déjà branché et que je ne comprends pas. Elle me dit que le gaz n’arrive pas dans la caravane et m’invite à la suivre à l’intérieur.
Le coin cuisine est étroit dans cette caravane néanmoins luxueuse. Je me penche sur la plaque et effectivement le gaz ne fonctionne pas. Au moment ou je me penche pour voir derrière la plaque, je la sens derrière moi. Elle me passe alors une main entre les jambes et me serre doucement les testicules. Je me retourne. Elle sourit ; je suis rouge de confusion. Elle me demande toujours en souriant, c’est quoi le problème ? Je bredouille que je ne sais pas et lui dit que je vais retourner sous la caravane voir. J’ai une bosse énorme au niveau du short. Elle y pose la main et me dis « tu es sûr ? » « Oui » je finis par lui dire. Elle me dit « va voir je t’attends ». Je sors ; j’ai peur de rencontrer quelqu’un à la porte avec une gaule pareille.
Je retourne sous la caravane ; je ne sais que faire avec cette femme qui pourrait être facilement ma mère. Je trouve rapidement un robinet qui était simplement fermé de l’autre côté de la caravane et je l’ouvre. Je retourne alors lui dire que j’ai trouvé. En poussant la porte, je vois qu’elle a tiré les rideaux et qu’elle est complètement nue. Elle me dit c’est bien, tu veux boire quelque chose ? Un coca ? Tu es timide ! Je bredouille vaguement oui. Elle passe devant moi, ses gros seins tombants s’agitent, elle a d’énormes aréoles roses avec un gros bout dardé. Elle se penche vers son frigo pour prendre une boite et je vois qu’elle est totalement épilée, que son sexe est muni de grosses lèvres et qu’elle a aussi un très gros anus. Elle me dit de m’asseoir près de la table elle revient avec deux cocas.
Elle me demande si ça me gêne de la voir nue. Je lui dit non. Elle me demande alors crûment si je bande et je lui réponds oui. Elle me dit « montre ». Je ne sais plus où je suis. Je me lève et je baisse mon short; elle approche et d’une main experte elle me décalotte le gland. Elle me dit alors « ta queue est jolie bien qu’elle soit plutôt petite ». Moi qui pensais plutôt être membré normalement ; avec mes 19×5 dont personne ne s’était jamais plaint. Une goutte perle déjà sur le méat. Elle me dit « je vais t’essuyer ça ». Elle va chercher une feuille de sopalin et m’essuie alors le gland qui double de volume sous la douce friction du papier. Elle me dit alors que je suis un petit cochon en rut et qu’elle va régler cela.
Je n’ai plus prise sur rien. Elle m’allonge sur la banquette et me déshabille en trois mouvements ; elle me dit de me tourner sur le ventre. Elle va chercher de la crème solaire et entre prend de me masser avec ses grosses mains. Elle me dit tu vas aimer. Elle commence par mon dos et arrive rapidement à mes fesses. Elle sait y faire, c’est bon,. Elle m’écarte les jambes et me dit alors de me mettre à 4 pattes sur la banquette. Je lui dis « ferme à clef ». Elle rit et va pousser le loquet.
Elle revient s’asseoir derrière moi et me verse une bonne rasade de crème sur les fesses. Sans hésiter, elle me tartine la raie des fesses et saisit mon sexe qu’elle commence à masturber de l’autre main, grasse elle aussi. Elle me masse partout, l’anus, les testicules. Ça glisse terrible. Elle me glisse alors un doigt dans l’anus. C’est la première fois. Je dis juste « eh » mais elle, elle en profite pour s’enfoncer davantage sans aucune peine d’ailleurs. Elle me dit « tu vas aimer ». Effectivement , elle fait des va et vient, change de rythme, tourne. Au bout de quelques minutes, elle y met un deuxième puis un troisième doigt. Je suis à la limite, mais c’est bon ; elle touche à l’intérieur quelque chose (j’ai su plus tard que c’était la prostate) qu’elle essaie de caresser du bout des doigts et m’envoie des ondes de plaisir. Elle retire sa main et me dit « tu as presque le cul aussi large que moi ». Elle saisit ma bite et me la suce alors, toujours par derrière avec la bouche. Elle me doigte le cul en même temps. Je jouis en deux minutes. Tout cela été trop intense. Elle me dit que je suis bon ; elle a tout avalé, elle a juste un peu de sperme sur les commissures des lèvres.
Elle me dit « à ton tour, fais moi jouir petit salaud, fais-moi ce que je t’ai fait » et elle se met sur le sol de la caravane en position, à quatre pattes sur une natte en paille tressée. Elle attend, là. Elle est vieille, grosse et vulgaire mais je suis très excité, j’ai à peine débandé après avoir joui. Je m’empare alors de la crème et lui beurre le cul. Il n’y a pas d’autre mot. Sa vulve baille et laisse s’échapper des gouttes et des filets qui mouillent ses cuisses. Elle n’a pourtant pas une forte odeur. Je lui masse ses grosses fesses que j’écarte sans ménagement. Son anus est énorme avec des espèces de lèvres ; il a dû en voir de belles. Je lui masse et elle commence à gémir doucement Je vois qu’elle se relâche et que son anneau rose s’ouvre alors largement ; il est béant avec un diamètre de 3-4 cm sans rien y avoir encore mis. D’emblée j’y mets deux doigts qui en deux minutes sont 4. Je m’enfonce sans peine jusqu’au pouce. Je la sens qui pousse, qui se contracte en suite. Elle a ses cuisses poilues mouillées jusqu’aux genoux.
Je décide alors de lui caresser le sexe avec la main droite. Son clitoris darde méchamment. Chaque caresse lui arrache un gémissement. Je lui mets alors deux doigts dans la chatte. Ça flotte beaucoup. Je lui en mets alors deux autres en moins d’une minute. J’ai alors une main sans les pouces dans ses deux trous que j’agrandis par mes mouvements. Je touche mes doigts à travers son corps. Seule une mince membrane les sépare. Du délire. Jamais je n’avais même imaginé cela. Elle allonge son buste sur le sol et s’écarte les fesses avec les deux mains. Son corps gélatineux tremble. Mes mouvements font des bruits de succion obscènes. Elle saisit ma main droite et me dis mets-tout. Je me retrouve alors à la fister, toujours avec 4 doigts dans le cul. Je m’enfonce jusqu’à l’avant-bras et je sens son cœur qui bat vite à l’intérieur. Elle me dit « serre-le poing et remue ». Quand je ressortait ses grosses lèvres enserraient mon poignet comme une bouche énorme qui faisait ventouse. Elle a alors joui et là, j’ai cru que mes mains allaient rester prisonnières tellement elle serrait fort par moment.
Je la renverse et lui mets ma queue dans la chatte. Je comprends alors ce qu’elle voulait dire par « petite ». Elle me dis « par derrière ». J’avais 19ans, c’était la première fois que je sodomisait une femme. Une vieille en plus. Mais là aussi, ça glissait bien. J’ai joui au bout de quelques minutes et elle aussi car elle se caressait.. A peine sorti de son cul, elle m’a sucé jusqu’à ce que je rebande et elle m’a fait jouir en m’enfonçant ses doigts dans l’anus ; j’était vidé, j’avais mal au cul et à la bite. J’ai voulu partir au bout d’une heure environ, complètement à plat en lui promettant de revenir. Elle a sourit et me dit « je me doute bien. »en me flattant les testicules d’une main elle a ajouté « dès que tu seras plein à nouveau ». Elle m’a attiré et a mis la queue dans sa bouche en me regardant. Je ne bandais plus. Elle souriait. Elle m’a dit « au revoir petit vicieux timide » Je suis parti.
Quand je reviens à la réception, le patron m’attend avec le sourire alors que je m’attendais à me faire engueuler. Il me dit alors à mi-voix : « elle suce bien Eike non ? » Je rougis. Il me dit, « il n’y pas de mal à se faire du bien ». Il ajoute qu’il la connaît depuis une dizaine d’années, qu’elle revient tous les ans et qu’elle a un faible pour les petits jeunes y compris à plusieurs, ce qu’elle préfère. Il me dit « si tu veux lui faire plaisir amène des copains mais des résistants et avec des grosses… Elle fait aussi des partouzes avec d’autres vieux Allemands et Hollandais ». Il ajoute qu’il y est déjà allé avec sa femme les autres années. Il ajoute qu’elle peut être pire que Eike si elle est excitée. Il me promet de m’emmener et de tester si on s’entend bien. Je crois rêver. Il me dit de retourner travailler, il y a plein de Parisiens qui sont arrivés.
Au boulot depuis à peine 5mm, la queue encore meurtrie, j’ai flippé : je n’avais pas mis de capote et elle ne paraissait guère frileuse du cul. Nous étions dans les années 90. Je suis retourné la voir, nous avons fait des soirées à plusieurs avec elle et d’autres mais toujours protégé jusqu’à ce quelle parte au mois d’août. J’ai fait un test en septembre : négatif ! J’ai eu peur mais c’est quand même avec elle que j’ai connu les émotions les plus intenses au niveau cul. Elle m’a tout fait et moi aussi. Elle m’a même prêté à une copine lors de mon jour de « repos ». Elle avait 58 ans mais une super-salope aussi. Autant dire que je ne me suis pas reposé… Mais cela c’est une autre histoire que je raconterai peut-être un autre jour.
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